Céline Chevet

Il ne faut pas se fier à la couverture - qui est sublime - ce roman sous ses airs poétiques est plutôt sombre et dérangeant. Une fable d'abord insouciante dont l'onirique évoque les univers d'animé et de ghibli, devient ensuite noir et surréaliste. Néanmoins ça vous tiens en haleine jusqu'à la révélation de fin. La plume est superbe mais malgré ça j'ai eu quelques difficultés d'appréciation du livre. Il m'a laissé un sentiment inexplicable d'incompréhension. Un voyage dans lequel je suis sorti frustrée. J'ignore quoi en penser mais c'est original et étonnant mais en même temps pourtant je ne suis pas certaine de l'avoir aimé.

C’est une histoire vraiment incroyable.

La catégorie « vampire » pourrait faire fuir, car c’est souvent très cliché. Ici, non. Le vampire est mis en avant sans extravagance, sans romance clichée.

C’est principalement l’histoire d’une amitié. Une amitié pas comme les autres, une amitié qui défie les lois de ce monde. Une amitié qui ne devrait pas en être une mais qui en est une…

L’intrigue est géniale, les personnages sont soit adorables, soit détestables…

On suit deux histoires différentes, l’une du côté « humain », l’autre du côté « vampire ». Les incompréhensions, les valeurs, les incapacités...

Et jusqu’à la fin on se demande jusqu’où vont nous conduire ces péripéties,même si, dès le début, on sait à quoi s’attendre. Mais on retarde l’échéance. Enfin, JE l’ai retardée…🙂

Évidemment j’ai versé ma larme. 🥹

Bref, cette histoire est bouleversante. Je remercie l’auteure d’avoir produit cet écrit qui restera positivement dans ma mémoire.



J’ai hâte de lire « la fille qui tressait les nuages » !!!
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• Histoire : 3/5 - plutôt originale, certains passages sont néanmoins assez étranges, même pour du fantastique.



• Ecriture : 4/5 - belle et plaisante, l'alternance des deux temporalités donne une certaine dynamique au récit.



• Personnages : 4/5 - j'ai aimé suivre Nathanaël et Kael, l'évolution de leur amitié est prenante.



• Plaisir de lecture : 3/5 - récit atypique mais avec peu d'action au final, on est beaucoup dans le contemplatif et l'onirique.

La lecture de ce livre a ressemblé pour moi à une rose fanée … entre poésie et parfum douceâtre. Beaucoup d’éléments gothiques, un mythe du vampire revisité et un petit quelque chose qui m’a manqué en plus !



C’est un roman qui se veut très mystérieux et cela est très appréciable au début du roman. Les scènes sont très énigmatiques vis-à-vis de la quête des vampires, des Bêtes qui sont évoquées dans le résumé et d’autres anecdotes développées plus tard dans le roman. Cependant, beaucoup d’éléments ne sont pas résolus à la fin du roman. Pour certains c’est plutôt positif et cela permet de conserver cette atmosphère secrète. Mais pour d’autres points, il m’a manqué de détails et d’éclaircissement. Mon gros regret sur ce roman est de ne pas avoir découvert davantage à propos des Bêtes qui m’avaient beaucoup attirées à la lecture du résumé.



J’ai beaucoup aimé la narration en miroir avec les deux couples humain-vampire. En effet, on suit la première relation via un journal manuscrit et un second à travers la narration principale. C’est vraiment immersif. D’autant plus que les deux histoires se ressemblent pour mieux s’éloigner l’une de l’autre et donner un sens particulier au roman. Un peu comme un embranchement où on pourrait voir deux alternatives différentes. Morale ou simple constat, la fin est finalement assez libre d’interprétation.



Personnellement, je n’ai pas aimé la fin du roman. Attention, cela ne tient qu’au tout dernier chapitre. L’histoire prend une tournure trop métaphysique pour moi. Elle délivre un message sur la globalité que représente vampire, humain et Bêtes ainsi que leur appartenance à la même nature. Cependant, même s’il est louable, il ne m’a pas vraiment convaincu dans la forme.



