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Critiques de Clément Bouhélier (129)
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Chaos, tome 2 : Les terres grises

Autant j'ai complètement accroché au tome 1, autant j'ai lutté jusqu'au bout sur ce tome là, je suis totalement passée à côté... J'ai déploré des longueurs... et encore des longueurs, et arrivée à la fin, j'ai eu le vague sentiment qu'il manquait quelque chose pour terminer cette histoire, qu'elle ne pouvait pas juste se finir comme ça en laissant un monde dévasté et une foule de questions sans réponses. Bref, déçue, surtout après ce tome 1 qui avait posé les bases d'une histoire super prometteuse
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Chaos, tome 2 : Les terres grises

Ce second tome m'a moins plu que le premier. En effet, il est plus sombre, ou plutôt plus gris. Toutefois, l'auteur a bien réussi à installer son ambiance, qui est oppressante et irrespirable. J'ai pris plaisir à suivre la fin des aventures de nos 4 personnages (on ne peut pas dire héros...) même sis la fin m'a bien moins plue. J'aurais aimé quelque chose de différent... mais cela n'enlève rien à la qualité du récit.
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Chaos, tome 2 : Les terres grises

Les Terres Grises est le second tome du dyptique Chaos. J’avais bien apprécié le premier tome Ceux qui n’oublient pas, où une maladie inconnue se rependait dans toute la France, provoquant progressivement une passivité totale des victimes. On y suivait 4 personnages différents à travers ce brutal changement, un côté survie post-apocalyptique qui m’avait bien plu. La fin du premier tome semblait finalement indiquer un côté Fantastique derrière l’origine de tout ça.



Ce second tome confirme ce que la fin du premier laissait envisager. Le début m’a fortement perturbé avec des passages sur des personnages inconnus où on ne saisit pas vraiment de quoi il est question. C’est volontaire de garder ce mystère qui s’éclaire petit à petit par la suite, et un peu de mystère c’est bien, mais là c’était trop et j’avoue ne pas du tout aimé lire des passages où je ne comprends rien à ce qu’il est en train de se passer.



Passé cette phase un peu désagréable, j’ai pu facilement rentrer dans l’histoire et c’était sympa de retrouver les personnages du premier tome dans leur aventure. Le côté Fantastique/Science-Fiction (j’ai un peu du mal à le classer) prend ici une part beaucoup plus importante. En soi, l’intrigue m’a bien plu, quoiqu’un peu longue parfois, mais l’univers était intéressant.



Quand à la fin, je ne sais pas trop quoi en passer. Au départ, je ne voyais pas comment ça pouvait finir, puis quand les éléments se sont petit à petit enchaîné, je ne voyais pas comment ça pouvait finir autrement. Alors je pense que j’ai apprécié la fin, sans en être vraiment certaine. Au final j’ai passé un bon moment avec ce dyptique que je ne regrette pas d’avoir découvert.


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Chaos, tome 2 : Les terres grises

Un second volet qui confirme les questions qu'on pouvait se poser à la lecture du premier. Plus de doute, on est dans de la SF, avec un transfert sur ce territoire inhospitalier et déroutant des Terres Grises. Le rythme de thriller est toujours là, c'est efficace, mystérieux et, comme les personnages, on ne sait pas trop ce qu'on fait là. Et si ces protagonistes sont de simples pions ou des héros.
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Chaos, tome 2 : Les terres grises

Ce tome 2, raconté sur le même rythme que le tome 1, m'a nettement moins plu. Fini le réalisme, place au combat des dieux, aux navigations dans le temps, aux planètes étranges peuplées de monstres. Même si on y retrouve les protagonistes du tome 1, l'histoire est moins captivante. Il y a plus de 100 pages sur une course poursuite entre le groupe de 5 et un monstre / machine...
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Chaos, tome 2 : Les terres grises

En Résumé : Je suis ressorti de ma lecture de ce second tome de ce diptyque avec une impression pas complètement convaincu. L’ensemble n’est pas non plus complètement mauvais, mais voilà trop de longueurs ont fait que je n’ai jamais été totalement happé par ce récit. Les terres grises ne sont pas mauvaises et donnent envie d’en apprendre plus par son côté mystérieux, mais aussi par son ambiance sombre, sauvage, violente avec aussi ce petit côté inhospitalier qui fait qu’on tourne les pages pour savoir comment ils allaient s’en sortir. Sauf que la façon dont l’intrigue avance m’a paru un peu trop répétitive, reprenant un peu le même schéma. Concernant les personnages, même s’ils ne manquent pas non plus d’attrait je trouve que ce qui les rendaient différents dans le premier tome ici disparait pour nous offrir un « simple » groupe d’aventuriers. De plus certaines relations et certains liens m’ont paru un peu brusques voir mal construits. Cela ne les empêche pas pour autant d’offrir de nombreux rebondissements et aussi de se révéler intéressants dans leurs envies et leurs émotions. J’ai aussi regretté une fin un peu « happy-end » à mon goût même si cela ne l’empêche pas d’être percutante, quelques simplicités ainsi que le fait de ne pas voir plus de mondes pour ce genre de récit. Au final une lecture mitigée même si intéressante, le tout porté par une plume incisive et efficace et je lirai avec plaisir d’autres écrits de l’auteur pour voir son évolution et ce qu’il propose.





