Blake Pierce

À peine remise de la tentative de meurtre de son mari (voir "La femme parfaite" ; chronique ici : http://michelgiraud.fr/2020/06/10/jessie-hunt-tome-1-la-femme-parfaite-blake-pierce-laborieux-debut-de-serie/) et d'une fausse-couche, Jessie Hunt est recrutée comme profileuse intérimaire par la police de Los Angeles. En compagnie de l'agent Ryan Hernandez, elle est chargée d'enquêter sur la mort suspecte de Victoria Missinger, l'épouse d'un riche homme d'affaire.

En parallèle, elle reprend contact avec un tueur en série incarcéré dans un quartier de haute sécurité, espérant qu'il pourra lui donner des informations lui permettant de retrouver son père biologique, un autre tueur en série surnommé le Bourreau des Ozarks.



Ce deuxième tome a, à peu près, les mêmes qualités et défauts que le précédent :

- Une écriture simple et directe, bien rythmée, qui facilite la lecture et donne envie de poursuivre. Les personnages sont ici plus affirmés, montrent plus de caractère ;

- L'intrigue reste trop mince... Elle n'est en fait qu'une sorte de fil conducteur pour présenter les interrogations et états d'âme d'une héroïne à la recherche de son père. Ce qui pouvait être acceptable pour le premier tome devient plus problématique : Blake Pierce va t'il nous proposer une série avec de vraies intrigues ou se contenter de délivrer au fil des tomes quelques indices permettant de remonter jusqu'au père de Jessie ?

Pour conclure : cette lecture ne me donne guère envie de lire l'opus suivant...
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Jessie Hunt et son mari Kyle quittent le centre de Los Angeles pour s'installer à Westport Beach, une banlieue huppée dans le comté d'Orange. Trop franche et directe, Jessie peine à s'intégrer au microcosme local, alors que Kyle devient rapidement un habitué du club privé, lieu qui lui permet de rencontrer les futurs clients de l'agence immobilière qu'il dirige. Aux yeux de son épouse, il semble s'adapter trop bien et trop vite à la vie de cette banlieue riche...

En parallèle, Jessie continue sa formation de psychologue avec l'ambition de devenir profiler dans la police. Elle obtient de faire son stage dans un service psychiatrique qui héberge les plus dangereux serial killers. Elle parvient à s'y entretenir avec l'un des plus pervers d'entre-eux, qui semblent savoir des choses sur le passé de la jeune femme...



Cet ouvrage a les qualités et les défauts du premier tome d'une série. Coté qualité, une écriture et un style simples qui rendent la lecture fluide, et un contexte serial killers qui donne envie de lire la suite pour se donner un peu de frisson. Pour les défauts, je citerai une mise en place de l'environnement et du contexte qui prend trop de place par rapport à une intrigue à la fois trop simpliste et trop tirée par les cheveux, à laquelle on ne croit pas un instant.

Un premier tome laborieux, qui ne laissera pas un souvenir ineffaçable, mais qui donne pourtant envie de lire la suite, en espérant que l'intrigue y soit un peu mieux construite...
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Avery Black, ancienne avocate a vu sa carrière se briser net pour avoir défendu et fait libérer un tueur en série coupable. Lequel n'a rien trouvé de mieux à faire que de récidiver une fois dehors. Tombée au trente-sixième dessous, elle a été embauchée dans la police à la circulation, puis elle a monté les échelons pour arriver à inspectrice là où le lecteur la trouve au début du roman.

Autant dire que l'ambiance est plombée et que la pauvre Avery est raillée par ses collègues masculins et a du mal à trouver un équipier. Elle y arrivera quand même sans que cela soit, toujours, facile.

La police de Boston est lancée à la recherche d'un malade qui tue des étudiantes, les dépèce, les embaume et les positionne dans l'espace public. Ce qui fait désordre.

Du fait, pour partie, de sa connaissance de ce genre d'individus, l'enquête est confiée à Avery Black.



Ce n'est pas que ce soit mauvais, ce n'est pas, bon non plus, à mes yeux s'entend. On s'enlise, on s'enlise dans des partis pris contre cette pauvre Avery, des considérations déplacées sans rapport avec l'enquête. Comme elle a à prouver sa valeur, forcément elle commet des bévues qui se retournent contre elle.

