Dan Abnett

Voici le quatrième épisode des aventures de Malus Darkblade, l'elfe noir possédé par un démon qui pour sauver son âme doit retrouver cinq artefacts. Et dans cet épisode, il doit retrouver l'épée de Khaine, l'épée que seul un élu de Khaine peut manier.

Malus se retrouve dans une cité de sa patrie et il devra se confronter à des complots politiques visant à posséder le culte de Khaine, culte chéri par les elfes noirs. Et tout ça sur fond de massacre bien sanguinolent. Je me demande toujours comment cette société d'elfes noirs fait pour survivre tellement il se massacre entre eux et dans la bonne humeur, où alors, ils sont très nombreux et de temps en temps cherchent le moyen de retrouver une certaine harmonie en tuant à tour de bras.

Cet épisode nous en dit en peu plus sur les intentions du démon et nous retrouvons un Malus de plus en plus mal en point. J'ai un peu hâte de lire le dernier épisode pour connaître la fin, et de plus, j'apprends un peu plus à chaque fois comment réagissent les elfes noirs.

C'est bien écrit et les combats sont omniprésents, un peu trop même.

Enfin, j'aimerais lire quelque chose de moins sanglant pour un fois, ché pas moi, un roman avec plein d'halfelings, pourquoi pas ?
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J'avoue que je ne m'attendais pas à une Lara Croft de ce genre. Elle présente beaucoup de faiblesses, une confiance trop facilement donnée et une naïveté dans certains cas déconcertante. L'avancée de son histoire et ses péripéties m'a parut en dent de scies avec des passages bourrés d'actions , d'autres trop lents et n'oublions pas ceux où elle parle à voix haute qui ne servent à rien. J'ai bien aimé la fin qui m'a parut logique et bien amenée .

Le premier livre de l'univers WH40k lu et certainement pas le dernier. Si on aime le genre roman d'action guerre fantastique c'est un top, sinon passez votre chemin. Les 800 pages et la taille du texte peuvent susciter de l'appréhension à se lancer mais on se fait immédiatement emporter par le colonel commissaire et ses Taniths dans leurs épopées guerrières. Pas de temps morts, de l'action, une histoire bien construite des personnages charismatiques. Une seul envie lire le tome 2...quasi impossible à trouver aujourd'hui malheureusement. Néanmoins ce premier tome est un super livre et me fait regretter de ne pas avoir mis le nez dedans avant.

Ce tome est énorme ! Il porte vraiment la saga. J’avais trouvais les deux premiers moyens, là ça marche fort.

Points positifs :

- La continuité. Très fragile dans le Tome 2, bien mieux dans celui la.

- L’attachement au personnage. C’était un peu difficile dans les premiers tomes, mais au bout de 3 ça y est. On retrouve des personnages (et des méchants ) qu’on aime bien et des nouveaux cohérents. L’auteur n’hésite pas à les mettre en danger et le personnage d’Eisenhorn est plus profond. Même si je trouve qu’il ne paye pas beaucoup c’est erreur dommage (y’a un petit problème de moral et de lien affectif mais c’est léger).

- On a des personnage normaux ! Tout le monde n’est finalement pas le ou la meilleur guerrier/savant/postier du sous secteur. C’est très rafraîchissant. J’aime beaucoup les trois personnages féminins de ce tomes, notamment parce que elles n’ont pas peur d’Eisenhorn.

- Le suspens, je sais plus si c’était pareil dans les premiers mais dans celui la c’est rudement efficace.

- L’univers. Je ne serait pas dire ce qui a fait la différence mais dans celui la je suis vraiment rentrer dedans.

-Eisenhorn a toujours la mega classe.

Points négatifs

- La toute fin, un peu rapide.

- Eisenhorn a toujours un bouclier scenaristique de personnage principal qui le rend presque immortelle. Et puis il fait des conclusions des fois ça me semble impossible d’y arriver (encore une fois c’est léger).

- Quelque problème de ton.

- Y’a toujours trop de pers, y’en a je les avait complètement oublier, on nous explique des trucs déçois ça sert à rien. Alors je lis c’est passage sans que ça n’embête ma lecture. J’ai appris à reconnaître les moments où je pouvait me passer de tout retenir. Et c’est passage be son ni très fréquent ni très long. A mon avis c’est un Default mais c’est léger.



Très très bonne lecture, c’est vraiment le suspens qui fait tout. J’ai hâte de la suite

Nouveau tome sur l'Heresie d'Horus qui va nous amener du côté des Space Wolves, un chapitre Space Marine bardé de tradition empreints aux nordiques et vikings, très portés sur les rites et traditions guerrières.



