AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Caroline Hinault (146)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Solak

Je pense que sur les 4 dernières années c’est ma pire lecture.

Il n’y a rien.

Aucune histoire

Pas de personnage attachant

On tourne les pages en se disant « ça va démarrer » et ça démarre jamais

Les phrases sont souvent incompréhensibles et cumulent des détails inutiles

Un huit clos glacé je dirais

Commenter  J’apprécie          26
Traverser les forêts

Second roman de Caroline Hinault …

Encore une claque!

Style ciselé et contenu d’une cruelle actualité. La forêt primaire polonaise vécue par trois femmes, une “autochtone” revenue de ses rêves, une migrante syrienne qui essaye de la franchir et une journaliste qui cherche la solitude. Trois histoires, trois personnalités dans une seule majestueuse mais cruelle forêt…

Plus qu’un coup de cœur, un embrasement.

Commenter  J’apprécie          80
Solak

Aujourd’hui on parle grand froid, roman noir et fin magistrale. T’es prêt ?



Solak c’est une presque île au nord du cercle polaire. Là où le froid règne en maître et où la nuit dure 6 mois l’hiver.



Terre hostile qui accueille 3 hommes, Grizzly; un scientifique qui étudie la banquise, Roq et Piotr deux militaires chargés de surveillance.



Quand un nouveau membre arrive, ça laisse les 3 hommes sceptiques, maigre, regard fuyant, taciturne … la recrue est un gros point d’interrogation dans le quotidien glacé de l’équipe.



Très vite une tension palpable et latente va nimber le quotidien … un quotidien déjà auréolé de vodka et de testostérone à outrance.



Une écriture que j’ai trouvé vraiment incroyable qui flirte avec la poésie. L’autrice m’a embarqué jusqu’à cette terre figée par le froid.



Une nuit à Solak; tout va basculer … cette tension va éclater pour se transformer en bain de sang et en révélations absolument… incroyables.



Un roman court … que j’ai lu en apnée.

Happée par la vie de ces hommes jusqu’à cette fin siderante qui m’a laissé sans voix.



Prépare ta boisson chaude et ton plaid, c’est une lecture qui va te glacer le sang …
Commenter  J’apprécie          70
Solak

Pour un premier roman je trouve celui-ci réussi, dans un style particulièrement maitrisé. Quelques billets négatifs m'avaient un peu douchées. Hésitant à me lancer dans cette lecture. Finalement je n'ai pas lâché cette histoire, assez énigmatique, dans une région où le froid glacial et les paysages sont des personnages à part entière.

Trois hommes sont " abandonnés" sur ce bout de terre en Arctique. Deux militaires et un scientifique. Un hélicoptère amènera un nouvel arrivant, jeune , maigrichon et muet qui prendra la place de celui qui repart par les airs et dans un cercueil. Cet univers peut rendre fou.

Les 4 hommes doivent vivre ensemble, tenus à leurs occupations. Peu à peu on sent que l'atmosphère devient pesante et les sentiments s'exacerbent. L'histoire monte en puissance, on sait que tout cela va mal se finir. Piotr nous le dit au fil des pages.

" Qui sait vraiment quand commencent les drames, dans quel terreau pourri s'enfoncent leurs racines? "

Un monde d'hommes, violent et glacé, jusqu'au dénouement implacable et inattendu porté par une langue superbe.

C'est froid, saignant, cruel. Solak une bourgade imaginaire qui nous emmène hors de l'humanité.

Commenter  J’apprécie          190
Solak

Un roman court et efficace. On se retrouve sur la banquise dans le cercle polaire. Le contraste entre la blancheur des paysages et la noirceur des personnages est saisissante. On sent dès le début que ce huis-clos va mal se terminer mais la fin reste surprenante.
Commenter  J’apprécie          10
Solak

quelle claque ce livre !! On en ressort pas indemne, je suis encore complètement déboussolée ! L'histoire est tellement prenante, l'intrigue insoutenable, le huit clos angoissant, le dénouement inattendu... ! Le personnage qui raconte nous fait passer des sentiments forts à travers son récit, le lecteur est dans sa tête, suit ses pensées et ressent émotions, ses ressentis... ce livre raconte la solitude, l'enfermement, le froid, la folie qui guette. C'est dur, brut, direct, c'est un uppercut en pleine tête ce livre !!
Commenter  J’apprécie          90
Solak

Les huis-clos ne sont pas les lectures de prédilection mais le résumé me plaisait bien. C’est court, étouffant percutant mais je n’ai pas accroché, les personnages sont loin d’être engageants. J’ai trouvé l’histoire longue à se mettre en place et la fin bâclée. Déçue
Commenter  J’apprécie          10
Solak

À un an d’intervalle, deux écrivains ont eu la même inspiration pour leur roman : Caroline Hinault, avec Solak et Olivier Bleys avec Antarctique. Deux huis-clos pesants mettant en scène des hommes reclus à l’intérieur d’une station isolée au cœur de l’hiver glaçant des antipodes. Le continent antarctique d’Olivier Bleys a été remplacé dans Solak par un endroit situé dans l’hémisphère Nord, contenant, à lui seul, sa charge étouffante d’isolement.

