Céline Chevet

J’ai passé un agréable moment avec cette lecture, bien que ce roman m’ait un peu perturbée. En effet, il m’a fallu un certain temps d’adaptation au style particulier du récit, et pourtant, la plume de l’auteure m’a tout de suite envoûtée.

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La nature est omniprésente dans cette histoire, et l’auteure compte sur nos sens pour nous immerger totalement. J’ai ressenti énormément de choses, ce roman a un côté poétique et onirique qui m’ont beaucoup plu.

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La thématique des Vampires me plaisait, et j’ai aimé la façon dont l’auteure a abordé le mythe. Il est question d’amitié dans ce roman, de confiance, de tolérance, entre autres.

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J’ai été un peu déstabilisée par le rythme. J’ai aimé suivre ces deux histoires qui s’entremêlent, bien que les changements de points de vue m’ont parus parfois un peu rapides.

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La relation entre Kael et Nathanael m’a beaucoup touchée, les chaînes du silence reflète vraiment bien le titre.

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Un agréable moment de lecture, malgré parfois quelques difficultés à cerner le récit et les personnages. Un roman et des personnages que je ne suis pas prête d’oublier !

Atypique, c'est certain. Bien écrit aussi.

Est-ce que j'ai aimé ? Plutôt mais ce n'est pas un coup de coeur.



NB : fait partie de la sélection du prix Imaginales lycéens 2020 :




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Un livre qui change avec des vampires amis avec des humains esclave , et la petite question comment un esclave devient ami avec sont maitre . La découverte des émotions humaine. Dommage de ne pas en savoir plus sur les vampires il me reste encore quelque question mais sa reste une bon lecture.

Il m'a fallu un peu de temps pour rentrer dans l'univers, lire et comprendre cette histoire, ainsi qu'écrire cette chronique. Et pour tout vous dire, même avec une prise de recul et les semaines qui ont passé, il m'est impossible de dire si j'ai aimé ou non... 😅 Il faut dire que cette lecture m'a laissée perplexe. Je comprends mieux pourquoi certains disaient que c'est un OLNI et qu'il ne fallait pas se fier à la couverture. Malgré ces belles couleurs, elle cache une histoire mystérieuse, dérangeante, angoissante, avec une touche de fantastique (on ne s'attend pas à ce type d'histoire avec une couverture pareille !). A travers son récit et le point de vue de plusieurs personnages, qui sont assez difficiles à cerner avec leurs secrets et leurs personnalités atypiques, Céline Chevet raconte l'histoire de Julian et la famille Sakai. Elle sème la confusion en révélant au goutte à goutte des informations très surprenantes. L'histoire n'en devient que plus intrigante et prenante. Mais je n'en dirai pas plus pour garder l'effet de surprise. 😉 Si vous aimez les histoires creepy ou que vous cherchez la lecture idéale pour la période de Halloween, c'est celle-ci qu'il vous faut !



⚠️ Trigger warning : violence sur les animaux, viol
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Quand j’ai commandé ce livre, je m’attendais à suivre l’évolution de Nathanaël au sein d’un groupe de vampire. Et ce n’est pas tout à fait cela qui se passe. Mais cette version me va parfaitement. Seul petit bémol j’aurais aimé voir plus de détails sur la vie et les pensées de Kaël.



Comme dans La fille qui tressait les nuages, il y a quelques passages qui m’ont un peu surpris, car je ne pensais pas avoir cela, ou plutôt pas de la part de cette race, dans ce roman… Mais bon ça se marie bien avec l’ambiance.



Les personnages sont vraiment complets, mais je dois dire que j’ai préféré l’histoire de Nathanaël et Kaël à celle du Vampire. J’ai même été un peu déçu que la relation de Nathanaël et Kaël reste à la simple amitié… Mais après c’est que mon avis, et leur amitié est très belle comme elle est.



