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Critiques de Christos Markogiannakis (220)
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Scènes de crime à Orsay

ART & LITTERATURE] – Scènes de crime à Orsay



Souvenez-vous, il y a eu l’année dernière (2017) Scènes de crime au Louvre ! Mais si vous vous en rappelez bien, la scène de tableau mise en exergue sur la première page de couverture était Marat dans son bain tué par Charlotte Corday !





Voilà, on y est 😊. Je disais donc que ces affiches m’avaient interloquées et pour je ne sais quelle raison, je ne l’avais pas lu. ANYWAY ! Je ne commets pas une nouvelle fois cette erreur et me voici en possession de Scènes de crime à Orsay (le musée) de Christos Markogiannakis (d’origine grecque). Dans ce beau livre, on retrouve sous plusieurs thématiques des grands tableaux de scène de crime situés dans le Musée d’Orsay. On balaye un grand nombre de sujets que cela soit : les gangs de femmes, la tentative d’assassinat, l’adultère, le parricide, les sorcières, les familles meurtrières…. Les maîtres de ces tableaux ne sont pas moins que Cézanne, Henri-Léopold Lévy, Jean-Baptiste Carpeaux, Paul Ranson… eh oui que des hommes 😉





Christos Markogiannakis nous met dans cet univers dédié à la peinture qui peut sembler parfois inaccessible par le manque de connaissance, d’interprétation ou d’attention. Il nous donne des détails sur les peintures, nous explique ce qu’il s’est passé et nous donne les clés pour la bonne compréhension du tableau de manière rapide et efficace. Il nous alerte aussi sur les points discrets du tableau qui mérite, parfois, une grande attention afin de comprendre l’histoire entière de l’œuvre.





Bref, j’ai adoré et je vous le conseille ! Le livre est simple à lire, agréable au toucher et surtout est original par rapport à son sujet ! Scènes de crime à Orsay est sorti aux Éditions Le Passage





❤️Qu’en avez-vous pensé ? L’idée du livre vous plaît ??👍🏼







Belle journée
Lien : http://auria.fr
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Au 5e étage de la faculté de droit

Un Hercule Poirot grec ( Héraclès Poiropoulos ), agréable à lire mais il est dommage que l’on ne sente pas plus la Grèce. Tel que c’est écrit cela aurait pu se passer dans n’importe quelle ville d’Europe. Une bonne association du lecteur à l’enquête même si on n’a pas toujours les éléments pour être plus rapide que l’enquêteur. Ce 5ème étage ne restera pas marqué dans ma mémoire mais à 38 ans Christos a le temps de progresser pour nous pondre des livres peut-être un peu plus sombres. Je pense que je le retrouverai bientôt.
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Scènes de crime à Orsay

Tres Bonne surprise. achat d'impulsion en vacances ( toujours propice à des essais improbables) , je me suis laissé facilement prendre par l'auteur. Quel bonheur de décrypter un tableau grace à un expert qui en raconte l'histoire , les personnages et qui met tout cela en perspective. Tres accessible aussi ce qui ne gache rien! et ca donne envie d'aller au musée d'Orsay voir les œuvres en vrai!
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Scènes de crime à Orsay

Je remercie vivement Babelio et les éditions Le Passage pour ce bel ouvrage reçu dans le cadre de Masse critique.



"Scènes de crime à Orsay" est le résultat d'une idée lumineuse, à savoir décortiquer, telle une fine équipe d'experts en enquêtes criminelles, certaines des grandes œuvres représentant un meurtre, exposées au musée d'Orsay.

Contexte historique et culturel, enjeu politique, coupables, arme(s) du crime et mobiles nous sont présentés d'une manière ludique et agréable. J'ai également particulièrement aimé le fait que l'auteur se serve de chaque tableau comme illustration des différents types d'homicides existants (crime passionnel, peine de mort, fratricide, meurtre domestique, martyre etc...)

