Christiane Singer

Tellement abscons que je n'ai rien compris.

Je crois qu'il faut avoir étudié tous les philosophes et toutes les religions pour saisir le message... Or, ce n'est pas mon cas.

Donc, vite abandonné.

Autant de petits cailloux blancs laissés derrière elle !!! Une grande amoureuse de la vie qui a su partir comme elle semble avoir vécu, dans la grâce ! Que d'élégance chez cette femme.

Un petit Ovni, ce tout petit roman qui se lit d'une traite.

Je me suis laissée happer par le récit de cette histoire d'amour (totalement archaïque, et qui répugne un peu à ma féminité de 2024, mais bon, c'est de bonne guerre, au XVIe siècle c'était pas pareil...).

Une belle découverte d'une autrice dont je n'avais jamais entendu parler.

Lu en 2022. Une troublante et très plaisante découverte !

Un roman court épistolaire d'une rare intensité et acuité. Une plume souvent allégorique, d'une forme littéraire exquise, autant par sa fluidité que dans son raffinement. À travers l'exacerbation des sentiments des deux protagonistes, leur passion amoureuse jusqu'au-boutiste, l'on touche autant à l'intime qu'à l'universel...

Il y a des fulgurances dans l'ouvrage de Christiane Singer, des lignes lumineuses, des passages enthousiasmants, mais l'autrice se livre trop souvent à des raisonnements interminables – et parfois boiteux – manquant d'intérêt, nous perd dans un dédale de pensées, un dédale tortueux. La lassitude a donc fini par nous gagner. Dommage.

J'ai lu "les sept nuits de la reine" en étant persuadée que c'était une autobiographie.

Quand je me suis rendue compte que non, ça n'en était pas une mais que c'était une complète fiction, cela m'a grandement déstabilisée et a même interrompu ma lecture que j'ai reprise plus tard avec cependant beaucoup de plaisir : l'écriture ainsi que les pensée/réflexions de l'auteure sont de toute façon superbes.

L’auteure nous livre une belle réflexion sur la vie et ses intempéries à travers son personnage principal qui traverse une période difficile mais combien enrichissante. L’intériorité et le besoin vital de changement dans sa vie, amènent cette femme à voir le monde sous un regard différent où la bienveillance et le lâcher-prise trouveront leur place. Un livre qui fait du bien à lire.

Qui de la vieille demeure ou de la femme qui écrit habite l'autre ? Christiane Singer, dans une très belle et sensible écriture, nous décrit l'atmosphère d'une forteresse de la famille de son mari où elle aime vivre, sentir, regarder et imaginer.



Les hallebardes du hall d'entrée, les trophées de chasse et autres pièces qui parlent de guerres et de chasses dont les plus anciennes remontent à huit siècles, l'immersion dans les brumes du nord certains matins, la sombre et permanente fraîcheur des pièces qui anémient rapidement les bouquets de fleurs coupées : tout ce cadre incite à la rêverie et à la réflexion.



Tenez, regardez ce tableau d’ancêtres de la famille. Lui, la quarantaine affirmée et elle, vingt ans à peine et déjà décédée. Christiane Singer se lance dans un mini-roman et nous fait partager ce qu'elle imagine de la vie de cette femme-enfant. Un autre tableau nous vaudra une autre histoire. Mais le charme de ce petit livre ne vient pas de ces courts récits imaginés.



C'est une femme qui vient de franchir la cinquantaine qui écrit. "Plutôt que de me rêver ailleurs, j'ai jeté l'ancre où je suis. Cet état s'appelle maturité". Elle remarque qu'au lieu de papillonner à la surface des choses, en restant vivre dans sa forteresse, elle "fore" peu à peu et accède aux sources nourricières ; elle nous fait partager avec grâce et profondeur ses réflexions sur la vie, donc sur la mort. Elle s’interroge aussi sur le Réel et la perception qu’on en a. La lire est un véritable plaisir.



Le contraste est frappant entre Marseille où l'auteure et née et a vécu jusqu'à son mariage et le cadre romantique d'une vieille bâtisse autrichienne perchée sur un rocher près des lieux où vécurent les parents d'Hitler. Je ne sais pourquoi ce livre me fait penser à Elizabeth et son jardin allemand d'Elizabeth von Arnim. Peut-être parce qu'il est agréable qu'une femme cultivée et sensible vous livre ses réflexions sur la vie.



Ce livre est classé parmi les romans, mais c'est plutôt un journal intime ou un carnet de notes qui abonde en formules merveilleuses dont je ne vous cite que la suivante : "Là où un homme et une femme ses sont reconnus, l'éternité est prise comme une bulle d'air dans un ambre".