Je connaissais déjà la plume de Céline Chevet grâce au Plib 2019 qui m’avait fait découvrir La fille qui tressait les nuages. L’écriture est toujours aussi fluide et entrainante que dans son premier roman et j’adhère toujours autant à son style. J’ai par ailleurs précommander son nouveau roman…



Je finirais en disant que c’est un très bon roman qui vaut le détour.
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Après le gros coup de 💗 que j'avais eu pour "La fille qui tressait les nuages", j'ai retrouvé avec plaisir la plume de Céline Chevet.



Changement total d'univers avec un récit vampirique cette fois-ci.

On suit 4 personnages (humains et vampires) à travers 2 histoires qui s'entremêlent. Les vampires ne communiquant pas par la parole, j'ai trouvé le titre du livre parfait. Il illustre aussi parfaitement les relations entre les personnages.



J'ai toutefois été parcourue tout le long du roman par un sentiment de lenteur que je ne saurai vraiment expliquer. J'ai eu du mal à m'attacher à beaucoup de personnages, même si leur psychologie reste très intéressante. J'ai beaucoup aimé la vampire Temera par exemple qui n'est pas un personnage principal.



Ça reste un roman avec beaucoup de richesse et une très jolie écriture qui ravira beaucoup de lecteurs. Le prochain roman de l'autrice se passera en Corée et j'ai déjà hâte de voir si ce nouveau livre détrônera "la fille qui tressait les nuages".
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Je crois que je vais me retrouver à court de mots pour exprimer mon ressenti sur ce roman, que j'ai probablement lu exactement au moment où j'en avais besoin, sans même le savoir. Au-delà d'une histoire captivante avec des vampires évanescents, ce roman est riche de nombreux double sens qui conduisent à des réflexions sur l'humanité son essence, et il a su m'émouvoir et me toucher par sa justesse.

Je viens à peine de le terminer, et pourtant je me languis déjà de pouvoir le relire et le redécouvrir!

Ce recueil est une très bonne surprise. En effet, dans les anthologies à multiples plumes, on trouve souvent un ou plusieurs textes de moindre qualité (voire, parfois, médiocres). Ce n'est pas le cas ici : tous les textes sont d'un très bon niveau littéraire, aucun ne fait figure de parent pauvre. Qu'ils soient courts ou longs, aucun n'a à rougir, du premier au dernier.

Bien sûr, en fonction des goûts de chacun, on accroche ou pas au thème ou à l'écriture. Pour ma part, je les ai tous lus, sans en sauter un seul, comme cela m'arrive trop fréquemment dans les recueils.

J'ai retrouvé des plumes connues (Patrice Quélard, Cécile Pommereau, Sarah Buschmann), j'en ai découvert de nouvelles. Une chose est sûre, toutes m'ont donné envie de lire plus de chaque auteur !

Le thème qui donne son titre à l'anthologie est décliné de multiples manières, de la dystopie à l'historique, en passant par le fantastique, le poétique, l'anticipation, le steampunk, le burlesque... Dans certains textes, les catégories se mêlent et s'emmêlent avec brio, pour le plus grand bonheur des lecteurs. La folie de la fée verte nous entraîne dans des univers très différents les uns des autres et pourtant complémentaires. Elle circule du passé (excellentissime Les diables noirs), à des présents étonnants ou des futurs improbables, se jouant chaque fois des risibles humains.

C'est brillant, enivrant, une plongée dans l'onirisme dément de cette absinthe tant décriée. Et on en redemande ! J'ai refermé le recueil à regret.

Je connaissais déjà la maison Noir d'Absinthe, l'excellence de ses publications et sa ligne éditoriale exigeante, grâce à quelques titres en ma possession. Avec La folie et l'absinthe, elle prouve, si besoin était, qu'elle n'a rien à envier aux "grandes" maisons d'édition.

Un roman sensible et juste aux nombreux doubles-sens…



Nous suivons dans cette histoire Nathanaël via son journal intime. Il raconte son village, sa vie et sa rencontre avec Kaël, un vampire, et le clan de celui-ci. Il va alors exposer sa condition d’animal de compagnie et l’évolution de leur relation.