Et les pages se tournent, se tournent, avec un petit peu de soleil de temps en temps, de courte durée et sa repart dans des glissades inutiles.

Alors le lecteur, moi, se demande pourquoi il est entré dans ce bouquin là?

La réponse est simple: lecture offerte par Kobo la liseuse et comme un présent ne se refuse pas...Bref bien fait pour moi!

Blake Pierce j'ai déjà lu et avec plus de bonheur qu'ici où il essaie d'ajouter à son intrigue un côté psychologique qui aurait pu marcher, ne serait-ce qu'avec l'étude des meurtres vus par un tueur en série emprisonné qui, soit dit en passant, aiguillonne l'enquêtrice dans le bon sens et l'aide de par sa connaissance des motivations des gens de son engeance. Mais voilà, ce n'est pas suffisant pour pimenter l'action loin de là.

Ajoutons des rapports mère-fille - n'ayant rien à voir avec l'intrigue - très conflictuels et difficiles et on aura une idée de l'ambiance de ce livre.

Il est aisément possible de supprimer la moitié des pages de sa lecture, qui, à mon avis, servent de remplissage plutôt qu'à l'histoire.

Je ne rayerai pas Pierce de ma liste mais j'oublierai vite ce roman.




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C’est mon premier « Ebook ». J’adore le principe de la liseuse.



Je ne sais pas faire des critiques de quinze pages, ce n’est pas mon style. On aime où on n’aime pas un livre, soit on abandonne la lecture dès le début du roman, soit on arrive au bout en quelques heures, et là, c’est la magie de la lecture.

Ici, avec « Sans laisser de traces» de Blake Pierce, on est happé par l’histoire dès les premières pages. On n’a pas envie de s’arrêter de lire et on souhaite connaître le dénouement le plus vite possible.

On devient addict à ce genre de roman.

On découvre l’agent Riley Paige, femme de caractère qui vient de subir un traumatisme important lors de sa dernière enquête. Aujourd’hui, un tueur en série fait la une. Riley va mener de front son enquête et son mal être.

L’auteur mène cette enquête à 100 à l’heure, il ne nous laisse aucun répit, nous passons de rebondissements en rebondissements. C’est tout le charme de ce livre !!!

Trouvez le, lisez le, vous ne serez pas déçu.



Bonne lecture à vous.

Mais quelle déception !



En fait, c'est une confirmation.

Ayant lu le premier, il y a à peine une semaine, et ayant TRÈS PEU aimé, cette lecture n'a fait que confirmer ce que je pensait.



Une perte de temps et de style.



AUCUNE "raison de courir".

Personne ne court dans ce livre



En ce qui concerne la "raison", on n'en saura rien.

Aucune explication sur les motivation du tueur.



En fait, je proposerais à l'auteur le titre suivant:

"Sans raison de marcher", qui serait beaucoup plus approprié.

Une femme assassinée.

L’agent Bill Jeffreys du FBI s’y colle.

Sa partenaire et supérieure, Riley Paige, est en congé maladie suite au traumatisme dû à sa dernière enquête.

Bill est perdu, largué. Il demande à Riley de reprendre le service pour résoudre l’affaire.





J’y vais, j’y vais pas. Je suis bien, je suis pas bien. J’ai peur, je n’ai pas peur. Longues litanies tout du long du bouquin ne faisant pas avancer l’intrigue.

Que le métier de flic est difficile, surtout du FBI avec sa hiérarchie incompétente (dixit les intéressés) et ses jeunots frétillants, la famille qui n’y comprend rien et ne cesse de mettre des bâtons dans les roues ou dans les pieds c’est pareil. Enfin, bref, Riley avec sa fille et Bill avec son épouse ont du mal dans l’exercice de leur métier.

Malgré ses fantasmes, ses cauchemars, Riley poursuit son enquête, maladroitement, fâchant famille, hiérarchie et témoin, jusqu’à son partenaire qui hésite à la seconder paria qu’elle est du bureau.

