Citations de C.S. Lewis (310)
- [...] La sorcière connaissait la puissante magie. Mais il existe une magie plus puissante encore, qu'elle ne connaît pas. Le savoir de la sorcière remonte seulement à la nuit des temps. Mais, si elle avait pu voir un peu plus loin dans le silence et l'obscurité qui precederent la nuit des temps, elle aurait lu une incantation différente. Et elle aurait su que si une victime consentante, qui n'avais pas commis de trahison, était tuée à la place du traitre, la Table se briserait et la mort elle-même serait vaincue. Et maintenant...
Pouah ! Les adultes ont toujours des explications d'une platitude !
[...] Aucun des chiens que j'ai connus, surtout ceux de Narnia, n'aime qu'on le traite de "bon chien-chien", pas plus que vous, vous n'aimeriez qu'on vous traite de "mon petit coco".
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C'est agréable de se trouver embarqué dans une dangereuse traversée avec des gens qui ne savent même pas se conduire correctement !
-Eh bien, dit Peter, quelle aventure !
-Oh ! Zut ! s'écria Edmund, j'ai oublié ma lampe de poche à Narnia !
En effet, le monde n'est âgé que de cinq heures mais un mal y a déjà pénétré.
Il commence à faire sombre, maintenant. C’est toujours comme ça le soir.
Bienvenue, prince, dit Aslan. Vous sentez-vous capable d’assumer la royauté de Narnia ? - Je… je ne crois pas, Sire, répondit-il. Je ne suis qu’un enfant. - Bien, dit Aslan. Si vous vous en étiez senti capable, cela aurait été la preuve que vous ne l’étiez pas.
L’air de Narnia avait eu de l’effet sur lui, et il se rappelai toutes ses anciennes batailles, et ses bras et ses doigts retrouvaient leur habileté passée. Il était de nouveau le Roi Edmund.
Vous pouvez être bon pour les pauvres survivants du peuple des nains, comme moi-même. Vous pouvez rassembler des magiciens très savants et essayer de réveiller les arbres. Vous pouvez faire des recherches dans tous les recoins et lieux sauvages du pays, pour voir si, par hasard, quelques faunes, quelques bêtes qui parlent ou quelques nains y vivent encore, dans la clandestinité.
C’était l’homme le plus petit, et aussi le plus gros que Caspian ait jamais vu. Il avait une longue barbe, argentée et pointue, qui lui descendait jusqu’à la taille, et son visage, qui était brun et couvert de rides, paraissait très sage, très laid et très bienveillant. Sa voix était grave et ses yeux extrêmement joyeux, si bien qu’avant de le connaître vraiment bien, il était difficile de savoir quand il plaisantait et quand il était sérieux.
Toute leur vie, le souvenir de cet instant allait rester gravé dans leur mémoire, et les jours où ils avaient du vague à lâme, les jours où ils avaient peur ou avaient faim, le sentiment que ce bien en or était là (Aslan), tout près, au coin ou derrière la porte, ce sentiment revenait, comme une preuve intérieure que tout allait bien.
Le visage du petit garçon était très sale, on aurait dit qu’il avait pleuré puis séché ses larmes en se frottant avec les mains pleines de terre. Le fait est que c’est plus ou moins ce qu’il venait de faire.
Ne vous croyez pas obligés d'être trop sérieux. Car l'humour, comme la justice, naît avec la parole.
C’était un lion. Un lion immense, lumineux, avec une longue crinière, qui faisait face au soleil. Il chantait la gueule grande ouverte, à trois cents mètres environ de la petite assemblée.
Non parce que lui et moi ne sommes qu'un, mais parce que nous sommes opposés, je prends pour moi le culte que tu lui as rendu. Car lui et moi sommes d'une espèce si différente qu'aucun culte qui soit vil ne saurait m'être rendu, et qu'aucun culte qui ne soit pas vil ne peut lui être rendu.
Mon cher, intervint le bouledogue sur un ton d’homme d’affaire, êtes-vous un animal, un végétal ou un minéral ?
Le silence dans la pièce était si profond, que l'on remarquait tout de suite le tic tac de l'horloge
Si l'on peut se protéger des épées avec un bouclier, l’œil de la Sagesse transperce toute défense!
Le cheval et son écuyer, chapitre I
Choisis, intrépide étranger,
Frappe la cloche et brave le danger,
Ou imagine jusqu'à en devenir fou
Ce qu'il serait advenu si tu avais frappé un coup.