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Critiques de Claude Mossé (II) (46)
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Claude Mossé nous propose de nous plonger dans les intrigues du Vatican et de la famille Borgia. On suit plus particulièrement Vicente, abandonné dès sa naissance par ses parents biologiques : le roman est une sorte de quête de soi et d’identité par ce jeune homme très croyant et respectueux de la religion chrétienne. Le début du roman est très intriguant, de nombreuses questions se bousculent dans la tête du lecteur : qui est ce jeune homme ? Quel lien a-t-il avec la famille Borgia ? L’intrigue est par ailleurs relancée régulièrement pour ne pas qu’elle s’essouffle, même si certains petits dénouements sont assez attendus. Je m’attendais plutôt à suivre de plus près et plus précisément les Borgia, mais ce n’est pas vraiment le cas : Vicente est vraiment au centre du roman et la vie, les intrigues de la famille Borgia ne sont pas vraiment développées en profondeur, ce que j’ai trouvé dommage. Le traitement de l’histoire est assez érudit, les détails sont vraiment très précis.

L’écriture de Claude Mossé est vraiment très entraînante ; l’auteur a vraiment l’art de la formule : il exprime parfaitement, avec des termes qui font mouche, une idée précise, efficace.
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Claude Mossé romance ici l’histoire de cette famille scandaleuse et sulfureuse prête à toutes les compromissions pour gagner la tête de l’église Romaine : les Borgia. Vicente Romero est un jeune théologien ayant grandi au couvent de La Bellina à Saragosse. Il est orphelin et est en quête de ses origines. Un soir après la prière il découvre un mot anonyme écrit en catalan glissé sous la porte de sa cellule. Ce mystérieux message ne contient guère d’information, seule une injonction, celle de se rendre à Xativa.



Vicente décide de s’y rendre. Il va découvrir que cette ville est le fief des Borgia. Il observe, écoute, apprend. Par un étrange concours de circonstance il sera convié par Alonso Borgia (futur Calixte III) à le rejoindre au Vatican. Vicente ne peut refuser une telle offre et est en même temps ulcéré par le comportement des dirigeants de l’église, luxure, débauche, complots, relations incestueuses, crimes. Il se rend compte que ces hommes ne sont pas des hommes de Dieu mais des hommes avides de pouvoir et prêt à tout pour arriver à leurs fins.



« Chez les Borgia, on avait l’art de détourner les lois morales, avec l’audace de ceux qu’aucune injustice n’arrête jamais »



A la mort de Calixte III c’est son neveu Rodrigue, devenu Alexandre VI qui coiffe la tiare après un concile des plus douteux. Vicente, très pieu, ne souhaite qu’une chose rétablir la vertu au sein de l’église et il comprit très vite qu’il va devoir employer la même arme que son ennemi : la ruse. Son combat le menera en prison, il ferra de trés douleureux choix mais restera fidèle à sa droiture et à ses convictions.



Nous découvrons également au fil du roman les origines de Vicente, origine qui vont l’obliger à partir en guerre contre les siens.



Entre alliance avec des royautés, chasses des juifs, guerres ouvertes entre Avignon et Rome, intrigue et trahison j’ai découvert un pan de la Renaissance que je ne connaissais pas. Ce roman est passionnant, la narration est très fluide et de rebondissements en découvertes on ne lâche plus cette fresque jusqu’à la dernière page.
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Très mal écrit et non relu. Il reste des erreurs grossières: syntaxiques et orthographiques mais aussi des incohérences dans le récit. Le personnage principal (fictif), Vincente Romer, est totalement ridicule.

Totale perte de temps!
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Consternant !

Mal écrit, des erreurs de syntaxe grossières, une écriture brouillonne, ...

