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Critiques de Brice Matthieussent (352)
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Mon chien stupide



Mon chien Stupide raconte la vie d'un écrivain un peu raté, Henry J. Molise.

Le livre se caractérise par son ironie, son humour noir aussi et fait ricaner plusieurs fois.



Pour dissuader son père de prendre de la marijuana, Dominic dit à son père l'écrivain :



"C'est mauvais pour les écrivains, il a dit. Norman Mailer prétend que l'herbe fait des trous dans le cerveau par lesquels tous les mots fuient.

- De toute façon, ils fuient."



Marié depuis trente ans à Harriet qui lui a fait quatre enfants devenus grands, Henry compte les départs : le vide se fait peu à peu dans cette maison qui fut jadis remplie. Qui vient mettre en relief le moment de ce basculement? Un chien immense, qui dort sous la pluie dans le jardin : il a une tête d'ours, est énorme, sans doute un akita, ou un croisement de plusieurs chiens exotiques... Ils n'en veulent pas, mais il s'impose. Il semble être attiré par les hommes sur lesquels il tente de satisfaire ses pulsions sexuelles.

On fait la connaissance des enfants, on voit un couple vieillissant qui n'est plus celui qui faisait l'amour au premier jour de la rencontre.

Dans un style qui semble relâché, qui nous fait accédé aux pensées de cet écrivain qui rêve de partir à Rome, Mon chien Stupide se lit avec plaisir.

La truie de la fin est des plus attendrissantes...
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Mon chien stupide

Mon chien stupide, c'est l'histoire d'un énorme chien libidineux tout poilu et crasseux.

Un Akita, rien à voir au demeurant avec le chien de la couverture.

Il se fait recueillir, enfin il s'incruste chez une famille californienne en pleine crise.

Le père Henry J. Molise auteur quinqua raté qui partage, enfin supporte, depuis un quart de siècle sa vie avec Harriet.

Ils ont quatre enfants ingrats:

- Dominic qui déshonore la famille en aimant trop les femmes noires,

- Denny étudiant en théâtre mais désireux de partir à New York et cherchant à tout prix à éviter la conscription,

- Tina qui sort avec un militaire devenu surfeur et qui descend le scotch de son beau-père,

- Jamie, le dernier, celui qu'on ne remarque pas, tant c'est un garçon modèle, sage, pondéré et raisonnable.

Une bonne petite famille de WASP où fusent les insultes, les grossièretés et l'irrespect.

Les échanges sont crus, chocs et provoquants à souhait. L'image même d'une famille américaine campée dans ses convictions et mode de vie.

L'histoire est acerbe et reflète bien le fonctionnement d'une certaine catégorie d'américains, encore majoritaire malheureusement.

Je n'adhère pas à ce puritanisme exacerbé et à cette Amérique là, et surtout à la manière dont est abordé le racisme.

Je reste donc mi-figue, mi-raisin suite à cette lecture, malgré toutes les bonnes critiques que j'ai pu lire et qui m'ont donné l'envie de lire cet auteur. Il y a aussi quelques fautes dans la traduction.
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Mon chien stupide

Je n'ai pas réussi à accrocher à la soit disant verve de John Fante.

Son personnage de vieux romancier en panne sèche, qui ne parvient même plus à vendre des scénarii à Hollywood, qui traine, s'ennuie en se plaignant de ses enfants ingrats, enquiquine sa femme avec ses caprices d'adolescent m'a le plus souvent agacé.

Le prétexte du chien stupide, bagarreur et libidineux ne m'a pas fait sourire.

Pour une 1ère rencontre avec l'auteur, c'est raté.