Retrouvez la chronique complète sur mon blog.
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Chaos, tome 2 : Les terres grises

On retrouve "ceux qui n'oublient pas" juste après les avoir quitté à la fin du tome 1. Chloe, Claudy, Arthur et Philibert nos quatre protagonistes sont presque réunis. Dans un Paris dévasté par l'épidémie de l'oublie, il se déplacent avec chacun l'idée lancinante qu'ils doivent trouver "l'étoile" dans Paris (je vous laisse deviner à quoi cet indice fait référence ;) ). Claudy suit toujours Arthur qui lui n'a qu'une idée en tête retrouver Noémie sa petite amie et cela à tout prix... prix qui dans ce monde de désolation peut s'avérer élevé. Chloé a pris la petite Leslie sous son aile et la fillette la guide vers une destination qu'elle seule semble connaitre. Quant à Phil, il est le moins chanceux des quatre, aux prises avec la dame en beige, il avance dans Paris comme on irait à l'échafaud. Tout cela se déroule sous le regard attentif de deux personnages : l'homme en blanc et l'homme aux yeux d'eau polluée... qui sont-ils ? Et quel est cet Orgue que nos protagonistes ont tous aperçu dans leur rêves? Les quatre ne semblent pour eux que des pions... peuvent-ils apporter de l'aide ou ne sont-ils là que pour compter les points ?

Et lorsque nos quatre compères malgré eux arrivent à se rejoindre, c'est pour finalement être projetés sur des terres grises et inhospitalières, loin du Paris version fin du monde, ils se retrouvent sur un monde morts et inconnu à l'atmosphère acide où ils devront s'entraider pour survivre.



Tout comme dans le tome 1, Clément Bouhélier impose un rythme sans temps morts à son récit. J'apprécie particulièrement la narration de l'auteur qui ne se contente jamais de nous donner un seul point de vue. L'histoire se reflète à travers les pensées et les actions d'au moins 5 à 6 personnages ce qui donne une belle ampleur à l'histoire et nous tient en haleine dans ce road movie qui n'est pas sans me rappeler la série Sliders le coté gentillet en moins ;) Et nos quatre personnages principaux que sont-ils ? des héros ? des pions ? C'est ce que l'auteur nous invite à découvrir tout au long de ce périple éprouvant au sein des terres grises. Claudy le leader, Chloe la protectrice, Phil l'ado obligé de grandir trop vite et Arthur le bagarreur, chacun évolue dans le groupe et individuellement...

Une écriture pleine de petites touches de style qui rende la narration unique. J'ai apprécié toutes ces variations distillé dans le récit par l'auteur, entre le rêve et la réalité, entre les mondes et l'Orgue, entre le présent et le passé, on a un récit riche qui nous surprend souvent dans notre lecture. A tel point qu'on est presque déçu de n'entrevoir qu'une partie des mondes et de la mécanique de l'Orgue, on en voudrait plus, plus que ces terres grises... J'avoue que si je devais faire un reproche c'est d'être un peu resté sur ma faim... à la fin justement. J'aurais attendu quelque chose d'un peu moins... terre à terre.

La qualité d'histoire et de narration de ce diptyque est indéniable. Clément Bouhélier sait parfaitement distillé son récit, nous tenir en haleine et prendre des chemins de traverse pour nous amener au point final de son histoire. J'avoue avoir vraiment été bluffée par le tome 1 et avoir trouvé le tome 2 bien ficelé. Le tout tenant beaucoup à la psychologie de nos 4 compères et à celle de leurs deux observateurs. Un récit inattendu (oui oui, je ne m'attendais pas du tout à ça en achetant le tome 1 sur un coup de cœur), porté par une narration agréable et originale dans sa mise en place. J'ai passé en train bon moment à me promener dans Paris puis à traverser les terres grises. Tous les éléments d'une belle rencontre livresque.


