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Critiques de C. S. Quill (1444)
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49 jours je compterai pour toi

Alors, je pense que j’ai clairement choisi le mauvais moment pour lire ce roman.

Sans m’étendre sur le sujet mais pour que vous compreniez un peu le contexte, je suis partie une semaine en échange scolaire dans un autre pays, ce qui a eu deux grosses conséquences sur mon mois de mai niveau lecture : j’ai pris énormément de retard dans mes critiques/citations babélio (qui s’ajoute au retard que j’avais déjà xD) (par exemple : j’ai lu ce livre du 5 au 17 mai, et cette critique est postée terriblement en retard parce que j’en ai d’autres à poster avant !), et je n’ai pratiquement eu aucune minute à moi donc aucun moment pour lire..

Du coup, j’ai eu l’impression de lire ce roman pendant 3 mois (12 jours c’est déjà pas mal en vrai, ce n’est pas du tout habituel pour moi) et ça a fini par m’ennuyer un peu, je voulais passer à autre chose. Donc, je ne dis pas que j’aurais pu avoir un coup de cœur pour cette histoire si je l’avais lu à un autre moment, mais je l’aurais préférée et mieux savourée en tout cas !



Bref, maintenant le livre en lui-même.

Déjà, j’ai été assez surprise parce que je m’attendais à un roman assez feel-good et sans prise de tête, sauf qu’au final, même s’il ne m’a pas pris aux triples, il était bien davantage que ‘’juste’’ un feel-good.

En fait, mon degré d’implication dans l’histoire était ‘’relatif’’, je ne sais pas comme le dire autrement. D’un côté, je ne me suis pas attachée énormément aux personnages et il y a pas mal d’aspects de leur personnalité que j’ai moyen aimé, mais de l’autre, j’étais contente de les retrouver et j’étais heureuse de replonger dans l’histoire chaque soir (j’ai même eu les yeux humides à la fin).



Mais après, il faut dire que le récit est quand même très bien ficelé.

Déjà il y a le concept de base : tout tourne autour de 49 jours. On va suivre Breen et Sawyer durant ce laps de temps, en alternant entre leurs points de vue et des flash-backs, en tentant de comprendre ce mystère qui plane telle une ombre au dessus d’eux, et de deviner ce qui se passera à la fin de ces fameux 49 jours.

J’ai adoré le fait que les flash-backs fassent un écho au présent, même si ça pouvait être un peu redondant parfois, et j’ai trouvé super bien d’avoir le point de vu de Breen et de Sawyer, ça change et ça permet de mieux cerner les personnages et l’histoire.



Par contre, pour moi, le principal problème c’est que tout cet événement autour des 49 jours est trop mystérieux et pas assez dévoilé au fur et à mesure.

En gros, je n’arrivais pas à comprendre et à compatir avec la manière d’agir de Breen, ce qui fait qu’elle m’a limite agacée par moment, alors que si j’avais su le pourquoi du comment, j’aurais peut-être davantage aimé le personnage.



La plume de l’autrice m’a fait l’effet d’une plume qui est possiblement belle et poétique, mais avec laquelle je suis complètement passée à côté : je ne suis pas arrivée à trouver le livre beau et j'y ai été relativement hermétique (par contre j’ai apprécié les touches d’humour !).



Bref, en résumé : c’est une très bonne lecture, j’ai bien aimé les personnages et le récit très orignal (mention spéciale pour la fin), et j’ai aimé plonger dans cette histoire, en dépit de ses défauts et de mon timing de lecture malheureux.
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Fan Squad

Qui n’a jamais rêvé de rencontrer son artiste préféré, voire, gloire suprême de la groupie, de bosser pour lui ?

Elvis Calloway, community manager de talent, est une inconditionnelle du groupe de rock les Unfool, et de son chanteur, Oxton Briggs, en particulier.

Mais entre les fantasmes et la réalité il y a parfois un fossé, que la jolie Elvis ne veut surtout, surtout pas franchir.

Pourtant ce sont bien les 3 membres du groupe Unfool qui attendent dans la salle de réunion et c’est bien le nom d’Elvis que son patron braille depuis 10 minutes dans l’interphone… Quand faut y aller…



Une comédie romantique très marrante avec des personnages attachants et frais. Comme dans sa série Campus drivers, qui m’avait bien plu aussi, CS Quill ne fait pas dans le clicheton (sauf si ça participe au côté humoristique avec des perso too much) en proposant des personnages plutôt communs, avec les défauts de monsieur Tout-le-monde. Ici certains sont handicapés, sans être fragiles pour autant et leur différence est vue non pas comme un fardeau mais comme un trait parmi d’autre.

Romance oui, mais sans prise de tête, sans guimauve, sans prétention.

J’aime bien ça chez cette autrice, qui nous offre ici une comédie vraiment rafraîchissante, idéale pour les vacances.
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Campus drivers, tome 1 : Supermad

Enfin je me lance dans cette saga à succès. Quasiment conquise par ce premier opus.



J'ai adoré! Que ce soit la bande de pote fort sympathique et cette colocation forcée dynamique. Je comprends le succès car je me suis prise au jeu.



Une ambiance au top, on s'attache vite aux personnages.

Une belle romance qui se met en place doucement mais surement.



J'ai eu juste un peu de mal sur la narration niveau dialogue qui manquait de fluidité. Mais c'est mon seul bémol.

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Campus drivers, tome 2 : Bookboyfriend

Aussitôt le tome 1 terminé, je me suis jetée sur le tome 2 et je ne l'ai pas regretté.

Si j'ai beaucoup aimé Lane et Loïs, j'ai eu un vrai coup de cœur pour Donovan et Carrie.

Dire que ces deux-là sont comme chien et chat est un euphémisme.

Carrie n'est guère impressionnée par Donovan et se rebiffe à la moindre parole qui ne lui convient pas.

Donovan est le type même du mec conscient de l'effet qu'il fait aux femmes et qui en profite allègrement... jusqu'à ce que sa sœur lui fasse une révélation qui va l'amener à se remettre complètement en question.

Avec deux fortes têtes, autant dire que l'humour est encore plus présent que dans le tome 1 car ces deux là n'arrêtent pas une seconde.

Carrie est une accro de la lecture. Certes, elle ne lit que des romances, mais ses réactions face à la maltraitance des livres sont vraiment très familières pour moi et me l'a fait aimer encore plus.

Encore une fois, il y a une spécificité dans le nom respectif de nos héros. Dans le tome 1, il y a le jeu de mots sur les prénoms, je vous laisse découvrir ce qu'il en est pour Carrie et Donovan.

J'ai beaucoup aimé les parents de Donovan et la relation qu'ils ont malgré leur divorce. Cette fois-ci, c'est la famille de Carrie qu'on voit peu, bien que sa mère ait une importance dans l'histoire (dans le tome précédent on rencontrait la famille de Loïs mais on ne faisait qu'entendre parler de celle de Lane).

