Carol O`Connell

Je ne connaissais pas cette auteure ni ce livre.

Je l'ai découvert il y a un an (presque jour pour jour) grâce à une critique de Nicolak.

J'ai vite était prise par l'histoire, je m'attendais à NE PAS être surprise par la fin et pourtant…. Je me suis fait eue…

Au cours du roman je me suis ennuyé, étant persuadé d'avoir tout compris… c'est peut-être cette impression qui m'a donné un goût amer et l'envie d'en finir… Comme je le disais auparavant je me suis fait avoir… si j'avais su, je me saurais plus concentré sur les précédents chapitres…



Bonne lecture !

J'ai tous les romans de cette auteure que j'apprécie beaucoup. Un one shot sans notre Kathy Mallory et ses comparses atypiques et attachants ne pouvait que m'attirer, histoire de changer un peu.

Sadie Green et Gwen Hubble, fillettes inséparables, ont disparu et personne ne sait s'il s'agit d'une fugue ou d'un enlèvement. Un jeune policier, une psychologue défigurée, et d'autres personnages secondaires vont tenter de débrouiller cette affaire complexe, tout en déterrant des secrets bien enfouis.

L'histoire est menée tambour battant, quand on croit tenir une piste, elle s'évapore sous nos yeux, le suspense est omniprésent tout au long du livre, l'atmosphère pesante à souhait et un final en apothéose.

Un très bon thriller que je ne regrette pas d'avoir choisi..

Je suis inconditionnelle de Carol O’Connell. Il y a maintenant quelques années que ses romans ont été édités. A la faveur d’une virée en bouquinerie, je suis tombée sur L’appât invisible, un one shot de l’auteur.

Rouge Kendall est flic dans un petit village tranquille, bien calme en cette période de fin d’année. La disparition de deux petites filles, dont l’une est la fille de la vice-gouverneur, vient rompre avec fracas ce calme apparent. De quoi rouvrir une vieille blessure jamais cicatrisée : la sœur jumelle de Rouge, Susan, a été enlevée puis tuée à la veille de Noël lorsqu’ils étaient enfants. Les coïncidences entre les deux affaires sont nombreuses, alors que le meurtrier de Susan purge sa peine en prison. Tandis que l’enquête se déploie pour retrouver au plus vite les fillettes, la question de la culpabilité du prisonnier est soulevée.

Ce pitch a un petit air de déjà-vu, avec un enquêteur très impliqué dans une course contre la montre, et pourtant ce roman est vraiment original.

Plus que Kendall, somme toute assez opaque, les autres personnages dessinent une communauté réaliste et attachante. Dans l’entourage du jeune policier évoluent Ali, jeune psychologue à la cicatrice mystérieuse et aux idées arrêtées, Arnie, un étrange enquêteur du FBI et le chef de la police Croft, bourru et protecteur vis-à-vis de Rouge, qui risque de voir se rouvrir d’anciennes et profondes blessures. Mais se sont surtout les victimes et leurs familles qui donnent à ce roman une tonalité particulière. Souvent, en effet, les victimes ne sont que prétextes pour mettre en avant un enquêteur et ses talents. Ici, elles sont beaucoup plus que cela : régulièrement la narration rejoint les petites prisonnières et nous donne à voir un aspect inhabituel de l’enquête. Surtout, l’auteur décrit de façon remarquable ce que vivent parents et proches : côté vice-gouverneur, avec la presse à l’affut de la moindre faiblesse, et surtout la famille de l’autre petite fille, plus anonyme mais aux personnalités très marquées.

Un bémol décevant : l’un des personnages, psychiatre, est supposé connaître l’identité du coupable qui se confie à lui. Le secret professionnel le pousse à ne pas dénoncer son patient… Ces scènes, censées donner du piment, n’apportent pas grand-chose à une intrigue par ailleurs suffisamment bien ficelée. Car le dénouement est vraiment à la hauteur, avec une petite surprise finale poignante qui rappelle le film Sixième sens . Le dernier chapitre, dialogue entre un prêtre au passé douloureux et l’une des mamans impliquées est touchant, très émouvant, très inhabituel dans l’univers des romans policiers.

