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Critiques de Claude Clément (105)
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Le masque de brumes

En Afrique, un faux sorcier de la ville raconte d'incroyables histoires qui séduisent deux jeunes garçons. Sans faire leurs adieux, ils s'en vont à l'aventure. Vexés, les dieux décident de faire disparaît le masque totem du village. Mwanda se charge alors de le retrouver et surtout de le mériter pour pouvoir le ramener au village.

L'histoire est simple et poétique. Les dessins, qui semblent être faits à la craie, ont bien les couleurs Africaines : marron, ocre, jaune, rouge, mais également du vert et du bleu lors du périple du jeune garçon. 

à lire et faire lire aux enfants pour qu'ils apprennent ce que valent le courage et la persévérance. De plus, les adultes auront plaisir avec ce conte traditionnel doux-amer, d'une quête, qui aboutit jusqu'à un combat récompensé par une figure féminine allégorique qui ouvrira les yeux du héros.
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Le masque de brumes

Esthétique Poétique
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Le mot sans lequel rien n'existe

Ouvrir un livre dont on a aimé le titre et l’illustration de la couverture est toujours un moment très spécial, parfois même empreint de fébrilité, selon les attentes suscitées. D’ailleurs, c’est un peu ce à quoi j’ai été confrontée avec Le mot sans lequel rien n’existe, un album écrit par Claude Clément et illustré par Sylvie Montmoulineix, qui a attiré mon attention par son titre sur la tranche. Un livre qui m’a d’emblée séduite par la beauté de ses illustrations et par le fait que le « héros » du livre est un livre. Un livre abandonné sur une plage et auquel un oiseau emprunte quelques mots qu’il sème au hasard de ses voyages afin de combler les manques et de guérir les maux. Jusqu’à ce que celui-ci, après avoir déposé tous les mots qu’il avait emportés avec lui dans ses pérégrinations, se rende compte qu’il y a pour contrer les petites et grandes peurs, les guerres de toutes sortes, les écarts entre les privilégiés et ceux qui ne le sont pas, les conditions déplorables dans lesquelles certains vivent, les disparités qui ne devraient pas exister, les erreurs dont l’importance est variable, les effets malheureux de situations parfois irréversibles, un mot. Un seul mot. Un mot tout simple. Un mot que tout le monde connaît. Un mot qui fait briller les yeux et ouvrir les bras.



Ce mot, ce mot de cinq lettres, sans lequel rien n’a existé, n’existe et n’existera, est l’objet de ce magnifique album qui constitue une porte ouverte au débat et aux questions entourant toutes les inégalités et les injustices dont sont victimes enfants et adultes du monde entier.



Le mots sans lequel rien n’existe : un album poétique et artistique, publié en collaboration par les éditions de la Martinière et Amnistie Internationale, que tout enfant devrait posséder.
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Le mot sans lequel rien n'existe

Un grand livre ouvert sur la plage, un oiseau qui en picore les mots et va dans le monde les semer où règnent les souffrances...

Magnifique album poétique, plein d'humanité et de beauté pour les jeunes (et moins jeunes) enfants.
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Le peintre et les cygnes sauvages

Un peintre a le sentiment de la perfection en voyant un vol de cygnes sauvages et le reste de sa vie sera consacré à la quête de cette pureté.

Des illustrations remarquables, traitées dans des camaïeus de bleus, un peu dans le style des peintures japonaises. C'est beau comme un poème.
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Le peintre et les cygnes sauvages

Comme j'aime le travail de Frédéric Clément!

Cet artiste a un doigté, une sensibilité et une imagination créatrice absolument fascinante et magnifique

Chacun de ses albums possède son propre style graphique, aussi singulier qu'envoûtant

C'est ce qui m'a attirée vers cet album qui, ici, questionne la Beauté



Teiji est un peintre accompli dont la renommée a fait la fortune. Pourtant, le vol de cygnes sauvages remet tout en question. Dans l'espoir de toucher, d'atteindre, la Beauté, il va les suivre jusque sur une île enneigée

Y parviendra-t-il ?



Les mots oniriques de Claude Clement nous transportent auprès de Teiji. Ils accompagnent à merveille les peintures délicates, fragiles et pourtant si fortes de Frédéric Clément.