Bien entendu à force de persévérance, de ténacité et de chance, Riley trouvera la solution à ce et ces meurtres en série . Par la même occasion elle se rapprochera de son ado de fille avec qui les rapports étaient compliqués.





Je n’y ai pas trouvé mon compte. Certes nouveau personnage à mettre en place, difficilement, dans un contexte volontairement alambiqué d’une femme paumée dans sa vie, professionnelle et privée. L’éditeur dira polar psychologique, je dirais héroïne vulnérable, troublée et complètement dépassée par ses doutes, ses souvenirs, son traumatisme et la vie, l’avenir.

Ma foi, sinon ça se lit bien. Ecriture simple et déliée. Un livre estival facile, qui ne donne pas mal à la tête. Quant-à y revenir c’est une autre histoire.




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Le silence des agneaux, avec Hopkins et Foster.



La comparaison s'arrête malheureusement là.



Peut-être aussi à cause de la piètre traduction et des erreurs de français (OK, ma liseuse a peut-être aussi ses limites?).



C'était mon premier Blake Pierce. Je vais quand même lui laisser une seconde chance, avec la suite: Raison de courir.



Et après,... n'étant pas maso pour deux sous, je laisserai tomber, ou pas.

Lire des romans auto-édités est quelque chose que j’aime particulièrement. Souvent, je découvre de belles petites pépites. Et je dois avouer que c’est le cas de celui-ci. L’écriture de Blake Pierce se rapproche sensiblement de celle de Thilliez malgré un léger manquement au niveau scientifique et médico-légal. 
Contrairement aux œuvres de Thilliez, ici on a envie de continuer notre lecture surtout grâce aux liens entre les personnages plutôt que pour l’enquête elle-même. Effectivement, dans ce roman, tout le charme provient de Riley Paige. C’est un personnage troublant et troublé avec une psychologie qui ne peut qu’attiser la curiosité du lecteur. Grâce à elle, j’ai vécu ce polar davantage comme un thriller psychologique. C’est son histoire personnelle que j’avais le plus envie de découvrir. 
Je regrette toutefois le manque d’indices médico-légal, et le vide explicatif sur les conclusions hâtives mais étrangement justes auxquelles elle parvenait. L’enquête m’a semblé relativement simple à résoudre pour cette femme qui, on ne le sait comment, arrivait parfaitement à imaginer les actes du tueur. C’était un peu léger bien que non dérangeant. L’intrigue est, quant à elle, somme toute banale. Elle n’est pas choquante puisque l’auteur s’est concentré sur ses personnages principaux plutôt que sur les faits. Du coup, les victimes du tueur en série ne parviennent pas à nous atteindre. Elles sont aussi dématérialisée que le tueur le souhaitait. 
Vous l’aurez compris, c’est avec beaucoup de plaisir que je me lancerais dans la suite de ces enquêtes, d’autant plus que le punchline a ouvert une enquête qui me tient à cœur de suivre.

Nous débutons le roman, par le meurtre de Reba, pour ensuite découvrir que ce n'est pas la première. Elles sont mise dans une posture étrange qui fait pensé à des poupées.

Riley Paige et Bill Jeffreys du FBI vont mené l'enquête.



Bon et bien c'est du réchauffé. Riley super agent malmenée dans sa vie personnelle et professionnelle.

Bill agent du FBI ?! C'est une blague ?! Il a aucun charisme, c'est Riley qui est toujours à le diriger, lui dire comment faire, quoi à faire. Il est un peu mou pour un agent du FBI.



L'enquête en elle même est sympa. Mais voilà le côté psychologique de Riley est trop présent alors que celui du tueur est la qu'à la fin...



Je n'est eu d'attache pour personnes. Vraiment j'en est un peu marre de ses super agent qui font ce qu'il veule quand il veule et toujours secoué par leur vie.

J'ai vraiment trouvé ça pesant tout le long du roman.

Je m'attendais à une enquête plus développé sur les meurtres que sur le côté psychologique de cette "super women..." Ce fut trop pour moi.

C'est le premier et il faut bien placé les personnages récurent mais de là à ce qu'il prenne toute la place... D'autant quand c'est toujours pareil 😞 !