J'ai d'abord eu peur de tomber sur un ouvrage miroir de "Un Millier de Fils" au vu du titre assez évocateur du roman. Peur de ne voir qu'une copie de la bataille de Prospero avec pour cette fois le point de vue des antagonistes. Au final j'ai été agréablement surpris car ladite bataille n'est abordée qu'à la toute fin du roman, dernier chapitre et assez bien résumée, peu de lourdeur.



Au final on embarque au côté d'un historien de Terra, un simple mortel qui se retrouve mêlée a une conspiration a une échelle dantesque et qui s'attire les faveurs d'un chapitre de post humains a la réputation de barbares sans peur.

On apprend beaucoup sur les rites et traditions des Spaces Wolves et on comprend mieux leur réputation.

Si ce livre peut paraître difficile d'accès dans les premières pages, ce sentiment disparaît assez rapidement dans la lecture pour laisser place a une intrigue qui nous tient jusqu'au bout de l'ouvrage.



Le vocabulaire employé par l'auteur concernant les spécificités et particularités militaires des régiments de l'Astra Militarum, peut mettre le lecteur dans la confusion. Une pléthore de termes techniques, qui ne veulent rien dire au premier abord, vont perturber le bon déroulement de l'histoire mais la persévérance est payante.



La lecture devient très fluide, une fois passé ce cap, et nous pousse a dévorer les chapitres un a un. On y découvre beaucoup d'information sur les régiments geno-ameliorés et sur la duplicité de l'Alpha Legion. Un must read de l'Heresie d'Horus.

Et nous voici arrivé à la fin de la série des aventures des fantômes de Gaunt avec ce 15ème tome. Alors que dire ?



Ma première impression après la lecture fut très ... mitigée. 15 tomes c'est long mais normalement en arrivant au bout ça aurait du être une lecture acharnée mais là pas du tout. Depuis quelques romans Dan Abnett semble s'être détaché de ses romans et ça se ressent fortement ici. Alors que la narration se faisant prenante dans certains tomes où l'on descendait au plus proche des personnages j'ai eu l'impression que l'on prenait de la distance avec eux ici.



Ibram Gaunt se retrouve confronté au chaos et à l'anarque Sek dans ce tome, la guerre est partout et la défaite se rapproche mais chacun lutte du mieux qu'il peut.



Comme je l'ai dis en introduction 15 tomes c'est long. Il s'est passé beaucoup de choses. Il y a eu des morts, des disparus, des revenus, des traitres, des héros ... Et tout cela sur un long temps de lecture. Ca rend la lecture un peu difficile à la fin. Tanith est loin, les personnages ont changé mais pas tant que ça et entre temps il y a eu Verghast, Belladon, etc ... Autant de nouveaux personnages et de morts. D'autant que l'auteur ne prend plus la peine d'introduire son histoire et il a raison ce serait trop long.



A noter que ce roman est le plus long de la série. Avec ses 380 pages il dépasses de 70 pages tous les autres romans et pourtant ... Pourtant j'ai eu l'impression que la fin était bâclée. En témoigne ce discours de Gaunt que je ne vais pas vous dévoiler pour ne pas vous spoiler mais qui s'étale sur une demi page.



Je crois que le plus choquant dans ce roman est le manque de souffle épique. Les personnages traversent bien des tourments mais la tournure n'est jamais épique. Venant d'un auteur qui savait donner une tournure épique à n'importe quoi c'est plutôt surprenant.



Au final, on ne peut pas dire que ce soit mauvais mais c'est très en deça de ce que Dan Abnett a pu écrire ( même en dehors des fantômes de Gaunt ). L'histoire se laisse lire et est pleine de rebondissement mais il manque une fin. Une fin qui clôture une aventure des fantômes dont c'est le 15ème tome en rappelant tout ce qu'ils ont traversés, qui ils ont perdus, etc ...



Ou ce n'est pas la fin ? Qui sait, avec les dossiers fantômes l'auteur revient à sa troupe donc tout est possible.

Un roman intéressant pour se lancer dans l'univers Warhammer avec l'origine de l'hérésie d'Horus. Ce tome pose les bases de la saga où l'on va suivre la légion des Luna Wolves qui deviendront les Sons of Horus. Dan Abnett arrive à donner une belle consistance à cette histoire avec une écriture agréable à suivre, particulièrement sur les scènes d'action qui sont très intenses et efficaces. Un peu trop de passages qui donnent l'impression de faire du remplissage avec des descriptions qui n'en finissent plus et qui alourdissent la lecture plus qu'autre chose, mais globalement j'y ai passé un bon moment.