L'auteur fait régulièrement des zooms et gros plans sur certains détails des tableaux ou sculptures sur lesquels mes yeux de novice n'auraient pas accrochés et qui seraient donc passés totalement inaperçus ou dont je n'aurai pas compris la référence ou la signification sans ceux-ci.



L'écriture n'est pas transcendante, mais les pointes d'humour, les anecdotes truculentes, les points sémantiques de criminologie et médecine légale, mais aussi les détails sur le contexte de réalisation des différentes œuvres qui parsèment le récit sont grandement appréciables, et contribuent à rendre cette lecture enrichissante. Saviez-vous que la sculpture de Jean-Baptiste Carpeaux, "Ugolin" aurait pu rester inachevée car jugée démesurée et ainsi privée de son financement ? Aviez-vous remarqué la jeune fille entourée d'un serpent, au premier plan de "La Mort d'Orphée" d'Émile Lévy, référence directe à la mort d'Eurydice, l'épouse d'Orphée, mordue par une vipère le jour de leurs noces ?



L'auteur se sert également de ces représentations du crime pour rédiger un véritable essai sur l'attirance que les hommes ont, de tout temps, manifesté, et ce même malgré eux, pour la violence et les crimes.



Il existe également un premier volume "scènes de crime au Louvre" qui suit le même concept, mais cette fois avec les scènes de crime exposées au Louvre, et qui, à mon avis, doit être tout aussi intéressant.



Un beau livre qui ravira les admirateurs d'art, curieux de découvrir les secrets des scènes de crime en peinture.

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Scènes de crime au Louvre

Originale, cette idée de se pencher sur les crimes de l'histoire, transmis à la postérité par des statues ou des tableaux.

On apprend beaucoup de choses intéressantes, mais, comme je l'ai lu sur liseuse, gros bémol, la reproduction des tableaux est exécrable et il aurait fallu, pour bien faire que je me munisse d'un guide du Louvre.

Mais on lit avec plaisir et on s'instruit !!!
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Scènes de crime à Orsay

Un corps. Plus loin, sur les marches d'un escalier, la tête. Tranchée …



Un couple adultère retrouvé mort …



Des meurtres, des crimes à gogo !



Non, nous ne sommes pas dans un épisodes des Experts ou autres séries américaines.



Nous sommes au Musée d'Orsay. le célèbre et magnifique musée parisien.

Si on se promène dans ce haut lieu de la culture parisienne, on finira par tomber sur des oeuvres traitant de massacres, de génocides, de meurtres passionnels et autres joyeusetés…



Christos Markogiannakis, dans cet ouvrage érudit et passionnant, se propose de nous prendre par la main et nous guider vers ces oeuvres moins conventionnelles. En effet, il propose de nous faire découvrir les tableaux des crimes les plus terribles qui peuplent ce musée.



Analyse artistique et criminelle, chaque oeuvre est passée à la poudre à empreinte, pour mieux en découvrir l'histoire. L'auteur sait de quoi il parle puisqu'il a étudié lui-même la criminologie.



Chaque oeuvre devient une enquête passionnante. Chaque tableau devient une scène de crime qu'il convient d'élucider.



L'auteur décrit l'oeuvre dans un contexte à la fois historique et social et propose ensuite une véritable enquête afin de découvrir le meurtrier.

On croise au hasard de cet ouvrage riche et documenté mais jamais ennuyeux des Rodin, Cézanne et autre Moreau … Qui réussissent à nous faire frémir.



Cette galerie « cauchemardesque » m'a passionné et m'a terrifié !

Je n'ai plus qu'à aller refaire un tour chez Orsay avec un regard neuf sur des oeuvres que je ne connaissais pas.



Avis aux amateurs d'art et de sensations fortes ! Ce livre est fait pour vous !