Ce conte philosophique est autant une quête de sens qu’une réflexion sur l’Art et sa perception. Il s’en dégage un apaisement et une sérénité remarquables



Un coup de coeur
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Le peintre et les cygnes sauvages

C’est un album de toute beauté que Le peintre et les cygnes sauvages, signé Claude Clément et illustré par Frédéric Clément. Ce conte, qui relate avec poésie, tendresse et finesse la passion qu’éprouve un peintre pour les cygnes, qui sont à ses yeux le symbole de la véritable beauté, est de ceux qui vous feront regarder le ciel et les étangs autrement. Il ne serait pas étonnant même que vous laissiez votre esprit s’évader et rêver à mesure que vous tournerez les pages de cet album qui est aussi un livre sur la création, sur la peinture et sur l’inspiration en plus d’en être un sur la beauté et la liberté. Un album qui, de plus, risque de vous émouvoir au point de laisser vos yeux humides. Je n’en dis pas plus. Je vous laisse désormais le plaisir de la découverte.
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Le peintre et les cygnes sauvages

Que dire si ce n'est qu'on a envie de plonger dans ces paysages et de s'envoler avec eux, avec lui... Merci encore à Frédéric Clément et Claude Clément pour leur ouvrage.
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Le piano d'argent (1CD audio)

Un jeune homme, seul rescapé de sa famille, vit sa vie de châtelain, isolé de tous, à l'intérieur d'une forêt pendant que ses serviteurs entretiennent tant bien que mal la demeure qui semble destinée à la poussière...



C'est alors que survient un jeune ébouriffé venu jouer de la musique pour une fête au village et dont la camionnette est tombée en panne. Il cherche un logement pour la nuit...



La rencontre improbable entre deux univers est aussi celle de deux styles de musiques : la musique classique et le jazz.



Loin de s'affronter, elle sauront se compléter !



Une histoire raconté par Charles Berling, en forme de conte, avec son jeu de répétitions : "Est-ce que j'ai une chance d'être hébergé ici pour la nuit ?" qui fait sens avec la musique qui est elle-même un jeu de variation.



Un récit joyeux où il est principalement question de réintroduire de la vie à l'intérieur d'une existence solitaire et sclérosée.



Les belle illustrations font sens avec l'univers des contes, avec des oiseaux merveilleux qui traversent les pages et d'autres animaux malicieux. Il y a même un air d'"Alice aux pays des merveilles" avec une cafetière turbulente et des champignons tabourets...



Le piano est évidemment à l'honneur avec des partitions d'Erik Satie, Wolfgang Amadeus Mozart, Frédéric Chopin, Felix Mendelssohn-Bartholdy, Claude Debussy, Frédéric Mompou, George Gershwin. Vous pouvez vous reporter à la page de l'éditeur, ci-dessous, pour plus de précision sur les oeuvres.



Enfin, l'ouvrage offre une double page d'informations sur l'histoire du piano, son invention, sa technique, ses compositeurs.



Un beau livre-cd pour les jeunes amateurs de piano !


Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Le sculpteur de rêves

Il est arrivé de nulle part avec un baluchon vide. Et assis toute la journée, il ne faisait rien. Rien du tout. Jusqu’à ce qu’il explique qu’il sculptait des rêves. Qu’il suffisait de lui confier un rêve et qu’il se chargerait du reste. Mais, là où il a posé son baluchon, plus personne n’a le temps de rêver. Si bien que le cordonnier, la blanchisseuse et le jardinier n’ont rien à confier au sculpteur de rêves. Pas le moindre petit, voire minuscule, rêve de rien du tout. Du moins c’est ce qu’ils croyaient.



Il a fallu un enfant téméraire, ou un peu rêveur, ou les deux, pour sortir un village de ses habitudes. Parce qu’un sculpteur de rêves a donné vie à son rêve de musique.



Il a fallu que la mélodie jouée par le jeune violoniste réveille les rêves endormis depuis longtemps et que chacun des villageois les laisse vivre au grand jour.



Il a suffi qu’un sculpteur de rêves passe par là. Pour que je me dise que « le chevalier des causes perdues » de Fugain était toujours vivant. Qu’il portait un autre nom. Et j’ai souri. Claude Clément avait su une fois de plus m’enchanter… et me faire rêver. Tout comme les illustrations de Kim Sejung.



Il suffisait d’un peu de musique pour que tous se mettent à rêver à nouveau.
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Le sculpteur de rêves

Dans une ville grise, triste et terne où vivent plein de gens pressés, arrive un petit étranger qui attire la curiosité car il passe ses journées à ne rien faire. Les gens ne comprennent pas son désir de donner forme aux rêves des autres alors qu’ici personne n’a le temps de rêver, trop occupés par leurs corvées, trop fatigués pour rêver dans leur sommeil. Pourtant lorsqu’il donne forme au rêve de musique d’un petit garçon, les avis changent, leur regard sur le monde également et avec l’aide du sculpteur de rêves, chacun va donner forme à son rêve…



Claude Clément signe un très bel album sur le rêve et notre désir de lui donner vie, car c’est notre force, notre volonté qui mettront de la couleur dans nos vies, de la joie dans nos cœurs, du bonheur dans notre quotidien. Magnifiquement illustrés par Kim Sejung dont le trait fin et arrondi et les couleurs contrastées apportent beaucoup de douceur à l’ensemble, Le sculpteur de rêves est une petite pépite pour les yeux et pour le cœur.
Lien : https://sirthisandladythat.w..
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Le sculpteur de rêves