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Chaos, tome 2 : Les terres grises

Que de rebondissement, je ne m imaginais pas que l histoire allait prendre une telle tournure et etre autant attaché aux personnages. Des longueurs car beaucoup de detailsais cela permet d etre impregnier et de vivre l histoire. J aurais aimé, a l instar de ces 2 tomes, que la fin soit plus longue, plus precise, car je reste un peu sur ma fin quand meme. Tres belle lecture
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Le Pacte de sang

Quand on pense à Clément Bouhélier, la série Olangar nous vient tout de suite à l’esprit. Il faut dire que cette quadrilogie est d’une grande qualité et a confirmé l’auteur dans son statut d’écrivain en Imaginaire français. Mais la bibliographie de l’auteur compte d’autres titres, comme Chaos en 2016 dans le registre science-fiction post apo, ou encore Passé déterré en 2017, plus orienté fantastique horreur. Avec Le pacte de sang publié chez Critic, Clément Bouhélier revient au fantastique tendance horrifique. A noter que la préface est signée d’Adrien Party, spécialiste de la figure du vampire et auteur de Vampirologie.



Le récit suit deux fils narratifs différents en parallèle. Tout d’abord, de nos jours, un groupe de salarié d’une entreprise lyonnaise est en séminaire en Bretagne depuis plusieurs jours. Lors de la dernière nuit, un escape game est organisé dans un grand château proche d’Auray. Pour la majorité des personnes présentes, c’est la nuit de trop et il leur tarde de rentrer chez eux, le climat de l’entreprise étant assez tendu. D’autant plus que la nuit va vite tourner au cauchemar. En 1364, la bataille d’Auray s’est soldée par une déroute pour les troupes de Bertrand Duguesclin. Deux chevaliers en fuite trouvent refuge à l’intérieur d’un mystérieux château abandonné. Ils vont y trouver une horreur pire que celle de la bataille.



Les deux époques s’entremêlent pour former un tout, et s’éclairent l’une l’autre au fur et à mesure du récit. Elles sont tout aussi intéressante à découvrir l’une que l’autre, Clément Bouhélier instillant assez de suspense pour que l’on ait envie de savoir ce qui arrive par la suite dans chacune d’elle. Clément Bouhélier tient parfaitement son lecteur en haleine et connaît très bien les codes du genre fantastique/horreur. Le roman est très visuel, les descriptions sont réalistes et cinématiques. Le lecteur est très vite plongé dans cette sombre histoire sans temps mort et véritable page turner.



Dans Le Pacte de sang, Clément Bouhélier propose une réécriture du mythe faustien et de la figure du vampire avec une créature monstrueuse fort réussie. Le fait que l’on connaisse les pensées de la bête, que l’on voit son évolution au travers des âges, son lien avec les croyances et superstitions, avec l’industrialisation et les changements au fil du temps apporte beaucoup à l’histoire. La bête est une créature fascinante, mortelle et parfaitement mise en scène. Clément Bouhélier arrive à réinventer cette figure du fantastique, à se l’approprier et à la confronter à notre époque. Le contraste entre cette créature et les personnages très représentatifs de notre société est saisissant.



A travers cette histoire, Clément Bouhélier nous fait aussi nous questionner sur la notion de monstre. La bête est par nature monstrueuse, mais on peut se demander si certains humains ne sont pas plus monstrueux par leurs agissements. Ces réflexions se retrouvent tout au long du roman.



Avec Le pacte de sang, Clément Bouhélier nous propose une traversée dans le temps depuis le XIVe jusqu’à aujourd’hui en entremêlant 2 fils narratifs dans une histoire macabre. L’auteur maîtrise parfaitement son récit et joue avec les nerfs de ses lecteurs. A lire pour découvrir une autre facette de l’auteur et lire une belle réussite dans le genre fantastique/horreur également.
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Le Pacte de sang

1364, bataille d'Auray. Bertrand Du Guesclin et ses troupes sont en déroute. Deux de ses chevaliers, Olivier de Clissan et Martin de Rosmedec se sont réfugiés dans une vieille forteresse abandonnée en pensant y être à l'abri. Seulement quelque chose semble être à l'affût, prêt à sceller leurs destins.



Juillet 2021: Les salariés d'une entreprise lyonnaise de référencement termine leur semaine de séminaire. Pour leur dernière soirée, il est prévu qu'ils la passent dans un château pour participer à un escape game. Un programme qui n'enchante pas beaucoup nos Lyonnais même si tous s'y plient sans faire d'histoire. Seulement, ils ignorent la nuit de cauchemar qu'ils vont vivre entre ces murs lugubres...