La thématique du vampire est un grand classique. Pas forcément facile donc et qui peut vite me lasser pour ma part. Ici, ce n’est pas le cas. L’autrice nous propose des vampires sous une approche différente. En effet, mode de vie, lien à la nature, intellectualité… beaucoup d’idées présentes dans le roman s’éloignent beaucoup de la représentation du vampire d’Anne Rice.



Je dois bien reconnaître que j’ai en partie choisi le livre pour sa couverture. Très lumineuse, avec des teintes pastels et une illustration des Bêtes qui appelle l’imagination. Seul problème… les Bêtes sont peu développées et cela m’a donné un petit sentiment de déception. La couverture place les attentes très hautes !



La nature est une thématique omniprésente dans le livre. Elle est l’objet d’un message vis-à-vis de la relation humain-nature. L’homme appréhende son monde avec son unique point de vue. Le vampire permet alors de contrer cet anthropomorphisme et de montrer que l’Homme a tendance à casser l’équilibre de la nature.



Un roman dont la couverture m’a captivée. J’ai manqué de détails à la lecture sur certains points. Je retiens un roman gothique plein de mystères avec une narration astucieuse.

J'ai eu la chance de rencontrer l'auteure lors d'un salon. La couverture magnifique m'avait fait de l'oeil. Mais ne vous fiez pas aux apparences, la couverture toute douce est bien loin de la réalité de l'histoire. C'est un roman surréaliste racontant une malédiction qui sévit autour de la famille Sakai. Jai beaucoup aimé l'atmosphère japonaise au fil de l'histoire. Les personnages sont pour certains difficiles à suivre de par leur complexité. On apprend la nature de certains que tardivement. J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans l'histoire qui est assez difficile à comprendre surtout au début. Certains passages avec des animaux sont plutôt glauques et mont beaucoup refroidis. Mais heureusement, on finit vite par être plongé dedans et à vouloir en apprendre davantage sur les souvenirs oubliés de Julian le personnage principal. Il y a beaucoup de retour dans le passé, un peu trop d'ailleurs, par moment on est un peu perdu et on ne sait plus trop quand se déroule le passage. C'est bien dommage.

Même si j'ai finalement été séduite par cette lecture que j'ai trouvé à la fois surprenante et atypique, il y a certains détails qui m'échappent comme le lien avec la pièce de monnaie ?? Et la révélation des souvenirs qui marque le fil de l'histoire est beaucoup trop tardif et brutal. Cela aurait mérité d'être détaillé davantage. Et surtout bien étoffé.

C'est donc une lecture que j'ai aimé de par son originalité et la culture japonaise mais mon avais reste plutôt mitigé.

Lecture très contemplative, beaucoup de description voir un peu trop à mon goût.

J'ai aimé le fait qu'on découvre vraiment la vérité à la fin et que rien nous laisse y penser avant, on ne se doute vraiment de rien jusqu'à la révélation finale. Ce ne sont que des rebondissements tout le long de ce récit.

Par contre, attention, car il porte sur des sujets très sensibles et très difficiles pour les personnes sensibles aux violences et maltraitances, abus (humain et animal).

Je déconseille donc cette lecture pour les enfants !



On alterne nos chapitres entre des chapitres flashbacks des époques plus tôt et l'instant présent, ce qui est assez agréable et nous aide à bien comprendre les évènements, on ne se perd pas dans les infos et c'est ce qui a sauvé ma lecture, je l'avoue.



Ce n'est donc pas un coup de cœur et surement pas une lecture que je relirais. Au moins, je sais qu'il ne faut pas se fier à la couverture !

Ne vous fiez pas à son titre très fleur bleue, car l’histoire qui nous est comptée ici est triste et noire.

Dès les premières pages on nous plonge dans un monde un peu féerique… une jeune fille tresse les nuages, les pièces s’envolent vers des destinations inconnues, les lettres se déplacent sur le tableau…

L’auteure nous peint une toile magnifique et douce, puis sans le voir venir elle nous y incorpore une scène brutale. Elle a une plume très poétique pour nous parler de sujets parfois difficiles comme le deuil, la maltraitante, les pertes de mémoires, les trahisons et les violences animales.