Une petite fille au visage d'elfe incollable sur les rats ; trois jeunes personnes retrouvées pendues dans des arbres au cœur de Central Park ; le journal intime d'un garçon torturé par des camarades d'école... la nouvelle enquête de Kathy Mallory prend une nouvelle fois une tournure macabre. Soumis aux pressions politico-financières, aux menaces à peine voilées de leur hiérarchie et à des secrets vieux de quinze ans, Mallory et Riker vont une fois encore user de tous leurs talents pour démêler le vrai du faux et Mallory de se montrer toujours aussi diabolique.



Je suis avec passion depuis maintenant dix-sept ans les enquêtes de Kathy Mallory, dont le caractère quasi sociopathe tranche d'avec les personnages habituels de ce type de roman. Mais, et c'est une première, cette lecture m'a laissée un peu déçue. Est-ce que l'erreur vient d'O'Connell elle-même ou est-ce un problème de traduction ? Mais j'ai trouvé certains passages quasiment incompréhensibles, notamment plusieurs dialogues : malgré toute mon attention et même en relisant les paragraphes, j'ai à quelques reprises été perdue quant au choix du narrateur... L'usage fréquent des sous-entendus m'a également laissée perplexe et sur certains détails, je n'ai pas su m'expliquer comment les enquêteurs parvenaient à leurs conclusions, ni par quels chantages ou manipulations ils obtenaient les informations convoitées. Et puis enfin, détail technique qui me fait penser que ce n'est pas ma capacité de lectrice qui est ici en jeu mais bien un problème éditorial, qu'est-ce que c'est que cette mise en page bâclée ? Des débuts de page sans orpheline, mais qui piquent tout de même les yeux, des coquilles trop nombreuses, mais surtout une absence fréquente et vraiment gênante dans la lecture de sauts de paragraphe... On va penser que je chipote, mais vraiment, être freinée dans sa lecture par des éléments aussi triviaux, c'est carrément énervant !

J'espère donc que l'auteur, le traducteur et l'éditeur français reviendront bien vite à plus de rigueur !

Les personnages de Mallory et de Charles décrits comme des détectives/flics non conventionnels dans un duo atypique renversent les codes. Bien que les « défauts » et « qualités » de la jeune enquêtrice hors normes soient un peu récursifs, son côté irrévérencieux et illicite lui permet d’arriver à une fin qui tient dans un mouchoir de poche, au dénouement bien ficelé.

Lire plus sur http://anne.vacquant.free.fr/av/index.php/2022/02/14/carol-oconnell-lhomme-qui-mentait-aux-femmes/

Ce livre est parvenu entre mes mains de façon plutôt romanesque: usé, manifestement lu, posé en évidence dans une niche à l'abri de la pluie, sur une pile de journaux publicitaires. Je ne l'ai moi-même ouvert que quelques mois plus tard, et ce fut une bonne surprise. Aimant de moins en moins les polars sanguinolents, voire les polars tout court, si on excepte les classiques (chacun a les siens), je ne partais pas avec enthousiasme à la découverte de Kathy Mallory, héroïne selon les normes actuelles (marginale et déjantée mais flic quand même) et de ses enquêtes. Eh bien, bravo, à l'auteur, aux traductrices. Ce livre est écrit, pas maladroitement du tout, il soutient l'attention et crée un décor auquel on croit, les personnages sont consistants à partir de détails qui les humanisent, et on nous fait grâce du décor de pacotille de l'American way of life qui inonde les oeuvres de célèbres écrivaines de polars et de thrillers que je ne citerai pas. Pour tout dire, j'ai ressenti le même intérêt qu'en découvrant les premiers Cornwell.

C'était une première lecture, l'intérêt s'émousse peut-être au bout de deux ou trois volumes mais bon, il y a pire, bien pire dans cette catégorie de livres.

