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Citations de Catherine Cookson (110)


La conscience de Catherine ne lui laissait guère de paix depuis ces huit années. Jamais elle n'avait confessé ce péché, qu'elle jugeait trop minime ou trop grave selon les jours. Évidemment, elle avait agi pour le mieux, mais quel était le résultat ?
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Son bonheur actuel était le justification de ses souffrances, et celles-ci la mystérieuse raison d''être d'Andy?
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L'unique moyen de surmonter la peur était la puissance, et le seul moyen d'acquérir la puissance, c'était la propriété.
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Rodney la regardait en silence, les mâchoires serrées. Soudain, il mit un genou à terre et la prit dans ses bras. Il enfouit son visage dans ses cheveux, tandis qu'elle s'accrochait désespérément à lui en pleurant à chaudes larmes.
Appuyée à la table de la cuisine, stupéfaite, Sarah écouta les mots tendres qu'il lui murmurait. A la vue de sa fille qui s'abandonnait ainsi, elle pria en se tordant les mains avec angoisse : "Pourvu qu'elle ne cède pas... Oh, Sainte Vierge, mère de Dieu, pourvu qu'elle ne cède pas."
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Son père préférait les demeures de modestes proportions, de craintes de se voir éconduire par un domestique. Les faits avaient prouvé qu’il ne se trompait pas. Le perron s’était avéré le lieu le plus favorable aux transactions, car la maîtresse de maison pouvait à la fois se défaire de ses anciens effets tout en montrant aux voisines qu’elle avait les moyens de les remplacer.
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Catherine Cookson
"Si le coeur ne contemple pas, l’oeil ne verra pas."
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Ne juge jamais selon les apparences. L’apparence n’a aucune importance.
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Il y a des insultes, des traits cruels qui vous marquent au fer rouge pour la vie, vous brûlent la mémoire et si, avec les années, la plaie se referme, vous n’en ressentez pas moins la cicatrice.
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Cela ne fait aucune différence, les gens sont les mêmes. Quelques-uns gagnent vingt livres ou plus par semaine mais ils n’ont pas évolué ; ils ont la même tête de voleurs, la même mentalité vulgaire, et se comportent comme par le passé.
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Dommage qu’elle ne se soit pas mariée, sa vie aurait été transformée du tout au tout. Pourtant, à quelque chose malheur est bon...
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- Tu as deux visages Aggie. Le premier est injuste, amer comme le fiel.
- Parle-moi plutôt du second.
- Je commence à me demander s’il existe vraiment.
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L’expérience lui avait appris que les pauvres n’aiment guère voir l’un des leurs s’enrichir.
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- On ne fait jamais la vaisselle dans cette baraque, tu ne le savais pas ? On souffle juste sur les assiettes.
Un large sourire illumina les traits de Millie.
- Oh, Ben, tu me taquines encore, n’est-ce pas ?
- Eh bien, tu sembles bien t’y connaître en plaisanteries, jeune madame. Bon, tu n’as qu’à aller mettre ton assiette dans l’évier. Seigneur, j’allais oublier : ta fourchette aussi. Et ton couteau, naturellement.
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Ainsi se déroulaient les journées de Katie. Une suite de corvées épuisantes jusqu'à neuf heures du soir, moment où elle prenait sa chandelle pour aller se coucher. En hiver, elle avait droit à deux chandelles par semaine, en été une chandelle seulement, et, bien qu'elle ne les terminât jamais, car elle tombait de sommeil en arrivant dans sa mansarde, il n'y avait aucune chance d'en rapporter le moindre bout chez elle; on devait montrer les bouts de chandelles pour en recevoir une nouvelle.
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Une infirmière ne devrait être ni trop jeune, pour ne pas commettre d’étourderies, ni trop vieille, pour ne pas être inutile.
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Dans un couple divisé, il vaut mieux rire avec la femme si l’on veut avoir la paix.
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Les gens faisaient une monta­gne d'une taupinière et se noyaient dans un verre d'eau...
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Sa femme était assise sur le divan, devant le feu. Elle ne tourna pas la tête lorsqu’il se dirigea vers l’âtre et lui-même feignit l’indifférence la plus complète. Leurs vies avaient pris des chemins si divergents depuis de longues années que chacun faisait comme si l’autre n’existait pas, mais ce faux-semblant ne leur apportait qu’amertume et haine rentrées.
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C'est étrange de constater que la plupart du temps les femmes sont plus fortes que les hommes, et qu'elles doivent pourtant leur être soumises. Elles ne peuvent prétendre à aucun des droits dont ils jouissent, elles ne sont que des biens, et sont pourtant presque toujours satisfaites de ce statut. L'amour, sans doute, y fait beaucoup.
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Il aimait la jeune fille de tout son cœur, mais il sentait bien qu’elle n’était pas de lui. C’était Catherine, son amour, et il survivait à tout parce qu’il avait Catherine dans sa vie. Seulement, pour le bonheur de celle qu’il adorait toujours, il fallait encore Katie et Bridget. La douleur qu’il masquait depuis tant d’années derrière un rire ou une plaisanterie faillit cette fois lui arracher des larmes.
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