Caryl Férey

C'est un livre formidable à tous les points de vue. L'auteur nous montre bien le problème de ce pays, de sa faune et de sa flore et je dois dire que plus d'une fois j'ai été horrifié par ce qui se passait mais aussi révoltée par le traitement fait aux animaux. Vous êtes tellement dans la lecture du livre que vous n'avez que une idée : sauver ces animaux mais bien sur vous retombez vite dans votre monde.

Un livre aussi qui nous ouvre les yeux sur la monstruosité des guerres qui en fait ne profite que à une minorité de hauts placés et je peux vous dire que c'est une honte ce qui est fait aux animaux comme aux hommes. Je vous remercie de lire mes quelques mots.

J'ai aimé être en immersion au Coeur de l'Afrique et des pays longeant le fleuve Okavango. Les descriptions de l'univers sauvage de Férey sont extrêmement visuelles rendant la lecture passionnante. Une lecture dont les véritables héros sont finalement l'Afrique et les animaux. Avec une mention spéciale pour les rangers, qui luttent au quotidien contre ce fléau des savanes, les braconniers. Un hommage à la nature et à la liberté. Une réussite.

Peut-être est-ce parce que Mapuche est jusqu'à maintenant le polar que j'ai préféré, j'ai été un peu déçu par celui-ci.



Si la partie instructive sur le braconnage et la KaZa est passionnant (rien que pour ça, ce livre est remarquable), la partie "policière" est plus classique et les personnage assez banals. La structure est assez similaire à Mapuche (et certainement aux autres roman de Caryl Ferey (ça devient trop vite gentils contre méchants) .



Maintenant, c'est vraiment génial de découvrir plein d'animaux de la savane: lycaons, marabouts, mandrill, caracas, oryx, raciphère, oryctérope, pangolin et j'en passe.



Petit plus supplémentaire: c'est peu fréquent mais pour une fois après un accident la personnage principale accepte de se reposer et ne passe pas pour une super héros en étant toute suite d'attaque.

Il faut à un auteur, pour écrire un bon polar, un savoir-faire afin de déjouer nos attentes et une fine sensibilité pour nous donner des personnages crédibles et nuancés. Dans ce dernier roman de Caryl Férey, nous lui reconnaissons ces qualités, couplées à une maîtrise dans l’écriture qui nous tient captivés jusqu’à la dernière page.



Nous voyageons en Namibie à la rencontre de cette vie sauvage pour laquelle il voue un amour certain. Nous en apprenons sur les éléphants et leurs rites, sur les différentes espèces de rhinocéros, ainsi que sur le braconnage et sur ses conséquences dévastatrices sur cette faune fragile. Nous partons à la rencontre des différentes communautés de ce pays du sud-ouest de l’Afrique, mais nous reconnaissons surtout, entre les lignes, un grand voyageur qui nous propose à notre tour de nous envoler avec lui.



Voici un auteur chevronné, un maître de son art, un grand incontournable de la Série Noire.

Très belle découverte que ce livre qui nous fait voyager en Afrique en Namibie particulièrement ! Une bonne enquête sur un sujet brulant et tellement vrai ! J'ai bien aimé, il y a du suspense , c'est bien construit même s'il y a quelques longueurs à mon sens ! Je recommande tout de même

Un jeune pisteur est découvert mort dans une immense réserve animalière à la frontière namibienne, à Wild Bunch. John Latham le propriétaire de la réserve est un personnage ambigu, difficile à cerner . La ranger Solannah Betwase va être chargé de l’affaire, une enquête difficile à mener tandis que le chef de la mafia locale surnommé le « scorpion » va réapparaître. Un ancien mercenaire recyclé dans le braconnage. À l’aide de son coéquipier Seth, Solannah va mener cette traque aux hommes .