Bon ce ne sera pas mon roman de l'année ! L'intrigue est bonne, le sujet est intéressant, mais les personnages sont ni attachant ni détestable.

J'ai trouvé que l'accent était trop mis sur le fait d'une policière entourée de matcho.

Je ne sais pas si je lirais les autres de cette série car j'aime me sentir proche des protagonistes.



Ceci étant, ce livre est rapide, on suit l'enquête et le tueur. Il n'y a pas vraiment de temps mort.

La fille de Mia, Ashley 15 ans a disparu à la sortie de l'école. Mais voilà Ashley est aussi la fille du sénateur... Un secret bien gardé.



Keri va mené l'enquête ! Elle est plutôt du genre tenace, en même temps logique elle aussi a une fille qui a disparu. Elle forme un bon duo avec Ray, qui est bien gentil avec elle. Car certe elle une bonne enquêtrice malgré son manque d'expérience mais elle est... Impulsive, ce qui complique forcément un peu les choses.



J'ai passé un bon moment, même si j'y est trouvé des longueurs. C'est un bon livre. Le personnage de Keri ma particulièrement touché.

Des secrets de famille, des tensions, sont là mais il m'a manqué un "je ne sais quoi".

Mais n'oublions pas que c'est le premier de cette série. Alors je vais poursuivre car je me suis attaché à cette enquêtrice ainsi que son ami et collègue... Je veux donc savoir ce qu'il va ce passer pour eux 😉

Je suis bien surprise par ce livre.

J'avais déjà lu autre de cet auteur mais pas de la même série.



Ici nous avons Avery Black, détesté de tous, car quand elle était avocate elle a fait libérer un des pires tueurs en série de Boston ! Donc l'intégration n'est pas facile dans cette ambiance. Seul Ramirez accepté de travailler avec elle.



Cindy disparue après une soirée est retrouvée morte, embaumer. Deux autres cadavres seront retrouvés dans les mêmes circonstances.

Mais qui ce cache derrière tout ça ? Pourquoi ?



Alors là policière à la vie brisée c'est du vu et revu, mais ça reste sympa malgré tout, l'écriture est fluide ça ce lit vite.

Le résumé m'intriguait et à vrai dire je ne comprends pas tout le lien entre le thriller et le titre. Je m'attendais à tout sauf au chemin que prend l'auteur.

De plus j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette histoire, tout d'abord à cause du style. Dois-je l'imputer à la traduction, avec des passages non traduits ! Incroyable ! À croire que c'est un logiciel qui s'en est chargé !

Ce qui donne un texte avec un vocabulaire très pauvre, un style factuel et scolaire. Tout ce que je déteste.

De nombreux passages sont redondants et n'apportent rien à l'intrigue. Intrigue très rapidement peu surprenante et pleine d'incohérences et qui ne convainc pas.

Comment une stagiaire futur agent du FBI peut-elle acceptée sur une enquête dans laquelle sa jumelle est suspecte ? Cela ne m'a pas du tout semblé réaliste.

Mais ce n'est pas le seul élément incohérent qui m'a titillée, je veux parler des réactions de Seven et de sa famille vis-à-vis de Danielle. Cela manque énormément de développement pour avoir des comportements aussi excessifs. L'auteur vient semer le doute avec des éléments du passé et des comportements des habitants du quartier et pourtant rien ne les justifient. Certes Danielle est étrange et n'a pas vécu la mort tragique de sa mère comme Chloé,sa jumelle, mais très vite, là encore c'est très cliché et juste là pour nous induire en erreur. Mais cela ne prend pas vraiment.

Le dénouement n'est pas surprenant, même si à un moment Black Pierce sème une fraction de secondes quelques doutes.

Un thriller qui manque à vrai dire de psychologie et s'avère assez décevant au final, tant les personnalités des personnages sont superficiellement brossées. La relation particulière qui lie les jumelles de par le drame qui les a frappés, n'est pas exploité.

