Damián Campanario Hernandez

Une visite de classe dans un château qui tourne mal et voici quatre amis propulsés dans un monde étrange et inconnu. Le pire c'est qu'une brute épaisse et décérébrée les accompagne, Piero, le harceleur officiel de la classe et en particulier de nos quatre têtes d'ampoules. Ils vont se retrouver dans une société de templiers, bien décidé à continuer à vivre en paix et dans l'abondance. Seul problème cela n'est possible qu'à condition de réguler la population, en laissant aux anciens le choix entre la mort ou l'exil... Une bande dessinée qui met en scène des voyages temporels avec un graphisme et des couleurs qui claquent, et des personnages aux caractères bien trempés.

La sortie du tome 2 est l'occasion de découvrir cette jolie BD.



Une bande de gamin se retrouve projetée dans le futur, dans une ambiance bien différente de leur quotidien.



Les traits saisissants, très carrés, au scalpel, donnent un côté rétro gaming avec une colorisation très flashy, très année 80, que l'on retrouve avec les fringues, les coiffures, le tout fleur bon la pop culture et j'aime beaucoup.

Une bande dessinée qui se passe dans un univers futuriste où les protagonistes sont perdu•es et qui aborde également le harcèlement scolaire ? Je prends !



En effet, l'intrigue met en place une classe qui visite les ruines d'un ancien château, où la camaraderie n'est pas franchement présente : accompagné de ses acolytes, Piero harcèle une petite bande. Celle-ci est composée de Sara, en situation de handicap, Mei qu'on considère comme "intello", Arnold qui est gros et moqué pour son poids, et le très - trop ? - gentil Driss. Suite à une énième mauvaise blague dont iels sont victimes de la part de Piero, les quatre ami•es vont se retrouver dans un étrange univers où la nature semble avoir repris ses droits. Perdu•es dans le futur avec leur pire ennemi, il faudra pourtant s'unir afin de sortir de ce bourbier...



Dès le début, il y a beaucoup d'action, puisque les cinq enfants vont très vite se trouver dans une mauvaise posture, au cœur d'une jungle hostile... Les événements s'enchaînent assez rapidement - peut-être un peu trop, parfois - afin de mettre en place le récit.



Dès le premier tome, les personnages vont devoir s'entraider, même si cela signifie s'allier avec leur harceleur. Les auteurs nous livrent une intrigue assez plaisante, avec de jolies illustrations, dans un monde différent du nôtre où l'union fait la force...! C'était un chouette début de saga et je suis curieuse de lire la suite !

La gestion des couleurs, le design des personnages, le découpage dynamique et vivant participent aussi pleinement à la réussite de ce premier opus. Nous allons suivre du coin de l’oeil avec grand intérêt la suite de cette saga rafraîchissante. Une belle surprise !
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Tout d’abord, je souhaite remercier les éditions Dupuis pour l’envoi de cette BD.



J’adore ce petit format carré de BD à l’image de Animal Jack, Lolicornes, Rainbow Girls ou encore Aubépine. C’est souple, très agréable et rapide à lire, c’est un format que je préfère plutôt que les grandes BD rigides !



Eh bien, j’ai adoré ma lecture ! C’était frais, addictif et plutôt sympa donc il me tarde de savoir ce que nous réserve le tome 2.



Les dessins sont assez jolis (même si les personnages ont parfois la tête de kikis XD) et simples. J’ai beaucoup aimé le trait ainsi que la colorisation de l’ouvrage. A vrai dire, dès que les couleurs me plaisent en BD, il en faut peu pour me plaire, je ne suis pas si difficile ahah !



L’univers est plutôt intéressant, on fait face à un groupe de personnages différents mais attachants qui se perdent dans le futur à la suite d’une chute dans un grand trou (XD, on va arrêter les allusions ici hein). J’avoue que cela m’a fait penser à la BD Le Royaume (alors que rien à voir..) car on se retrouve avec des personnages portant des vêtements moyenâgeux dans les deux (alors que dans Perdus dans le futur, cela se passe dans le FUTUR, wtf).



Cette petite BD allie plusieurs thèmes comme le harcèlement, la remise en question (surtout quand on est adolescent!) et surtout l’AMITIE ! J’ai beaucoup aimé la solidarité de la part de tous les personnages, qui savent fermer les yeux sur leurs problèmes d’école pour survivre.