Les personnages sont très attachants malgré leurs côtés sombres. J’ai été très touchée par Akiko, jeune fille transparente aux yeux des autres et par Julian, jeune métis qui a des difficultés à créer des amitiés.

Attention, certaines scènes de violence envers les animaux pourront heurter la sensibilité des lecteurs.

J'ai lu ce roman il y a deux ans et son histoire me touche toujours autant.



À travers les paysages merveilleux du Japon, Céline teinte son récit de noirceur. Une boule âcre m'a pesé dans l'estomac au fil des découvertes de Souichiro. Malédiction, deuil, manipulations, violences ... Qui pouvait prédire cela en voyant cette couverture bleue et rose?



Souichiro est un personnage attachant qui subit les découvertes et les événements. Pour autant, il n'est pas passif mais il n'est qu'un adolescent face à l'histoire d'une famille. J'ai particulièrement aimé le travail que l'autrice avait fait sur lui. Avant de plonger dans les grandes questions de ce roman, Céline nous présente les origines de Souichiro qui est métisse au Japon, ses relations, son fonctionnement et ses émotions.



La particularité du roman est que l'événement majeur (ou les événements majeurs) a déjà eu lieu. La fille qui tressait les nuages parle des conséquences de ces événements et des actions qui en découlent. De cette façon, il est pratiquement impossible de savoir ce qu'il va se passer. Je suis donc passée de découvertes en surprises qui m'ont mises en haleine tout le long de ma lecture. Le plot-twist est total, l'effet d'une bombe qui m'a retourné. Attention tout de même à plusieurs TW.



Ce qui donne ce goût qui me reste depuis deux ans est surtout la manière totalement volontaire et effrontée dont Céline Chevet soulève des questions sur ses personnages secondaires. Elle le souligne, te le rappelle de temps en temps et, à la fin, tu es face à ton livre à la recherche d'indices.



P.S.: N'oubliez pas Akiko.

Une fable japonaise, promet le résumé en quatrième de couverture. Et cela commence tout comme : Haru attrape les nuages avec ses baguettes de tricot et les façonne, Akiko est transparente aux yeux de tous et tout le monde l’oublie sans cesse, les objets sont animés d’une vie propre.



Au début de La fille qui tressait les nuages, nous sommes doucement immergés dans L’écume des jours version nippone, avec un petit quelque chose de La passe-miroir de Christelle Dabos (merci encore Fanny pour la découverte !). Les pièces que l’on lance ne retombent pas toujours, des feuilles de papier s’échappent des paquets pour se planter d’elles-mêmes dans les tables qui en ont besoin, les clochettes sonnent toutes seules pour souhaiter bon appétit, toutes les expériences de la prof de physique déraillent car ce monde n’obéit à aucune loi régulière. Ce surréalisme doux donne au roman un abord assez poétique, un peu éthéré, très pastel.



Saitama-ken, Japon. Les pages sont émaillées de katsudon, de mochi, de yukata, de sakura, de o-mamori, de konbini… chacun donnant lieu à une définition en note de bas de page. Nous sommes complètement au Japon, donc : culture, nourriture, ambiance au lycée, vie de Julian, le personnage principal. Julian est moitié japonais moitié anglais : les autres enfants et ados l’appellent le « pas-fini » (comprenez : pas assez de sang japonais) et lui mènent la vie dure.



Julian a 3 amis : Souichiro Sakai, Haru et Akiko. Souichiro avait une sœur qui est morte quelques années avant le début de cette histoire, dont Julian était follement amoureux. Julian ne parvient pas à l’oublier et semble avoir purgé sa mémoire de nombreux moments liés à cette mort, dont il ne parvient pas à se souvenir.



Petit à petit, le roman bascule de sa poésie douce vers une sorte de thriller mémoriel, à base de malédiction familiale et de chats dévorés vivants. Julian va comprendre peu à peu que la famille de Souichiro, les Sakai, ont un énorme secret qu’il est impossible de dévoiler. Tout en refusant de se souvenir, il part en quête de cette histoire.