Je ne pense pas suivre cet auteur, tant bien pour le manque de qualité de l'ouvrage au niveau traduction que pour son approche superficielle de ce qui est appelé ici thriller psychologique. L'auteur nous embarque dans la recherche de Chloé sur son passé et l'on se demande bien pourquoi et le rapport avec l'enquête présente et Danielle. Tout au moins ce n'est pas très bien amené. Et l'on reste en fin de lecture sur des questions sans réponses.

Grosse déception donc, la seule consolation, c'est d'avoir lu ce livre en téléchargement gratuit sur Amazon présenté comme un best-seller ? Euh... no comment.

En 2019, j'ai lu les 3 premiers tomes des enquêtes de Riley Paige, j'avais beaucoup apprécié le premier "Sans laisser de trace", et trouvé que les deux autres étaient très redondant et pénible à lire en raison de nombreuses fautes d'orthographe.....



Je suis en vacances, le soleil, la mer, les pieds dans l'eau, deux ans que "Raison de Tuer" traine sur ma Kobo, c'est l'occasion de le lire.....



Quelle déception, pourquoi l'auteur a-t-il créer le personnage Avery Black ? quelle différence avec Riley Paige ? C'est la même femme enquêtrice, défiant l'autorité qui devient l'héroïne de l'histoire.....



Ce roman est pratiquement un copier/coller, seul le nom de l'héroïne change....



L'intrigue n'en est pas moins intéressante, une lecture divertissante sur la plage

Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 306 pages sur ma liseuse.

Il est dit roman à suspens psychologique alors je pense que je n'ai pas la même vision du suspens psychologique 2eme roman que je lis de Blake Pierce et 2eme ou je suis déçu.

Trois enquêtes dans le même livre et avec Jessie Hunt au cœur de 2 et sa soeur dans une . C'est gentillet,on trouve vite des indices, c'est la plus forte. Bref je me suis ennuyé. Alors très sincèrement je pense que cela sera le dernier de la série pour ma part. Une lecture qui sera vite oubliée c'est certain mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.

Premier roman de cet auteur offert en version e-book.

L'écriture est fluide et le roman se lit facilement. Malheureusement, c'est très tiré par les cheveux. L'héroïne est agent du FBI en arrêt car elle a été la victime d'un sérial killer. Elle reprend du jour au lendemain sur demande de son collègue et ami qui piétine sur une enquête, sans suivi psychologique, ni aucun entretien préalable et elle porte toute l'enquête à bout de bras. Son coéquipier ne lui sert qu'à chercher des renseignements.

L'enquêtrice est tellement têtue qu'elle commet la même erreur à chaque fin d'enquête !

Ce roman est le début d'une série dont le personnage principal sera récurent.

Il y a de nombreuses coquilles dans le texte.

A voir si l'auteur a su corriger ses erreurs dans les tomes suivants.

Dans le prologue l'on assiste au calvaire d'une femme attachée à un poteau et fouettée à mort par un psychopathe qui croit qu'il est investit par Dieu d'une mission.



Puis l'on découvre le personnage central de l'histoire, une jeune enquêtrice et là comme il est fréquent dans les romans de l'auteure on n'échappe pas aux sempiternels clichés. En effet on la découvre dans un commissariat entourée de machos et de misogynes, et pour parfaire le tout rien ne va dans son couple. L'enquêtrice principale, hormis les rares apparitions du tueur, est le seul personnage à être bien développée, ses collègues masculins n’étant là que pour la mettre en valeur.



Si l'intrigue n'a rien de novatrice, et que le fond du roman, présenté comme un thriller, manque de punch, le scénario est tout de même plutôt bien maîtrisé, tout s'enchaîne de manière logique et malgré quelques impasses l'enquête progresse sans incohérences. Les passages de la vie personnelle de l'enquêtrice sont plutôt bien dosés et ne prennent pas le pas sur l'enquête tout en maintenant l'ambiance délétère qui règne dans le commissariat.



Le style de l'auteure est fluide, direct et correspond bien à ce genre de policier de facture classique. Mais comme dans « Raison de tuer », une autre série de l'autrice on regrette que la traduction ne soit pas à la hauteur mais ici elle influe un peu moins, les non sens et les fautes d'orthographes étant nettement moins nombreux.