La fin est totalement folle et donne clairement envie de lire la suite pour savoir ce qu’il s’y passe, j’ai vraiment trop hâte !
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Et si on se perdait un peu dans le futur avec cette nouvelle BD de chez Dupuis ?



On se retrouve avec des élèves d’une école qui font un voyage scolaire. Un petit caïd de la classe, nommé Piero décide d’embêter certains de ses camarades. En agissant ainsi, ils finissent tous par tomber dans un trou. Quand ils en sortent, ils réalisent qu’ils ne sont plus là où ils se trouvaient. Ils apprendront rapidement qu’ils sont tombés dans le futur !



Même si je ne suis pas particulièrement fan du style de dessin, après un temps d’adaptation, je me suis laissé prendre par l’histoire. J’ai aimé les divers personnages qui sont tous attachants, même ce petit caïd de Piero !



Nous sommes pris dans l’intrigue et nous voulons, comme nos protagonistes, comprendre ce qui leur arrive, pourquoi ils sont ici et en particulier, comment rentrer chez eux.



En bref, c’est un premier tome qui m’a vraiment plu. Une BD comme je les aime. Des personnages drôles et attachants et une intrigue vraiment prenante. De plus, le tome se termine de manière vraiment folle ! Il me faut la suite!!
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Perdus dans le futur, au sein d'une jungle hostile où l'humanité semble avoir disparu, ils découvrent une planète où la nature sauvage a repris le contrôle.
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Deuxième volet des aventures de ces cinq enfants perdus dans le futur. J’aime bien ces cinq anti héros, personnages un peu losers, mais qui prennent de l’assurance au fil de leurs aventures.

Les personnages ont des membres en nouille, le graphisme est dynamique, moderne, avec un aspect de doodle (Gumball), les traits et les formes sont schématiques, mais les détails foisonnent, les couleurs sont intenses, saturées et pourtant très nuancées, les différentes atmosphères sont très élaborées grâce à la gamme colorée bien choisie. Cette ambiance ludique et moderne nous entraîne dans un récit épique, rocambolesque et plein de surprises.

Quelques clins d'yeux et parodies apparaissent dans l’histoire, de Jurassic Park à Mad Max, Walking Dead, les jeux vidéo… avec un groupe de personnages assez formidablement imaginés, un peu potache et horreur à la fois, le style Scoubidou est renouvelé et modernisé avec talent.

Le premier tome nous a fait tomber sous le charme d'une bande de gamins qui n'ont pas de bol. Après un premier voyage dans le temps, ils arrivent encore dans une autre période. Le monde semble avoir sombrer dans des extrêmes assez peu enviables. L'abus de technologie immersive à inciter les humains à abandonner leur vie terrestre. Le monde est devenu si laid, si difficile, si injuste qu'uniquement le virtuel permettaient de s'échapper. En conclusion, la majorité des adultes sont morts et quelques enfants. Ils restent dorénavant des sauvages tentant de survivre en communauté. Les guerres civiles pointent inlassablement le bout de leur nez. Les enfants n'ont pas eu le temps d'apprendre l'empathie alors tuer l'autre ne pose aucun souci. Le groupe d'amis après avoir retrouvé leur parchemin décide de prendre la poudre d'escampette au plus vite. Et les voilà dans une autre époque qui sera le récit du troisième tome. Bien que cela soit très plaisant de retrouver les mômes, l'histoire va très vite. On n'a pas le temps de rencontrer les autres personnages, leur récit de vie, ce qui les lie entre eux... A t'on un train à prendre en urgence? On reste par conséquent sur notre faim. Damian propose un regard critique sur la société à travers l'abus du numérique mène au décès, donc soyez prudent. Et aussi sur la question écologique, avec la peur d'une contamination par le nucléaire. Et aussi le fait que le pire du point de vue environnementale est arrivé : "Au fond, je les comprends. Le monde réel était devenu un enfer. Les pires prédictions se sont réalisées : la hausse des températures, du niveau de la mer, l'extinction massive de la faune et de la flore... [...] Heureusement la planète guérit vite sans tous ces humains". Deux phrases lourdes de sens qui vont à l'essentiel et que tous les lecteurs peuvent comprendre. Même si la lecture s'est montrée en demi-teinte, l'envie de poursuivre la découverte avec les deux prochains tomes est là.
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Force est de constater qu'aucune amélioration n'est à noter entre le premier et le second tome de cette série déjantée. Les personnages sont toujours perdus dans le futur, les adultes sont à priori tous morts ou piégés dans un monde virtuel, au choix...Les jeunes, eux, semblent vivre dans un jeu vidéo, tandis que partisans des nouvelles technologies et décroissants s'affrontent. Un cherche et trouve géant permettra-t-il à la petite troupe de rentrer à Carcassonne ?