En parallèle, on découvre un vampire et une fillette qui découvrent ce journal intime et vont traverser une sorte de voyage initiatique à leur tour.



J’ai particulièrement adoré tous les personnages exposés et leurs singularités, leur rôle dans l’histoire. J’ai beaucoup apprécié l’univers exposé avec des vampires qui effraient et tuent sans mièvreries.



Les doubles-sens sont nombreux et les relations avec la psychée et les émotions humaines sont aussi très bien exposées par le biais de cette histoire imaginaire. J’ai énormément apprécié ma lecture, mais je pense qu’il faudrait que je le lise une seconde fois pour espérer en découvrir toutes les subtilités.



Les notions d’empathie, d’émotions humaines et d’adaptation sont fortes. Les relations entre les différentes espèces de ce roman en sont particulièrement dépourvues et il est intéressant de découvrir comment l’un peut s’adapter à l’autre en faisant fi des différences et preuve de curiosité à son égard. J’ai adoré ce roman qui nous présente une espèce vampire forte et orgueilleuse, qui peut décapiter d’un coup de coude, mais qui va aussi changer au contact des humains émotionnellement instables. La partie sur la psychée et l’entre-monde m’a aussi beaucoup plu dans sa subtilité.⁠



Enfin, j’ai adoré l’intrigue et le dénouement de cette histoire, tout comme les thèmes abordés et la façon de le faire. L’évolution au contact des autres avec la tolérance de la différence et la non-conformité à un ordre pré-établi sont clairement exposés et c’est ce qui m’a le plus plu dans cette histoire. Elle peut être transposée à pas mal de situations différentes. C’est très intéressante et enrichissant.

Céline Chevet écrit des romans originaux et donc imprévisibles. Je ne sais jamais où elle va nous emmener, mais c’est toujours fait avec sensibilité et justesse.



Les chaînes du silence est un roman original et singulier, comme l’était La fille qui tressait les nuages avant lui. Ce fut un réel bonheur de retrouver la belle plume sensible et juste de l’auteure et je ne peux qu’attendre impatiemment sa prochaine parution.
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Je suis très mitigée sur ce roman, bien loin de tous les avis positifs que j'ai lus, je me suis ennuyée la plupart du temps car l'histoire ne m'a guère passionnée. La plume est à certains moments agréable et jolie puis passe au "cru" au paragraphe suivant. Bref je n ai pas vraiment aimé ce roman que je qualifierais d'OVNI littéraire.

Je remercie chaleureusement les éditions du Chat Noir pour l’envoi de ce service presse et pour leur confiance !

« Les chaînes du silence » est le second roman de Céline Chevet publié au Chat Noir ! Son premier, « La fille qui tressait », avait été une excellente lecture, quasi un coup de cœur. J’ai donc été plus que ravie de me plonger dans son nouveau titre ! Et ce fut également une très bonne lecture, dans un genre complètement différent !

La culture japonaise laisse, en effet, place, ici, à un monde plus « occidentalisé » et médiéval (par certains aspects mais l’époque n’est pas vraiment définie ni arrêtée). Un univers fantastique au sein duquel évoluent, dans les bois, à l’écart des humains, vampires et Bêtes. Dans cet univers, Nathanaël mène une existence tranquille et sans histoire jusqu’au jour où une femme vampire et son bébé viennent frapper à sa porte. Suite aux actes qu’il va alors poser, sa vie va prendre un tout autre tournant…D’abord esclave de ces créatures extraordinaires, sa relation avec Kael (nom qu’il va donner au nourrisson) va petit à petit se transformer en quelque chose de beaucoup plus fort, en un lien complexe et nuancé ! Parallèlement à leur histoire, nous suivons le périple d’une jeune fille et de son maître vampire. Ce dernier marche sur les traces de Kael qu’il souhaite rencontrer afin de percer son mystère !