Un livre à lire et à chérir qui ne peut qu'apporter la lumière et la compréhension.

J'ai voulu découvrir ce livre par l'écoute. J'ai été prise d'une sensation de pesanteur, de tristesse ambiante qui m'enveloppait et ne me donnait plus la possibilité de pouvoir apprécier les descriptions justes de ce que l'auteur a souhaité partager.

Certes, ces échanges ne pouvaient semble-t-il pas être empreint de joie, mais ce qui fut pour moi rédhibitoire c'est qu'ils ne furent pas non plus empreints de lumière. Je n'y ai pas ressenti la volonté de partager ces moments, mais simplement permettre par l’édition de ce journal, de porter à la connaissance du public un cheminement difficile, âpre et sans affect.

J'ai abandonné son écoute, tellement le ressenti de cette chape de tristesse était enveloppant, et que je ne suis pas parvenue à faire ressortir les pensées positives dont pour ma part, il manque cruellement.

https://lescorpscelestes.fr/une-passion-de-christiane-singer/
Lien : https://lescorpscelestes.fr/..

Ce livre se propose d'arriver à une explication vraiment satisfaisante de la présence des phénomènes de malheur dans la vie des hommes. Il expose aussi une méthode claire et simple, bien que parfois ardue, pour se libérer des troubles émotifs qui viennent compromettre le bonheur humain

Peut-être le livre qui m'a le plus marqué ces dernières années !

Un livre bouleversant où Christiane Singer se fait le témoin de sa propre fin de vie. Des mots justes, simples. Toujours cette lucidité, cette profonde honnêteté envers elle-même. Toujours cet amour immense pour l'humain.

Ce livre est un bijou. Les mots, que Christiane Singer prête à Livia, sont d'une vérité et d'une bouleversante douceur qui parle à l'intime.

Une histoire si triste, et pourtant rien de dramatique dans ces texte, de la sincérité présentée au jour le jour avec une immense confiance en l'avenir... Très très beau....

Un bel essai éminemment bien construit, amenant à la réflexion sur l'engagement inhérent au mariage. Le sujet est parfaitement maîtrisé et décortiqué, par le biais de souvenirs personnels, de contes, et de références. On appréciera les tournures de phrases élégantes et soignées et la philosophie de l'auteure, amenant à se questionner en profondeur sur la notion de relation de couple marié.

Évidemment, j’ai aimé le titre. Il ne pouvait qu’exciter ma curiosité. Qui pourra nier que le mariage est une folie ? Mais le dire, c’est autre chose. Le louer même, c’est une provocation.

En un court essai d’une centaine de pages, qui alterne réflexions philosophiques et contes issus des sagesses du monde, Christiane Singer livre une réflexion toute personnelle sur le mariage, cet acte si fou qui engagent deux personnes pour la vie.

L’écriture est particulière. La langue est recherchée, parfois poétique, parfois coupante. On perçoit entre les lignes toute l’érudition de cette femme.

A l’issue de cette lecture, j’hésite entre « Magnifique ! » et « complètement barré ! ». Je pense que c’est un livre à méditer, au goutte à goutte. Ce genre de livre qui reste sur une table de chevet et que l’on a plaisir à feuilleter, chaque phrase pouvant offrir l’objet d’une méditation.

Une réflexion, exigeante mais sublime, à offrir aux jeunes et aux moins jeunes mariés, à ceux qui projettent de s’engager, et peut-être surtout à ceux qui hésitent, qui n’osent pas, ou qui ne comprennent pas cette admirable folie.

Récit intimiste et initiatique d'une femme qui traverse son histoire et sa vie. Elle ouvre les portes de son âme(our).



Une belle invitation de son moi intérieur.



Je me suis laissée emporter par les mots de Christiane Singer qui sont toujours empreints de sensibilité, de justesse, de vérité et de poésie.

Alors je pensais que la première page était juste pour nous rentrer dans l ‘histoire parce que l’auteur a utilisé beaucoup d’expression comme « Novembre est le vrai mois d’automne, » ou encore »Novembres est le vrai d’automne, » il fait que ce répéter la même choses et je trouve ça un peu inutile .Ensuite je trouve quand il dit « Depuis la guerre,la foret n’existait plus pour lui . » c’est un peu triste mais je ne vais pas détailler toutes les pages,alors je crois que dans l’ensemble j’ai bien je mets3,5 étoile et je recommande au gens qui ont de la patience ou bien au lecteur en recherche d’histoire très expressive et je tiens à dire que c’est trop répétitif.