passez votre chemin et arrêtez vous plutôt sur Le sang des Borgia de Mario Puzzo
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Un livre romancé pour découvrir un peu ce qu'était la honteusement célèbre famille Borgia. Donc si on veut découvrir l'histoire de cette famille, ce livre en est a mon sens une bonne introduction, plutôt agréable à lire. Ca n'ira en revanche pas plus loin qu'une sorte d'introduction, Claude Mossé ne s'attardant que (ou presque) sur les mœurs plus que douteuses des membres de cette famille, principalement à travers Alfonso Borgia (le pape Calixte III) et Rodrigue Borgia (le pape Alexandre VI). Par cette approche, l'auteur se fait un peu le Suétone de la famille Borgia. Je dirais qu'il y a deux gros points négatifs dans ce livre, le premier est le régulier changement de style, on passe souvent d'un style de description historique des évènements a l'histoire romancée, et vice-versa, ce qui a eu tendance à me déconcerter un peu. Et deuxième point négatif, bien qu'étant un roman historique, il n'y a absolument aucune date (à une exception près) pour nous aider à nous situer dans l'histoire, ce qui m'a beaucoup gêné. Je suis tout de même plutôt content d'avoir découvert l'histoire de cette famille grâce à ce livre, et je vais enchainer directement avec le deuxième tome.
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Aïe ! Non décidément, la sauce ne prend pas. L’histoire commence tel un brouillon, on mélange vite les papes, les personnages, les intrigues, les références historiques. Non mais limite, j’ai envie de vous dire : regardez la série, vous en apprendrez plus !



Claude Mossé n’était décidément pas en forme ou pas à l’aise pour écrire ces deux romans. Car on se retrouve vite à faire des schémas, tout simplement. Mais sans une grande envie de trouver les solutions. Deux livres plats sur une famille pourtant passionnante qui a défrayé les chroniques (et qui continuent.
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Le roman de Claude Mossé, un journaliste à ne pas confondre avec l’historienne spécialiste de l’antiquité, est une petite lecture vraiment agréable, malgré quelques défauts de style…

Nous voilà embarqué dans un voyage de quelques années, à travers le regard de Vicente, le héros principal, qui va graviter autour de la famille des Borgia.



Nous verrons l’ascension d’ Alonso Borgia et de ses descendants. Alexandre, César, Lucrèce, une drôle de famille, toute entière vouée au pouvoir, à la violence, à l’argent et au sexe le plus échevelé.



La recherche de Vicente sur ses origines de petit orphelin est le prétexte à l’exploration d’un siècle agité, de ses mœurs et de ses intrigues politiques.



Le sujet est passionnant et traité de manière assez érudite et précise. Ce qui conduit parfois à une certaine lourdeur de style, mais si l’on est indulgent on peut passer outre. Et j’avoue, je n’ai pas boudé mon plaisir, malgré les digressions maladroites et certaines répétitions et longueurs (à se demander parfois si l’auteur voulait s’assurer de son propre propos)
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

En 4ème de couverture, on ose comparer cet objet aux "Rois maudits" ! Ceci est une insulte à l'œuvre magistrale de Druon. Si vous aimez les romans historiques, ne lisez pas celui-ci, il vous dégoûtera du genre (c’est mon cas). J’aurai presque envie de comparer ce livre à un article de presse tant il est désagréable à lire. Mais je ne peux même pas le comparer à un article puisque dans la presse au moins, on trouve des détails sur les faits, les dates, les lieux, qui, quoi, comment... on apprend des choses! Tandis qu'ici, les intrigues sont à peine suggérées et il ne donne de détail sur rien. Les chapitres se suivent et n’ont aucune relation entre eux. On passe d’un évènement à un autre sans comprendre ni pourquoi ni comment… Les personnages ne sont ni fouillés, ni attachants ni intéressants. Bref. Ce livre n’est ni fait ni à faire. La dizaine d’euros que j’ai perdue en l’achetant me chagrine moins que le temps que j’ai perdu à le lire… car j’ai tenu à terminer le livre tant je nourrissais l’espoir qu’il s’améliore au fil des pages.
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Claude Mossé nous romance l'histoire des Borgia, cette famille scandaleuse et sulfureuse, qui a régné sur l'église Romaine au 15e et 16e siècle. Une longévité surprenante qui s’explique par toutes les compromissions dont ont fait usage ces « papes maudits » ou maudits papes - corruption, sexe et meurtres, .. - pour rester au pouvoir.

L’auteur nous propose là un récit qui se veut historique, mais le résultat est quelque-pu brouillon. On a un peu de mal à suivre le fil, qui n’est plus « conducteur », tant les raccourcis historiques se répètent sans liens et les volte-faces des personnages surprennent et déconcertent. Toutefois, le style reste accrocheur et on va, sans trop de déplaisir, au bout de la lecture des deux tomes.
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Borgia, tome 1 : Les Fauves

Les Borgia... tout un programme a priori, l'idée seule de cette famille nous emplit d' un petit frisson : intrigues, complots, crimes, amours...