Lien : https://labibliothequedejuju..
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Au 5e étage de la faculté de droit

Alerte coup de 💓💓💓💓

Nous voici plongés au cœur d’une enquête palpitante ayant pour décor la faculté de droits d’Athènes. Deux victimes : un professeur, un étudiant. Quel lien existe-t-il entre elles ? Le capitaine Christophoros Markou va enquêter au milieu de ses anciens professeurs dans un endroit qu’il connait parfaitement pour l’avoir lui-même fréquenté quelques années auparavant.

Tout le dilemme est là pour le policier, il connait les suspects et les victimes. Comment va-t-il réussir à mener son enquête en mettant de côté ses connaissances des personnes ? Au fur et à mesure des interrogatoires, des rencontres, il va s’avérer que tous avaient un mobile…Va-t-il réussir à conserver sa neutralité et ne pas se laisser emporter par ses affinités ? Qui est le véritable coupable ? Et pourquoi ?

L’auteur signe ici, un magnifique livre, de nombreux rebondissements, avec un nombre de personnages restreints, le lecteur a l’impression que le coupable va rapidement être débusqué ; et pourtant tout le talent réside dans le fait qu’au fur et à mesure de la lecture, plus de doutes émergent que de solutions. Un plume très agréable et dynamique, un rythme en alternance qui permet au lecteur de souffler et de s’interroger aussi. En effet, on ne peut s’empêcher de se poser des questions. Quelques mots sur la fin : magistrale, un véritable coup de théâtre, totalement inattendus tant le suspense est maintenu jusqu’aux dernières pages. Je suis restée sans voix, totalement estomaquée. Mais je vous laisse découvrir par vous-même et vous souhaite un excellent moment de lecture !!!!

« Je félicite Christophoros Markou pour son enquête » (ceux qui ont lu le livre comprendront l’allusion) et j’espère le retrouver bientôt dans de nouvelles aventures !!!


Lien : https://www.facebook.com/les..
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Au 5e étage de la faculté de droit

C'est la curiosité qui m'a fait commencer ce livre , un roman policier grec … je crois que c'est mon premier !

Anghélos Kondylis ( étudiant doctorant brillant ) , avait tout pour lui , mais pas de bol, il est arrivé au mauvais moment au mauvais endroit et ...Pffff, il est passé de vie à trépas après avoir buté sur un cadavre , celui d'une professeure qui était détestée par tous ses collègues . Le capitaine Markou (de son prénom , Christophoros) est chargé de trouver le meurtrier de la fac de droit.



Ne prenez pas ce roman pour être dépaysés et voyager, toute l'action se passe quasiment dans les bâtiments de la fac , avec une petite incursion dans un café , un minuscule trajet de nuit dans les rues d'Athènes , et peut-être une vision panoramique et en plan large du bureau couvert de papiers du capitaine Markou . Ce roman pourrait être une pièce de théâtre . Le décorateur aurait carte blanche puisqu'il n'y a pas de "vue" sur la ville, les descriptions de lieux sont inexistantes et hormis les noms et prénoms des personnages , je n'ai en aucune façon , eu l'impression d'être en Grèce…

Il est fait référence une fois, à la crise financière que traverse ce pays, grâce au gardien de l'école qui précise qu'il bosse de 7h du matin à 23h , mais qu'il ne se plaint pas , il pourrait être plus mal loti, au moins , il n'est pas au chômage lui...

Tout est centré sur les dialogues et nul besoin d'avoir lu toute l'oeuvre d' Agatha Christie pour voir qu'un hommage est fait à Hercule Poirot.

Interrogatoires et réquisitoire final, à la mode belge , avec tous les suspects réunis dans la même pièce, la rate au cour bouillon en train de se faire éliminer un par un de la liste des suspects.



C'est un roman policier plein de bonne volonté mais qui n'a pas la "carrure internationale", si je puis le formuler ainsi . Pour moi, il y a un cruel manque de descriptions.

C'est un roman qui ne donne pas envie d'étudier ou d'être prof à la fac de droit car au cinquième étage on s'écarte beaucoup du droit chemin !