Cette trilogie est partie pour qu'à chaque tome je décrète que c'est mon préféré (et que je change d'avis à chaque relecture).

J'ai dévoré ce tome et, comme après ma lecture du premier, je ne vais pas attendre pour lire le troisième.

Lane et Donovan ont beau être très amis, ils sont très différents l'un de l'autre et Lewis ne ressemble à aucun d'eux (il semble moins mature, moins posé) alors j'ai vraiment très envie de découvrir ce que C.S Quill lui réserve.
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49 jours je compterai pour toi

WAHOU… CETTE CLAQUE…

Le premier ou la première qui vient me dire que la romance ce n’est pas de la littérature et que ce n’est pas digne d’intérêt, je lui met mon poing dans la figure… Vous avez vu comme je suis menaçante, là ? En terminant ce roman, j’ai pensé à toutes ces personnes qui m’ont un jour dit que la romance ce n’était pas un genre littéraire, punaise ce que cela peut m’énerver !



[49 jours, je compterai pour toi] est classé en new romance, et cette histoire a totalement sa place dans les étals des plus grandes librairies au rayon romance, mais ce livre, c’est bien plus qu’une histoire d’amour à proprement parlé, c’est une ode à la vie, à l’amour avec tout ce que cela implique.



Je suis encore un peu sous le choc de cette lecture, c’est pour cette raison que j’ai décidé d’écrire mon avis à chaud, pendant que mes émotions bouillonnent encore sous ma peau.



UNE HISTOIRE INDESCRIPTIBLE…

Je suis là devant mon écran à me demander comment vous parler de cette histoire… Et tout ça c’est ta faute Cami ! A cause de ce qui se passe dans ta tête quand tu décides de te lancer à corps perdus dans une histoire qui te hante.



Peut importe ce que je pourrais dire sur ce livre, rien ne sera jamais suffisamment à la hauteur de Breen et Sawyer ! Le résumé est une perfection, tellement intriguant que l’on se lance dans l’histoire sans vraiment savoir où on va, aussitôt reçu, aussitôt lu ! Je le savais qu’il allait me bouleverser, j’ai lu les précédents récit de Cami, et ils avaient tous réussi à me faire rêver, à me faire comprendre la complexité des personnages et de leurs histoires respectives. Mais rien ne me préparait au contenu de [49 jours, je compterai pour toi].



« QUAND L’AMOUR SE VIT EN 49 JOURS… »

C.S. Quill est une autrice que j’admire pour son audace, son culot et sa façon de voir la vie. Avec ce roman, elle nous offre une oeuvre plus personnelle, plus délicate et en même temps qui ravage tout sur son passage. Elle a ancré son histoire en France, dans un cadre qui incite au voyage. Je me suis téléporté à Camaret, cette petite ville pleine de charme qui abrite cette histoire au contexte si particulier. Dès les premières pages, j’étais conquise, sous l’emprise de ce décompte inéluctable… Ai-je angoissé ? Oui, à mort. Ai-je spéculé sur les tenants et les aboutissants de l’histoire ? Bien sûr, quelle question. Me suis-je planté sur toute la ligne ? J’étais à des kilomètres de découvrir ce que cette histoire dissimule. La chute a été violente, l’effet absolument magistral. Je ne m’en suis toujours pas remise.



DES PERSONNAGES TRAVAILLES, PARTICULIÈREMENT VIVANTS ET TOUCHANTS !

Breen, notre héroïne est une énigme. On la découvre entre passé et présent, un aspect totalement envoûtant qui nous permet de faire la lumière sur ce qui l’empêche d’aimer plus que 49 jours… Ça vous intrigue, hein ? Breen est une jeune femme saisissante, je l’ai aimé dès les premières pages, m’attachant à elle au-delà du possible. En évoluant à ses côtés, j’ai compris de nombreuses choses, j’ai éprouvé une foule d’émotions qui m’ont dévastées autant qu’elle ont fait battre mon cœur à la chamade. Breen est exceptionnelle, son histoire est indescriptible, elle se vit, je me suis sentie si proche d’elle et en même temps tenue à distance par cette histoire de jours qui passent. Cette héroïne a une personnalité très bien travaillée, à tel point que vous ne pourrez que l’accompagner vers cette rédemption qu’elle mérite tant. Sawyer, c’est Sawyer ! Vous voyez je n’ai pas vraiment envie de parler de lui, parce que vous allez forcément craquer pour lui… Je peux vous dire que Cami vous l’a bichonné, elle a donné vie à un BBF proche de la perfection. Un homme qui a de nombreuses qualités autre que celle d’humidifier vos sous-vêtements, même si ce sera peut-être tout de même le cas . #coquine



« CETTE FILLE ME REND DINGUE DEPUIS QUE JE L’AI APERÇUE LÀ-BAS… J’AI SAUTÉ SUR L’OCCASION DE ME RAPPROCHER D’ELLE, SURPRIS DE RÉUSSIR SI VITE À ENTRER DANS SA VIE. MAIS LE PROBLÈME AVEC BREEN, C’EST QUE J’EN VEUX PLUS. ELLE EST EXACTEMENT TELLE QUE JE L’AVAIS IMAGINÉE. LA SEULE CHOSE QUE JE N’AVAIS PAS ANTICIPÉE, C’EST CETTE URGENCE QUI CRÉPITE ENTRE NOUS, COMME SI LE TEMPS QUI DÉFILE ÉTAIT COMPTÉ. »

Il y a pas mal de protagonistes dans ce roman et franchement je reste admirative du fait que l’autrice ait réussi à leur donner une personnalité propre à chacun, ils ont tous un rôle déterminant dans le dénouement de l’histoire et là encore c’est vraiment un festival de révélations de taille les concernant.



UN SCÉNARIO HORS NORME. UNE HISTOIRE BOULEVERSANTE, HUMAINE, PLEINE DE NUANCES ET DE VIE !

Vous allez vivre une aventure hors du commun avec ce roman. C.S. Quill s’est surpassé et pourtant on sent que rien n’est forcé ! Le récit est fluide, entre passé et présent avec une alternance de point de vue absolument fantastique…



Oubliez tout ce que vous connaissez de la plume de l’autrice, ici son talent augmente d’un cran, plus encore. Sa plume se veut plus mâture par rapport aux thèmes abordés, malgré cela son style conserve un côté léger qui se marie à merveille avec toutes les émotions plus brutes engendrées par le récit.



La psychologie est sans doute le plus gros atout de l’autrice car elle en fait ce qu’elle veut. Elle connaît les relations humaines et elle aime explorer la psyché de ses personnages en les décortiquant avec brio. Ce roman c’est une foule de questions qui bouleverse le lecteur. Je n’ai pas été stimulée de la sorte depuis un moment, les sujets que l’on découvre sont percutants, vous ne ressortirez pas indemnes de cette fiction réalité.