Et là... là, j'en perds mes mots. J'ai eu l'impression de lire une énumération de faits. Les 250 pages se passent sur plusieurs décennies, autant dire l'équivalent de plusieurs volumes avec cette famille ! J'aurais dû être tenue en haleine, mais non. C'est plat. Forcément, à lire un résumé de plusieurs décennies agitées, on s'y perd entre tous les personnages. Certains, comme Juan, n'apparaissent que pour être morts. D'autres cessent tout simplement d'apparaître.



J'ai lu des pavés de plus de mille pages en moins de temps et avec davantage de plaisir.



En plus... Vicente semble immortel. Il fréquente Rodrigue quand celui-ci n'est qu'un enfant, et soudain, c'est lui qui devient le plus jeune des deux. Mais à ne jamais savoir quand nous sommes (sauf une fois, au début de ce qui s'appelle "Partie deux"), j'ai pu mal comprendre.



Bref, je ne lirai pas la suite, c'est certain ! Enorme déception. Pourtant, ce n'est pas comme s'il n'y avait pas matière. "Les Rois maudits", cités en 4ème de couverture, et ce roman, n'ont vraiment rien à voir !! Je ne sais même pas comment quelqu'un a pu en arriver à cette comparaison...
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Borgia, tome 2 : La Chair et le Sang

Le roman de Claude Mossé, un journaliste à ne pas confondre avec l’historienne spécialiste de l’antiquité, est une petite lecture vraiment agréable, malgré quelques défauts de style…

Nous voilà embarqué dans un voyage de quelques années, à travers le regard de Vicente, le héros principal, qui va graviter autour de la famille des Borgia.



Nous verrons l’ascension d’ Alonso Borgia et de ses descendants. Alexandre, César, Lucrèce, une drôle de famille, toute entière vouée au pouvoir, à la violence, à l’argent et au sexe le plus échevelé.



La recherche de Vicente sur ses origines de petit orphelin est le prétexte à l’exploration d’un siècle agité, de ses mœurs et de ses intrigues politiques.



Le sujet est passionnant et traité de manière assez érudite et précise. Ce qui conduit parfois à une certaine lourdeur de style, mais si l’on est indulgent on peut passer outre. Et j’avoue, je n’ai pas boudé mon plaisir, malgré les digressions maladroites et certaines répétitions et longueurs (à se demander parfois si l’auteur voulait s’assurer de son propre propos)
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Borgia, tome 2 : La Chair et le Sang

Apres un premier tome intéressant mais quelque peu déconcertant pour des raisons précisées dans ma critique précédente, on se plonge plus facilement dans ce deuxième et dernier volet qui s'intéresse cette fois, certes toujours au personnage de Rodrigue Borgia (Alexandre VI) mais aussi et surtout à ses enfants, deux en particulier, Lucrèce et César Borgia. Un style plus uniforme rend la lecture plus fluide et donc plus intéressante que dans le premier livre, je déplore cependant une nouvelle fois une absence totale de dates, ce qui est très gênant pour un roman historique. Dans ce roman, Claude Mossé continu à s'intéresser principalement aux mœurs dépravées et criminelles de la famille Borgia, César en étant la synthèse absolue, mais il va aussi faire en sorte de réhabiliter le personnage de Lucrèce Borgia, dont la légende noire était entretenue depuis le drame éponyme de Victor Hugo qui la dépeignait comme cruelle et dotée de tous les vices (je n'ai pas lu la pièce, je la connais simplement de réputation). Elle est ici au contraire dépeinte comme une femme certes attirée par les plaisirs de la chair, mais une femme bonne, plutôt intelligente, généreuse et mère et épouse aimante (en dehors de son premier mari). Elle est la seule épargnée dans la description de cette famille, dont je suis content d'avoir fait plus ample connaissance à travers ce diptyque.
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Borgia, tome 2 : La Chair et le Sang

Suite à la déconvenue de la lecture du premier tome je me suis forcée à lire celui-ci, et je dois reconnaître que j'ai été surprise par l'écart de qualité. Mieux écrit, plus facile à suivre. Cependant il ne rattrape pas le consternant premier tome.
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Borgia, tome 2 : La Chair et le Sang

Je viens d'abandonner la lecture de ce deuxième tome. Même en me forçant je n'y arrive plus. Il semble qu'il y ait moins d'erreurs que dans le premier tome mais le texte est toujours aussi plat avec des clichés convenus et toujours ce personnage (fictif) principal qu'on souhaiterait noyé au plus vite dans le Tibre.
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Borgia, tome 2 : La Chair et le Sang

A l'image du premier. J'ai lu le tome 2 en me forçant, donnant une dernière chance à cette version. Mais la sauce ne prend toujours pas. Je suis restée totalement hermétique à l'histoire e cette famille.