PS: et petit clin d'oeil …

A la fin du roman , l'auteur remercie Stéphane Bern et Michel …. De Grèce (ça ne s'invente pas !)

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Scènes de crime au Louvre

L'auteur illustre d'un nouveau regard des oeuvres emblématiques de l'art qu'on peut trouver au Musée du Louvre en interprétant ses "crimanarts" selon leurs aspects historique, mythique, psychologique mais surtout pénal. Le spectateur de l¿?uvre assiste à une scène de crime en fait où il ne manque que le bandeau jaune présent en couverture. Ce n'est pas seulement ce regard original porté sur des tableaux pourtant bien connus qu'il faut saluer, mais il faut également apprécier le foisonnement d'anecdotes, de nuances et de détails qui s'attache aux tableaux et que l'auteur partage avec nous ainsi que de nouvelles interrogations : Judith était-elle finalement une héroïne? Pourquoi le pied grec de Médée? Thésée était-il un serial killer? Que représente réellement le tableau biface de David et Goliath? Des génocides antiques? Vous voulez briller en société, n'hésitez pas à lire ce curieux ouvrage.
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Au 5e étage de la faculté de droit

J'ai rencontré Christos Markogiannakis, auteur grec, donc, à Quais du polar cette année, et c'est un homme tout à fait charmant.



J'avais entendu le plus grand bien de son premier livre, un essai traitant du meurtre dans l'art (Scènes de crime au Louvre: une enquête criminartistique aux éditions Le Passage).



Après réflexion, en tenant compte de mes limites en terme d'art pictural, j'ai préféré choisir son roman, tout juste sorti de presses, et bien mal m'en a pris...



Bon, me direz-vous, le titre aurait dû m'alerter et ma bonne âme me perdra, mais, à ma décharge, la quatrième de couverture n'était pas rebutante:



Faculté de droit d'Athènes, un beau matin de février, deux cadavres sont découverts dans les couloirs du 5ème étage, consacré au département de criminologie: celui d'une professeure, Irina Siomou, à la personnalité controversée, et celui de Anghélos Kondylis, unanimement considéré, lui, comme un bon camarade, et un étudiant prometteur.



Christophoros Markou, jeune capitaine de police, et ancien étudiant (comme de par hasard) du master de criminologie proposé par ladite faculté de droit d'Athènes, est dépêché sur les lieux et se lance dans une enquête haletan... dans une enquête.



A la lecture du résumé, il est certain qu'on ne s'attend pas à un roman révolutionnant le genre, mais plutôt à quelque chose de bien, bien classique.



Sans surprise on retrouve donc la construction agathachristienne par excellence: meurtre/étude des personnages/révélation.



Moi a priori ça ne me gêne pas le moins du monde, à la condition néanmoins que d'une part la psychologie des personnages soit suffisamment étayée et que, d'autre part, l'auteur soit capable de construire son roman de telle sorte qu'il puisse tenir le lecteur dans une heureuse et confiante confusion.



Et c'est là que le bât blesse.



Au delà de la prévisibilité du dénouement (environ dès la page 20 en ce qui me concerne), le récit traîne en longueur et l'absence de profondeur du personnage de l'enquêteur, dont on ne nous dit quasiment rien, lasse assez rapidement.



Comme toujours, le fond aurait pu supporter quelques flottements si la forme avait été la préoccupation principale de l'auteur, mais là encore, aucun miracle ne se profile.



L'écriture est plate, sans envergure et provoque parfois des moments de très grande gêne comme lorsque l'auteur écrit:



"La dernière chose qui lui passa par la tête en cet instant-là ne fut ni une pensée fulgurante, ni un souvenir d'enfance surgi des tréfonds de l'oubli, encore moins les sons ou les images qui composent le film d'une existence: ce fut une balle."

...



Personnellement j'ai failli tourner de l’œil...



Et malheureusement tout le roman est à l'avenant: on comprend bien ce que l'auteur a voulu faire, mais ça tombe toujours un peu à côté, dommage.