La plume de l’autrice se veut poétique, mélancolique et pleine d’émotion. La modernité et l’addictivité sont évidemment au rendez-vous pour scotcher le lecteur.



L’AMOUR…

Je ne souhaite pas que l’on s’arrête uniquement sur le côté romance de cette histoire, romance qui est magnifique, qui a fait battre mon cœur à un rythme effréné… Plus j’avançais dans l’histoire, et plus j’avais l’impression de savoir ce que j’allais découvrir, grosse erreur et c’est là que l’on prend la pleine mesure de l’originalité et du caractère unique de l’histoire.



C.S. Quill joue avec les nerfs de ses lecteurs, elle explore la notion d’amour de plusieurs façons. Elle met en lumière son héroïne qui ne cesse de se retrouver à la croisée des chemins, à la recherche de cette rédemption… On suit un véritable cheminement dont on ne connait absolument pas la destination.



Je suis une grande fan de romance, mais j’ai de plus en plus de mal à y trouver mon compte, j’essaye de sélectionner mes lectures avec soin et CE roman c’est la perle rare, le graal de toutes les grandes romantiques… C’est une merveille pour les lecteurs qui aiment vivre au cœur d’un récit qui ne cessera de les épater et de les surprendre.



« RETIENS-MOI, SAWYER. RETIENS-MOI QUOI QU’IL ARRIVE. JE NE VEUX PLUS M’ÉCHOUER, J’AI TELLEMENT BESOIN D’UN PORT OÙ M’ANCRER. »

EN BREF :

[49 jours, je compterai pour toi], c’est plus qu’un coup de cœur. L’histoire de Breen et Swayer a profondément marqué mon âme de lectrice, au-delà de leur histoire d’amour… C.S. Quill nous offre une histoire indescriptible, poétique, un peu mélancolique avec un fond profondément touchant équilibrée par des touches de légèreté et d’humour. Vous allez vibrer aux côtés des personnages, être submergé par les émotions et vivre une aventure humaine hors norme. Le récit se déroule en France et l’autrice a réussi à sublimer les lieux qu’elle nous décrit avec passion. Le voyage se vit de la première à la dernière page.



[49 jours, je compterai pour toi] c’est LE ROMAN à se procurer de toute urgence ! Disponible dès le 28 mars
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Prude à frange, tome 2 : Second Round

Pétard comme dirais pas Ma binôme. Je suis en manque de sommeil. CS Quill m'a tenu éveillée avec cette histoire de virginité à conserver coute que coute. Et quel Challenge, sacré Cadence et son tempérament de choc. Qui aurait cru qu'un hymen pouvait avoir autant d'ampleur pour un roman.



Ce tome final surpasse toutes mes attentes et il a joué avec mes nerfs avec brio. Des montagnes russes d'émotions. Quand on croit qu'il y a accalmie, on se retrouve dans une autre situation cauchemardesque à vous tordre le bide. CS Quill ne lâche rien, elle vous remue dans tous les sens.



Ici Mas ne contrôle plus rien et surtout pas Cadence. Le pire mentor ou mac du Round. La trahison de trop le fait basculer et il lâche Cadence sur le trottoir. Mademoiselle va devoir reconquérir son mac si elle ne veut pas avoir de mauvaises surprises. Elle va devoir pousser plus loin son expérience. Cadence se perd dans sa quête et perd pied. Elle va devoir apprendre à se défendre, être plus maligne face à ceux qui convoitent la pureté.

CS Quill prend tout son temps pour nous dévoiler les secrets de nos héros. Elle ne lache rien et distille des informations à compte goutte. Petit à petit Mas et Virgin se dévoilent. Comment séparer profession et personnel? Comment jouer rester de marbre face au fruit défendu alors qu'on s'amuse à un jeu dangereux? Quelle tension sexuelle..... On tourne les pages avec fureur pour savoir quand ces joyeux lurons vont abattre cette barrière. On les sent au bord du précipice et à chaque un pan de leur personnalité surgit.

CS Quill manie à la perfection le new romance dans milieu obscure. J'ai connu plus hard certes en dark romance. Ce roman a un aspect plus polar avec la disparation d'Ingrid, l'illégalité de la prostitution et la double vie de Mas.

CS Quill nous vend un monde réaliste loin du conte de fée. Jusqu'à la dernière minute Cadence peut basculer dans le côté sombre. Jusqu'à la dernière Mas peut faire des mauvais choix. Un coup de cœur dont je n'aurais pas misé un copeck. Je voulais me taper un petit délire au départ, j'ai eu droit à un engouement général



NB : J'ai deux questions.

- Que faisait Cadence avant son entrée au Round?

- Quel est l'âge de Mas?

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Campus drivers, tome 1 : Supermad

Au mois de septembre de cette année, il était difficile d’échapper à la couverture du premier tome de cette saga que l’on voyait partout sur les groupes de réseaux sociaux dédiés aux lecteurs. Je me suis donc précipitée chez mon libraire pour me procurer ce pavé, tel un brave mouton suivant son troupeau. Mais, comme bien souvent, à trop voir un bouquin, j’en perds l’envie de le lire dans l’immédiat… Et je le ressors quelques temps plus tard et dans ce cas, ce fut pour mon plus grand bonheur de lectrice ! Quel kiff ! J’ai adoré cette romance dynamique, jeune et aux nombreux rebondissements !



Que signifie donc « Campus Drivers » ? Il s’agit d’une application que quatre étudiants d’une université américaine ont mis en place pour conduire les jolies étudiantes d’un point à l’autre du campus. L’occasion pour Lane et ses camarades d’ironiser : "Campus Drivers", où comment se faire conduire à travers le campus en trois clics. Une putain de bonne idée, aussi bien pour remplir mon tiroir- caisse que pour vider mes bourses. »

Lane, le mousquetaire de l’application en action dans ce premier tome, est un cœur d’artichaud qui, jamais, non jamais ne s’attache. Tout comme ses meilleurs amis, Adam, Lewis et Donovan, qui sont ravis de retrouver le chemin de la fac et des dortoirs des filles. Mais voilà qu’un soir, Lane trouve une étudiante endormie sur palier inférieur au sien dans les escaliers de sa résidence. La gamine l’ignore ; il passe son chemin. Le lendemain, elle est toujours là. Lane, intrigué, va faire preuve d’une humanité exceptionnelle en lui proposant son aide. Loïs, jetée comme une vieille serviette par son ex, va trouver refuge sur le sofa du jeune Apollon, et ce qui ne devait être l’histoire de deux nuits va devenir une cohabitation de plusieurs mois.