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Mon chien stupide

’ai oublié sur quel blog j’avais lu qu’il fallait absolument lire ce petit roman de John Fante, mais quand je l’ai vu au club de lecture de notre médiathèque, j’étais très contente. Oui, c’est un excellent moment de lecture tout en humour grinçant et méchant qui décoiffe, parfois un peu trop pour moi. Le personnage principal est un écrivain qui trouve un soir un énorme chien devant chez lui. Un chien de race Akita qui, sur cette photo, semble bien sympathique mais qui est un véritable danger dans une famille qui n’allait pas non plus très bien avant son arrivée. e chien mérite très bien son nom, Stupide, il saute sur tout ce qui lui semble un compagnon sexuel acceptable et comme il est très puissant cela donne des scènes aussi comiques que gênantes. L’écrivain, narrateur de ce roman se sent mal de tous les livres qu’il ne réussit plus à écrire. Il se sent raté aussi bien socialement que dans sa vie familiale. Même s’il le raconte avec beaucoup d’humour, on sent son désespoir à l’image de la scène finale qui donne peu d’espoirs sur la survie de son mariage. Ce roman raconte aussi très bien le choc des familles lors des départs des enfants qui occupaient une place si importante au quotidien dans la maison. J’ai trouvé très originale dans ce roman la peinture de chaque personnage, on peint souvent la famille américaine comme une force en soi. Dans les films, les séries, les romans, la famille made-in US semble un lieu d’engagement et de résistance à toute épreuve. Ici, au contraire chaque individualité est caractérisée par une destinée propre et leur seul point commun lors de ce roman c’est ce chien, qu’elle le rejette ou l’aime. Un point de vue et un humour très particulier qui fait du bien en contre point des images trop lisses que nous renvoie « la culture » américaine : John Fante est issu de l’immigration italienne, et a connu la misère, ceci explique cela. Je ne voudrais pas donner une fausse image de ce livre qui est surtout très drôle même si on sent une grande tristesse sous cette façon de rire de tout et surtout de lui.
Lien : http://luocine.fr/?p=10489
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Mon chien stupide

Sous la plume furieusement drôle trash et pince sans rire de Monsieur John Fante ,Henry Molise loser désabusé, réaliste et vieillissant fait pour nous le constat amer de sa vie.



C'était la première fois que je lisais cet auteur mais surement pas la dernière.



un livre JUBILATOIRE!!!!!
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Mon chien stupide

Quoi de mieux que l'ironie, l'humour et le sarcasme quand on est au bord du gouffre.

C'est peut être, au final, ce qui nous retient?

50 ans c'est le moment où on touche le fond, la période la moins heureuse de l'existence. On aborde le temps des regrets. Le déclin s'accentue , les rêves s' évanouissent et les regrets sont bien vivants. Fante transforme le tout en moments jubilatoires.

. En un livre rapide, vigoureux, il laisse peu de place à l'ennui et beaucoup à ce rire qu'on n'oserait pas en public.

Au final de la profondeur,. Cette dépression créatrice d' angle décalé, introspectif qui font échos a nos expériences quand on se retourne honnêtement sur nos existences. On y reconnaît un frère.

Et comme son chien nous nous couchons dans l'herbe verte, sous les averses drues; un peu moins stupide mais sûr de ne pas remporter la victoire



.





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Mon chien stupide

John Fante est l’auteur de romans, nouvelles et scénarios, né à Denver dans le Colorado en 1909 et mort en 1983 en Californie. Mon chien stupide a été édité à titre posthume.

Comme pour tous ses autres romans, pour ce Chien Stupide, il semble que John Fante se soit beaucoup inspiré, de sa propre vie. Son avatar ici, le scénariste Molise et sa famille, une épouse dévouée, mais souvent en colère et quatre rejetons, plus ou moins jeunes adultes voient leur vie bouleversée par l’inexplicable présence dans leur jardin d’un Akita (gros chien pas nécessairement sympathique), que sa femme prend d’abord, avec un sang-froid bien suggéré … pour un ours. J’ai rarement autant ri en ouvrant un roman : il nous transporte san prévenir dans un univers digne de celui des Marx Brothers. Mais… derrière les situations cocasses et les réactions imprévisibles qu’elles entraînent, s’imposent peu à peu le point de vue et la langue du narrateur : lucide et désabusé, il utilise l’humour comme arme de son auto-dérision. Parce que, si le fameux chien, prénommé Stupide et qui bien sûr ne l’est pas, bouleverse le quotidien de la famille, très vite c’est le dysfonctionnement de celle-ci et de celui de chacun de ses membres que le récit évoque dans une langue familière qui s’inscrit délibérément dans la voie ouverte par Céline. La fin du roman ramène le lecteur dans un épisode irrésistible où le cocasse délirant ne masque pas vraiment les fragilités du narrateur.

C’est drôle, facile à lire et insidieusement pessimiste.

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Mon chien stupide

Je n'ai pas du tout accroché. Ce roman a l'humour très british ne m'a pas convaincu alors que cela traite d'un sujet que l'on a déjà rencontré dans sa vie: entre un père qui voue un amour démesuré pour son chien au point de laisser sa fille quitter le domicile, une mère qui ne comprend pas cette relation et des enfants en pleine crise d'adolescence...Il s'agit d'une caricature qui présente des caractéristiques réalistes mais qui est un peu trop exagérée à mon goût. A lire si vous aimez l'humour anglais...
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Mon chien stupide

Je m'attendais à rire durant cette lecture narrant les péripéties peu joyeuses de cet écrivain de narrateur, main non.