Le tome 2 a pour moi, les mêmes défauts que le tome 1 mais avec de meilleurs qualités.

Quelques défauts :

- le choix du saut dans le temps entre les deux romans qui rend plus difficile une attache émotionnelle déjà fragile.

- des chapitres qui sont déconnectés les uns des autres.

- une enquête pas très satisfaisante, sans révélations efficace (celle de se tome et particulièrement nul) et possibilité pour le lecteur de la mener soit même.

- Un protagoniste trop fort pour qui on n’a jamais peur.

- Le roman raté à mon sens quelques bonnes scène d’attachement qui ont été préparées.

- Pas « d’Inquisition effect » dans ce tome là 😭



Mais les qualités sont plus présentes :

- toujours un super voyage dans le lire de 40k.

- des scènes plus épiques et des combats mieux menés.

- avec le temps on s’attache quand même à quelques personnages secondaires importants pour qui ont craint plus. Benoît ´ prend plus le temps de s’attarder sur l’équipe d’Eisenhorn.

- La noirceur de l’impérium est aussi mieux d’écrite.



Bref j’ai trouvé comment apprécier la trilogie : en profitant du lore en ignorant les moments trop ardues (y’en a un particulièrement rude sur la géopolitique de l’inquisition), en profitant des scènes d’action ( les dernières sont quand même vachement bien) et en m’attachant a toutes les accroches que l’on a.

Encore une fois je ne pense pas que le roman convienne au étranger sur monde de 40 k mais pour ma part je vais lire la suite avec plus de motivation qu’à la fin du premier tome.

Fan de l’univers, c’est assez facilement que je me plonge dans la trilogie d’Eisenhorn mais j’en ressort quand même avec quelques réserves.

Point positif :

- le roman ne se plonge pas dans les interminables questions politiques de l’univers de 40 k et ça le rend plus accessible.

- le personnage d’Eisenhorn est évidemment le point centrale de l’intrigue, toujours fidèle à lui même, toujours puissant. Il y a plusieurs scène que j’adore, quand l’Inquisiteur se montre dans toutes sa puissance.

- les décors sont variés, on ne reste pas bloqué dans les mondes dévastés que l’on associes facilement à 40 k.

- les scènes d’action sont cool sans être expetionelles.



Point négatif :

- À part Eisenhorn l’auteur a du mal à m’attacher au autres personnages.

- Si ok ne connaît pas l’univers de 40 k fait quand même s’accrocher vu l’effort d’imagination que l’auteur demande.

- Eisenhorn est tellement centrale qu’il semble parfois increvable.

- le roman fait plusieurs bon en avant un peu frustrant, il manque une continuité à l’action.





Bon globalement j’ai bien aimé même si je l’ait trouvé un peu long. C’était mon premier roman 40 k et il convient bien à ce but. Est-il un bon roman pour rentrer dans 40k sans rien y connaître, je pense pas il quand même trop difficile à imaginer et sans l’attachement à l’univers j’aurais probablement pas eu envie de lire la suite. Mais c’est pas le cas donc je lirais le tome 2 en espérant que les personnages soit un peu plus engageant et que le suspens soit un peu mieux.

Un univers incroyable, une intrigue captivante, des personnages à la hauteur des événements, en bref, un livre qui donne envie de se plonger dans la collection "L'Hérésie d'Horus" et le monde Warhammer 40K.

Cette suite de 54 bouquins, édités par The Black Library, annonce plusieurs collections prenant comme toile de fond notre galaxie de l'an 30000 à l'an 41000!

Avec ce livre, j'ai découvert un auteur, Dan Abnett, qui n'a rien à envier au maître du genre. Pour parler du genre, Warhammer 40K se frotte autant à la SF, à la Fantasy, au Fantastique qu'au polar.

'L'ascension d'Horus" ne connait pas de temps mort. Le personnage principal, le capitaine Loken, un space marine des Luna Wolfs, une des 20 légions de l'Empereur, attire tout de suite l'intérêt. Un chef charismatique, droit, courageux, fidèle. Ce premier volume donne vraiment envie de lire "Les Faux dieux" de McNeill.

Du très bon boulot pour un Imperium impitoyable!

Le maitre de l'évolution va faire équipe avec divers vilains afin d'obtenir le pouvoir d'un dieu.