J’ai à nouveau été séduite par la plume de Céline Chevet, à la fois dure et poétique. Elle sait tout aussi bien dépeindre la magnificence de la nature et la profondeur des émotions humaines que rapporter des scènes plus glauques et/ou plus sanglantes ! J’adore cette facilité qu’elle a de passer de l’un à l’autre, sans que cela ne choque à la lecture ! Et j’aime ce contraste entre douceur et violence!

Les vampires que nous rencontrons dans « Les chaînes du silence » divergent quelque peu de ceux que nous croisons habituellement. S’ils se nourrissent de sang, sont immortels et craignent la lumière du soleil, ils vivent, par contre, au cœur de la Nature avec laquelle ils entretiennent une relation très particulière. Etant liés psychiquement entre eux, ils communiquent essentiellement par la pensée. S’ils sont, toutefois, doués de parole, ils n’en usent que s’ils y sont obligés. Bien d’autres particularités caractérisent cette société, notamment au niveau de la place des individus mâles et femelles,…mais je vous laisse le plaisir de découvrir le reste par vous-mêmes ! Pour ces vampires, les humains représentent une race inférieure, plus faible et mortelle, avec laquelle ils évitent généralement tout contact. Sauf en de rares cas, comme celui de s’affubler d’un esclave.

J’ai été touchée par le lien qui se créé doucement mais sûrement entre Kael et Nathanael. Un lien délicat, tout en retenue et en contraste. Les différences qui les éloignent et les séparent sont nombreuses, qu’elles soient culturelles, sociétales, physiques ou psychiques,…et pourtant, une amitié improbable et inattendue éclot envers et contre tout ! Kael reste tout au long du récit un être mystérieux, froid et fermé, parfois difficile à cerner. D’autant plus que cette histoire nous est contée du point de vue de Nathanael (à travers son journal). De ce fait, nous ne pénétrons jamais l’esprit et les pensées de Kael. Et même si Nathanel a appris à le connaitre, ayant vécu de nombreuses années à ses côtés, une grande partie de la personnalité et du quotidien du vampire lui demeurent obscurs, parce que trop différents des siens (et puis tout simplement parce qu’il n’y a parfois pas accès). En tant que lecteur, nous sommes donc logés à la même enseigne que lui ! J’ai apprécié ce choix narratif ! Kael reste ainsi cet être complexe et étrange, qui, par amitié, va faire des choix lourds de sens et de conséquences. Cette amitié n’est pas spécialement « belle », dans le sens simple et naturelle. Elle est, au contraire, faite de doutes et de questionnements. Mais elle en est d’autant plus précieuse, à la fois très fragile et très forte, éternelle ! Elle transcende les différences, va au-delà des apparences pour toucher le cœur même des deux êtres qu’elle lie.

Contrairement au récit de Nathanael et Kael, celui concernant le vampire et son esclave nous est relaté à la troisième personne du singulier. Ce procédé permet au lecteur d’en apprendre davantage sur la société vampirique et sur son fonctionnement (et à travers l’un de ses représentants, cette fois ; Nathanael, malgré son lien avec Kael, étant finalement toujours resté en marge de celle-ci). J’ai également apprécié l’évolution de la relation qui unit la jeune fille et son maitre, tout comme sa conclusion !

Les deux histoires sont très intéressantes à suivre et finissent, bien sûr, par se rejoindre. Il n’y a pas forcément énormément d’actions mais je ne me suis jamais ennuyée ! J’ai été totalement happée par l’univers et l’ambiance de ce roman si bien que les pages ont défilé toute seule jusqu’au point final. J’étais curieuse de découvrir le parcours des uns et des autres, de percer leurs secrets, de comprendre comment d’esclave Nathanael avait pris une place bien plus grande dans la vie et le cœur de Kael (et vice-versa).

En bref, un récit fantastique au sein d’un monde aux allures médiévales peuplé de vampires et de Bêtes. Un texte atypique qui oscille sans cesse entre douceur et cruauté et qui place la Nature en son centre. Enfin, une histoire d’amitié forte et complexe, une amitié dont les deux parties ressortent grandies et transformées, libérées.