Le Pacte de Sang est un roman contemporain où le thriller et l'Histoire s'invitent. En effet, Clément Bouhélier joue sur deux temporalités avec d'un côté, un cadre historique riche, celui de la bataille d'Auray qui mit fin à la guerre de succession de Bretagne avec la victoire de Jean III de Montfort et de l'autre côté, une scène moderne classique, celle d'une partie d'escape game entre collègues. Cette alternance permet à l'auteur de rendre la lecture très dynamique d'autant qu'il s'appuie sur des chapitres courts tout en donnant aux lecteurs les clés de compréhension du présent grâce au passé.



Derrière ces deux époques, il y a tout de même un point commun, c'est le lieu. En effet, Clément Bouhélier a choisi de réunir ses personnages au château d'Auray, faisant comme si celui-ci existait toujours autrement que sous la forme de ruines. L'endroit est isolé et inquiétant. Les murs transpirent une certaine malfaisance ressentie par chacun des protagonistes quelque soit son siècle. Derrière ce délabrement de façade, un être hante bien les lieux. Sa présence donne le caractère horrifique au texte. Insaisissable, monstrueux et avide, ce croque-mitaine fout vraiment les fois.



Et pour cause, sous la plume de Clément Bouhélier il personnifie la figure du vampire dans toute sa sauvagerie, sa cruauté et son abomination. Sa vue se dérobe souvent à nos yeux comme à ceux des autres personnages. Celui-ci préfère se dissimuler dans les ombres, fuyant la lumière pour se protéger tout en accroissant la peur. Sa monstruosité se devine plus qu'elle se perçoit. Ainsi, l'auteur joue sur tous nos sens pour laisser s'exprimer notre propre interprétation quant à la représentation de la figure vampirique, allègrement nourrie par l'imaginaire collectif.



L'atmosphère y est vite oppressante surtout en présence de ce tueur qui ne laissera sans doute que peu de chances à ses victimes. Le ton est donné assez rapidement et la tension monte crescendo. Le récit sera sanglant, qu'on se le dise, thriller oblige !



Le Pacte de Sang est un récit court, rythmé et sans concession dans toutes les formes de violence qu'elles soient physiques ou sociales car le texte est là pour hanter longtemps... suite sur Fantasy à la Carte




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Le Pacte de sang

Le digne héritier du film Alien !

Un castel-horror qui joue avec la figure du ... du quoi au fait... Mystère...



Tout est bien présent pour un roman fantastique (dans les deux sens du terme) : une bête, un château et une légende. Certains auraient choisi la facilité, Clément Bouhélier est plus sournois. Un début classique, alternant deux époques, jadis et aujourd'hui. Et même une troisième période, à J+1 de l'une. Mais il peut s'en passer des choses en une nuit...



Un roman, trois genres : Pour la partie historique, nous sommes en 1364 et on suit les pas de deux chevaliers fuyant le charnier d'une guerre et trouvant refuge dans un château. Pour le genre social, l'auteur nous plonge dans un séminaire de team building qui se déroule dans un château, et il va en falloir du building dans cette équipe déchirée... Et un roman policier qui se déroule de nos jours +1, où les flics enquêtent sur une jeune fille retrouvée pleine de sang, en panique, errant dans une rue proche... d'un château. Le tout épicé d'une pointe d'horreur légèrement gore.



Un roman en apparence simple, mais le monstrueux auteur adore jouer avec son lecteur, lui faire croire d'une piste balisée pour en emprunter une autre, et encore une autre et encore une autre... Il croise les points de vue, nous met dans la peau du monstre, qui bien entendu n'est pas celui que l'on croit.



L'auteur revisite et surtout modernise une figure du monstrueux, beaucoup plus proche du film Alien que de... On y retrouve la critique du libéralisme, un thriller haletant et il y ajoute une pointe d'enquête policière. Pris dans son piège, le lecteur n'a qu'une seule issue pour sortir de ce joli guêpier : lire jusqu'à plus soif pour enfin se dire, quel talent. Clément Bouhélier, alors que je déteste la fantasy, m'avait démontré que je pouvais avoir tort avec son cycle Olangar. Il fait de même avec Le pacte de sang, me donnant envie de découvrir les romans fantastiques.



Seule fausse note de ce livre, l'éditeur a fait le choix de mettre une préface dévoilant le pot au rose sur ce monstre. Je vous conseille donc de lire cette préface comme une postface.
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Olangar - Histoires au crépuscule: Histoires ..

Alors que l'on pensait que Le Combat des Ombres serait le dernier voyage à Olangar, Clément Bouhélier a décidé cette année de jouer les prolongations en nous proposant, avec Histoires au crépuscule, un recueil de nouvelles se déroulant dans cet univers cher à mon cœur de lectrice.



En effet, il renoue avec ses héros de la première heure qui viennent chacun à leur tour nous conter des histoires intimes et bouleversantes.



