AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.41/5 (sur 85 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 31/10/1942
Biographie :

Née le 31 octobre 1942. Après des études à la Faculté de Droit, à l’Ecole des sciences politiques, et à l’Ecole du Louvre, elle devient documentaliste, puis enquêtrice à l’Express (1969-72), rédactrice au Point (1972-79), grand reporter et chroniqueur au Figaro Magazine, au Figaro, au Télégramme de Brest (depuis 1979), au Midi Libre (depuis 1996). En radio, elle est successivement chroniqueuse à Radio Monte Carlo (1978-89), puis RTL (depuis 1991).

Source : http://www.acrimed.org/
Ajouter des informations
Bibliographie de Christine Clerc   (25)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Deuxième partie de notre rencontre avec Christine Clerc pour la sortie de "Victor Hugo amoureux" (Rabelais)


Citations et extraits (71) Voir plus Ajouter une citation
Pourquoi les malades ne se révoltent-ils pas plus souvent ? Parce qu'ils n'en ont pas la force, evidemment: le moindre effort leur est douloureux. parce qu'ils ont honte de paraitre trop " douillets". Et parce qu'ils craignent toujours, plus ou moins consciemment, de s'attirer une forme de représailles.
Commenter  J’apprécie          190
(Yvonne de Gaulle) Je plains celle qui m'a succédé dans ce musée qu'est l'Elysée.
Commenter  J’apprécie          110
Lutter contre l'humiliation, croire que l'homme a une valeur, c'est ce qui nous sépare de la préhistoire.
(p 187)
Commenter  J’apprécie          100
Bientôt, on raconte que le ministre d'Etat [Balladur], qui porte des chaussettes pourpres ne se déplace dans son palais que précédé d'huissiers à chaîne d'argent. Il refuse à ses ministres délégués de disposer de la salle à manger du ministère pour y recevoir leurs invités – elle lui est réservée – mais il donne des dîners somptueux : autour des causeuses de velours rouge du grand salon et dans l'enfilade de petits salons dans le goût des Rothschild, une soixantaine d'invités en smoking et robe du soir, appartenant au monde de la finance, des affaires, de la presse et de la politique. Les laquais en habit ouvrent les portes de la salle à manger : ces grands buffets d'ébène, ces fresques, ces ors... on se croirait au château de Vaux-le-Vicomte, chez le surintendant de Louis XIV, Nicolas Fouquet !

3158 – [J'ai lu n° 3828, p. 147]
Commenter  J’apprécie          60
Lorsque le directeur du théâtre annonce qu'elle jouera la princesse Negroni, elle se lève et rentre chez elle, outrée : quoi ? Neuf répliques seulement, et au dernier acte ? Puis elle se ravise : "Il n'y a pas de petit rôle dans une pièce de M. Victor Hugo."
Commenter  J’apprécie          70
- Ici vous n’êtes pas une journaliste. Vous êtes une malade.
Commenter  J’apprécie          80
A table on commente le premier message du président Vincent Auriol aux assemblées : " Je suis un homme issu du peuple"...
- Pourquoi lui en faire reproche ? proteste Marie-Agnès.
Réponse du général :
- C'est là où tu te trompes, Marie-Agnès. Le peuple, vois-tu, a horreur que ce qui doit être placé haut quitte son socle...
Commenter  J’apprécie          60
De Gaulle tape du poing sur la table : "Ne l'oubliez pas : l'histoire de France est pleine d'émeutes qui n'ont pris fin que lorsque quelques dizaines d'émeutiers sont restés sur le carreau !"
Commenter  J’apprécie          60
Le ton gaullien de l'appel [de Cochin] ne manque certes pas d'allure, mais la brutalité des accusations qu'il porte est telle qu'il constitue une véritable déclaration de guerre à Giscard aux centristes et à tous ceux qui plaident pour le renforcement de l'Europe. Qu'on en juge : « Il est des heures graves dans l'histoire d'un peuple où sa sauvegarde tient toute dans sa capacité de discerner les menaces qu'on lui cache. L'Europe que nous attendions et désirions, dans laquelle pourrait s’épanouir une France digne et forte, cette Europe nous savons depuis hier qu'on ne veut pas la faire. Tout nous conduit à penser que, derrière le masque des mots et le jargon des technocrates, on prépare l'inféodation de la France, on consent à l'idée de son abaissement (…) Nous disons non à une France qui démissionne aujourd'hui pour s'effacer demain (…) Comme toujours, quand il s'agit de l'abaissement de la France, le parti de l'étranger est à l’œuvre, avec sa voix paisible et rassurante. Français ne l'écoutez pas... »

3143 – [J'ai lu n° 3828, p. 84]
Commenter  J’apprécie          40
(Chirac) n'a-t-il pas apporté par deux fois la victoire aux gaullistes ? La première, éclatante, en mars 1977 : pour la première fois, on élisait un maire de Paris. Giscard avait lancé son candidat, Michel d'Ornano. Chirac lui a fait mordre la poussière ! A lui le monumental Hôtel de Ville, son escalier d'honneur où les gardes républicains faisait la haie pour l’accueillir, ses vastes salons, sa salle des Prévôts et son immense bureau ou trône une statue de Louis XIII enfant !

3142 – [J'ai lu n° 3828, p. 82]
Commenter  J’apprécie          40

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Christine Clerc (150)Voir plus

¤¤

{* *} .._..