Citations de Bill Willingham (138)
« J’ai toujours estimé qu’un aristocrate accompli devait cultiver sa virilité autant que son adresse à l’épée. Dans les deux cas, il a un temps pour défourailler et proposer la botte. Un temps pour le retrait ou le coup à revers.
– J’ignore ce que tu entends par revers mais ne t’avise pas de te retirer.
– Et bien sûr, un temps pour porter l’estocade.
– Wow ! Mon heros. »
- Même les gens qui écrivent ce livre admettent que parfois les écrivains travaillent mieux quand ils ont un bon éditeur.
- Hmph. Comment savez-vous si ce n'est pas l'éditeur qui a inséré cette réplique, Gary ? Vous êtes parfois si naïf.
Vous vous changez en grand méchant loup, chef ? J'ai toujours rêvé de voir ça.
Par le sang maudit des dieux inférieurs dans le sang caillé de leur fosse maudite !
Je ne vous en veux pas pour ce qui s’est passé là-haut Weyland. Nous ne sommes pas encore corrompus par la philosophie sociale moderne des communs dans ce genre d’affaires. Les seuls responsables sont les auteurs du crime, et non leurs victimes.
- Blanche Neige, sur ordre du conseil des forces révolutionnaires des Fables, tu es en état d'arrestation pour crimes contre la fablité (p. 184)
Si les communs comptent sur leur gouvernement pour résoudre leurs problèmes, dans la société des Fables nous attendons de vous que vous preniez votre vie en main. Notre seule préoccupation est que vous enfreigniez notre loi la plus vitale : aucun fable ne doit avoir, par son action ou son inaction, révéler notre nature magique au monde commun
- Jack surveille les lieux du crime ? Autant demander à un renard de garder un poulailler !
- Toute ma vie, j’ai monté des plans foireux pour faire fortune, alors qu’il suffisait que j’achète un billet de tombola.
- T’es tout essoufflé, Jack, t’as encore escaladé des tiges de haricots ?
- La prochaine fois que tu simules un crime, renverse le mobilier n’importe comment… au lieu de le disposer soigneusement comme cela t’arrange.
Un individu peut donner un litre de sang toutes les six semaines sans souffrir d’effets indésirables.
Once upon a time ... In a fictional land called New York City.
- Bonjour, mademoiselle Chaperon Rouge. Saluez Boy Blue de ma part, et dites-lui que je descendrai tout à l'heure avec des jeux. J'ai le nouveau "Risk Star Wars" !
- Je lui transmettrai le message. Comme toujours.
- Je déteste cet endroit et ce job ! Cette Blanche... Comment faisait-elle pour être si efficace et ordonnée ?
- Eh bien... Elle était déjà au gouvernement avant la fondation de Fableville... Quand il y avait des dizaines d'employés ici. Elle a eu des siècles pour se roder, tout en gravissant les échelons.
- ...
- Vous voulez que j'arrête de parler ?
- Trouve un dictionnaire et cherche le mot "question rhétorique".
- Ça fait deux mots.
- Dégage, macaque !
- Ok, ok !
- Et voilà !
- C'est pas trop tôt, pauvre gourde ! Vous étiez vraiment déterminée à tester tous les outils de l'atelier avant qu'il vous vienne à l'idée d'essayer la clé que je vous avais laissée sous le nez ?
- Vous avez droit à une remarque désobligeante, eu égard aux évidentes frustrations qu'engendre une détention prolongée. Mais n'allez pas trop loin.
- Moi et Bigby ?! Certainement pas !
- Chut ! Nous sommes des fugitifs. Rappelez-vous, vous savez ce que ça veut dire, non ? Revenons-en à nos moutons. Si vous craquez déjà pour les grands méchants loups, ce n'est qu'une question de temps avant que vous gravissiez quelques barreaux de plus sur l'échelle sophisticatoire pour arriver à un certain sir Goupil, le renard.
- Un : le mot "sophisticatoire" n'existe pas. Et deux : la seule chose qui n'est qu'une "question de temps" c'est que je vais t'étrangler.
- C'est ça.
Avec mes yeux, je vois tous les méfaits que chaque individu a commis dans sa vie. Pas les bonnes actions... juste les mauvaises. Et en détail. Vous imaginez le calvaire que c'est ? Plutôt ne rien voir.
Je sais où vous êtes, chaque seconde de chaque jour. Je sais si vous faites de beaux ou mauvais rêves la nuit. Je devine votre humeur à des variations subtiles de votre odeur naturelle, quel que soit le nombre de bains que vous prenez ou le parfum artificiel que vous portez. Je sais quand vous êtes heureuse, et c'est rare. Quand vous êtes triste. Quand vous vous sentez atrocement seule... Et c'est trop souvent.
Les communs sont des millions à t'adorer ! Des centaines de millions ! Ils continuent à faire des dessins animés pourraves et à écrire d'innombrables livres pour enfant sur toi ! Tu ne peux pas mourir ! Ils ne veulent pas ! Mais combien sont-ils à se souvenir de moi ? Même pas un sur un million ! Il y avait Blanche Neige et Rose Rouge. Maintenant, il n'y a plus que Blanche Neige, point. Toute seule !