Après la sanglante attaque du train qui a failli leur coûter la vie, Torgend, Evyna et Silja poursuivent vaille que vaille leur route vers Frontenac. Profondément traumatisée par la violence des événements, Evyna est devenue mutique. Or, pour la sortir de son état, Silja a l'idée de profiter de leurs arrêts près d'un feu de camp pour conter une histoire. C'est ainsi, qu'à tour de rôle, ils vont s'immerger dans leurs souvenirs et nous entrainer dans des instantanés de vie témoignant de la rudesse de ce monde d'Olangar.



Avec Histoires au crépuscule, on retrouve cette même plume engagée qui a fait le succès de la saga Olangar.



Clément Bouhélier est le genre d'auteur qui ponctue ses textes de propos politiques, socio-économiques et écologiques forts dans le but d'éclairer fort habilement notre époque. Ses récits sont âpres, touchants et donnent même matière à réflexion. Ainsi, il apprécie de mettre ses personnages en difficulté pour mieux en analyser les réactions. Les trois nouvelles Histoires au crépuscule n'échappent donc pas à cette habitude et nous placent ainsi face à des sujets d'actualité.



De fil en aiguille, Histoires au crépuscule construit un kaléidoscope de tranches de vie qui nous font passer par tout un panel de vives émotions allant du simple serrement de gorge au vrai chagrin.



Derrière son monde imaginaire, il met à l'honneur des destins tourmentés, des vies brisées qui ne laissent clairement pas indifférents.



Alors que pour certains, lire ce recueil sera l'occasion de pousser la porte d'un univers à explorer, pour d'autres, c'est simplement l'opportunité de retrouver de vieux amis, des personnages qui nous ont marqué et que l'on retrouve avec grand plaisir. D'autant plus que Clément Bouhélier nous en dévoile un peu plus ici sur la jeunesse d'Evyna, éclairant de facto sa personnalité si affirmée, découverte dans la saga.



Avec Histoires au crépuscule, Clément Bouhélier ravira autant les fans de la premières heure que les curieux de dernière minute avec des récits toujours aussi passionnants dont lui seul a le secret. Lisez donc les romans de cet auteur, vous ne serez pas déçus, croyez moi... suite sur Fantasy à la Carte


















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Olangar - Histoires au crépuscule: Histoires ..

Nous avions dit au revoir, définitivement, à Olangar l’année dernière. Olangar, vaste cité au centre de toutes les convoitises. Qui, au cours des romans de la série a subi des assauts et des destructions. Olangar dont on pensait ne plus avoir de nouvelles. D’où la merveilleuse surprise de cette rentrée littéraire. Clément Bouhélier, comme il l’explique dans sa postface, n’a pu s’empêcher d’y revenir. Et franchement, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre !



J’ai beaucoup aimé Olangar et la série que Clément Bouhélier lui a consacrée : Bans et barricades 1 et 2, Olangar. Une cité en flammes et Olangar. Le combat des ombres. Je m’étais attaché aux personnages qui peuplaient ces terres parfois rudes. D’où une certaine tristesse à l’annonce de la fin de ces aventures. Mais c’est le jeu. Et il vaut mieux quitter à temps un monde que le prolonger en cycle sans fin qui lasse tout le monde. Malgré tout, la lecture de ce court texte m’a fait un immense plaisir. Avec cette douce impression de retrouver de vieux amis. Tendresse et tristesse mêlées.



Olangar. Histoires au crépuscule est construit autour de trois nouvelles, reliées entre elles par un récit. Evyna, Silja et Torgend sont sur la route. Dans la neige et le froid. Et les haltes ne sont pas très bavardes. Torgend, on le sait, n’a pas l’habitude de se répandre en confidences. Mais Evyna est d’ordinaire plus enjouée. Or, là, elle est fermée comme une huître et ses compagnons s’inquiètent pour elle. Ils décident de la mettre à l’aise afin de lui permettre de s’épandre, de se libérer de ce qui occupe son esprit. Silja va donc raconter un souvenir personnel.



C’est la première nouvelle : « Le secret de Kornal ». Où l’on en apprend un peu plus sur le karn. Et ses conséquences sur les elfes qui l’entendent. Afrun est une jeune elfe qui y est très sensible. Et cela va la mener dans des tourments et des doutes très forts. Trahisons, tromperies, déceptions. Clément Bouhélier nous promène dans les bas-fonds de la ville, parmi les bandes de ceux qui s’organisent en dehors de la loi. Et qui respectent un code de l’honneur sans faille : on le bafoue, on en paye le prix aussitôt. Définitivement.