Si la première tonalité de La fille qui tressait les nuages, version fable surréaliste, m’a tout à fait convaincue, le passage vers la malédiction et la tragédie n’a pas fonctionné pour moi, comme si le Quand sort la recluse de Fred Vargas s’intercalait au milieu d’un conte, sans prévenir et sans avoir grand chose à y faire. J’ai eu comme la sensation d’une promesse non tenue. Certains éléments m’ont paru tout à fait prévisibles, comme le rôle d’Haru dans l’histoire.



La fille qui tressait les nuages propose néanmoins une immersion efficace dans la culture japonaise : les passages qui se déroulent au lycée, où les protagonistes vivent l’équivalent de la terminale et se demandent bien ce qu’ils pourront faire de leur vie, sont particulièrement chouettes et sympas à lire. Le niveau moyen de bordel ambiant me rappelait, en plus soft, l’ambiance en cours dans Akira (sans la défonce et les motos).



Derrière la fable et le thriller, ce roman met en scène les transformations qui accompagnent le passage à l’âge adulte, les choix qui amènent à tirer un trait sur son adolescence, la nécessité de couper le cordon et de ne pas se laisser entraîner dans la « roue » familiale qui amène à reproduire ce qui s’est toujours fait, le passage d’une vision idéaliste ou naïve des choses à une vision plus critique.
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Je ne savais pas trop où l'autrice allait nous emmener je l'avoue, je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire, de décor plutôt sombre et finalement ce n'était pas plus mal. J'ai adoré le fait qu'on suive le voyage du vampire et de la petite fille qui en parallèle nous fait découvrir Nathanaël en lisant des parties de son journal. On retrouvera dans ces passage toute l'histoire de celui-ci, comment il a sauvé cette vampire, s' est vu entiché de son fils et ce qui en a découlé.

J'ai vécu cette histoire plus comme un voyage introspectif des personnages, à essayer de comprendre ce qui différencie les vampire des humains, apprendre à connaître leur monde..

En bref c'était sympathique, ça changeait de ce que l'on a l'habitude de trouver sur des histoires vampiriques et c'est un plus !

J'ai vraiment apprécié suivre les pas de ces personnages et leurs discussions, parfois étranges, comme peuvent l'être des échanges entre deux personnes de mondes différents.



Un vrai bon moment de lecture !





Au final

Les mots pour : Style, idée, réflexions, mise en abyme.



Les mots contre : /





En bref : Une jolie plume qui sert de façon convaincante une roman étonnant et bien mené. Des vampires différents, loin des romantiques suceurs de sang ...
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Les personnages sont charismatiques et intrigants. La jumelle de Haneul apporte la fraîcheur nécessaire. Mok reste un des personnages qui m'a le plus marqué. Attention, une scène d'agression envers une novice m'a forcément dérangée. Limite je fermais le livre pour toujours...



Le début de la troisième partie du livre, axé sur les combats et tactiques de guerre m'a vraiment laissé de marbre (lu en diagonale).



En bref, un livre riche, mais vraiment trop loin de ce que j'apprécie en fantasy.
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Après avoir adoré le précédent roman de Céline Chevet, "La fille qui tressait les nuages", j'étais très curieuse de découvrir un nouvel ouvrage de sa plume.



On reste dans la partie asiatique de la planète, mais cette fois-ci, nous partons des siècles en arrière pour arriver dans la Corée du VIIe siècle. On se retrouve alors dans une Corée non-unifiée, plus précisemment au royaume de Silla, où l'influence de la Chine commence à venir en Corée. Nous suivons alors principalement Haneul, jeune prêtresse de la religion principale du pays.



On entre alors dans un monde entre complots et trahisons, secrets, croyance et foi. J'ai trouvé l'univers très intéressant. On sent que l'autrice a fait un certain nombre de recherches pour construire son roman, et c'est vraiment très chouette à découvrir. J'ai appris des choses sur le pays et cette période, nous emportant et nous immergeant à cette époque aux côtés d'Haneul. On en avait justement parlé lors d'une interview que j'ai pu faire dans le cadre du Prix Littéraire de l'Imaginaire de Booktubers App avec l'autrice, et c'était vraiment très enrichissant de connaître son processus pour son roman.