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Nous allons suivre Nathanaël qui mène une vie paisible et classique jusqu'à ce qu'il rencontre Temera et son bébé, des vampires. En leurs sauvant la vie, il s’enchaîne à eux d'une certaine façon et scelle son destin. A travers ses yeux et son journal, nous allons voir grandir Kael et comprendre le mode de vie des vampires. C'est, ici, l'histoire d'un amour tantôt fraternel, tantôt paternel jusqu'à la tragédie.

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Céline Chevet vient de relever l'exploit de me réconcilier avec les histoires de vampires. Sous un récit très poétique, nous la suivons facilement dans cet univers qui semblait ne plus avoir de secret.
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J’ai découvert la plume de l’auteure pendant le confinement, et ça avait été une très belle découverte. J’ai donc été très heureuse de retrouver son style, et de pouvoir entrer dans son univers à travers une histoire de Bêtes et de vampires. Il s’agit d’une histoire très originale que l’on découvre grâce à deux points de vue ; celui de Nathanaël à travers son journal, et celui d’un autre Vampire accompagné de son humaine. J’ai beaucoup aimé ce mélange de genres, bien que ceci m’ait un peu déroutée au début. J’ai également eu un peu de mal à entrer dans l’histoire et à comprendre où l’auteure voulait en venir, et la fin m’a parue s’essouffler. J’ai eu un peu de mal à cerner l’époque de l’action. Néanmoins, j’ai beaucoup aimé rencontrer ces personnages touchants et découvrir la version de l’auteure concernant les vampires, qui nous sont ici présentés comme des êtres intimidants, terrifiants, et terriblement fascinants.



En bref il s’agit d’une bonne lecture, mais avec quelques passages dérangeants/malsains.



Merci à l'éditeur de sa confiance.

"Attention, il faut avoir le coeur bien accroché pour lire ce livre. J'ai plusieurs fois eu la nausees, certains passages sont horribles, difficiles psychologiquement. Âmes sensibles s'abstenir. Sinon, j'ai beaucoup aimé, ce fut une bonne lecture."

Je viens à peine de refermer le livre, mais je suis encore là-bas, au sein des drames de la famille Sakai. Connaissant l'autrice, je savais qu'il ne s'agirait pas "juste" d'une histoire d'adolescents, avec des touches poétiques. Je ne me suis pas trompée. Je me suis même préparée psychologiquement, mais... je n'étais pas prête quand même ! Il y avait certaines choses que j'ai réussi à deviner (le secret final de Souichiro, qui était Haru), mais pour d'autres, j'ai été surprise (les circonstances de ce fameux secret). Les drames familiaux de ce type, j'aime en lire; après, étant donné que je suis assez sensible sur un tel sujet, je le fais avec modération. Je n'ai pas été déçue ici.

Je n'ai qu'une question : que devient Akiko ? Qui est-elle au final ? Je ne spoile pas, mais pour ceux et celles qui ont lu le roman, vous comprendrez ;).

(Non, je ne l'ai pas oubliée.)

Je me suis lancée dans cette lecture sans trop savoir, je savais que l’histoire se déroulait au Japon et que le style était inspiré des romans japonais, avec un style très spécial, très onirique, je trouve.

J’ai mis un certain temps à entrer dans l’histoire, à reconnaître les personnages mais après un tiers du livre, j’étais totalement immergée dans l’histoire et j’ai beaucoup aimé ma lecture.

Cependant je tiens à préciser que malgré le style d’apparence très doux, certains passages traitent de sujets assez crûment, notamment concernant le rapport au sexe et à la violence.
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Petite déception pour ce livre dont je n'attendais rien de spécifique ! Je ne me suis pas senti au Japon et l'insertion de mots en japonais m'a parue alourdir beaucoup le texte.



Retrouvez mon avis en entier sur mon blog !
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Lorsque je me suis lancée dans cette histoire, je ne savais pas du tout dans quoi je me lançais. Je n'avais pas lu la quatrième de couverture et je n'avais pas cherché à me renseigner sur ce roman.