Le récit de Silja fonctionne. Evyna s’ouvre progressivement et entame son propre récit : « Un grand feu de joie ». Il se déroule quand les orcs ont débarqué sur les terres des humains et que la guerre s’est intensifiée. Evyna était très jeune alors et c’est son père qui dirigeait son domaine. Devant l’arrivée des ennemis à la peau verte, il décide de fuir et de mettre la population en sécurité dans une zone éloignée. Mais certains veulent résister, croyant pouvoir lutter contre les guerriers ennemis. Et Malek, lui, refuse de laisser sa bibliothèque, constituée avec tant de peine, brûler : « Abandonner la bibliothèque. Le scrimvero. Toute sa vie… Il préférait ne pas y songer. » Vont-ils écouter la voix de la raison ?



Enfin, dernier récit, celui qu’attendaient Torgend et Silja, celui qui obstruait l’esprit d’Evyna : « Les loups d’Enguerrand ». Où l’on voit les différences notables s’installer entre elle et son frère, Andréan. Ce dernier était censé et voulait succéder à son père. Mais rapidement, on comprend que cela ne sera pas possible. Il n’est tout simplement pas à la hauteur. C’est Evyna qui gère la situation de crise, quand le ravitaillement manque et que les convois sont attaqués.



Et le récit qui lie ces trois textes n’est pas juste une ficelle. Elle nous révèle aussi beaucoup. Sur Torgend cette fois-ci. Lui ne parle pas, mais ses souvenirs remontent.



Outre le fait que j’ai apprécié le fait de retrouver ces personnages, je sais gré à Clément Bouhélier de ne pas avoir juste fait jouer la corde de la nostalgie. Car ces textes apportent quelque chose sur le passé de ceux que nous avons côtoyés si longtemps. Ils répondent à certaines questions, comblent certaines lacunes, développent certains points juste entraperçus dans les romans. Et c’est ce qui rend cette lecture quasi indispensable pour qui a aimé se promener dans les rues d’Olangar. Et ce qui fait qu’à mon avis, même si la lecture en est possible sans avoir lu les romans, et en sera même sans doute très agréable, on perd beaucoup. Le relief.



Je le répète, grande et belle surprise que la parution de ce petit ouvrage. Une plongée dans un monde aimé, avec des personnages devenus proches. Des histoires qui serrent au plus près les tourments de Torgend, Evyna et Silja. Une occasion de vivre encore avec eux quelques moments. Une dernière fois…
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Olangar - Histoires au crépuscule: Histoires ..

En 2018 paraissait le premier tome d’« Olangar », une trilogie rafraîchissante mêlant des aspects classiques de la fantasy (le trio elfe/nain/homme, notamment) à des considérations politiques modernes. Les personnages s’y retrouvaient confrontés à la corruption au sommet de l’état, à un désastre écologique, à la montée de l’extrême-droite ou bien à une grève générale organisée par un puissant syndicat réclamant de meilleures conditions de travail. Une sorte de rencontre entre Marx et Tolkien. Cinq ans après, Clément Bouhélier revient à son univers de prédilection avec un court recueil de nouvelles, « Histoires au crépuscule ». L’action se déroule pendant le premier tome de la série, « Bans et barricades », alors que Torgend, Silja et Evyna font route vers Frontenac. Particulièrement affectée par l’attaque à laquelle ils viennent de réchapper ainsi que par les souvenirs que la violence dont ils ont été victimes a réveillé, la jeune noble s’est retranchée dans le silence, au désespoir de ces compagnons de route. Pour tenter de la sortir de sa léthargie, ils vont s’échanger des récits au coin du feu, certains mettant en scène un personnage légendaire, d’autres relatant des drames ayant eu lieu au cours de la guerre entre les Orcs et le reste du continent, et d’autres encore prenant la forme d’une enquête entreprise pour résoudre un mystère. Les textes sont courts, (l’ensemble fait moins de deux cent pages), mais qu’il est plaisant de retrouver, même pour de brefs instants, l’univers d’Olangar ainsi que certains de ses personnages les plus emblématiques !



Silja ouvre le bal des histoires avec « Le secret de Kornal », une nouvelle sympathique se déroulant dans la petite ville d’Husevik qui raconte l’enquête menée par une sorte d’inquisitrice pour tenter de mettre fin à des disparitions d’enfants. Car le coupable qu’elle pensait avoir trouvé il y a des années, et qui avait immédiatement été exécuté, n’était visiblement pas le bon puisque de petits cadavres se mettent à resurgir et que le mode opératoire choisi semble être le même. L’intrigue est habilement déroulée et l’ambiance immersive, si bien qu’on suit avec intérêt la quête de la jeune femme, quant bien même cette dernière se révèle un peu trop froide et distante pour susciter l’empathie du lecteur. Evyna prend la suite avec deux récits très réussis, « Un grand feu de joie » et « Les loups d’Enguerrand ». Le premier se déroule pendant la fameuse guerre opposant les humains aux orcs et raconte le départ forcé des habitants d’Enguerrand pour échapper à la horde. Pendant les préparatifs, on fait la connaissance d’un soldat en quête de reconnaissance et d’un érudit, bien décidé à protéger les ouvrages de sa bibliothèque de l’attaque. Difficile pour des amateurs/amatrices de livres de ne pas être ému.es par cette nouvelle tout en nuance qui met en lumière une petite tragédie dans un océan de drames inhérents au contexte de guerre.



