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Critiques de Christian Durieux (320)
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Le pont

Cette BD m'a tout de suite fait penser aux BD de Schuiten et Peeters, même si l'architecture y tiend un rôle moins important, les paysages de glace sont presque plus présents, le lien entre les personnages et la cité est très ambigu, l'atmosphère enneigée crée une ambiance d'enfermement, d'oppression, et le personnage féminin, vampirique, telle une sirène, se confond avec le pays glacé, obsédant et mortel. L'univers est fantastique et l'histoire s'apparente à une tragédie grecque dans une ambiance fin XIXe.
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Les gens honnêtes, tome 1 (BD)

Philippe , 53 ans, est en train de fêter son anniversaire quand il reçoit un coup de téléphone lui annonçant son licenciement.

Malgré le soutien de ses enfants et de son meilleur ami, cet hypocondriaque sombre très vite dans la dépression, et ce d'autant plus que son entreprise a délocalisé en Hongrie sans payer ses cotisations ce qui le prive de ses indemnités.

Heureusement sa fille est enceinte ce qui va lui donner l'envie de remonter la pente.



Les dessins simples et efficaces de Durieux servent bien les personnages si humains de Gibrat.



Ce premier tome pourrait se suffire à lui-même, mais j'ai d'autant plus envie de savoir ce qu'il va advenir de la famille Planche dans les suivants.
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Les gens honnêtes, tome 4

Nous retrouvons Philippe pour un ultime tome des Gens Honnêtes. Une jolie conclusion pour cet homme, sa famille et ses amis. Chacun s'est lancé dans une vie qui lui convenait avec bonheur;

C'est simple, et il y toujours quelque chose à suivre puis à laisser vivre un personnage d'histoire. Néanmoins dans ce dernier tome il ne se passe pas grand chose de palpitant. Je crois que j'avais déjà un peu décroché au tome précédant et celui-ci ne m'a pas rattrapé au vol. J'ai quand même été contente de pouvoir donner un joli et honnête point final à des vies de gens de tout les jours. Des gens honnêtes.
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Le Spirou de... tome 17 : Pacific Palace

De nouvelles aventures avec les deux compères Spirou et Fantasio , bagagiste et groom à l hôtel Pacific Palace, au milieu de nul part.

La situation de l hôtel est un élément déterminant dans l histoire, car cela permet à un "dictateur", dans un premier temps de sortir de son pays' mais surtout dans un second temps de faire croire à son assassinat pour disparaître à jamais avec la connivence du directeur de l établissement.

Nos deux amis vont, une fois de plus être au centre de l'intrigue mais pas toujours au fait des secrets qui entourent cette histoire.



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Les gens honnêtes, tome 4

Ce quatrième tome clôt tout en douceur la série Les gens honnêtes.

Il s’ouvre par l’enterrement du père Ducousso, qui donne lieu à des échanges savoureux.

Il est aussi question de François Mitterrand.

Philippe aide le fils Doucousso à réaliser son rêve.

La librairie est inondée.

Un nouveau maire est élu dans le village.

Avec cet album qui nous livre de jolies tranches de vie, la boucle est bouclée, toutes les histoires se terminent bien, y compris celle de Philippe.
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Le captivé

Albert Dadas, fugueur compulsif involontaire, diagnostiquė "hystérique somnambulique diurne appartenant à la classe des captivés", fut le sujet d'études de Philippe Tissiė, jeune médecin. Intrigué, touché par ce patient, il tentait de le guérir de ses longs voyages involontaires qui pouvaient l'emmener de l'Algérie à la Russie.

Le dessin est classique et sobre. Le texte des dernières pages explicite en détail le cas Dadas. Surprenant et intėressant.
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Geisha ou Le jeu du shamisen, tome 2

On retrouve Kitsune trois ans plus tard, son éducation faite, geisha accomplie. Elle a grandi, ses ambitions aussi.