J’ai découvert ce livre grâce à Monsieur qui me l’a offert, je ne connaissais pas du tout l’écrivain, une première , un grand saut en Afrique . C’est un polar différent des autres, déjà par le lieu, j’ai voyagé dans ces contrées peuplées d’animaux sauvages . Une description du milieu digne d’une réalisation cinématographique. Une femme mémorable , Solannah, engagée dans la protection et la justice des Hommes et des animaux. Un personnage qui va de l’avant malgré un manque de confiance en soi et un avenir personnel incertain.

Caryl Ferey a une plume envoûtante, je me suis laissé emporter par cette histoire .

Ce livre est une petite briquasse de cinq cents pages mais elles se dévorent .

Carl Férey – Okavango.

Caryl Férey nous entraine en Afrique australe, au sud de la forêt équatoriale, entre L'Angola, la Zambie, le Zimbabwe, la Namibie et le Botswana. C'est déjà la preuve que nous connaissons mal cette partie de l'Afrique.

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Privés de la chasse qui a été interdite, les autochtones mènent une vie misérable avec de maigres subventions d'état.

Quelques riches propriétaires de réserve organisent des safaris à des prix exorbitants, pour des privilégiés logés dans des Lodges de luxe.

Quand la nature ne peut plus s'exercer librement, il faut bien sélectionner les espèces, leurs donner un espace vital, éviter la surpopulation, soigner les malades et contrôler les prédateurs.

Pour bien mener ces opérations, les réserves font appel à des pisteurs. ils sont les héritiers des tribus qui vivaient sur ces territoires depuis trois mille ans. Des hommes qui connaissent parfaitement la forêt, les habitudes des fauves et qui sont capables de les chasser à l'endurance sur de longes distances, quelquefois au péril de leur vie.

Contrairement aux hommes, les animaux tuent quand ils ont faim et jamais par plaisir..

C'est un aperçu de la vision du monde assez troublant, comment peut-on penser gérer des animaux sauvages, même dans des réserves; surtout pour de l'argent

Il reste une belle découverte de la nature, mais un thriller avec tous les excès du genre – violence, effets faciles, un suspense de mauvais goût, des émotions fortes et faciles.

« Les animaux ne sont ni gentils ni méchants »



« - les mâles blancs comptaient parmi les pires prédateurs sur terre »



Caryl Férey frappe fort d'entrée. Boum, un uppercut !

La situation politique des pays concernés m'échappe. C'est un véritable imbroglio que je n'ai pas cherché à démêler. Je me suis plus focalisée sur la situation de la faune sauvage et des peuples autochtones. J'ai été épouvantée par l'ampleur du trafic d'animaux sauvages et par le braconnage intensif, même dans les réserves. En payant le prix fort, le client peut tuer un lion d'une balle à bout portant. J'ai été stupéfaite de constater que les fauves étaient mieux traités que les hommes, du moins dans les réserves. Pauvres humains, déracinés pour leur céder la place et rendus misérables par les colons et les profiteurs de toutes sortes.

Alors, certes, c'est un polar, puisqu'il y a meurtres et enquêtes. Mais c'est surtout un vibrant réquisitoire pour la sauvegarde de la faune sauvage et des habitants de ces régions.

Une lecture un peu éprouvante quand même, mais nécessaire.

Un jeune homme est retrouvé assassiné dans la réserve de Wild Bunch, en Namibie. Réserve appartenant à John Latham personnage plutôt complexe. La ranger Solanah Betwase de la brigade anti braconnage est mise sur l'enquête.

Cet homme était il braconnier? Que se passe-t-il vraiment dans cette réserve ?

S'il y a une chose qu'on ne peut pas enlever à Caryl Ferey c'est qu'il fait voyager son lecteur. Après l'Argentine, l'Afrique du Sud, le Chili ou encore la Sibérie, nous voici en Afrique Australe, en plein milieu de réserves animalières.

C'est sur un rythme haletant que l'auteur nous embarque dans cette aventure passionnante et dépaysante.