La nouvelle « Les loups d’Enguerrand » met quant à elle en scène Evyna et son frère lorsqu’ils étaient adolescents. Là encore l’intrigue repose sur une enquête menée par le duo afin de résoudre le mystère des attaques perpétrées par une troupe de brigands contre des convois de ravitaillement envoyés par Enguerrand aux villages voisins. Plus politique, le récit permet de faire la connaissance du frère de l’héroïne, personnage dont la disparition sera responsable de la montée à la capitale de la jeune noble au début d’Olangar, et donc de sa rencontre avec Torgend. Là encore le récit se révèle astucieusement construit et nous entraîne sur plusieurs pistes avant de finalement nous dévoiler le fin mot de l’histoire. L’auteur a convoqué pour l’occasion une belle galerie de personnages, tous suffisamment difficiles à cerner pour en faire de potentiels coupables, et ainsi entretenir le suspens. Torgend, lui, ne se livrera pas à ses compagnes de voyage, mais l’auteur lui consacre malgré tout une histoire qui se dévoile par bribes, lors des interludes entre les récits des jeunes femmes. Il y est question d’une guerre mal engagée, de jeunes frères ne désirant rien tant que rentrer chez eux et d’un chef brutal. Un cocktail explosif qui, là encore, témoigne d’une tragédie intime bouleversante.



Avec son recueil « Histoires au crépuscule », Clément Bouhélier renoue brièvement avec l’univers d’Olangar et nous offre de beaux textes qui permettent d’enrichir l’univers ou d’apporter encore davantage de complexité aux personnages.
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Olangar - Histoires au crépuscule: Histoires ..

Olangar. Ce nom résonne désormais en moi comme Germinal, un thriller politique, social nous contant un univers réaliste malgré les races imaginaires. Et qui a réussi à me faire apprécier la fantasy. Fantasy française qui plus est ! (A quand une traduction pour le monde entier, une série, un film ?). Mais ce méchant auteur a décidé de mettre un point final à sa saga avec Le combat des ombres !!! Lorsque l'éditeur m'a contacté pendant les vacances pour m'obliger (pouvais je dire non ?) à lire Olangar : Histoires au crépuscule, je frétillais de la queue.



Mais la déception arriva vite : quoi, seulement 188 pages ! Je suis du genre gourmand et Clément Bouhélier m'avait habitué aux pavés (qui volaient régulièrement soit dit en passant). Tant pis, ce sera un petit frichti... Trêve de blabla, est-ce que tu dois acheter ce recueil ?



"Qu'est ce qui se passe ensuite ?"

Voilà l'exclamation qui m'a accompagné lors de la lecture de ce fix-up (pour les ignares : des nouvelles reliées par un fil rouge). Une exclamation comme lorsque l'on te raconte une histoire et qu'il y a une interruption, tu es impatient de connaître la suite. Et si tu es impatient, c'est que l'histoire est bonne.



On suit les pas de 3 cavaliers font route vers une vengeance à travers une campagne désertique et froide, dont l'une des comparses broie du noir. Ses compagnons, lors du repos bien mérité, tentent de lui faire crever l'abcès en contant une histoire. La première, noire comme la fumée des forges, nous emmène dans les bas-fonds d'une ville où les enfants de rue disparaissent. Le coupable est arrêté, mais 10 ans plus tard, cela recommence... Un récit âpre qui condense magnifiquement ce qui a fait pour moi le succès de la saga Olangar : du politique, de la persévérance, et des gens de rien.

La seconde histoire nous ramène à La guerre des orcs dans une province reculée. La fuite devant l'arrivée de la horde, avec pour conséquence de laisser l'histoire de la région, les livres, à la furie guerrière. Une nouvelle sur la communication interculturelle, et surtout l'importance des histoires contenues dans les bouquins.

La dernière nous conte une enquête de brigands qui dévalisent et tuent pour s'accaparer des convois de nourriture alors que la famine guette. Les femmes sont elles l'égale des hommes pour commander ? Ont-elles les épaules pour gouverner ?