Chargés de veiller sur un drapeau usé à la corde hissé au bout du mât de leur Centrale, deux militaires, un biologiste et une jeune recrue héliportée en août s’apprêtent à passer la saison froide en tête-à-tête forcé. Chaque chapitre porte son mois amenant inexorablement à la longue nuit hivernale, chacun s’enfermant dans ses pensées et ses tourments. La parole est portée seule par le narrateur, Piotr, vétéran de vingt années sur la banquise. Qu’ont-ils fait, pour certains d’entre eux, avant de se retrouver dans cet enfer blanc? Quel passé trouble cachent-ils?

Caroline Hinault nous tient jusqu’à la toute fin sur le fil du rasoir avec ce récit polaire aux retournements imprévisibles. Un texte court et percutant sur l’enfermement psychologique et physique qui trouvera sa place dans ma liste Grande Noirceur.

Commenter  J’apprécie          190
Solak

Ah ça, pour être un roman écrit à l’os, c’est vrai ! Le récit est expurgé de tout ce qui pourrait le parasiter, comme les tirets cadratins, les guillemets, et tout est condensé dans les 128 pages de l’édition (160 pages pour la version poche).



Entre nous, pas besoin de plus ! Cette avarice de détails ou ces dialogues non mis en évidence par des guillemets, sied bien au récit dont le narrateur est Piotr, un homme taiseux, en poste à Solak depuis 20 ans.



Peu de protagonistes aussi, puisque dans ce huis clos qui se déroule dans l’Arctique, il n’y a que trois hommes : Piotr, Roq et Grizzly. Le quatrième sera la nouvelle recrue et les figurants seront les ours blancs, les renards arctiques, les phoques… Dont certains ne feront pas que de la figuration…



Les personnages sont décrits à l’os aussi, nous n’en saurons pas plus que ce qu’il n’en faut pour faire vivre ce récit. Ils resteront tous un peu mystérieux, le strict minimum ayant été fait pour épaissir leur personnalité. Là non plus, il n’en fallait pas plus.



Ce qui est le plus décrit, ce sont les conditions de vie dans cet endroit où les températures descendent fort bas sous le zéro, dans ce coin paumé, où trois pelés et un tondu doivent garder le drapeau, pour que leur pays conserve ce morceau de glace.



Là-bas, tout est neuf et tout est sauvage, libre continent sans grillage… Mais attention, il y a des bêtes sauvages, des jours qui ne connaissent pas de nuits et des nuits qui ne connaissent plus le jour. Là-bas, tout peut être noir, sombre, à se donner envie de se pendre (d’ailleurs, paraît qu’un canal s’est pendu, tandis qu’un autre s’est perdu) ou, au contraire, être lumineux au point de rendre les hommes fous.



Huis-clos oppressant, roman très sombre, tension à couper au couteau, ce ne sera que dans les dernières lignes que tout sera dévoilé, me laissant hébétée. Ben merde alors, je ne m’y attendais pas…



Un roman à lire un jour où il fait froid, pour prendre encore plus la mesure des températures qui règnent dans cette presqu’île de Solak (ne lisez pas dehors tout de même) et en se blindant, parce que des animaux souffrent de la folie de la gâchette d’un des protagonistes (et de son envie de se faire du fric).


Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          300
Solak

Ecriture à la fois lapidaire, presque primaire par moments mais paradoxalement pleine de poésie. On frissonne avec ces hommes rustres oubliés sur la banquise. Dans ce huis clos en plein blizzard, on sent la tension monter au fil des pages de ce court roman qui se lit d'une traite
Commenter  J’apprécie          10
Solak

Solak, c'est un ovni dans la littérature. C'est fort, c'est noir et blanc. Une écriture toute en image, un huis-clos sur une presqu'île perdue au delà du cercle polaire. Le récit de Piotr, tout du long, qui raconte.

Au début, je me disais que j'allais être déçu. Mais pas du tout, la tension monte petit à petit, au fil du récit, jusqu'au rebondissement final.

C'est grand, c'est brut et incroyablement bien amené. Comment décrire l'ennui sans ennuyer le lecteur ? Caroline Hinault réussit cette prouesse.

Quatre personnages: Piotr et Rok, des militaires et Grizzly, un scientifique, ainsi qu'un gamin venu remplacer un militaire qui s'est suicidé...