Certaines situations, mettant en scène en particulier le fameux Stupide, m'ont amusées mais ne m'ont pas non plus fait rire aux éclats.

J'y ai davantage vu la triste existence d'un écrivain raté et mal-aimé au sein de sa famille, de sa famille et de sa ville. Une triste descente, pas aux enfers mais presque

Une simple histoire, très bien écrite et qui se lit facilement, que j'ai appréciée.
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Mon chien stupide

RÉSUMÉ:"Un énorme chien à tête d'ours, obsédé et très mal élevé, débarque un soir dans la vie d'Henry J. Molise, auteur quinquagénaire raté et désabusé qui n'a qu'une envie : tout plaquer et s'envoler loin de sa famille qui le rend fou. Malgré l'affection d'Henry pour la bête, sa femme Harriet et ses quatre enfants restent méfiants à l'égard de ce canidé indomptable. Dans la coquette banlieue californienne de Point Dume, au bord du Pacifique, ce monstre attachant s'apprête à semer un innommable chaos. "



MON AVIS: Un bon résumé d'une vie de famille qui se délite et dont un chien perturbateur est le dénominateur commun à tous les griefs que les uns ont envers les autres.

Henry en veut à tout le monde et reporte sur eux ses propres échecs en temps qu'homme , mari et père.

Une comédie amère réjouissante et triste à la fois. Une comédie qui décrit parfaitement les comportements humains, parfois lâches, ou aveugles à leurs propres failles, risibles et dérisoires.

Pas facile d'être humain, encore moins parents et John Fante s'amuse brillamment à parodier l'un et l'autre.

De quoi sourire certes, mais avec quand même en arrière plan des questionnements sérieux : qui sommes nous? Comment évoluons nous? Avons nous fait les bons choix? Et si non, peut-on y changer quelque chose?

Et c'est assez bien vu de développer tout ce questionnement grâce à un chien, stupide.



Lu pour le poche du mois du Picabo River book Club
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Mon chien stupide

J’avais trouvé beaucoup d’humour à cet auteur à la lecture de 'Pleins de vie' et bien plus. Il propose là aussi un roman satirique. Henry Molise, le personnage principal et narrateur, nous irrite d’abord quelque peu avec ce côté un peu fainéant, un peu macho, un peu facilement vulgaire aussi, patriarche qui veut se croire honorable mais qui ne l’est pas.



Stupide, le chien – c’est son nom – est un peu un élément déclencheur. Disons qu’il provoque chez Henry Molise une prise de conscience.

Sa femme, son fils, sa fille, dans un réflexe primaire, voudraient se débarrasser du chien. Henry, lui, veut au contraire le garder. D’abord, ce chien lui rappelle un autre chien auquel il tenait beaucoup bien des années avant. Ce nouveau chien le renvoie probablement à se jeunesse et déclenche en lui une introspection, forcément douloureuse, vu le personnage, mais aussi assez drôle ; pour nous tout au moins.

Henry se montre d’abord à nous un peu autoritaire, allons jusqu’à dire somme toute assez con. Mais le peu d’attention que ses enfants prêtent à ses emportements nous laisse entrevoir des relations un peu plus complexes que celles que l’on supposait au premier abord.

Et en effet, le narrateur se révèle être un looser touchant et attachant. Il voit ses enfants partir un à un, se retrouve face à lui-même.



C’est un livre intimiste et drôle.

Fante a une vraie vision de la société, un regard finalement très moderne derrière un a priori plutôt arriéré.

Un vrai plaisir à lire.

Au suivant !
Lien : https://chargedame.wordpress..
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Mon chien stupide

Ce livre m'avait été conseillé, et il ne correspond pas à ce que je m'imaginais! L'histoire ne tourne pas autour du chien, mais d'une famille qui part en vrille.

C'est enlevé, sans longueur, ma première lecture de cet auteur, je suis ravi de cette découverte.

Je vais ajouter d'autres titres de l'auteur dans ma liste
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Mon chien stupide

Tout en restant simple et authentique, l'auteur défie la norme en cherchant à nous faire chavirer, chanceler face à l'absurde.

Les mots sont libres et chutent sur nous, palpitants et ricanants autour de nous. Et nous, nous suivons cette langue déliée, ces phrases qui, telles certaines routes escarpées de montagne, tracent un chemin sinueux pour nous amener vers une réflexion, une chute éclaboussante venue nous marquer de son humour noir, de son humour vrai.