Au final un roman policier honnête qui permet de passer un bon moment de détente malgré le petit point noir de la traduction. Mais comme le roman en ebook est gratuit on y attache moins d'importance.
Lien : http://imaginaire-chronique...

Jessie et Kyle, jeune couple trentenaire, quittent le centre de Los Angeles pour s'installer dans un quartier riche du comté d'Orange, toujours en Californie. Jessie est étudiante en psychologie criminelle tandis que son mari travaille. C'est lui qui a souhaité ce déménagement, pour se rapprocher de son lieu de travail. mais très vite cette nouvelle vie déplaît à Jessie notamment lorsque Kyle les inscrit dans un club mystérieux dont tous leurs voisins sont membres.



Que dire ? Une histoire plutôt insipide pendant environ les deux tiers du livre. La vie de couple de Jessie et Kyle est inintéressante. Seules les rencontres de Jessie, dans le cadre de ses études, avec un tueur en série enfermé dans un hôpital psychiatrique, sont intéressantes et je me demande bien pourquoi l'auteur n'a pas davantage insisté là-dessus. Jusqu'à ce qu'un évènement dans la vie privée de Jessie et Kyle donne un rebondissement inattendu à l'histoire. Mais ii aura fallu l'attendre longtemps !

Le problème ne vient pas uniquement de l'histoire mais également de la traduction bourrée d'erreurs. A tel point qu'à un moment donné, le traducteur ou la traductrice dévoile un indice en révélant le sexe d'un coupable en employant le pronom personnel correspondant !

Il y a aussi les "de plus" employés à tout va dans les dialogues. Sérieusement, qui s'exprime de la sorte ?

Il y a aussi les mots répétés "elle fit une chose que Jessie ne vit pas pas pas clairement avec sa main" , ou bien encore les erreurs de ce type "cela faisait longtemps qu'elle n'était pas venue ici, facilement plus d'une an". Et ne parlons pas des fautes comme celle-ci : "puisque que je reviendrai moins souvent" (qui elles malheureusement reviennent très souvent).

Je me demande encore comment j'ai pu me faire piéger avec ce livre. Parce qu'il est gratuit me direz-vous ? Ou parce que le quatrième de couverture semblait alléchant ?

Pourtant, ayant lu une partie de la série avec Riley Page, j'aurais dû me méfier : l'auteur appâte les lecteurs avec un premier tome qui semble prometteur, mais il n'y a jamais de fin. Ou peut-être dans le tout dernier volume, mais je me suis arrêtée au quatrième en ce qui concerne la série Riley Page et je m'arrête là pour Jessie Hunt. Cette fois j'en ai définitivement terminé avec cet auteur.

Blake Pierce est un auteur foisonnant qui abreuve les plateformes d'autoéditions de séries dont le premier tome est souvent gratuit pour donner envie de payer les autres. Stratégie commerciale qui a fait ses preuves aux Etats-Unis et empêche d'avoir un éditeur et ses inconvénients. J'ai donc décidé de découvrir cet auteur à travers ce roman en lecture audio.

J'ai abandonnée au bout d'une grosse heure d'écoute. J'avais en tête le sketch de Danny Boom : "Il faut lire" : Arlequin champion de l'amour. Même si je préfère livre un bon arlequin à ce roman dégoulinant de clichés américains où j'avais l'impression que tous les personnage frôlaient le 0 de QI. Une seule recommandation : fuir ...

Et si tous ces romans sont comme ça je n'ai pas envie d'en découvrir d'autres et je vais enlever de ma tablette tous ceux de cet auteur à moins que vous n'arriviez à mon convaincre d'un autre premier tome plus .... euh ... moins ... je ne trouve plus mes mots ... dégoulinant de mièvreries et d'hypocrisie ...

J'ai lu "si elle se cachait": apparemment aucune page pour ce bouquin n'est ouverte su BABELIO. En même temps, cela se comprend, car le livre est loin d'être un chef d'oeuvre !

Personnages très convenus, intrigue très légère; nous sommes bien loin du "thriller" annoncé.

Cela se lit, c'est gentillet, et "ça ne mange pas de pain"!

A réserver pour les attentes chez le toubib ou le dentiste.