Voilà un livre que je n'ai pas pris grand plaisir à lire. le style est très décousu, cela passe d'une scène à une autre avec différents personnages sans transition. Ensuite, l'héroïne qui enquête et est censée être très intelligente fait n'importe quoi. Et pour finir, je n'ai pas compris le motif des meurtres, ni les interactions entre les personnages. Une déception. Je pense que je l'ai lu il y a quelques années et je l'avais totalement oublié.

J'ai achetée tout les romans de Carol O'Connell et je suis une fan incontestée. Kathy Mallory, son personnage récurant à une personnalité troublante et inédite dans tous les romans que j'ai pu lire. On s'attache vite à celle-ci mais aux autres personnages qui l'entourent tel que Riker, Butler, Slope et bien d'autres encores.



Ce qui est fantastique dans les policiers de O'Connell, c'est que même si on retrouve les même protagonistes dans toutes les histoires, il n'y a pas besoin de tous les lire pour s'y retrouver. Mais une fois qu'on en à lu un, on ne peut s'empêcher de vouloir découvrir les autres, c'est ce qui s'est passer pour moi.



Pour tous ceux qui aiment les intrigues policières bien menées et les détectives à l'intelligence surdévellopée je conseille vivement les Carol O'Connell.

Le rythme de ce polar est tout à fait soutenu, comme souvent NYC est un personnage à part entière du livre et une fois n'est pas coutume le flic qui mène l'enquête est une jeune-femme.

On se laisse prendre par l'énigme, mais il manque quelque chose à ce personnage, cette beauté aux yeux verts amandes (peut-on faire plus cliché quand on parle beauté ?), cette môme des rues qui s'est construite un réseau de prostituées en se faisant raconter des histoires et en les rendant addicts.

Une gamine à l'instinct de survie sur développé et à l'intelligence du même niveau.

Sans surprise le petit fauve a été adopté par le flic qui traqué un réseau dans lequel elle avait fait sa part de larcins.

Il y a assurément des problèmes de traduction qui gâche la fête mais il y a aussi quelques facilités qui déçoivent.

Fallait-il qu'il soit mauvais pour que je ne termine pas ce policier !

J'ai lu de tout dans le genre et même le roman de gare est parfois meilleur ( il y a du bon dans les " special police " du Fleuve noir ).

Ne perdez pas votre temps ni votre argent....

Abandon.

quelque chose me titillait depuis quelque temps....

Une détective inhumaine à cause de son passé, un physique et un look de top modèle, un caractère de cerbère....libre aux vrais critiques de lancer la polémique mais ayant redécouvert les livres de Nora Roberts (si, certains méritent amplement de figurer dans une bibliothèque, na!) je ne peux m'empécher de faire le parallèle entre Mallory et le Lieutenant Eve Dallas, autre femme flic imbuvable, sinon qu'elle opère dans le futur, sur des crimes contemporains avec un mari qui l'humanise parfois.Une porte sur l'espoir pour Mallory ?

Ce livre fait partie des très bon thriller pour moi. Kathy Mallory est une flic un peu psychopathe et les scènes de crimes sont décrites de manière tellement réaliste que j'entendais l'essaim de mouches autour de moi... on ne rit pas, j'ai peur des mouches. Un p'tit peu traumatisant mais j'ai adorée ce bouquin que j'ai lu plusieurs fois et à chaque fois dans une rapidité record

Ce livre est le quatrième volume des aventures de Kathy Mallory mais il se suffit à lui-même et on arrive à suivre l'histoire sans avoir lu les précédents puisqu'il est un retour dans le passé de la jeune femme.

J'ai beaucoup aimé la trame du roman. Très vite on comprend quelles sont les personnes impliquées dans la lapidation de Cass Shelly aussi le suspense réside dans le pourquoi du crime et dans la façon dont va réagir Mallory une fois sa liste de suspects établie. Un policier que je conseille.

La quatrième de couverture était alléchante. J'étais ravie de commencer ce livre. Et quelle déception ! Rien ne m'a plu. Le personnage principal présente peu d'intérêt pour moi. L'intrigue est lente. S'ensuit un chaos dans les faits chronologiques. J'étais très souvent perdue. Les chapitres sont longs. Cette lecture était une belle perte de temps.