L'histoire prenait, elle, vraiment son temps. Il est vrai qu'on peut avoir une impression de longueur, parce que le personnage est très ancré dans une vie de religion et de foi, sans vraiment beaucoup d'autres occupations. Tout va changer, ce qui lance l'histoire du roman, mais dans l'ensemble, on prend le temps de déconstruction du personnage, ses découvertes et manigances.



J'ai eu un peu plus de mal avec Haneul. Elle est têtue et naïve, vit dans sa bulle de foi depuis sa plus tendre enfance, et de ce fait, semble parfois à mille lieues de ce qui l'entoure dans ses réactions et prises de décisions. Néanmoins, cela ne montre pas une faiblesse de construction de personnage, cela correspond au vécu et au milieu de vie du personnage. Donc, même si j'ai personnellement eu du mal avec le personnage, je comprends les raisons de son comportement et sa façon de voir les choses.



La fin laisse supposer que la situation va s'envenimer par la suite, et on a suivi une évolution pour Haneul. On peut donc supposer un tome un peu différent du premier.







En résumé, cela n'a pas été le coup de coeur comme "La fille qui tressait les nuages" de la même autrice, et je n'ai pas vraiment accroché. Néanmoins, il faut souligner un univers très intéressant et immersif, ainsi que des personnages en accord avec leur milieu de vie.

Même si je n’ai pas été très attirée par ce roman à l’origine, je n’ai pas pour autant été déçue par ma lecture.



L’univers se base sur une idée déjà très présente dans la littérature, notamment avec le thème des vampires mais en apportant de nouveaux détails et de nouvelles anecdotes originales. Concernant la mise en exergue de cet univers, passant donc par des descriptions quoi sont malheureusement beaucoup trop peu présentes. Cette absence fait donc défaut à ‘l’histoire, puisque le lecteur est parfois complètement perdu.



L’intrigue est selon moi, très brouillon voire presque inexistante, ce qui renforce le coté perdu du lecteur. De plus, les actions sont vraiment très limitées et n’apportent donc que peu de contraste, qui aurait pu améliorer l’attrait de ce roman.



Le point fort de ce roman, ce sont ses personnages. Ils ont un caractère assez profond qui rendent ces personnages très réalistes et très bien écrits. Concernant les relations, je les ai trouvées assez complexes et relativement mystérieuses. De plus, elles évoluent assez bien et apportent une belle dimension d’attachement au roman.



Enfin, la plume de l’auteure nous apporte une atmosphère assez légère, peu présente. En revanche, elle n’importe pas tellement au vu du nombre limité d’actions qui sont à mettre en valeur. Ce qui est plus dommageable, c’sut qu’elle n’apporte pas du tout de nouveau contraste au roman. Les messages apportés restent très subliminaux mais sont particulièrement bien avancés par les personnages.



Bref, un roman qui est très orienté sur les personnages avec une histoire peu présente
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Bonne surprise ! Rien à voir avec les chaînes du silence écrit aussi par la même auteure mais ce fut très intéressant.

Cela m'a fait penser au clan des Otoris mais en version plus adulte. Malgré la complexité apparente de cet univers, les descriptions sont justes et pertinentes. L'écriture est fluid

La petite histoire

Corée, VIIème siècle. Complots au royaume de Silla.

La Chine des Tang est plus écrasante que jamais. Comment unifier les Trois Royaumes lorsque qu’il faut se méfier de ses frères autant que de ses ennemis ?

Mon avis

On retrouve la plume de Céline Chevet toujours aussi appréciable mais je me suis perdue dans la galerie de personnages qui n'ont pas su m'attacher. Ma lecture a été laborieuse, j'ai trouvé des longueurs au récit et la politique m'a profondément ennuyé. Ce style de roman n'est pas à mon goût mais saura trouver son public.

Il faut savoir que je ne suis pas spécialement attiré par tout ce qui Japon féodal ou comme ici Corée. J'ai d'ailleurs toujours Les noces de la renarde de Floriane Soulas dans ma PAL et je pense qu'il va en sortir car plus ça va et moins j'ai envie de le lire. Encore que lui il a un axe narratif qui se passe de nos jours, ce qui n'est pas le cas pour Sous les sabots des Dieux.