Il arriva un jour dans une ville grise et ennuyeuse et s'y installa dans une petite boutique abandonnée. A sa devanture, il accrocha une pancarte où il n'y avait RIEN d'écrit. Il déplia son balluchon sur un tabouret. Il n'y avait RIEN dedans. Il s'installa sur le perron et, à toutes les heures de la journée et de la nuit, il ne fit RIEN. Bientôt, les villageois s'aperçurent de sa présence : cet homme était bien étrange, peut-être bien un artiste... Bref, en tout cas, un inutile. Mais quand les gens passaient devant lui, ils étaient toujours pressés, énervés, soucieux et contrariés. Certains cependant lui demandèrent s'il n'était pas fatigué de ne RIEN faire. Alors il leur répondit que son métier, c'était de sculpter des rêves, car chacun possède au moins un rêve, mais pas grand monde ne s'en souvient. Il leur dit aussi qu'il était à leur service pour donner forme à leurs rêves oubliés. Mais personne n'en avait cure, et tous étaient de plus en plus persuadés qu'il était un inutile. Jusqu'au jour, où, un petit garçon qui rêvait de devenir musicien...

Mon avis : Cet ouvrage appartient à la collection "D'ici et d'ailleurs" aux éditions flammarion. Le concept en est simple : des histoires universelles, un auteur et un illustrateur de cultures différentes, un métissage de sens et de couleurs. Cet « album conte » bénéficie d'un grand format (25,5 X 31 cm) ce qui le rend bien visible dans les rayonnages mais ce n'est probablement pas ce qui explique l'engouement qu'il provoque à la médiathèque. La première de couverture nous permet de faire immédiatement connaissance avec ce petit bonhomme bien sympathique qu'est le sculpteur de rêves. Entre ses mains petites et rondes, une boule lumineuse et aérienne contient le titre. Dès le début de l'histoire, l'auteure interpelle le lecteur en attisant sa curiosité.

" Personne ne le connaissait. Personne ne l'attendait. Personne ne désirait qu'il reste. Ni qu'il parte, non plus, d'ailleurs. Car personne ne fit attention à lui. "

Mais alors, qui est cet homme, que fait-il là, ou plus exactement, pourquoi ne fait-il rien de tout son temps ?

Et nous entrons dans ce conte philosophique empreint de poésie qui nous démontre qu'en étant trop pressés tout le temps, absorbés par notre quotidien, on oublie ses rêves, on n’œuvre plus pour leur donner forme, alors qu'il faudrait peu de chose pour y parvenir : un peu de volonté, suivie de patience. Les illustrations accompagnent à merveille le texte : les teintes sont délicatement nuancées et se renforcent au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire (il ne faut pas oublier que le sculpteur de rêves arrive dans une ville grise et ennuyeuse où les habitants sont souvent soucieux et énervés) ; les personnages sont ronds et expressifs, tout autant dans leur lassitude que dans leur bien-être nouvellement acquis. Tout cela réuni nous offre une bien jolie leçon de vie.

Mais au fait, dites-moi, qu'avez-vous donc fait de vos rêves ?

Public : à partir de huit - neuf ans mais sans aucune autre limite d'âge et même vivement recommandé aux adultes que nous sommes...

Si vous voulez vous rendre sur le blog de l'illustratrice, Kim Sejung, vous pouvez suivre cette adresse :

http://attwn82.canalblog.com/
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Le sculpteur de rêves

Un très beau compte qui m'à rappeler un livre de Hermann Hesse et qui rappelle la place des rêves, que l'on soit un enfant ou un adulte
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Le sculpteur de rêves

Mini Raton a reçu ce livre pour son anniversaire il y a quelques mois. Le livre a été lu, puis mis de côté, puis ressorti et relu…

L’histoire est un peu complexe, toute dans l’onirisme et la métaphore, mais ce livre est d’une immense douceur et c’est le texte plein de poésie et les images aux contours ronds et aux couleurs chaudes qui accompagnent l’enfant sur le chemin de cette lecture, et sur la compréhension progressive.

Il est étrange ce petit bonhomme tout rond avec ses cheveux roux. Il arrive alors que personne ne l’attendait, il repartira sans que personne s’en aperçoive, mais il aura mis des couleurs partout, parce qu’il est un sculpteur de rêves et parce qu’il sait, mine de RIEN, faire s’arrêter les gens pourtant si « soucieux, pressés » pour leur faire prendre conscience de ce rêve enfoui auquel on a renoncé trop vite.