Au fil du temps et des habitudes nouvelles qui s’installent, leur relation va bien évidemment évoluer. Lane se révèle secret et colérique, mais se refuse, dans un premier temps à en dévoiler la véritable raison à Loïs. « Tu es intolérant à la tristesse du moment que tu l'estimes inutile. Mais les autres ont le droit de souffrir aussi. Même à cause d'un cœur brisé. »



Bref, j’ai passé un excellent moment de lecture avec cette bande d’amis. J’ai eu l’impression de repartir vingt ans en arrière et j’ai tellement apprécié cette cure de jouvence que je vais, très vite, me jeter dans le tome 2 !

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Campus drivers, tome 1 : Supermad

Bon et bien voilà... Je me suis laissé influencer par la hype de cette saga et j'ai cédé à la tentation. J'ai bien fait car j'ai vraiment passé un très bon moment avec ce premier tome.



On fait la connaissance de tous les Campus Drivers mais on suit surtout Lane et Lois qui se retrouvent obligés de cohabiter ensemble sans vraiment se connaître.



J'ai adoré le personnage de Lois et sa famille tellement bienveillante et drôle. Lane par contre... J'ai eu envie de lui mettre des claques et de le secouer à chaque page pour le faire réagir.



Je suis impatiente de lire la suite pour découvrir les histoires d'amour des autres et je pense que j'enchaînerais avec les autres romans de l'autrice car j'ai beaucoup aimé sa plume.
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Fan Squad

Romance sympathique : Elvis Calloway, une jeune femme malgré son étrange prénom, a un nouveau client dont elle doit gérer l'image sur les réseaux sociaux. Il s'agit du groupe Unfool ... hélas elle les a déjà rencontrés, dix ans auparavant, et elle est EXTREMEMENT fan, un mauvais point lorsque l'on veut être community manager!

Alors lorsqu'elle se retrouve face à face avec Oxton Briggs, le chanteur du groupe, elle est sans voix, à la limite de la crise d'angoisse.

Malgré un scénario assez prévisible, le rythme est soutenu et les personnages plaisants.

Un bon moment, divertissant.
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Prude à frange, tome 1

Je rigole rien qu'en regardant ma note. Et dire que je n'étais pas loin du coup de cœur. Qui l'aurait cru? Surement pas moi. Une saga que j'avais remarquée au SDL 2018, beaucoup de fan mais le titre ne me disait rien qui vaille Il y encore deux jours, je pensais que le titre était en anglais. J'étais loin de l'expression "Pute à frange".

Assez discuter. Qu'est ce qu'une Prude à frange ? Et bien c'est Cadence., 22 ans, vierge (et oui encore une) qui trouve rien de mieux que d'intégrer le Round, une immense entreprise de prostitués à la limite du légal. Le Round avec ses tuteurs forme les meilleurs putes de luxe. Elles ont droit à une formation intensive pour gravie les échelons. Cadence intègre cette organisation car elle recherche sa sœur de cœur et sera sous la coupe de Mas qui est sur la corde raide.



Alors voilà encore une vierge qui va se dévergondée très vite suite à se rencontre avec le grand méchant loup. Que nenni, enfin en partie.... Ici nous avons la vraie pucelle qui n'a jamais vu l'anatomie d'un homme et va avoir des réactions réalistes et sincères. La virginité de Cadence est la trame principale de cette duologie. CS Quill arrive à jouer avec nos nerfs avec cet hymen qui doit rester intact pour le grand déballage de printemps. C'est glauque je vous l'accorde mais c'est l'ambiance de cette romance pseudo polar. A travers la candeur de Cadence nous assistons démuni au marché du sexe où les macs sont loin d'être des anges et où ces jeunes filles perdent tout espoir. CS Quill est loin de nous vendre un monde des bisounours et heureusement que l'héroïne et Mas, ce duo improbable est là pour nous apporter un peu d'air frais. L'auteur reste très terre à terre et l'histoire peut même devenir réaliste. Pas de conte de fée car Mas est brusque, cash, limite violent ce qui fera vaciller plus d'une fois la prude Cadence. Le tandem se forme tout doucement et l'histoire d'amour est loin d'être une évidence.

Un très bon tome. Un très bon amuse bouche. J'en reveux encore. Dommage que parfois j'ai eu du mal à comprendre certaines scène qui étaient sensées être glauque.
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Campus drivers, tome 3 : Crashtest

3ème et dernier tome de cette saga incroyable… Je suis assez triste de quitter l’univers de mes 4 ptits mecs favoris ; les campus drivers 🥺

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Je vous assure que pendant un certain temps, j’ai cru que cette bande de potes était aussi la mienne tellement la plume de @c.s.quill était enivrante. ❤ D’ailleurs, j’ai enchâiné ce dernier tome juste après avoir terminé le second, ce qui peut en dire long sur la plume prenante que l’auteure nous livre.

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En commençant ma lecture, j’avais hâte de voir comment notre très cher petit Lewis pourrait se débrouiller face à une femme, surtout dans une relation où impliquait des sentiments… 🤣 Mais je dois avouer que j’ai été mauvaise langue à son propos 😭😂 Lewis et Amy m’ont bien fait rire, ils ont une relation plutôt atypique! Par contre, je n’ai jamais vu 2 personnes aussi têtues, c’est insupportable quand on connaît leurs sentiments respectifs 😩

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J’ai beaucoup aimé les nouveaux protagonistes, surtout la famille d’Amy qui est drôle et attachante, au moins sa soeur sait dire les choses cash, elle ! 😅



Seul petit bémol pour moi, j’aurais préféré voir un peu moins de dramas, c’est un des seuls trucs que je n’arrive pas à supporter dans un roman 🙄



En bref, un 3ème tome à la hauteur de la saga et qui finit en beauté ❤



Par contre, on en parle que l’auteure voulait faire mourir Adam???? Non mais sérieusement ??? Mon coeur n’aurait jamais supporté ce drama de fou là !! 😱😱 Comme dirait notre très cher Lewis, “C’est une honte !”


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Campus drivers, tome 3 : Crashtest

J'appréhendais vraiment ce dernier tome, car après avoir adoré le premier, le deuxième que j'attendais pourtant m'a paru un peu fade, et là, il s'agissait de lire l'histoire du Campus Driver qui m'intéressait le moins... Pourtant, j'ai eu une excellente surprise avec Lewis, je ne m'attendais vraiment pas à aimer autant son histoire et son personnage. Bravo C.Q. Quill !



Tout d'abord, j'ai adoré retrouvé la plume drôle et addictive de l'autrice mais comme à chaque fois avec une pointe de sérieux et un sujet original abordé. Après le scénariste de films et séries porno dans le tome 1, la lectrice assidue de romances dans le 2, place à celui qui refuse de croire à tout ça et aux relations de couple, l'éternel célibataire du groupe et le gros lourd en prime : Lewis. Qu'est-ce que j'ai pu rire déjà dans les tomes précédents grâce à lui, mais ce n'était rien comparé à ici, où vraiment il fait tout ce qu'il ne faut pas faire , dit tout ce qu'il ne faut pas dire pour séduire une fille...  En même temps, comment le reprocher à cet handicapé des relations sentimentales ? Il a beau se comporter comme un petit con, comme l'héroïne j'ai fondu pour lui et pour ce que cache cette carapace de basketteur séducteur amateur de belles voitures.



