Claudia Piñeiro

J'ai découvert Claudia PINERO avec "une chance minuscule" et "à toi" , que j'avais beaucoup aimé. Betibou , c'est le surnom qu'un amant a donné à l'écrivaine et héroïne du livre, Nurit Iscar. L'auteur nous emmène vers une enquête policière , plusieurs meurtres ont été commis. Le thème de l'information, du journalisme et de l'enquête d'investigation y sont traités. Même si c'est bien écrit, on s'ennuie un peu, ça manque un peu de rythme. Le dénouement arrive en fin de roman, un peu tard d'après moi.

Un roman que j'ai eu du mal à terminer. Certain passage sont traînent en longueur et on a hâte de passer à autre chose . Le personnage d'Inès est drôle. Mère et épouse laissée pour compte qui veut démontrer qu'elle n'est pas dénuée de bon sens...quoique... Mais le roman laisse un gros arrière goût d'inachevé ou d'inabouti, presque bâclé à mon sens.

On se trouve dans un quartier entouré de grillage, copropiété sécurisée, au milieu de familles argentines favorisées et riches. Tout commence par un fait divers : les corps de plusieurs hommes sont retrouvés électrocutés dans la piscine de l'un d'eux. L'histoire nous ramène quelques temps en arrière dans l'univers de ces familles, roman à plusieurs voix, différents points de vue. Histoires qui se mêlent, adultes, enfants, enfants adoptés, gens de maison, tout ce monde se croise, se reçoit. Tout cela se passe pendant la crise qui va secouer l'Argentine. Très belle découverte.

Plongée dans les quartiers huppées de Buenos Aires, où une nuit un drame se déroule dans la piscine des Scaglia. Envoutant !
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