Lien : https://chatpitres.blogspot...
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Au 5e étage de la faculté de droit

Un vrai policier où l’intrigue est sans cesse relancée par les profils des différents protagonistes et par le talent de l’auteur. Hâte de lire les épisodes suivants.
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Au 5e étage de la faculté de droit

Tout commence au cinquième étage de la faculté de droit d'Athènes, où se situe la section de criminologie. Un doctorant en criminologie, Anghélos Kondylis, découvre le corps sans vie d'une des professeurs, Irini Siomou, avant d'être lui-même assassiné. Christophoros Markou, capitaine venant tout juste d'être diplômé de la même faculté et de la même section, est chargé d'enquêter sur le double meurtre.

Le professeur Siomou était détestée par tous ses collègues, le doctorant n'avait pas que des amis et la section de criminologie cache beaucoup de secrets. Autant dire que les suspects sont nombreux… Et il ne faut pas non plus oublier une hiérarchie qui veut une résolution rapide de l'enquête.



Le capitaine Markou, que nous découvrons dans ce premier roman, est un personnage intègre, qui ne sans laisse pas compter que ce soit par sa hiérarchie ou ses suspects, qui sont aussi ses anciens professeurs. On retrouve un détective à la Hercule Poirot, qui n'hésite pas à réunir tous ses suspects pour leur révéler les moindres détails de l'enquête et annoncer solennellement le nom du coupable. Cela change des romans policiers actuels, qui ont des intrigues plus complexes et sont moins dramatiques dans la révélation du mystère.



En résumé, un premier roman très prometteur, qui captive facilement, qui ne lasse pas et qui est écrit dans un style fluide qui nous pousse à lire jusqu'au dernier mot.
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Au 5e étage de la faculté de droit

Bravo!
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Scènes de crime au Louvre

Superbe!
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Scènes de crime au Louvre

Une nouvelle manière de découvrir le Louvre et ses œuvres! Ce livre est une excellente idée de son auteur Chrìstos Markogiannàkis. Il parcourt le musée à la recherche de crimes. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils soient nombreux. Enlèvements, meurtres politiques, fratricide, parricides.... La violence est partout mais surtout elle est décryptée et expliquée.





L'auteur en profite pour nous rafraichir la mémoire sur les légendes, certains moments de l'histoire ou encore la mythologie et les religions. Nous le suivons dans son parcours sanguinaire avec plaisir...
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Scènes de crime au Louvre

Je dois dire que je m'attendais à autre chose après avoir été mal informé sur ce livre. Je m'attendais à une partie de fiction mélée de détails émis par la police scientifique... Du coup, même s'il est intéressant, c'était juste un rendez-vous raté pour moi.
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Scènes de crime au Louvre

Aux amateurs d’art mais aussi de sang, de tueries de masse et de meurtres en général, on conseillera vivement Scènes de crime au Louvre (The Louvre Murder Club) de Christos Markogiannakis. Une enquête "criminartistique" selon l’auteur qui, criminologue, détaille et porte un regard neuf sur 25 crimes et autant d’œuvres d’art proposés au regard des visiteurs du Louvre. Passionnant pour réviser sa terminologie macabre (savez-vous ce qu’est un « démocide » ?) et à emporter avec soi lors de sa prochaine visite.
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Scènes de crime au Louvre

Clair, érudit et bien illustré, l'ouvrage est un passionnant traité de criminologie appliqué. Vive l'analyse "criminartistique"!
Lien : http://www.lexpress.fr/cultu..
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Scènes de crime au Louvre

Malgré son sujet scabreux, Scènes de crime au Louvre est un livre rafraîchissant. Entendez par là qu’il renouvelle le regard qu’on porte sur les tableaux.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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Scènes de crime au Louvre

Un livre, parcours passionnant à travers les salles du Louvre pour y enquêter sur les « Scènes de crime ».
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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