L'héroïne, Amy, fut le gros atout charme de ce tome. Elle apporte une énorme fraicheur ici. Elle n'a rien mais rien à avoir avec les copines précédentes de nos Campus Drivers. C'est une dure à cuire, une fille de la banlieu de N.Y, une mécanicienne de génie et une fana de vitesse et de courses de voitures, auxquelles elle participe elle-même ! Avec Lewis, le gros lourdaud, ça va faire des étincelles ! En effet, ce dernier cherche avec ses amis la relève des Campus Drivers et Amy et sa voiture ancienne font d'excellent candidat, sauf que Lewis n'est pas chaud. Cependant ses amis le poussent et il accepte, sauf que ça ne va pas être une mince affaire entre eux. Résistance il y a des deux côtés dès le début et cela donne lui à des échanges physiques et verbaux hilarant d'entré mais surtout fortement chargés en électricité. J'ai adoré !



La dynamique du duo Lewis-Amy m'a énormément plu. J'ai adoré avoir une fille aussi dure à cuire qui ne tombe pas dans les filets de Lewis. J'ai aimé que ce dernier reste longtemps lui-même mais qu'on découvre que ce lui-même est différent de ce qu'on croyait. Lewis est peut-être un mariole en public mais c'est surtout quelqu'un de très sérieux pour qui sa famille, ses amis et ses passions comptent beaucoup. Amy, sous ses dehors de dure, est une fille très pure et fragile mais qui a une morgue électrisante. J'ai adoré découvrir son passé new-yorkais, son histoire familiale compliquée et touchante, sa passion pour les voitures et la course. J'ai adoré la façon dont ils vont difficilement mais magiquement se rapprocher et faire naître quelque chose entre eux. Même le complications habituelles de la fin ne m'ont pas dérangée tant je les ai trouvées juste et adaptées à leur duo. Je n'ai à aucun moment été énervée par l'un d'eux eux parce que leurs maladresses à chacun était tout à fait compréhensible.



En effet, l'autrice a écrit une très belle histoire avec ces deux personnages. J'ai adoré découvrir Lewis autrement mais en même comme je le connaissais. C'était étrange et amusant, mais surtout très touchant et finalement j'ai beaucoup aimé ce garçon et ses insécurités ainsi que sa maladresse. J'ai été très touchée par l'histoire et le caractère d'Amy, entre sa langue bien pendue et ses peurs dues à un passé qu'elle a du mal à effacer et que certains lui rappellent trop souvent. Ils évoluent dans le joli cadre des Campus Drivers imaginé par l'autrice. On retrouve ainsi avec plaisir tous les anciens de la bande et on s'amuse de les voir interagir avec celui qui disait que jamais il n'aurait de copine ! J'ai également adoré l'ajout de la famille et des amis d'Amy qui changent et sont haut en couleur de R.J, en passant par Esteban ou sa soeur Raven. Tout cela a donné une autre couleur à ce tome.



D'ailleurs, j'ai trouvé l'écriture sensiblement différente. L'autrice propose direct un petit coup de jus dans les premiers chapitres avec un rebondissement qui lance d'entrée l'histoire à fond les ballons avec pas mal d'action et de sensations. Ce n'est qu'ensuite qu'elle calme le jeu et prend son temps pour approfondir les choses et nous faire craquer, avant de freiner brusquement pour mieux repartir à la fin et nous emporter avec un final plein d'émotion. Alors oui, le rebondissement final était archi prévisible depuis le début mais je lui pardonne cette petite facilité vu la qualité du reste.



Campus Drivers se termine ainsi comme il avait commencé, par un quasi coup de coeur, avec ce tome surprenant que j'avais tellement peur de ne pas aimer et que j'ai failli ne pas acheter. J'aurais commis une grave erreur. Comme quoi, il ne faut pas juger un livre à sa couverture et quelqu'un sur une première impression. Lewis gagne vraiment à être connu et l'autrice lui a offert une bien belle histoire pleine de piquant et d'adrénaline mais aussi de romantisme avec sa rencontre d'une vie avec Amy. Ça me donne envie de découvrir les autres titres de l'autrice !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Fan Squad

Bon autant vous le dire tout de suite, ce livre est une pépite, une bombe, un énorme coup de coeur…





Je sens donc que cette chronique va être un peu longue et désordonnée, je tiens à m'excuser d'avance.





Je suis une grande fan de CS Quill, mais alors là, clairement, c'est mon préféré de tous… J'ai tellement ri avec ce livre. Pas des petits sourires ou des petits rictus, non non, des éclats de rire, je suis contente de lire seule au risque de ressembler un peu trop à Elvis et Rita.





Rita la petite voix d'Elvis qui ne la quitte jamais, c'est d'ailleurs une des choses qui m'a fait tant aimer cette héroïne. Pour moi, elle est parfaite, je l'ai aimé du début à la fin, j'ai ri avec elle, j'ai pleuré avec elle et j'ai espéré avec elle. Elle n'a pas eu une enfance facile, elle est diabétique de stade I, mais elle ne se laisse pas abattre, jamais. Elle a une grande force de caractère, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et heureusement, sinon Oxton l'aurait mangée toute crue. Elle a beaucoup de valeurs, elle est simple, naturelle, maladroite et puis elle n'a pas de filtre, ce qui rend ce livre beaucoup trop drôle. Je ne sais pas pourquoi je me suis autant attachée à elle, mais c'est une héroïne qui va me rester en tête longtemps. Elle n'est pas envieuse, même quand elle est entraînée dans la tournée des gars, dans le luxe, elle veut rester simple. Elle est très professionnelle, aime beaucoup son métier et ça se ressent, bref Elvis, elle est parfaite…





J'ai eu un peu plus de mal à accrocher à Oxton, même si on sait du début qu'il n'est pas dans une période facile, qu'il se pose beaucoup de questions sur lui, sur sa vie… Je l'ai trouvé un poil agaçant quand même, j'ai eu du mal à m'attacher à lui. Son côté ours mal léché et trop sûre de lui m'a mis un stop direct. Heureusement, il se rattrape un peu au fil de l'histoire, il a ses côtés attachants, mais ce n'est clairement pas pour ce personnage que j'ai aimé cette histoire.





Par contre, il y a Riley, le pianiste du groupe, à l'inverse d'Oxton, j'ai accroché tout de suite avec lui. Il est simple, drôle, parfois un peu lourd, mais c'est pour ça qu'on l'aime finalement, c'est mon second personnage coup de coeur de ce livre. Mais je les ai tous aimés ces personnages secondaires, Ash, Mira, Addison, Chester, ils ont tous parfaitement leurs places et mon tous fait rire.