J'ai pris un grand plaisir à me replonger dans la région d'Olangar. J'avais peur d'avoir oublier un peu des détails et me sentir un peu perdu, mais non, pas besoin de se rafraichir la mémoire. Ce qui signifie que cela peut se lire de manière indépendante. Seul bémol pour celles et ceux qui n'ont pas lu les romans, ce recueil est très bien, mais il n'a malheureusement pas l'ampleur des autres textes. Donc attention, après lecture, vous allez en prendre plein les yeux en parcourant ces nombreuses pages.
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Olangar - Histoires au crépuscule: Histoires ..

Pouvant faire office de porte d’entrée dans une saga originale, on ne peut que souhaiter qu’Histoires au crépuscule attise la curiosité de nouveaux lecteurs vers les ruelles d’Olangar.
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Olangar - Histoires au crépuscule: Histoires ..

L’univers d’Olangar de Clément Bouhélier a donné lieu à 3 romans de fort bonne qualité. Il mélange des éléments de fantasy traditionnelle, d’industrialisation, de révolution dans un monde où vivent des humains, des nains, des elfes, des orcs. La trilogie est terminée, mais l’auteur a eu envie de revenir à ce monde par le biais de nouvelles avec ce livre Olangar histoires au crépuscule. Pour les familiers des romans, on retrouve des personnages connus pour trois histoires courtes qui permettent de retourner à Olangar à différentes époques. Pour les autres, ce recueil pourra constituer une très bonne porte d’entrée vers l’univers.

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Olangar, tome 1-1 : Bans et Barricades

Une approche originale d'une révolution industrielle dans un mondre fantastique. Un livre pas si éloigné du monde décrit par Robin Hobb dans la saga du soldat chamane.
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Olangar, tome 1-1 : Bans et Barricades

En bref et si ce n’était pas clair, j’ai adoré ce roman qui frôle le coup de cœur (à voir après la lecture du 2 !). Olangar propose une réécriture de fantasy classique en transposant des orcs, des nains et des elfes dans un univers post révolution industrielle où chacun doit se battre pour ses acquis sociaux. Sur fond de lutte politico-sociale, Olangar est non seulement un roman prenant avec une intrigue addictive et rythmée mais aussi un texte intelligent qui invite son lecteur à réfléchir sur des sujets d’actualité encore brûlants. Clément Bouhélier signe ici le premier tome d’un diptyque savoureux qui frôle l’excellence et lorsqu’on ferme ce roman, on n’a qu’une envie: foncer en librairie pour acheter la suite.
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Olangar, tome 1-1 : Bans et Barricades

C'est la lutte finale...

Ou comment transposer Germinal dans un univers de Fantasy.



Des nains cégétistes revendicatifs, des trolls immigrés bouc émissaires, des elfes individualistes et conservateurs, et des hommes, la pire engeance ?

J'ai dévoré ce roman en moins de temps que de l'écrire. De l'action, du thriller, de la politique, du suspense. Bref, un concentré de page turner bien troussé. Des méchants bien méchants et fourbes, des politicards ne pensant qu'à leur réélection.

En fait, c'est notre monde transposé dans un univers fantaisie. On croirait voir les Macrons et autres populistes prêt à tout pour accéder au pouvoir ( ce qui ne doit pas être un hasard, comme les sans-dents).

Et ça marche, l'auteur n'oubliant jamais son histoire au détriment de la diatribe.



Je ne suis pas un adepte de la fantasy, mais l'auteur a su me prendre dans ses filets. Pas de magie ici, il y a des armes à feu, des canons, et même une attaque de trains, on se croirait parfois en plein western situé en révolution industrielle.

Les races imaginaires deviennent ici bien réel, l'imagerie folklorique est rebattue : même si les nains travaillent dans des mines, ils le font sous le joug d'un patronat qui n'a rien a envié à un Germinal.

Lutte des classes et des races, les revendications sociales trouvent ici un souffle épique et somme toute assez nuancée, les personnages étant avant tout des individualistes mais leur combat est pour un monde plus juste.

La thématique sociale est assez variée, que ce soit au niveau de l'environnement/écologie, ou la place accordé aux, aux une au aux autres. Mais je vous laisse découvrir...

Je savais que la SF politique existait, Clément Bouhélier me montre que la fantasy politique existe aussi. Et j'en redemande.



La cité de Olangar nous est présentée sans verser dans des descriptions longuettes, mais par petites touches. On s'y promène du port aux auberges malfamées, des lieux de pouvoirs aux officines des basses oeuvres. Une ville qui lorgne peu à peu vers la révolution industrielle.



Une fois la dernière page tournée, j'ai embrayé de suite avec le second tome, qui est sa suite directe.
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