Citations de Carter Brown (557)
un assassinat, ça passe avant l’éthique professionnelle
Je bondis sur le perron sans plus faire de bruit qu’un nuage qui gambade gaiement dans l’azur.
Tu joues les icebergs, mais à l’intérieur, tu es une fournaise prête à exploser.
il s’imagine que les femmes de chambre c’est du tout cuit. Et il ne court pas, il fonce.
J'aime beaucoup les hommes .......mais en tant que maris ils deviennent vite monotones.
Personne ne peut garantir qu’un malade est totalement guéri.
Je n’ai qu’une seule et unique ambition en ce moment, je lui affirme. Rentrer chez moi en un seul morceau, me taper toute une bouteille de whisky et me lancer dans d’autres activités dangereuses, comme le tricot, par exemple.
Congénital est un mot bien dur. D’accord, c’est une femme, ce qui veut dire qu’elle est faite comme les autres : roublarde, sentimentale à ses heures, mais surtout intrigante et calculatrice la plupart du temps. Si ça l’arrange de mentir, alors elle vous sort un gros mensonge tout naturellement.
— Vous êtes une jeune femme énergique, observe-t-il.
— C’est peut-être simplement parce qu’une bouteille de champagne ne suffit pas pour me faire chavirer, Fitz.
L’homme des cavernes qui sommeille au fond de chaque civilisé commence à montrer le bout du nez !
De nos jours, les racketteurs sont tous des gentlemen et se font manucurer deux fois par semaine.
C’est une brune, avec des cheveux soyeux qui lui tombent jusqu’aux épaules. Elle a un visage délicat et des yeux gris-vert qu’elle a dû troquer un jour avec un quelconque lutin. Elle a des lèvres pleines et, dirait-on, gourmandes. Le peignoir de bain moule des formes généreuses.
La vie d’un homme lui est toujours plus précieuse que l’argent, n’importe qui aurait ouvert le coffre, à une exception près.
Le péché est la seule chose qu’on n’ait pas encore réussi à taxer. Je n’ai jamais compris pourquoi… Il n’y a pas de raison : on l’impose et on appelle ça la Sainte Taxe, autrement dit l’équivalent d’une sentence de mort…
Elle est grande et, comme aurait dit mon paternel avec une lueur de concupiscence dans les yeux, d’agréable tournure. Sa poitrine est un magnifique monument glorieusement dédié à sa féminité, et sa taille incurvée en sablier offre un délicieux intermède entre l’orgueilleux balcon de ses seins et des hanches rebondies à vous couper le souffle.
Ses yeux, noirs aussi, brillent d'une sorte d'éclat lumineux. Le nez est petit et droit, la bouche large et mobile, et le menton bien dessiné. Elle porte un chemisier de soie blanche qui se tend sur ses petits seins hauts perchés et moule ses tétons avec un soin tout particulier pour les détails. Le velours noir du pantalon collant étreint les rondeurs de ses cuisses et souligne son mont de Vénus en un renflement provocant. Elle me semble le remède parfait à un ennuyeux après-midi.
- Si vous avez terminé l'inventaire, dit-elle d'une agréable voix de contralto, je suis Darlene Morgan.
- Rick Holman, fais-je. Entrez donc.
« Comme une robe d’été détachée de son portemanteau, elle s’écroula d’un trait. Elle s’était évanouie. »
« Si le vêtement ne fait pas la femme, il sert au moins à faire remarquer à l’homme la différence des sexes. »
« la richesse est une grande responsabilité. »
« s’exprimait d’une voix sèche et cassante, comme s’il crachait perpétuellement des pépins d’orange entre ses dents. »