Dans ce tome 2, les jeunes Piero, Sara, Mei, Arnold et Driss arrivent en 2112, dans un parc d'attractions déserté où des monstres en carton pâte sont les seuls vestiges. Petit à petit, ils comprennent que la Terre a connu une terrible apocalypse. A travers cette histoire, l'auteur dénonce la société ultra-connectée qui s'oppose à une poignée de personnes qui cherchent à construire une nouvelle société. Les personnages sont plutôt attachants et drôles et le graphisme est différent de ce que j'ai l'habitude de lire. Mais cette bande-dessinée est plaisante surtout que le lecteur ne sait pas si les enfants vont réussir à ré-intégrer leur monde. Suite au prochain tome.

Piero, Sara, Mei, Arnold et Driss sont parvenus à effectuer un bond dans le temps, mais au lieu de rentrer chez eux, ils se retrouvent, en 2112, dans un immense parc d'attractions abandonné où seuls subsistent de grands dinosaures en carton-pâte.

Ils réalisent rapidement que la terre a bien changé. Les humains, bien trop hypnotisés par leurs écrans, n'ont rien tenté pour éviter la catastrophe ... Dans ce monde dévasté, deux groupes d'enfants rescapés s'affrontent : les défenseurs de l'ultra-technologie et les partisans d'un nouveau monde à créer. Piégés, Piero, Sara, Mei, Arnold et Driss vont devoir choisir leur camp. Mais parviendront-ils à revenir chez eux ?



Une sympathique découverte au graphisme pétillant et dynamique qui colle parfaitement à l'histoire et qui me rappelle un peu l'univers de "Mad Max". Actions et humour sont de la partie. On ne s'ennuie pas !

On y aborde les thèmes de l'amitié et de l'entraide, tout en critiquant, l'air de rien, notre monde hyperconnecté.



#Perdusdanslefutur #NetGalleyFrance !

The Killmasters est certes un sympathique one-shot horrifique proposé par Ankama aux nombreux poncifs du genre mais ceux-ci s’enchainent cependant sans trop de réel liant. Il manque un cœur à l’ouvrage.
Lien : https://www.actuabd.com/The-..

Un monstre est passé…



[Résumé] The Killmasters est un délicieux thriller horrifique dans lequel les auteurs jouent avec jubilation et efficacité avec les codes du genre…



L’écriture nerveuse de Damián et le dessin anguleux et énergique de Javier ne laissent aucun répit au lecteur comme aux personnages qui sont entraînés dans l’histoire sans jamais pouvoir reprendre leur souffle…



La fin ouverte et les nombreuses questions qui restent en suspens pourront légitimement frustrer certains lecteurs… Mais le récit est mené avec une telle efficacité qu’on le dévore avec un réel plaisir malgré ce délicieux sentiment de frustration qui vous saisit à la dernière planche…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..

Horreur et occultisme, violence et red neck, ce one-shot est dynamique et se regarde comme une série B. le dessin acéré et vif de Javier renforce le rythme pour une lecture à 100 à l’heure sur du Dark Throne !
Lien : https://www.scifi-universe.c..

Damian écrit ce scénario pulsant à cent à l’heure qui (pour)suit ces quatre métalleux tandis que Javier illustre et dépote ce récit étonnant, et même détonnant !
Lien : https://www.avoir-alire.com/..

un scénario et une narration efficace qui m'a tout de suite embarquée dans le récit. Le dessin sert bien le propos même s'il est parfois difficilement lisible, notamment quand le monstre entre en scène.

Une bd très sympathique mais qui nous laisse clairement sur notre faim avec une fin trop abrupte et ouverte.