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Catherine, Nostradamus et le Triangle noir

Prononcer le nom de Catherine de Médicis, c’est immédiatement l’associer au massacre de la Saint-Barthélemy, l’épisode le plus dramatique des guerres de Religion.

Un roman historique soit mais j'aurais apprécié qu'il soit un peu plus "romancé" et moins documentaire.



Cette lecture m'a tout de même permis de mieux comprendre le contexte dans lequel se sont déroulés les évènements tragiques que l’on connaît.



lu en 2012.
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Catherine, Nostradamus et le Triangle noir

Catherine de Médicis se retrouve veuve bien jeune et Charles 9 n'est encore qu'un enfant. Elle devient alors la régente, à la tête du royaume de France. la tâche n'est pas facile. Elle veut à tout prix éviter une guerre de religion entre huguenots et catholiques. Querelles, complots et intrigues se multiplient. Catherine est d'autant plus inquiète qu'elle se sent poursuivie par l'organisation du triangle noir. Qui sont ces personnages et que lui veulent-ils ? Elle se sent elle-même persécutée. La religion est aussi souvent liée au pouvoir et les pays proches ont parfois un intérêt soit à voir rester Catherine en place, soit à la voir partir. Même son proche conseiller l'abandonne. Il n'y a qu'une personne en qui elle fera entière confiance toute sa vie, c'est Nostradamus.

Roman facile à comprendre, même si l'auteur revient parfois sur des faits antérieurs à la Régence. L'Histoire est cependant parfois un peu lassante, les intrigues sont finalement toujours les mêmes. Au moins, l'auteur s'est tenu un peu plus à la réalité (semble-t-il) que Jean Teulé...
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Clément V, premier pape d'Avignon (1265-1314)

Il n'est pas facile de faire aimer un pape qui fut impuissant à empêcher le roi de France, Philippe IV le Bel, de faire arrêter en 1307, juger sur des années puis condamner à la peine capitale en 1314, les têtes dirigeantes de l'Ordre des Templiers, une institution dont l'existence relevait normalement de la seule volonté du chef de l'Église catholique. Peut-on dire pour autant que la papauté, qui n'allait pas tarder à s'installer en Avignon, sous la surveillance des Français positionnés de l'autre côté du Rhône, à Villeneuve-lès-Avignon, fut une papauté "vassalisée" par les rois de France ? Oui et non.

Boniface VIII avait tenté de résister aux volontés de Philippe le Bel, mais il le paya cher, car le roi de France, qui n'était pas homme à se laisser intimider, même par le pape, n'avait pas hésité à salir sa réputation et à le défier en envoyant des hommes armés menés par Nogaret et Colonna le menacer à Anagni.

Les moyens dont devait disposer Bertrand de Got, devenu pape sous le nom de Clément V, ne pouvaient que s'en trouver plus limités, même si cet homme fit tout son possible pour conserver ses prérogatives.

Le livre de Claude Mossé ne rend pas complètement compte de l'action et du pontificat de Clément V, car l'auteur s'est fait plus littérateur qu'historien dans ce livre, qui n'en est pas moins très intéressant. Il se lit d'ailleurs très facilement.

Clément V avait fait édifier une superbe forteresse médiévale à Villandraut, que l'on peut voir dans la partie nord de l'actuelle forêt des Landes ; ce pontife français se fit d'ailleurs ensevelir non loin de là, à Uzeste, où l'on peut se rendre par une piste cyclable qui trace son chemin au milieu des pins, dont les essences ont le pouvoir de purifier l'air.

François Sarindar, auteur de Lawrence d'Arabie. Thomas Edward, cet inconnu (2010)
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Dominici innocent!

J'ai entendu parler de l'affaire Dominici en passant un jour devant la grand'terre, en allant visiter l'abbaye de Ganagobie. J'ai ensuite trouvé chez moi ce livre que mon père avait acheté 27 ans plus tôt.

L'auteur nous donne ici son avis et son analyse de ce qu'on appelle l'affaire Dominici. Gaston Dominici, coupable ou innocent de ce triple meurtre en 1952, dont on entend encore parler aujourd'hui ?

Claude Mossé nous montre que rien, même à l'époque du procès, ne prouve de manière certaine qu'il était coupable. J'ai toutefois regretté l'analyse très personnelle que l'on ressent à travers le texte sans que de nouveaux éléments ne soient réellement montrés.
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