Même si j'ai du mal avec le personnage d'Oxton, j'aime le duo qu'il forme avec Elvis, les Elvox, leurs conversations virent toujours à la bagarre, on sent bien l'alchimie entre les deux.





La romance se met en place très doucement, entre ennemies to lovers et romance qui prend son temps, je valide complètement. Je trouve ça même indispensable, Elvis ayant adulé Oxton en tant que fan depuis 10 ans, elle devait faire la part des choses entre le chanteur et l'homme.





Nous sommes donc plongés dans l'univers de la musique avec ce livre, l'ambiance des concerts, les fans, les groupies, les enregistrements, tout est bien dosé. Moi qui n'aime pas cet univers habituellement, j'ai vraiment apprécié tous ces moments.





L'auteure parle aussi beaucoup des réseaux sociaux à travers le métier d'Elvis. J'ai trouvé ça très original, c'est un métier qui m'attire souvent, alors le voir si développé dans une histoire, c'est vraiment chouette. On voit bien l'impact de ces réseaux, que ce soit pour promouvoir le groupe ou faire décoller une carrière. Mais aussi les impacts négatifs, une simple photo postée sur Instagram peut avoir des conséquences inattendues et pas très agréables.





Encore une fois, malgré quelques thèmes durs et des passages qui vous briseront le coeur en mille morceaux. CS Quill a misé sur l'humour, et qu'est-ce que j'aime son humour, c'est tellement ce que je recherche dans un livre, là, vraiment, ce sont 500 pages de rire garanti.





C'est un livre que je vais retenir, encore une fois, il prend sa place directement dans mon top 2022. J'aurais encore tellement de choses à vous dire sur cette histoire, mais je vais simplement conclure en vous disant de foncer le lire.





Vous verrez, vous ne pourrez pas résister aux paroles et aux pensées piquantes et irrésistibles d'Elvis & Rita, vous succomberez au charme de l'ours Oxton malgré vous et vous aurez envie que tous les personnages secondaires soient vos amis…





Une romance dans le monde de la musique et des réseaux sociaux, des personnages que vous adorerez à coups sûrs, de l'amitié, de l'amour et beaucoup beaucoup d'humour.





Merci CS Quill pour ce livre qui m'a fait du bien au coeur, à l'âme et qui m'a immergé dans une bulle de bonheur. OH YEAH.





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Campus drivers, tome 3 : Crashtest

Lewis déteste voir ses potes, désormais tous en couple, dégoulinant d’amour pour leur petites amies. Mais Lewis déteste encore plus devoir former la relève afin de laisser sa place de chauffeur star du campus l’année prochaine.

Alors quand l’élève en question se révèle être super sexy et plutôt fougueuse, leur rencontre promet d’être explosive…

N’importe quoi ce dernier tome ! Tout est cliché, tout est complètement improbable.

Ça reste drôle, rythmé et se lit d’une traite, on a envie de connaître la suite et le mauvais caractère de la très «badass » Amy est plutôt bienvenu, mais cette histoire de gang de Brooklyn et de courses de bagnoles à la Fast and furious, au secours ! C’est n’importe quoi !

On sent que l’autrice est fan de Vin Diesel et qu’elle a voulut se faire plaisir, et c’est rigolo, je veux bien l’admettre, mais quand même franchement too much.

Ceci dit, je ne veux pas décourager les amateurs du genre, car cette série de comédies romantiques universitaires reste marrante et vraiment sympathique dans l’ensemble.

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Campus drivers, tome 2 : Bookboyfriend

Un deuxième tour de piste pour nos amoureux des belles bagnoles avec cette fois-ci l’histoire du Dom Juan de la bande, celui qui fait chavirer les coeurs et change de gonzesse comme de chemise : Le beau Donovan. Que s’est-il passé cet été pour que notre tombeur décide subitement de se calmer sur la drague ?

Si toi lecteur tu as très envie de le découvrir, ce n’est pas du tout le cas de Carrie, lectrice compulsive de romans d’amour et reine de la répartie cinglante. Mais la vie réserve parfois des surprises…



Une accroche moyennement crédible mais qui s’en soucis ? Le ton de cette comédie romantique est tellement drôle et enjoué que finalement le prétexte importe peu. On a terriblement envie de voir ces deux là ensemble tant leurs joutes verbales sont amusantes.

Un roman young adult léger, légèrement pimenté, sans fioritures. Parfait pour se détendre.
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Fan Squad

"Fan Squad" est une comédie romantique Young Adult de type enemies-to-lovers à l'humour espiègle ravageur !



A découvrir chez @Lizzie grâce à l'interprétation talentueuse de Charlotte Campana et Laurent Blanpain !





Tout le monde ne rêve-t-il pas de rencontrer son idole ? Non, pas Elvis Calloway ! Pour elle, Oxton Briggs, le leader charismatique du groupe des Unfool, doit rester un fantasme, au risque que la réalité ne soit pas à la hauteur.



Gérer l'image de la star sur les réseaux sociaux ? Pitié non ! Mais malgré tous ses efforts pour y échapper, c'est bien elle qui est désignée comme community manager pour le suivre partout pendant des mois.



Entre eux, ça commence mal, mais Elvis n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Si Oxton n'est pas du tout celui auquel elle s'attendait, elle n'est pas non plus celle qu'il imaginait...



Le jeu dangereux du "Fuis-moi, je te suis. Suis-moi, je te fuis" peut commencer !



Je remercie @Lizzie et @NetGalleyFrance de m'avoir permis d'écouter ce livre audio très réussi qui m'a fait beaucoup rire.



Ce type de romance pleine d'humour, où les dialogues truculents sont majoritaires, se prête parfaitement à cette lecture audio très expressive qui facilite la compréhension de l'intrigue amoureuse.



Je me suis laissée emporter très facilement par l'histoire d'Elvis, la groupie des Unfool avec son chanteur Oxton qu'elle idolâtrait, jusqu'à ce qu'il révèle sa personnalité imbuvable... et qu'elle décide de se venger !



J'ai beaucoup aimé l'ambiance potache, l'interprétation très vivante grâce aux nombreuses intonations employées, le flux assez rapide et le ton enjoué de Charlotte Campana qui incarne avec talent le personnage féminin d'Elvis aux multiples facettes.



Sa voix juvénile très enthousiaste contraste à merveille avec la voix plus grave et le ton ronchon de Laurent Blanpain qui prête sa voix au personnage d'Oxton, la rock star blasée et adulée de tous, sauf d'Elvis... du moins c'est ce qu'il croit !