La vie est loin d'être facile. Le quotidien des geishas, leurs obligations, leurs espoirs et leurs rivalités. Un voyage dans le Japon du début du XXème siècle. La narration est douce malgré la dureté du récit. C'est assez poétique. Pas très joyeux.

Kitsune est très attachante, on l'a suivi et elle a évolué. Avec la narration à la première personne permet de créer une intimité, de la connaitre en profondeur.

Les dessins sont très beaux, assez simples mais diablement efficaces. Avec des décors très détaillés notamment les kimonos et les paysages. La colorisation en noir et blanc est magnifique et douce.
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Geisha ou Le jeu du shamisen, tome 1

Le monde sulfureux et mystérieux des Geishas a quelque chose de terriblement attrayant.

Cet univers cloisonné, strict, intransigeant et cruel est souvent propice à une histoire riche. Ici, nous suivons les premiers pas de Setsuko dans l'okiya à laquelle son père adoré l'a vendue.

L'histoire m'a beaucoup plu. J'ai beaucoup aimé le fait que pour une fois la jeune femme destinée à devenir geisha ne soit pas une beauté mystérieuse et captivante mais que son talent soit moins évident que le simple physique.

Les auteurs nous font également découvrir de nombreux aspects de la vie, de la formation et des spécificités des Geishas de façon intéressante sans être trop didactique.

Le monde de ces dames de compagnies est trop souvent assimilée sans concession à la prostitution et cette BD rend également plus claire la frontière parfois trouble entre les deux mondes.

Par contre, si le dessin est plutôt bon, je regrette le choix des auteurs de ne pas avoir exploité la moindre couleur. Pour moi, je monde "des saules et des fleurs" est très coloré ne fut-ce que par les maquillages et les riches kimonos. De simples touches de couleur auraient été plus propice que le simple (quoique très réussi) camaïeu de gris. C'est un peu comme les vieux livres d'art en noir et blanc : c'est beau mais on passe tout de même à côté d'un élément essentiel.



J'ai aussi relevé un petit quelque chose qui m'a un peu dérangée:

Page 74, la professeure de shamizen dit ceci : "Tu connais la position du corps, ton jeu de manque pas de finesse, tes ornements ont du charme. Mais je n'ai pas entendu de musique. Tu pourras divertir les gens, accompagner l'acteur qui chante sur scène, mais tu ne seras pas musicienne."

Et dans "Tous les matins du monde" de Pascal Quignard, chapitre 10, Sainte-Colombe dit à Marais : "Vous connaissez la position du corps. Votre jeu ne manque pas de sentiment. (...)Vos ornements sont ingénieux et parfois charmants. Mais je n'ai pas entendu de musique. (...) Vous pourrez aider à danser les gens qui dansent. Vous pourrez accompagner les acteurs qui chantent sur la scène (...)mais vous en serez pas musicien."

Ce n'est pas grand chose mais j'aime rendre à César ce qui lui appartient.

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Un enchantement

Bande dessinée assez étonnante. On ne sait pas où l'auteur veut nous entrainer et il faudra avoir parcouru une bonne partie de cette Bd pour avoir un début de réponse. Tout commence par la préparation d'un banquet sous l'œil ironique du haut-fonctionnaire/ ancien ministre qui part à la retraite " Quels imbéciles " pense-t-il. Ce dernier s'éclipsera dans les couloirs du Louvre avant de tomber sur une jeune femme à l'attitude étrange. S'en suit une longue déambulation autour des tableaux dans ce Louvre. La jeune femme emmènera cet homme dans ce "voyage" improvisé, nous entrainant dans cet histoire où nous ne comprenons pas grand chose. Malgré tout, pris par l'ambiance de ces pages on se laisse porter de cases en cases. C'est lumineux, surprenant et féérique mais j'ai eu besoin d'une deuxième lecture.