Loin d'être pompeux, sortant des autoroutes normatives pour s'aventurer sur des sentiers vivants que la lourdeur et la torpeur ignorent tandis qu'un rythme entraînant, une cassure mouvante et émouvante vient peu à peu agrandir le sourire du promeneur, notre sourire.
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Mon chien stupide

J'avoue ne pas avoir apprécié ce livre. L'histoire de l'énorme chien au comportement bizarre qui révèle les failles d'une famille et d'un mode de vie, soit. Mais je n'ai pas aimé le style d'écriture ni la façon d'aborder le sujet...
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Mon chien stupide

C'est irrésistiblement drôle, formidablement écrit, touchant, déroutant, vitriol… Un très grand moment de lecture, un coup de scalpel qui chatouille ! Trop court. Seul défaut d’un bouquin que l’on peut lire d’une seule traite, en oscillant entre le burlesque, l’attachement, et le fou rire. Ça devrait être désespérant, mais Fante, par l’entremise de Stupide, nous interdit tout désespoir.



Je l’ai lu il y a 25 ans. J’en ai un peu plus de 50 aujourd’hui. Depuis 25 ans, j’ai toujours eu des chiens. Mais depuis 25 ans, je me demande s’il ne me faudra pas un jour un molosse irrespectueux de tout et une décapotable.

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Mon chien stupide

C'est l'histoire d'un quinqua en crise...

Artistique (écrivain en panne d'inspiration), financière (côté contrats, c'est le néant absolu), familial (ses 4 gosses ingrats vivent à ses crochets), conjugale (sa femme a les épaules larges mais est saturée des états d'âme de Monsieur).



Au milieu de tout ça, arrive un chien.

Un très gros. Japonais ou nordique, l'affaire n'est pas claire.

Une chose est sûre, il est obsédé du zobino avec un net penchant pour les mâles.



Après quelques scènes fameuses, l'effet s'essouffle assez vite...
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Mon chien stupide



Mais qu’il est vilain Henry Molise !

Écrivain has been, père de famille wasp désabusé, un peu raciste, un peu looser, qui peine à payer les traites de sa porsche et de son ranch de Santa Monica;

Quand il ne rêve pas de tout plaquer pour une terrasse à Rome et une brune plantureuse.

Et qu’il est vilain son chien Stupide !

Molosse poilu d’ascendances japonaises mais qui tient plus du grizzly, au caractère salace et à l’humeur grognon, trouvé dégoulinant dans la cour un soir d’orage.

Finalement ils se sont bien trouvé ces deux là. Soudés face aux enfants d’Henry qui le méprisent (pour l’un) ou réclament son abandon (pour l’autre), soudés face aux voisins outrés par les nombreuses tentatives de fornication du chien, soudés encore quand Harriet menace de les quitter, que les ulcères d’Henry reviennent, que ses enfants partent en vrille et que sa vie prend l’eau...

Une comédie caustique, piquante à souhait, sur la décadence d’un couple, le syndrome du nid vide, la désillusion d’un quinquagénaire en crise.

C’est vilain oui, mais tellement réjouissant !



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Mon chien stupide

Roman à l'humour très british. C'est l'histoire d'une famille américaine très caricaturée: entre le père qui voue un attachement démesuré pour stupide, le chien qu'il a trouvé ; la mère qui ne supporte pas la présence de ce chien et les enfants qui sont en pleine crise d'adolescence et qui quittent le domicile à cause du chien.Je n'ai pas apprécié l humour de Fante sur ce sujet mais à vous de faire votre propre opinion sur ce livre.
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Mon chien stupide

distrayant ....voila le mot qui convient à ce livre, pour moi.... les personnages ne sont pas des stars, loin de là...une famille américaine avec 4 enfants qui ont chacun des histoires à eux ;les uns après les autres , les voilà qui quittent le foyer sous arrière plan d'un nouvel intrus dans la maison; ce chien stupide...finalement pas vraiment le personnage clé du livre, juste le catalyseur des destins de chacun....un agréable moment de lecture.
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Mon chien stupide

Bonjour .Alors qu'il espère être en tête à tête avec la "sérénité " , un père de famille va se trouver confronter à la dure réalité d'imposer un molosse de chien errant à toute sa famille prise dans les méandres d'une vraie crise sociétale : une épouse qui se trouve vieille ; des enfants qui rêvent d'indépendance et d'attention ; il n'en fallait pas plus pour garder le sourire aux lèvres tout le long de ce roman avec l'aide d'un gros chien très envahissant et d'un homme désabusé . Belles lectures
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