J’aime ces rêves divers et accessibles. Bien sûr, il y a celui qui veut devenir musicien ou poète, mais il y a aussi celui qui veut faire un grand gâteau, ou un théâtre en bois, ou encore devenir couturière. Il y en a pour tous, et j’espère que cela permet aux petits lecteurs de comprendre qu’il n’y a pas de sot rêve, et qu’il est important de ne pas perdre ses rêves de vue, car c’est vivre la vie comme on la rêve (ou tout du moins essayer et ne jamais baisser les bras) qui permet d’être heureux.

Un très beau livre qui nous accompagnera au long cours, pour en comprendre le message petit à petit, au fil des lectures du soir. Un livre qui fonctionne sur le même mode que ce petit bonhomme dont on ne connaîtra pas même le nom, on passe devant une fois, deux fois, on s’interroge, on écoute, et ce n’est qu’au bout de quelque lectures que ma graine de lecteur commence à en comprendre le joli message si simple à dire, parfois si difficile à vivre. Et c’est une bonne façon de finir la journée sur une note de douceur, sur une note d’espoir en des lendemains fleuris si l’on prend le temps d’ouvrir son petit balluchon dans lequel il n’y a RIEN et d’en faire le meilleur usage possible.
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Le sheng amoureux

Ce conte constitue le troisième volume d’une collection dont les instruments de musique sont les héros. Personnage récurrent dans la vie des musiciens, « Le petit tourneur de pages » va conduire le jeune lecteur à entrer dans le monde de l’imaginaire afin de découvrir les multiples facettes de l’instrument.

Abondamment illustré, le livre comprend en outre des pages documentaires consacrées aux divers shengs entendus dans le conte. La musique de cette histoire a été entièrement composée par Wu Wei - maître international du sheng.


Lien : http://www.liresousletilleul..
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Le sheng amoureux

Conte musical qui nous entraîne en Orient. Il oppose le pouvoir d'un roi tout puissant à la volonté d'une simple paysanne.



L'empereur à la recherche d'une épouse tombe sous le charme d'une jeune fille et de son chant. Mais celle-ci, déjà fiancée, refuse de se mettre à sa disposition. Furieux, le roi l'emprisonne dans l'attente des noces.



L'instrument magique des deux amoureux va leur permettre de se retrouver en dépit de tous les obstacles...



Un beau récit servi par la voix chaude de Karin Viard. La musique est à la fois langoureuse et entraînante. Elle permet de découvrir un instrument à vent méconnu, constitué principalement de tuyaux. Il évoque tout à la fois la flûte, l'orgue ou encore l'harmonica.



Souvent le son s'étire, aérien et enveloppe le récit à la manière d'une couverture légère. Il évoque la contemplation et la réflexion même s'il comprend quelques morceaux plus dynamiques et sautillants.





A la suite des plages consacrées au conte on a plaisir à découvrir les musiques originales aux titres évocateurs comme "La voix sublime" ou encore "au-delà des océans". Puis une suite imaginaire. Soit au total presque une heure de Sheng à savourer.



A ce périple envoûtant se superposent des très belles illustrations soignées et riches en détails.

Les tons bleus et verts dominent à l'image de la nature.



Enfin un dossier permet de mieux comprendre l'histoire particulière de cet instrument hors norme.



A découvrir !
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Le vilain petit canard

Coup de cœur pour cette collection des Petits Contes du tapis au Seuil jeunesse! Ce grand format (35 X 25 cm) aux pages cartonnées est idéal pour les plus jeunes. Le principe est d’avoir la totalité du texte sur la toute dernière page, repliable, de l’album. Ainsi, vous pouvez lire le livre en le tenant face à votre enfant sans risquer un torticolis pour lire le texte! Très pratique en cas de lecture face à plusieurs enfants, il n’oublie pas pour autant d’être beau à regarder et permet de (re)découvrir l’histoire de ce canard pas comme les autres qui se sent rejeté jusqu’à ce qu’il comprenne où est sa place.
Lien : http://www.loulou-et-chipett..
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Le vilain petit canard

Le texte est très librement adapté pour des tout-petits alors que ce conte ne s'adresse en rien à ce public.

Attention à cette collection qui est très inégale dans le chhoix de ces contes et de ces adaptateurs ainsi que de ses illustrateurs.

Valérie(bib. de chevillyLarue
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Le vilain petit canard

Comment peut-on adapté à ce point le conte d4andersen qui ne s'adresse pas aux petits, tout cela afin qu'il rentre dans cette collection. Malgré des illustrations sympathiques d'Eric Battut, ce livre est raté.

Attention à cette collection qui reste inégale à tout point de vu
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Le vilain petit canard

Je ne me souviens plus de l'histoire originale, ce qui me permet de lire celle-ci sans attente ni a priori. Mes petits lecteurs en herbe et moi aimons bien le graphisme de l'album et l'histoire, un peu triste mais qui finit bien. Nous lirons le conte d'Andersen dans quelques années.
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