Thor et Iron Man vont devoir faire équipe afin de le stopper.



Un récit assez quelconque qui va prendre des méchants respectifs des deux héros pour les rassembler dans une mini série qui ne casse pas trois pattes à un canard.

Cette nouvelle série Rai qu’édite Bliss est une excellente surprise ! Seulement gâché par son absence de conclusion, la série porte en elle des questions passionnantes, des personnages intéressants et un superbe univers que l’on se plaît à découvrir.
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C'est avec bonheur qu'on retrouve la plume de Dan Abnett pour ce 7ème tome de l'Hérésie d'Horus. L'auteur nous ramène 2 ans avant le début de l'Hérésie, et nous propose de découvrir la planète Nurth, que la Chiliade 52 du Geno tente en vain de pacifier depuis des mois.



C'est cette fois au travers des yeux d'humains que Dan Abnett nous raconte la lutte entre la Chiliade 52 et les Nurthiens, l'arrivée des Astartes de l'Alpha Légion, et les nombreux complots ourdis dans l'ombre qui parsèment son roman. Car Légion n'est pas qu'une histoire de batailles et de gloire : il s'agit d'un roman dans lequel s'empilent les manipulations, les manigances et les trahisons, et où les allégeances de chacun des protagonistes s'entremêlent allègrement dans une toile complexe que le lecteur détricote petit à petit. C'est d'ailleurs les interactions entre ses personnages, à la fois bien écrits et bien amenés, qui portent le roman. Celui-ci trouve ainsi l'une de ses principale force dans l'intriguant John Grammaticus, un humain pas tout à fait comme les autres.



Même au-delà de son histoire qui tient en haleine et de ses personnages travaillés, l'univers de Légion est plein de richesse. Le lecteur prendra ainsi plaisir à découvrir à la fois le fonctionnement unique de la Chiliade 52, les pièges de Nurth, la mystérieuse Alpha Légion, et la tout aussi secrète Cabale Xénos.



Au moment de tourner la dernière page de ce roman, l'impatience de retrouver la plume de Dan Abnett dans un prochain roman de l'Hérésie côtoie celle d'en lire davantage sur les complots de la secrète Alpha Légion.

Les vignettes colorées succèdent alors à des positions dynamiques et donnent du rythme. Bref, l’œil est flatté. […] Après un début percutant, la série de science-fiction prend des détours trop technologiques et perd l’originalité du road-trip sur une planète exsangue.
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L'auteur a choisi univers original cohérent et surtout fouillé.

C'est une uchronie de cape et d'épée dans laquelle se mêle la Renaissance, la magie, l'espionnage mais en situant l'histoire à l'époque contemporaine.

L'auteur critique la société gouvernée par des élites en rupture totale avec le peuple mais aussi colonisation : Rupert essaie d'élaborer des stratagèmes pour protéger l’Australie.

J'ai trouvé ce roman distrayant.

Petit village du nom de Lower Crowehurch en Angleterre. Clive, ancien marine aspire à une retraite tranquille, mais c'était sans compter l'arrivée d'envahisseurs extraterrestres.



Reprise de l'histoire de la Guerre des mondes avec des personnages anthropomorphes et un récit situé dans les années 30. Premier volume d'une série annoncée en 3 volumes.

Un récit assez classique sans grande surprise. Je ne me suis pas ennuyée mais ça va vite. Peut-être trop vite. Le dessin est intéressant mais je n'ai pas accroché. Cela dit, la colorisation est agréable.

Trop peu expressif pour moi et pas assez immersif.

Je suis passée à côté de cet album.

Zone de guerre comme son titre l'indique c'est un conflit entre deux blocs , rien de bien original dans l'histoire ; Des américains, des Russes qui s'affrontent ....Oui mais c'est immersif et j'ai adoré appuyer sur la gâchette, dezinguer un helico, courrir sous les balles. Tellement prise par le combat que j'en ai oublié l'intrigue et ça tombe bien parce qu'au final ce n'est pas le plus important.

Wild’s end est une revisite de ma Guerre des mondes de H.G Wells. Les auteurs nous propose une version anthropomorphique bien dosée est captivante.Suivez la route d’un petit groupe de villageois anglais face à un envahisseur menaçant. Nous avons hâte d’avoir la suite maintenant !
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Fallen World que nous propose Bliss Comics est un chouette récit. Plongeant dans le futur de Valiant, il nous propose de suivre la suite des aventures de Raï dans un récit efficace, même si trop rythmé.
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