On est dans les pas de Solanah alors qu'elle mène son enquête avec toute la pugnacité qui la caractérise et tout en étant troublée par le charme de John.

Solanah est un personnage solaire et attachant, pleine de conviction, d'intégrité et qui va prendre des décisions bousculant ses repères.

Johan Latham est lui un personnage tout en contradiction et complexité. Que l'on voit tour à tour comme un héros ou un vilain grâce au talent de mystificateur de Caryl Ferey.

Il nous mène à la baguette et on en redemande.

Plusieurs personnages secondaires tous aussi bien croqués complètent le tableau.

Ce thriller est un véritable plaidoyer contre le braconnage et ses conséquences. On sent que c'est un sujet qui tient au cœur de l'auteur et qu'il tient à alerter sur le sujet.

Comme toujours chez Ferey c'est très bien documenté et on est en totale immersion dans la réserve. J'ai été bluffé par ses descriptions de paysages africains.

Une enquête sur les châteaux de roue avec quasiment peu de temps mort.

C'est un roman engagé, enragé pour préserver la beauté du monde sauvage.

Sombre, dépaysant, passionnant.

Même si le livre date un peu, ce qui peut l'excuser?, ça m'a vraiment brûlé les yeux de lire le traitement des personnages trans/travestis au début du roman. J'ai l'impression que l'auteur a juste cherché des stéréotypes un peu sulfureux mais n'a même pas fait l'effort de bien genrer les personnages, l'utilisation du mot "trav'" au premier degré est insultant tout comme mettre le prénom choisi entre guillemets...



Un grand non pour moi ! J'ai préféré passer à un autre livre

Un polar ''safari'' avec en toile de fond la lutte contre le braconnage et le trafic d'animaux, de l'ivoire, de trophées de chasse et consorts. On y découvre la Namibie, l'Angola et leur histoire.

Lecture captivante, dont les animaux sauvages sont les victimes d'humains sans scrupules malgré la protection de rangers aux moyens dérisoires face à des organisations criminelles disposants souvent de moyens et d'appuis corrompus.

Une lutte inégale, renforcée par la pression démographique et les intérêts économiques qui laissent présager l'extinction de toutes formes de vies sauvages en dehors de parc et réserves naturelles.



L'histoire romancée passe en second, elle est toutefois crédible et bien ficelée, servie par une bonne documentation des us et coutumes ainsi que la faune et flore des lieux.



Un bémol : une coquille au chapitre 11 (version Epub) ; qui classe l'araignée des sables parmi les insectes !

Bienvenue en Afrique. Deux clans s’affrontent : celui qui veut préserver la faune, en attirant des touristes dans un but de sensibilisation, et celui qui braconne, parce que plus l’animal est rare plus les prélèvements rapportent gros. Peut-on compter sur les forces de l’ordre pour mener une enquête sur ce territoire ? Jusqu’où va l’appât du gain ?

Captivant.

Bien que l'histoire se construise autour d'un corps retrouvé sur une réserve privée, c'est plus une invitation au voyage.

Deux personnages qui n'ont à priori rien en commun, vont devoir travailler ensemble pour éclaircir ce meurtre et apprendre à se faire confiance. Mais voilà, Solanah s'est toujours engagée à la préservation des animaux et elle est sur ses terres. John, est un homme blanc qui a développé une réserve privée pour les riches vacanciers qui viennent admirer les espèces sauvages et dont l'histoire n'est pas claire. Chacun se jauge bien qu'une certaine attirance soit présente, il faut garder en tête que l'autre est peut-être aussi l'ennemi.

Chaque animal évoqué prend une place majeure au sein de ce roman. Il m'a été difficile de faire des pauses tellement je l'ai dévoré, attendant le soir pour me replonger dans l'histoire. Même si le personnage du Scorpion qui devient plus présent dans la seconde partie nous rappelle que c'est un roman policier (pas ma tasse de thé), l'auteur nous rappelle l'importance de notre écosystème et sa fragilité face à l'être humain.