C'était comment déjà le titre de cette bande dessinée ?
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Les gens honnêtes, tome 1 (BD)

Une histoire de famille, la famille Manche... Il y a le père, l'ex femme, les trois enfants, la grand mère, les amis, les bons et les moins bons.

Philippe, le père, perd son travail le jour de ses 53 ans. Malversations de son ex-employeur, logement de fonction...Philippe est rapidement pris dans une spirale infernale qui l'entraine dans l'alcool et le mal-être.

Heureusement que son ami et sa famille sont là...

Une BD facile à lire, intéressante mais sans plus qui traite d'un sujet oh combien contemporain avec, pour moi, trop peu de relief. C'est très linéaire et finalement ça manque cruellement de relief.

Le dessin est chouette, dans la veine ligne claire, bien mis en couleurs et sert bien l'histoire.
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Geisha ou Le jeu du shamisen, tome 1

Cette bande dessinée était dans notre PAL depuis un moment déjà. Et j’avais, une première fois, essayé de la lire, mais je n’étais pas entré dedans. Pourquoi ? Je serais bien incapable de le dire. Aucune raison objective, mais, parfois, ce n’est pas le bon moment.



Mais cette deuxième tentative a été la bonne. Cette bande dessinée est tout à fait captivante ! Les dessins en noir et blanc retranscrivent une atmosphère en dégradés de gris : moi, ça me parle vraiment. Peut-être les trois/quatre premières pages comportent-elles un peu trop de notes de bas de pages, qui explicitent des mots en japonais, mais cela se ralentit très rapidement. Est-ce cela qui avait bloqué ma première lecture ? Je ne sais pas, mais je ne peux que vous conseiller de passer outre : cela en vaut le coup !



L’histoire est assez classique : une famille pauvre, qui ne parvient pas à boucler les fins de mois ; une tension croissante entre les parents, la mère reprochant au père de ne pas réellement vouloir s’en sortir ; l’accident comme mode d’intervention de la fatalité. Setsuko, quoi qu’il en soit, se retrouve plongée dans un monde qui n’est pas le sien, dont elle ne connait pas les codes, mais qui peut lui assurer une vie tranquille et préservée. Les motivations du père étaient-elles pures ? On ne le saura pas – l’histoire nous est racontée par Setsuko, nous n’avons donc pas accès à la vérité du père -.



Pour moi, et, j’imagine, pour un certain nombre de lecteurs, le monde des geishas est assez obscur. Et cette bande dessinée est l’occasion de toucher du doigt certaines de ses particularités. On s’imagine souvent, vu d’Occident, les geishas comme des espèces prostituées de luxe, choisies pour leur beauté, formées aux arts. Mais la réalité est bien plus complexe… et probablement pas totalement accessible avec nos « cadres de références ». En tout cas, cette lecture permet de mieux percevoir la ligne de démarcation qui existe entre les deux.



Enfin, je ne peux pas ne pas dire un mot des dessins. Je suis littéralement sous le charme. Il y a des variations de teinte, dans les gris, avec des effets d’un réalisme parfois sidérant – je pense par exemple aux silhouettes dans une rue par temps de brume, en page 24 -. Bref, mention spéciale pour les dessins !



La culture japonaise vous intrigue ? Vous avez plus de 18 ans – bon, on est quand même dans une maison de plaisir ! – ? Vous ne savez pas ce qu’est un shamisen ? Alors Geisha est pour vous ! Quant à moi, je vais vite aller regarder si la deuxième partie est déjà disponible…
Lien : https://ogrimoire.wordpress...
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Appelle-moi Ferdinand

Que faire des dernières semaines de sa vie quand on est atteint d’une grave maladie ?

C’est la question à laquelle répond Oscar, et que le lecteur lui-même est amené à se poser. Pour ce quinquagénaire, le temps des regrets est arrivé, et ils sont nombreux : impression de ne pas avoir maîtrisé son destin, soif de vengeances, multiples frustrations. Il tente de rattraper le temps perdu et d’enfin se libérer de contraintes qu’il a subies ou s’est lui-même imposées. Mais la pomme qu’il croque désormais à pleine dents, et la vengeance, ont un goût bien amer dans un tel contexte.