Un duo de choc qui m'a fait beaucoup rire et que je recommande tout particulièrement à un public Young Adult !
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Campus drivers, tome 5 : Good Luke

Tristesse de voir la fin de cette saga que j'adore. Encore une fois, ce tandem ne m'a pas déçue ! Tori est vraiment une femme originale, franche et à la langue bien pendue. Sa répartie m'a envoutée. Comme toujours, j'ai ri, j'ai été émue et j'ai réagi face à certaines décisions. Retrouver toute la famille des Campus Drivers est évidemment génial. Quelle ambiance ! Saga au top.
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Campus drivers, tome 1 : Supermad

Les Campus Drivers, c'est une bande de potes qui ont monté un business rentable à la Uber pour transporter les étudiants de l'Université de Colombus d'un coin à l'autre de la cité. Lane, un des chauffeurs, se heurte à une jeune fille en pleurs dans sa cage d'escalier en rentrant chez lui fin de journée. Gentleman dans l'âme, même si la solitude est sa meilleure amie, il propose son canapé quelques heures à Lois et ces quelques heures vont vite se transformer en semaines.



Une new romance des plus classiques. Nous sommes sur un Campus universitaire et les étudiants sont beaux et musclés, la plupart fait d'ailleurs partie de l'équipe des Buckeyes. C'est un peu le Grease moderne sauf qu'ici, les jeunes bossent, y compris pour leur diplôme.

J'ai bien aimé les personnages, y compris ceux qu'on retrouvera dans les prochains tomes et qui n'avaient pas de lumière vraiment braquée sur eux ici. J'ai trouvé que la romance était pas mal amenée, et est finalement assez saine par rapport à ce qu'on peut parfois retrouver dans ce genre littéraire.

Je n'ai pas vraiment adhéré aux raisons pour lesquelles Lane refusait l'intrusion de Lois dans sa vie mais c'était moins glauque que les passés souvent traumatisants dont sont habituellement affublés les bad boys au coeur tendre.

La plume de l'autrice, que je découvre ici, est super agréable à lire. L'humour est savamment distillé et est intégré de manière très réaliste à l'ensemble, histoire de ne pas en faire trop ou de ne pas tomber dans le graveleux. Les personnages sont bien construits, le rôle féminin, même s'il m'a énervé pendant la moitié du roman, n'est, en fin de compte, pas une petite chose fragile qui aurait besoin d'un mâle pour exister. Finalement, les deux personnages principaux grandissent ensemble tout au long du récit, ce qui rend la lecture très très sympa.

Bref, une série qui commence fort bien.

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Campus drivers, tome 3 : Crashtest

J'ai enchaîné ce tome juste après avoir terminé le 2nd, mais avec un petit pincement au cœur, sachant que c'est le dernier et que je n'avais vraiment pas envie de quitter les campus drivers et leur entourage.

Lewis est certainement le plus immature du groupe. Avec sa phrase fétiche « c'est une honte », qu'il sort en toutes circonstances, il refuse de reconnaître que les années fac sont sur le point de se terminer. Et donc d'admettre qu'il est temps de recruter de nouveaux chauffeurs pour assurer la relève.

Malgré tout, quand il s'agit de la réputation des campus driver, de ses études ou du basket, il sait être sérieux (et même parfois un peu rigide).

Amy, elle, est plus instable que Loïs et Carrie. Elle est toujours à la limite de la légalité et traine pas mal de casseroles.

On pouvait donc s'attendre à ce que la rencontre entre ces deux-là soit explosive et on n'est pas déçu du voyage.

Après l'avoir repérée à cause de sa voiture, Donovan, Lane et Adam chargent Lewis de lui proposer d'intégrer les campus drivers et d'assurer sa formation.

Si on tient compte du fait que le jeune homme n'est absolument pas prêt à passer la main et que ces deux-là sont têtus comme des bourriques avec une tendance très nette à réagir au quart de tour, il n'est pas étonnant que chacune, ou presque, de leurs interactions fassent des étincelles.

Côté entourage, c'est la famille d'Amy (ou du moins une partie) qui est mise à l'honneur, celle de Lewis n'étant que mentionnée.

J'ai beaucoup aimé sa sœur aînée qui a la finesse d'un éléphant dans un magasin de porcelaine.

Les thématiques abordées dans la trilogie sont de plus en plus sombre, aussi bien dans leur thème que dans leur traitement.

Après la rupture et le deuil (qui était traité avec pas mal de recul) dans le tome 1, la dépression à travers la mère de Carrie dans le tome 2, ici, on met le pied dans les courses urbaines, les trafics de voitures, les gangs et l'homophobie.

J'ai encore une fois passé un excellent moment avec ce tome.

Il conclut parfaitement l'histoire de nos quatre campus drivers même s'il a été difficile de leur dire au revoir et de tourner la dernière page.
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Campus drivers, tome 1 : Supermad

Avant tout, je remercie Babelio et les Éditions Hugo & Cie pour leur confiance dans ce partenariat. Dès le début de ce roman, nous sommes plongés dans les pensées de Lane, le personnage phare de ce premier tome. Par la suite, le point de vue d’une jeune fille, Lois, est dévoilé ; et entre ces deux protagonistes, je suis devenue dépendante de cette histoire. Cette romance contient sans aucun doute, les ingrédients pour être addictive, et c’est le cas. J’ai tourné les pages avec plaisir et impatience, captivée au point de ne faire qu’un avec cette œuvre. Entre mes sourires, mes rires, mes petites peines à travers ce récit, j’ai ressenti avec simplicité l’arme des émotions. Pendant une bonne partie de ce livre, les réparties ne manquent pas, tout comme les taquineries ; et cela donne une immense chaleur, une générosité sans fin de la part de l’auteure. Les personnages secondaires prennent aussi une importance capitale dans cette histoire ; Lewis, Carter, Donovan et Adam forment une fine équipe, et ils représentent le cœur, l’amitié et la légèreté. C.S. Quill détient cette plume passionnante, au sein même d’une romance l’étant tout autant ; les deux s’accordent, elles sont faites l’une pour l’autre. L’ensemble est tout simplement enivrant, et bien souvent original ; effectivement, l’ambiance est juste inédite, avec des aspects humoristiques et terriblement sensuels, des moments attendrissants et peut-être navrants. De plus, pour une fois, l’histoire d’amour se donne le temps pour se dessiner, elle n’est pas dans la précipitation ; rencontre, apprivoisement, adaptation, confiance, séduction ; des étapes essentielles et bien mises en valeur, pétale après pétale, une relation fleurit.