Après le coup de coeur pour 'La tristesse des éléphants' de Jodi Picoult, une autre belle découverte a suivi avec 'Okavango de Caryl Férey.

Caryl Férey place l'intrigue au coeur d'une réserve animalière à la frontière namibienne où on apprend qu'un jeune homme a été retrouvé mort.

C'est Solanah Betwase et son collègue qui vont enquêter. L'enquête sera bien compliquée.

Okavango est un roman captivant où on a l'impression que le temps s'arrête. Il n'existe rien d'autre que la nature et les animaux sauvages, l'enquête et les personnages qui sont intéressants. L'histoire du pays, le braconnage et les dangers qui menacent les animaux sauvages font aussi partie du récit. Caryl Férey les inclut dans l'intrigue avec beaucoup de talent.

C'est un livre passionnant, rempli de surprises. Un gros coup de coeur.

Bonjour.









C'est mon premier livre de cet auteur et je peux déjà dire que ce ne sera pas le dernier.



Quel dépaysement et quel voyage j'ai fait avec ce livre magnifique.



Un sujet horrible le braconnage et qui est parfaitement détaillé et évoqué.



L'histoire nous embarque directement pour un voyage extraordinaire et dur.



Et il y a pleins de surprises et un final excellent.



L'écriture de Caryl est très bien il arrive à faire passer des messages tout en maintenant un rythme à l'histoire.



Une très belle découverte.



Bonne journée.

Avec ce roman le dépaysement est garanti, avec un voyage dans et aux abords de la plus grande réserve naturelle au monde, en compagnie de deux rangers. Bienvenue dans bassins des fleuves Okawango et Zambèze ! Les animaux sont au centre de l'action, tout tourne autour d'eux puisque le premier meurtre est en lien avec le braconnage. L'enquête est une merveilleuse occasion de se plonger dans la faune et la flore d'Afrique australe, ainsi que dans l'histoire complexe de cette région (d'autant plus complexe pour nous que la réserve est à cheval sur cinq états aux passés, tant colonial que récent, un peu différents). Tous ces éléments sont au service d'une intrigue solide, très liée à tout ce contexte. Les personnages sont riches, complexes, ils ont de l'épaisseur. Caryl Férey nous fait découvrir diverses ethnies avec leur culture, souvent de pauvres gens prêts à tout pour gagner un peu d'argent, proies faciles pour des trafiquants qui font fortune en détruisant la faune. Un peu désespérant quand on songe que Romain Gary tirait déjà la sonnette d'alarme en 1956 avec Les racines du ciel.

Un magnifique roman, engagé, instructif, passionnant, sombre et addictif.

Nous sommes à Santiago, au Chili. L'auteur nous raconte l'histoire de Gabriela, vidéaste, et d'Esteban, avocat, tous deux à la recherche d'une rédemption.



A travers ce roman, l'auteur parle de dictature et de l'Opération Condor.



C'est le premier roman de Caryl Férey que je lis. L'écriture est fluide et l'auteur a effectué un gros travail de recherches, Il fait passer un message politique.

Quel scénario.

Dès les premiers dessins, j'ai été embarquée dans cette histoire.

Nous assistons à cette société post apartheid qui n'arrive pas à se réconcilier, dans laquelle les inégalités, les clivages, les croyance, les rites et les violences restent prégnantes.

L'enquête sur la disparition d'un bébé et la mort d'un homme, nous emmène dans les township, les beaux quartiers, les fermes des "petits blancs" et le parlement.

Les dessins sont magnifiques ; c'est réaliste, brutal et émouvant.

Il y a quelques pointes d'humour pour alléger, un peu, l’atmosphère.

J'aimais Caryl Ferey comme romancier, il m'a conquise dans cette BD.

Une pépite.