L’intérêt de cette histoire est d’amener le lecteur à s’interroger sur ce qu’il ferait en une telle situation, et par suite sur ce qu’il fait de sa propre vie. S’il s’identifie quelque peu à Oscar, il peut se projeter, voire jubiler quand l'homme "se lâche". Mais le propos est généralement outré et probablement très décalé de ce que chacun d’entre nous ferait réellement ou envisagerait dans cette situation.



Le graphisme, très dépouillé, restitue bien les personnages et leurs expressions, mais convient moins bien à leurs environnements intérieurs ou extérieurs d’autant que les coloris ne sont pas toujours réussis (ciel souvent uniformément bleu) par choix du dessinateur (Christian Durieux) de ne recourir qu’à quelques couleurs de base (jaune, bleu, jaune, et rouge - jamais nuancés - noir, blanc et gris ou beige).
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La vie me fait peur (BD)

C'est avec un plaisir teinté

de nostalgie que je retrouve

l'univers de Dubois.

Ça tient du théâtre de boulevard

La fantaisie frétille ,les personnages

ont des rêves plein la tête

ils débordent d'insouciance et de tendresse.

Il y a bien sûr des poulets à plumer, à manger

pour accompagner les fêtes et les déconvenues

de la famille Silgelman.

Les tondeuses à gazon ,leitmotiv de Dubois

sont à l'honneur évidemment.

Les voitures, les bateaux ,leurs moteurs

affichent aussi présent.

Cette bande dessinée aux traits élégants

rend un bel hommage au roman.

La tendresse et la légèreté nous emportent

dans ce monde où tous les problèmes

trouvent d'étonnantes solutions .
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Les gens honnêtes, tome 3

Philippe est maintenant libraire dans un village de carte-postale perdu au milieu des vignes.

La vie s'écoule, paisible, mais le destin n'est pas toujours clément.

J'ai trouvé ce tome moins prenant et, surtout, moins touchant que le précédent et on a un peu l'impression qu'il ne tient pas les promesses qui nous étaient faites (de façon subliminale)...

SI j'aimais beaucoup les personnages secondaires dans les autres tome, celui ci tourne tout entier autour de Philippe ce qui, pour le coup, me plait moins.

Le dessin a évolué entre les deux derniers tomes, le trait est plus fin mais aussi un peu plus brouillon, je ne suis pas certaine de préférer.
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Les gens honnêtes, tome 1 (BD)

Philippe à 53 ans. Aujourd'hui c'est son anniversaire. Et son patron va lui offrir un drole de cadeau : le chomage. sans indemnité, sans droit au chomage. Le début de l'enfer. Il est bien entouré poutant Philippe : des amis sincères, des enfants qui se préoccupent de lui. Mais c'est quand même la lente déchéance d'un homme ordinaire face à un coup du sort.



les gens honnêtes est une petite BD sur le combat ordinaire d'un homme ordinaire. Les personnages sont attachants. La petite famille Manche et ses amis font une belles brochettes de héros du quotidien. C'est donc bien sympathique à lire même si le rythme n'est pas très soutenu.



Les dessins sont simples. Les couleurs aussi. Ca reste facile à lire et au final ça colle bien au scénario.
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Le Spirou de... tome 17 : Pacific Palace

Tout d’abord, je voudrai parler des couleurs, sublimes. Oui, c’est ce qui m’a frappée en premier en lisant cet album : le choix et la répartition des couleurs dans cette bande dessinée, notamment lors des scènes qui se passent la nuit. En effet, l’hôtel ne dort jamais. Ce Pacific Palace qui donne son titre à l’album se retrouve vidé de ses vacanciers, de son personnel aussi, quasiment. Seuls restent ceux qui ont été reconnus « indispensables » sans qu’eux-mêmes ou monsieur Paul, leur supérieur hiérarchique, l’aient réellement voulu. Pour quelles raisons ? Il s’agit d’accueillir un dictateur déchu, lui, sa femme, sa fille, et ses nombreux gardes du corps. Fantasio, à qui son ami Spirou a trouvé du travail, y voit comme une aubaine. Vraiment ?