Le fait que l'intrigue se passe au Japon m'a beaucoup plu. J'ai depuis toujours été attirée par ce pays que j'aimerais pouvoir visiter un jour.



J'ai apprécié la plume de Céline Chevet. Elle arrive à nous transmettre une certaine poésie, rêverie tout en mêlant du mystère et de l'horreur.



Au fil de ma lecture, j'ai établi énormément d'hypothèses mais j'ai été surprise par la révélation finale.

La fin est malheureusement un peu rapide à mon goût, pas assez développée mais elle a fait son effet. J'aurais aimé en savoir plus sur ce qui arrive ensuite aux personnages, notamment celui d'Akiko. On laisse cette dernière de façon trop abrupte.



La fille qui tressait les nuages fut une très bonne lecture qui fait preuve d'originalité et qui a su m'envoûter.
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Ce livre est un des finalistes du PLIB 2019. Etant jurée, je l’ai lu pour pouvoir me faire un avis.



Je vais être directe, je n’ai pas du tout accroché à cette histoire. J’ai lu 100 pages avant de laisser tomber.



Pourtant, ce livre m’avait intéressé à la lecture de son résumé, un conte fantastique au Japon, pays que j’affectionne. Le style de l’autrice est fluide.



Par contre, j’ai trouvé que l’histoire n’avançait pas au cours des 100 pages que j’ai lues. On sent qu’il se passe quelque chose dans la famille de Souichiro, mais cela ne m’a pas convaincue de continuer.



En bref, c’est une histoire dont l’univers et le style aurait pu me plaire, mais malheureusement, je suis passée à côté de l’histoire.

Second roman de la liste des sept finaliste que je lis pour le PLIB2019, et une petite déception pour ce roman des éditions du Chat Noir. Maison d'édition qui est en général, une valeur sûr et qui cette fois-ci nous propose un titre que j'ai eu du mal a apprécié dans sont ensemble.



La fille qui tressait les nuages est une histoire à la fois sombre et malsaine. Un sentiment de gêne apparaît au fil des mots et des pages. L'histoire conter est un mélange entre réel et surnaturel. On fait la rencontre de Julian qui est en période de deuil, la sœur de son meilleur ami est décéder et il n'accepte pas la perte de cette fille dont il était amoureux. Avec l'aide de Akiko, Julian va partir à la recherche des secrets de la famille de Souichiro. Un secret caché depuis des décennies va refaire surface et changer sa vie a jamais.



Je dois avouer que la couverture me vendait du rêve. Elle est réellement magnifique et promet quelque chose de doux et poétique. Malheureusement j'ai retrouvé tout le contraire. Point qui m'a bloqué lors de la lecture. J'attendais trop de ce roman. Après quelques pages, j'ai vite déchanté et me suis rendu compte que le roman prenait un chemin que je ne désirais pas découvrir. Un côté malsain et horrifique à commencer à se mettre en place au fil des pages et malheureusement, ce n'est pas ma tasse de thé. J'ai d'ailleurs en "horreur" le genre horrifique et me vendre une couverture aussi poétique pour me donner ce genre m'a réellement déçus. Un autre point m'a quelques peux refroidis lors de la lecture, c'est la mise en avant du Japon, pour finalement lire une histoire qui aurait pu se dérouler dans n'importe quel partit du monde. Le roman n'était pas assez détaillés et dépaysant pour me plonger dans ce Japon que la quatrième de couverture me vendait.



En dehors de ces points négatifs, j'ai tout de même apprécier cette lecture pour sa galerie de personnages assez torturer et intriguant. La palette de caractère est très bien travaillés tout comme l'histoire en elle-même. Car malgré ma petite déception sur le genre, j'ai été surprise à plusieurs moments lors de ma lecture et les retournements de situation mon conquise dans l'ensemble.



Ce roman est donc une lecture mitigée, j'en attendais bien trop et il n'a pas su répondre à mes attentes. J'en suis, là seul fautive, car ce roman reste très bien écrit et dotée d'une histoire qui peut plaire aux amateurs du genre.
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