Qu’on vienne encore nous dire qu’il n’y a que les femmes qui sont capables de multitasking ! Avec « Okavango », Caryl Férey tient non seulement le lecteur en haleine avec un polar qui prend aux tripes, mais il l’invite également au voyage, tout en donnant vie au monde sauvage et en dénonçant le braconnage et le sort réservé aux populations autochtones. Et pour couronner le tout, il transforme l’essai en coup de cœur !



Avec « Okavango », le lecteur embarque immédiatement pour les terres sauvages d’Afrique, au cœur d’un immense territoire comprenant cinq pays: l’Angola, la Zambie, le Zimbabwe, la Namibie et le Botswana. Tout débute par la découverte du corps d’un jeune pisteur dans la réserve hyper-sécurisée d’un riche misanthrope qui se retrouve très vite dans la ligne de mire de la ranger botswanaise Solanah Betwase et de son partenaire Seth, qui mènent l’enquête sur ce meurtre qui semble lié au braconnage.



Écrivain amoureux du voyage, Caryl Férey invite donc au dépaysement en retournant sur le continent africain, afin d’y dénoncer le trafic répugnant qui menace de nombreuses espèces sauvages de disparition. Des défenses d’éléphants aux vertus soi-disant aphrodisiaques des cornes de rhinocéros, très prisées par des asiatiques qui feraient mieux de se ronger les ongles, en passant par des testicules de tigres sensées augmenter la libido de véritables couillons, le braconnage alimente un marché noir aussi débile que lucratif, qui pousse lentement plusieurs espèces vers leur extinction.



Si Caryl Ferey défend la cause du monde sauvage tout en rendant hommage à sa beauté, il pointe également du doigt les nombreuses exactions commises envers les peuples autochtones par ceux qui se disputent continuellement les richesses du continent. Des conséquences de l’apartheid en Afrique du Sud à l’héritage douloureux de la colonisation, en passant par les horreurs des guerres civiles, l’auteur tisse une toile de fond historique particulièrement didactique qui semble constamment flotter au-dessus du roman, tel un mauvais souvenir qui ne cessera jamais de hanter cette région pourtant belle comme un rêve.



Afin de nous guider tout au long de ce voyage qui invite non seulement à ouvrir les yeux sur les méfaits commis en Afrique, mais également sur ses merveilles, l’auteur fait défiler une galerie de personnages aussi forts qu’attachants. Il y a tout d’abord la bravoure et le charisme véhiculés par l’inoubliable duo composé de John Latham et de son homme de main au nom qui claque (et qui « clic », prononciation oblige) : N/Kon. Mais il ne faudrait pas oublier les femmes fortes et engagées qui font tout le sel du récit, allant de l’indomptable Solanah à la lumineuse Priti, en passant par l’adorable grand-mère de Seth.



Et voilà, le décor était tellement envoûtant et j’étais tellement bien accompagné que le fan de polar que je suis oublierait presque de vous parler de cette intrigue haletante qui débute par un meurtre pour s’accélérer au fil des nombreux rebondissements, gagnant en profondeur et en intensité jusqu’à ce dénouement palpitant au possible.



Un polar engagé, dépaysant, instructif, palpitant… bref, incontournable !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..

Dans la réserve privée de wild brunch, Afrique australe, le cadavre d'un homme poignardé est découvert par des touristes et leur guide. Un pisteur, un braconnier peut-être.

C'est le point de départ d'une enquête menée par un couple de rangers. Une enquête qui passe parfois au second plan, prétexte à de longs et détaillés exposés sur la faune, la flore, l'histoire, le colonialisme, les ravages du capitalisme. C'est intéressant, très documenté, pédagogique. On apprendra par exemple qu'une outarde-kori pèse 18kg, ou les dessous de la guerre en Angola. L'intérêt littéraire est questionné, la psychologie des personnages secondaire, lesquels se divisent en 2 catégories : les protecteurs de la nature (assez misanthropes) et les trafiquants. Ce n'est pas nuancé, mais c'est efficace.