Commenter  J’apprécie          30
Solak

Dans le froid glacial de la banquise, 3 militaires gardent ce territoire perdu en attendant le ravitaillement… et une nouvelle recrue. Huis clos polaire pour Catherine Hinault.



Voilà un roman qui commence bien ! Un campement militaire perdu dans la banquise, on imagine facilement que les esprits puissent s’échauffer. Dans ce qui ressemble à une prison, l’autrice amène la goutte qui va pouvoir faire déborder le vase : une quatrième recrue. Le rythme du roman est excellent et on sent que tout prend lentement son temps pour mener au grand final.
Commenter  J’apprécie          40
Solak

C’est un huit clos nordique avec 4 personnes dont le narrateur.

Ils sont tout au nord au delà du cercle polaire et ont comme mission de garder le drapeau de leur pays et pour l’un d’entre eux de réaliser des études scientifiques.

Au fur et à mesure des mois qui changent et de la nuit polaire qui s’installe,la tension monte entre eux.

Le style de l’auteur est très direct,très cru plus proche du langage parlé que de l’écrit ,ce qui donne une vrai réalité à cette tension de plus en plus forte.

Malheureusement le dénouement complètement inattendu est bâclé et on reste avec plein de questions en suspens.
Commenter  J’apprécie          60
Solak

Véritable coup de cœur pour ce début d'année. Certes ce n'est pas dans la lumière ni la joie,mais un tel roman est un cadeau littéraire précieux !

Je l'ai lu et ressenti un peu de la même façon que " Le colonel dort" de' Emilienne Malfatto. C'est un écrit de la même veine.

A Solak,quatre hommes vivent dans les conditions extrêmes. A cause du climat et de la Grand Nuit bien sûr, mais pas seulement. Ils ne sont pas en mission guerrière contrairement au contexte du roman d'E.Malfatto,mais ils sont pourtant bien en guerre!

Dans ce huis- clos, les conflits intérieurs font bouillir le sang comme la lave d'un volcan qui n'attend que l'éruption, alors qu'à l'extérieur règne le froid absolu.

Parmi ces hommes, trois militaires et un chercheur scientifique. Après la mort dramatique de l'un d'eux,un jeune homme vient le remplacer. Son allure chétive et son mutisme le place aussitôt en marge bien que son regard agisse comme un glaçon de plus dans cet univers glacial. Aucun n'est là par hasard. Le narrateur, Piotr,le plus ancien sur cette banquise mortifère s'est convaincu qu'il existe une constante chez " les terriens", une combinaison indémèlable : la guerre,le pouvoir,la haine et l'argent. Alors,que peut-il se tramer entre ces quatre hommes ? Quel lien ténu peut-il exister entre eux? Peut-il se dessiner une issue à leur enfermement ?

La plume inscicive de Caroline Hinault m'a totalement captée, tenue prisonnière, à la fois choquée et séduite !

On la dirait parfois davantage trempée dans la testostérone que dans de l'encre,mais son efficacité est redoutable et sa beauté glaçant!

Commenter  J’apprécie          260
Solak

Un thriller se déroulant au pôle Nord, cela promet une belle lecture d’hiver, me suis-je dit. En réalité, il ne se passe pas grand-chose dans ce coin de banquise perdu gardé par quatre hommes isolés de tout… Le doyen, Piotr, un vieux de l’armée, raconte leur quotidien fait de survie, de solitude, d’ennui (« On regarde le temps qui passe ») et de violence plus ou moins contenue. Roq, c’est la brute, la vulgarité qui explose quand on n’a rien d’autre à faire de ses « soirées » (quand c’est la Grande Nuit, le soleil ne se lève plus du tout) que de s’enfiler de la vodka en jouant aux cartes. Grizzly, c’est le scientifique écolo venu pour des prélèvements et analyses, il repartira au printemps. Mais les autres, pourquoi sont-ils venus se perdre au bout du monde ?



J’ai tout de suite deviné l’identité du dernier arrivé, « le gosse » muet, ce qui m’a en partie gâché ma lecture. Et j’aurais pensé qu’elle aurait été dévoilée plus tôt. On sent la tension monter dans ce huis clos glacial malgré tout la fin m’a surprise. Par contre je n’ai pas tout compris, les explications se faisant à demi mots. Le style m’a d’ailleurs beaucoup gênée tout au long du roman. Il est à la fois très imagé et familier.

Bref l’ambiance hivernale est là, mais j’ai trouvé que le récit manquait de clarté et de consistance malgré les ébauches de réflexion du narrateur.
Commenter  J’apprécie          50
Solak

Un challenge de lecture qui me demande de lire un roman dont le titre ne contient qu'un seul mot ... et voilà comment Solak a été propulsé tout en haut de ma Pile A lire ! 