Dans cette histoire, nous allons suivre Haneul, prêtresse du temple Céleste, qui doit naviguer entre intrigues politiques, messages des Dieux et complots. Nous y découvrons la Corée du VIIIème siècle. Et dés le début, nous croulons sur les infos historiques. Les deux premiers chapitres sont très lourds. Ensuite cela va un peu mieux et j'ai suivi l'histoire d'Haneul sans grande passion mais en avançant tout de même. Je dois bien dire que si je n'avais pas lu ce livre en lecture commune, je pense que j'aurais abandonné. Surtout que passer les 2/3 du roman, c'est devenu carrément indigeste pour moi. On y suit des batailles entre la province de Silla et la Chine je crois (sans grande certitude car je me suis perdue en chemin). Les noms s'entremêlaient dans ma tête et je n'arrivais pas à dire quel soldat était avec qui, qui était un traître et qui ne l'était pas. Bref, j'aurais bien aimé lâcher l'histoire mais j'étais pas loin de la fin.

J'y suis arrivée tant bien que mal et j'ai découvert qu'il s'agissait là d'un tome 1. Heureusement, les tomes 2 ne sont jamais sélectionné pour le PLIB donc je m'épargnerais ça.

Deuxième livre que je lis de cette autrice et définitivement ce n'est pas pour moi. L'écriture est sympa mais les histoires ne m'ont pas transcendé.

Par contre si vous aimé tout ce qui est Asie féodale, ce livre est peut être pour vous.

Ce roman se passe en Corée au VIIe siècle, c’est ce qui m’a tout de suite intriguée. Nous allons faire la connaissance de Haneul, une charmane. Elle va devenir prêtresse de son royaume, et ainsi entrer en communion avec les Dieux. C’est par son biais que ceux-ci vont faire passer des messages à la royauté et les guider dans la guerre qui sévit.

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J’ai beaucoup aimé la première partie, dans laquelle nous rencontrons Haneul, sa sœur qui est empoisonneuse et d’autres personnages. J’ai peu ressenti l’aspect politique dans cette première partie. Haneul est amenée à faire des choix, et bien que ceux-ci ne soient pas toujours les bons et aient de lourdes conséquences, cela la rend humainement imparfaite. J’aurai aimé suivre un peu plus sa sœur jumelle qui a un rôle important dans l’histoire.

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J’ai été beaucoup moins emballée par la seconde partie du roman, les complots politiques sont beaucoup plus présents et m’ont moins intéressée. La guerre passe au premier plan dans cette seconde partie, j’aurai aimé que cet aspect soit un peu moins accentué.

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J’ai cependant beaucoup aimé retrouver la plume de l’auteure, cet aspect onirique du récit m’a plu. J’ai ressenti le travail de recherches qui a été fourni par l’auteure pour nous dépeindre cette civilisation ancienne de Corée.

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Il s’agit d’un tome 1, je suis assez curieuse de connaître la suite du destin d’Haneul, en espérant que les sujets qui m’ont dérangée dans ce premier tome soient traités différemment dans la suite.

Une lecture que j'ai plutôt bien apprécier mais j'ai trouvé beaucoup de longueur où je me suis ennuyer . Le personnage principal est très naïve et n'apprend pas de ces erreurs ;par chance gravite tous un panel de personnages autour d'elle très intéressant. Je n'avais pas fait attention que ce livre était un tome 1 et donc j'ai été dessus de la fin(car du coup je n'est pas le fin mot de l'histoire)

Je ne m'attendais pas à cela en lisant le résumé. Je m'attendais à de la légèreté et j'ai été surprise par la dureté de l'histoire. J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, la plume de l'auteure est bien particulière, fluide et assez poétique. Malheureusement, je n'ai pas tant accroché que ça, les personnages sont tous assez particuliers et bizarres. Je n'ai pas accroché à eux, malgré la dureté de l'histoire ils ne m'ont pas touché. Et en même temps je n'arrive pas à ne pas aimer l'histoire, cela change de ce qu'on peut lire habituellement.
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