Second roman que je lis de cette auteure (après Meurtres à Grammercy Park). Pas mal du tout, très bonne intrigue, personnages très bien campés.

La fin du roman est soignée et l'épilogue laisse songeur (dans le bon sens du terme).

J'ai trouvé le premier tiers du roman un poil trop long sinon rien à dire et je vais chercher d'autres romans de Carol O'connell !

J'ai eu du mal avec ce roman pour "rester dans l'histoire". Je n'aime pas le style d'écriture de cette auteure que je qualifierais de "confus".

Pourquoi appeler le personnage principal tantôt Mallory, tantôt Cathy, tantôt Kathleen ? Cela m'a perturbé aussi au début.

Pas franchement mauvais en soi mais j'ai hâte de passer à autre chose.

Lâché au bout de 70 pages !

L'intrigue traîne en longueur, des descriptions hors sujet, des interférences chronologiques qui brouillent et annulent le suspens...

Une immense impression de perdre mon temps.

Ce roman est le premier d'une série – pas vraiment récente - de Carol O'Connel centrée sur les enquêtes menées par un duo atypique plutôt intéressant. Dans le rôle du flic, Kathy Mallory est spécialisée dans les piratages informatiques, peu habituée au terrain. Elle a été recueillie à l'âge de onze ans par le policier Louis Markowitz et sa femme Helen, alors qu'elle était une gosse des rues obligée de voler pour survivre. De ce passé mouvementé elle a gardé une certaine distance avec la légalité, même dans son métier.

Charles Butler est un sociologue, ami de Louis, doté d'une mémoire visuelle phénoménale et de bonnes capacités d'analyse.



Un tueur sévit dans les environs de Gramercy Park, s'attaquant à des dames âgées, ne laissant aucune trace exploitable, avec la faculté de passer inaperçu dans un endroit pourtant bien fréquenté.



Sur la troisième scène de crime le corps de Louis est retrouvé, impliquant personnellement la jeune femme tout en l'écartant de l'enquête. En fondant avec Charles une agence de détectives, elle décide de venger son père adoptif en essayant de comprendre ce que le vieux flic avait découvert pour être éliminé par le tueur.



L'intérêt du récit repose beaucoup sur la brochette de mamies que le psychopathe a prises pour cible, toutes s'étant enrichies sur des marchés financiers pas toujours licites, et participant à des séances de spiritisme. Leur détachement par rapport à la gravité de la situation est presque humoristique. L'ambiance est également enrichie de références au monde de l'illusion qui donne un côté mystérieux assez sympathique.



Je reconnais toutefois avoir été un peu déçu par le dénouement final. J'ai trouvé la personnalité du tueur et son mobile quelque peu en dessous de ce que l'intrigue pouvait laisser présager avec les multiples pistes ouvertes.

Je me laisserai certainement tenter par le deuxième opus des enquêtes de ce binôme étonnant et assez détonnant.

J'ai bien aimé les 100 premières pages ensuite j'ai calé. J'ai trouvé que l'histoire trainait en longueur. L'auteur nous rappelle sans cesse l'absence d'émotion de l’héroïne ainsi que ses particularité et ses magnifiques facultés, cela en devient lassant.

Ce tome est a priori le tome 2 de la série Mallory.

Une intrigue assez embrouillée (mais depuis "Le faucon maltais" on en a vu d'autres) mettant aux prises deux fillettes inséparables, Sadie Green et Gwen Hubble, un jeune policier infatigable, une psychologue défigurée et quelques autres "figures" cachant bien des secrets enfouis au fil du temps. Sadie et Gwen ont disparu. Fugue ou enlèvement ? Le temps passe. Sont-elles toujours en vie ? Les questions se succèdent, mais le mystère s'épaissit au fur et à mesure que l'on croit s'approcher de la vérité. Un thriller remarquablement conduit, jouant sur les apparences, toujours trompeuses, une atmosphère trouble à souhait, avec un dénouement tout à fait inattendu.