Oui, nous retrouvons ici Spirou et Fantasio, le Spirou de Christian Durieux. Il est groom, et doit faire avec le manque cruel d’envie de Fantasio de s’investir totalement dans son métier – le journaliste au chômage ne pensait pas réellement se reconvertir dans l’hôtellerie. Il ne pensait pas non plus qu’un dictateur prendrait ses quartiers d’hiver ici, en attendant son installation définitive ailleurs. Sous couvert de bande dessinée, le récit nous parle des liens bien réels que la France a entretenus avec plusieurs dictateurs, comment elle a fermé les yeux, comment elle a pu exploiter ces liens, et même leur offrir, pour certains, une retraite sans trop de soucis. Parfois, les échanges ont été trop nombreux pour que l’on prenne le risque que le dictateur ne révèle ce qui était ignoré jusque là. Il est toujours bon de prendre des précautions, des deux côtés.

Et pendant ce temps… Spirou rêve, Fantasio sent qu’il tient un bon article, qui lui permettra de se remettre sur les rails, et la nature reprend ses droits.Quant au dénouement, il est là pour nous surprendre aussi.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Les gens honnêtes, tome 2 (BD)

Même si chaque tome des gens honnêtes constitue une histoire complète et indépendante, on prend plaisir à suivre la vie de Philippe et de sa famille et à retrouver les personnages.

Philippe est désormais grand père et essaie de reprendre sa vie en main, même s’il boit toujours un peu trop. Son fils Arnaud se fait renvoyer du lycée et va suivre des cours dans un lycée hôtelier dans le bordelais. Dans le train pour l’y conduire, Philippe a une idée : ouvrir un salon de coiffure dans le TGV!

Dans cet album plein de tendresse , chacun trouve sa voie, une lecture douce et sensible.
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Les gens honnêtes, tome 2 (BD)

Très joli second tome pour cette série attendrissante et qui présente quelques belles idées.

Après avoir repris sa vie en main, Philippe va maintenant retrouver la motivation et la joie de vivre au contact de deux personnalités attachantes qui croisent sa route dans cet opus.

Les personnages, même secondaires, sont réussis et finalement, c'est Philippe que j'apprécie le moins.

Niveau narration, c'est simple et prévisible mais ça se lit sans problème.C'est prenant sans être oppressant.

Bref, une jolie histoire sans réel défaut mais qui manque tout de même un peu de relief.
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Oscar, tome 4 : Le roi des bobards

Oscar est un petit orphelin qui préfère vivre à la rue avec Khartoum le clochard plutôt qu’à la Maison Bleue. Oscar, pour se sortir des situations compliquées, raconte des histoires farfelues, et souvent, ça marche. L’imagination est mise à l’honneur, ces six histoires ont un côté rafraichissant, joyeusement délurées, et chargées de tendresse. Un graphisme simple, des couleurs gaies, des aventures rocambolesque, de bon sentiments et surtout un personnage vraiment très attachant, c’est une bonne surprise, cette série mérite qu'on s'y intéresse.
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Le faux soir

Une bande dessinée instructive qui nous apprend une des manière dont nos voisins belges ont résisté à l'occupation de l'Allemagne nazie... par l 'humour et la dérision : en effet des résistants ont détourné le journal Le soir pour en sortir un pastiche se moquant des nazis...malheureusement, les auteurs connurent un sort bien malheureux car arrêtés par l' occupant.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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