Lane est un jeune homme participant à plusieurs projets, étudiant en plus d’être scénariste et chauffeur. Avec ses meilleurs amis, les « Campus Drivers » sont nés, une entreprise et application permettant de conduire des élèves à travers l’université. Les filles, il les aime, de la manière la plus informelle, loin du cœur, des questions et des conflits ; en soi, juste pour la nuit. Ce n’est pas un garçon méchant, durant les premières pages et quelquefois sur la fin, il paraît simplement renfrogné et très solitaire. En vérité, son caractère est curieux, son antipathie n’est pas feinte, tout comme sa bonté. Seulement, son passé et principalement le décès d’un proche est encore un traumatisme pour lui ; il ne sait pas comment passer au-dessus de sa culpabilité, celle d’être vivant. Un héros fascinant par sa façon d’être, de réagir et d’aimer ; sur certains passages, j’ai éprouvé son chagrin, sa difficulté à avancer et à prendre conscience de ceux qui l’entourent. Lane est quelqu’un de bien, sans être facile à vivre ; c’est précisément l’authenticité et la beauté de sa personnalité, un homme commettant des erreurs, imparfait et entièrement lui-même, qui font de lui un héros hors du commun et plaisant.



Lois est une jeune fille de dix-huit ans, pour sa première rentrée à l’université, elle et son copain se sont installés ensemble après quatre années de relation. Destin ou malchance, celui-ci met fin à leur relation, elle se retrouve donc seule et sans repères. Se mettre en couple jeune et pendant plusieurs années, peuvent créer une dépendance affective et surtout empêcher de se construire soi-même, d’être nous-mêmes. Le risque est de s’oublier, de ne pas ou plus savoir qui on est et de se modeler en fonction du partenaire. C’est exactement ce qui se déroule pour notre héroïne, elle est totalement perdue et dévouée à son ex, en dépit du mal qui lui a causé. Lois est une femme de valeur, et pleine de surprises, je me suis vraiment prise d’affection pour elle et son tempérament. Pour commencer, elle est plutôt dans la faiblesse, du style à se morfondre jusqu’à un certain point ; cette protagoniste change très rapidement et ne se laisse pas abattre. Au fond, son caractère est fort, sa colère cédante, elle n’est plus du tout la fille larmoyante. Tout au long de l’histoire, elle évolue et déploie ses ailes, trouvant même une personnalité propre à elle. De plus, Lois est naturelle, aucunement superficielle, physiquement ou mentalement, sa simplicité et son humour, tout comme ses moments d’embarras, sont des traits agréables à saisir.



Réellement, ce n’est pas qu’une romance, l’amitié tient une place fondamentale dans ce récit. La relation entre chaque personnage n’est pas à mettre de côté, ils sont un groupe, une équipe, presque une famille les uns pour les autres. Et donc, les personnages secondaires sont une force. Lewis, un garçon plutôt drôle et espiègle, ses taquineries divertissent énormément. Carter, le sage de la bande, bien plus mature et posé que les autres, j’ai un petit coup de cœur pour lui. Et ensuite Donovan et Adam, un peu moins présent dans le récit, l’un détient un comportement malicieux et l’autre est bien plus doux, calme et bienveillant dans sa manière d’être. L’histoire d’amour entre Lane et Lois prend son temps, et au commencement, entre eux, ce n’est pas gagné pour une entente quelconque et pourtant, une complicité va naître à force de passer des journées, soirées pratiquement collés l’un à l’autre. Ils deviennent sans le vouloir, des amis, et par la suite, une attirance physique commence à poindre son nez, cette envie et les sentiments deviennent alors une difficulté dans leur rapport. Ils forment un ensemble merveilleux, à tout les deux, ils nous font monter sur les montagnes russes, nous en font voir de toutes les couleurs et mettent nos nerfs à rude épreuve. L’étincelle, la connexion entre eux est idéale, magnifique et étourdissante ; ils se ressemblent et se complètent par leurs différences. Plusieurs fois, les péripéties, les dialogues et les héros m’ont surprise, du coup, je perçois des touches très originales. Habituellement, dans les romances, le suspense est au second plan, voire inexistant, sur celle-ci, je suis troublée et principalement par les dernières phrases de « Supermad », le mystère est pointé et fait tourner notre tête. Sur le reste de l’œuvre, on se pose quelques questions, et notamment « Quand ? », tout n’est pas acquis pour chacun des personnages et les doutes sont sans cesse présents. Enfin, les sentiments, c’est un aspect indispensable dans ce style de roman, on doit ressentir l’amour, la passion et des sursauts dans le cœur. J’ai tout vécu, et encore, mes mots sont faibles, cette histoire est une tornade de sensation, entre rire et soupir.



C’est ma première lecture de la plume de cette auteure francophone et C. S. Quill m’étonne bien plus que prévue, son humour et sa façon de créer ce récit, avec précision et lenteur, descriptions et vivacité. L’alternance entre Lane et Lois est le point fort, c’est un art de pouvoir penser et retranscrire aussi bien comme un homme que comme une femme, on ressent réellement nos deux protagonistes principaux. Son style est là, très personnel et pleinement agréable ; instinctif, fluide et harmonieux. Elle fait clairement pâlir les auteur.es américain. es, C. S. Quill n’a rien à envier, elle est talentueuse pour libérer une romance singulière où les mots peuvent faire sourire autant que livrer des bouleversements. Une plume tout en puissance, que je ne regrette pas d’avoir repérée.



Sans aucune hésitation, ce livre est un coup de cœur. J’ai passé un moment exceptionnel et insatiable, j’ai eu tellement de mal à lâcher l’histoire au point de ne pas vouloir dormir. L’effet est dévastateur, cette capacité à rendre accro, je suis moi-même ébahi par cet exploit. « Campus Drivers » est une romance dynamique, les évènements s’enchaînent, les émotions se déchaînent et les personnages mènent une danse endiablée. Lane et Lois, est un couple pas commun, ou du moins, le rapprochement ne l’est pas ; ensemble, ils volent notre cœur et le font vibrer. Lane est quelqu’un d’attrayant, de captivant, ses changements d’humeur expriment un mal-être et ses prises de conscience augmentent au fil des pages, jusqu’à lui mettre devant les yeux la réalité, la sienne. Lois est plus charmante dans son attitude, pour autant, elle est parfois sur la défensive, et prête à mordre. J’ai apprécié son évolution de caractère, la femme qu’elle devient, elle-même, ne voulant plus vivre à travers les hommes. Encore une fois, les camarades de notre héros sont marquants, impossible d’oublier Lewis ou encore Carter, Donovan et Adam. Une œuvre rythmant amour, amitié, gaité et sentiment de honte, le tout accompagné par des vagues de suspense, assurant des coups de théâtre, des instants imprévisibles. Les péripéties ne laissent aucun répit, tout comme les personnages, garantissant une dépendance totale au récit en général. De plus, le style de C.S Quill est propre à elle, drôlement sublime et profondément audacieux ; sa plume est pour ainsi dire vivante. Ce premier volume auprès de Lane et Lois est tout simplement, un régal et sans égal, une lumière de plaisir, un rayon de bonheur et d’énergie hautement sismique.
Lien : https://lesfaceslitteraires...
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