Et quelle claque à sa lecture ! 



D'abord j'ai eu froid, très froid, à lire les conditions de vie de ces deux militaires, Piotr et Roq le chasseur, et d'un scientifique, Grizzli, ravitaillés une fois l'an juste avant que tombe la nuit polaire, et qui cette fois, accueillaient un nouveau soldat en échange du cercueil de leur collègue suicidé. 



C'est Piotr, le vétéran, le chef, présent depuis 20 ans sur ce bout de terre loin de tout qui raconte, un chapitre par mois, ce qui se passe cet hiver là. 



A peine le nouveau formé que la nuit est arrivée, et avec elle, les excursions dangereuses sur la banquise pour aller vérifier les sondes de Grizzli, les longues soirées à jouer au cartes, s'ennuyer, picoler, vivre rudement dans la promiscuité, les opinions opposées, la rudesse de Roq, cherchant à tout prix à tuer la faune locale pour en retirer les fourrures dont il fait commerce.



Une montée des tensions tout au long des chapitres qui s'écoulent aussi lentement que les mois de cet hiver polaire ... 



Jusqu'au dénouement à la veille du printemps, un dénouement rude violent, auquel je ne m'attendais absolument pas et qui m'a laissée souhaiter que le roman se poursuive encore un peu pour que tous les fils laissés pendants trouvent leur place ! 



Une belle découverte
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
Commenter  J’apprécie          110
Solak

Un roman glacial, c'est le cas de le dire. Il est très court et très prenant. Les personnages perdus dans ce désert glacial cachent tous quelques chose pour s'être réfugiés dans ce désert. 4 personnages suffisent à tenir en haleine jusqu'au dénouement final. Le style est fluide.
Commenter  J’apprécie          40
Solak

Un huis-clos en plein milieu d'une presqu'île du cercle polaire, un nombre restreint de personnages, des descriptions à couper le souffle, un style brut et acéré, une plume d'une splendeur noire et rude rarement lue, et une tension.



Mais alors une tension qui commence fort. Un homme se tire une balle en pleine tête, le jour du ravitaillement de Solak. le même jour arrive une nouvelle recrue. Ils étaient quatre. Ils resteront quatre. Une tension qui s'installe et qui monte petit à petit, jusqu'à éclater pour notre plus grand plaisir.



L'histoire est racontée à travers les yeux de Piotr, un narrateur qui vit depuis plus de vingt ans dans ce lieu reculé, au milieu de la banquise, du froid et de la nuit, et qui décrit à merveille les failles de l'éloignement et les blessures de la solitude.



Merci à Colin Niel d'avoir conseillé sur Babelio ce premier roman sacrément percutant. A ne pas rater pour ceux qui aiment les romans noirs, les ambiances tendues et qui veulent découvrir une écriture sombre et brutale, d'une parfaite maitrise.



Commenter  J’apprécie          80
Solak

Un huis clos étouffant dans le cercle polaire arctique où les motivations de chacun des protagonistes restent confuses, Caroline Hinault ne parvenant pas toujours à leur donner la dimension qui en ferait de véritables héros.



Pourtant, tout les ingrédients sont là dans le silence où seuls les craquements de la banquise animent l'atmosphère, l'histoire, noire au possible, est bien installée, mais son dénouement est bâclé, quel dommage!



Aucun des personnages n'émerge vraiment, il y a le mort, Igor, les vivants ou morts-vivants pour certains d'entre eux, et cette posture est sans doute la mieux rendue par la prose alerte de Caroline Hinault.



La vie quotidienne dans ce désert blanc, sans autre attente que celle de la longue nuit, puis du retour hypothétique du printemps, avec toutes les opportunités pour un drame, est bien relatée. Mais, cette narration manque un peu de la substance qui aurait pu en faire un grand roman, il s'en est fallu de peu.



Les descriptions de la nature, des animaux, des aurores boréales sont très belles, elles n'adoucissent cependant pas le climat très noir de l'oeuvre et ce n'est certainement pas leur but.



Donc, un roman qui déroute, embarque, puis débarque, selon la sensibilité des lecteurs.
Commenter  J’apprécie          1024
Solak

Déçue, des longueurs, la plume n’est pas entraînante… je n’ai pas accroché avec l’histoire sur fond de huit. Clos entre 4 personnages

Seul point positif pour ma part c’est la découverte de l’univers hostile et glacé du territoire de la banquise au nord du cercle polaire

Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Caroline Hinault (563)Voir plus

Quiz Voir plus

L'amie prodigieuse

Comment s'appelle la mère de Lila?

Nunzia
Maria
Giuseppina
Carmela

10 questions
25 lecteurs ont répondu
Thème : L'amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence de Elena FerranteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}