Dana B. Chalys

Cela faisait un moment que ce livre était dans ma Pile à Lire. Lorsque j’ai eu le second tome en ma possession, j’ai eu très envie de commencer celui-ci.

La plume de l’auteure m’a tout de suite emballée et embarquée dans cet univers mêlant magie, science-fiction, fantasy, intrigues et complots. Nous pouvons découvrir des pouvoirs et des capacités magiques extraordinaires !

J’ai beaucoup apprécié le personnage se nommant Sadge, un jeune maître cartes aux arcanes très particulières. C’est quelqu’un de bien qui est parvenu à fusionner d’une façon unique en son genre avec ses cartes.

Malheureusement, il a passé sa vie à fuir des gens qui en veulent à son pouvoir par profit. Ce qui pourrait faire bien davantage de mal que de bien.

Nous découvrons également Diba, une jeune émotionnelle qui pourrait d’une simple crise de rage anéantir toute une civilisation.

Alors que le destin ne laissait présager nullement que ces deux êtres solitaires et hors du commun ne se rencontrent, ils vont pourtant bel et bien être en contact par le biais d’une majestueuse université magique.

La description des scènes d’actions, des paysages et de leur environnement était tout simplement stupéfiante et somptueuse. Savoir mêler la magie à la science-fiction de cette manière avec des robots implacables qui pourraient venir d’ailleurs était fascinant.

Vue l’engouement dans lequel je me trouve à la fin de cette lecture, j’espère sincèrement que la suite sera à la hauteur de mes attentes pour que je puisse confirmer le coup de cœur livresque.

Ce qui ma attirée vers ce livre cest sa couverture mais au début je me suis dit encore deux personnages avec des pouvoirs spéciaux qui sont dans une université de magie c'est du déjà vu. Il m'a donc fallu environ 100 pages pour entrer dans l'histoire et m'attacher aux personnages et à la fin l'auteure nous laisse sur notre faim avec un sacré cliffhanger, j'espère que la suite sortira dans peu de temps.



On suit l'arrivée de Sadge un maître carte à l'université, il y rencontre Diba une émotionnelle que tous les autres étudiants fuient car son pouvoir du aux émotions n'est pas maîtrisé. Ils vont se lier d'amitié et entreprendre des recherches sur des armes dont personne ne sait d'où elles viennent.



Ce qui est intéressant dans ce roman c'est le mélange de magie et de technologie venue d'on ne sait où. L'univers de la magie est très développé et l'aide à la fin du livre est la bienvenue.

Les deux personnages principaux sont intéressants, ont un passé qui fait qu'on s'attache à eux mais j'ai quand même l'impression de ne pas les connaître, je suppose que c'est parce que ce n'est qu'un premier tome.

Ashtiri est la meilleure voleuse de Tyniry. Sa réputation est telle que le roi d'Ofayne la kidnappe, lui confiant une mission essentielle à la survie du pays : trouver et ramener les Lions d'Albâtre, des mages-guerriers légendaires seuls à même de combattre le fléau qui menace le monde. Ashtiri n'a guère le choix, le roi tient en otage sa sœur aînée et une de ses plus proches amies. Accompagnée de Pithana, le fils cadet du roi, elle part en quête de la légende...



***



J'ai passé un très bon moment avec cet univers fantasy qui s'inspire de nombreuses légendes historiques et mythologiques. La fan de mythologie égyptienne que je suis a beaucoup apprécié croiser sur la route d'Ashtiri Thot, Maat, Neith ou encore Bastet/Sekhmet !



Le dernier Lion d'Albâtre, c'est une aventure épique, qui se lit facilement, et fait intervenir toute une galerie de personnages, qui vont devoir dépasser leurs préjugés et faire preuve de courage. Parmi eux, j'ai beaucoup aimé Henti et Pithana, et j'ai apprécié la belle mise en valeur de femmes fortes, qui se battent jusqu'au bout.



La plume est belle, parfois poétique. Beaucoup de petits messages sont distillés au fil des quelques 500 pages du récit : la critique de l'esclavage et de l'asservissement, la diversité, l'importance de la nature et du respect des autres. La liberté et l'égalité sont au cœur de ce roman.



Enfin, je n'ai pas parlé de l'objet livre... Encore une belle réussite de la part de Gulf stream editeur, avec notamment cette jaquette amovible qui cache une magnifique carte.



Une très belle lecture pour ma part !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Une vraie surprise ! Cette histoire a dépassée mes espérances, j’ai réellement été conquise.

Un univers de fantasy incroyablement bien ficelé et une plume qui m’a emportée dès les premières lignes à la suite d’Ashtiri. J’ai trouvé vraiment bien que pour une fois, au lieu d’être au milieu des légendes gréco-romaines nous soyons plongés dans l’Égypte antique. J’adore toutes ces légendes et ces dieux aux représentations animales. J’ai tellement aimé ce paysage africain, entre déserts et coutumes, c’est un décor qui a su me conquérir. Puis les personnages ! Je les ai tous aimé, ils ont tous leur intérêt et leur rôle à jouer dans cette quête. Les personnages féminins font preuve d’une sacrée force de caractère et les personnages masculins font preuve d’un énorme soutien j’ai trouvé ça touchant. On suit plusieurs duos qui se forment au fil des pages et qui sont chacun si complémentaires à leur façon. J’ai adoré du début à la fin et je suis très triste d’avoir quitté ces personnages si tôt. J’ai passé un excellent moment et je ne saurai que le conseiller aux adeptes de fantasy.

En voyant la couverture absolument sublime de ce livre, puis en lisant le résumé, j'ai eu un coup de cœur immédiat. Coup de cœur renouvelé à la lecture !

Ce roman, premier d'une série qui sera je l'espère prospère, prend le parti de mêler fantasy et science-fiction et s'y adonne avec brio !

Nous suivons Sadge et Diba, deux âmes solitaires qui s'attirent par leur tristesse mutuelle, tout le long de leur première année à l'université de Puy-en-Embruns.

Le décor se pose doucement, avec précision, et nous fait découvrir au fur et à mesure l'univers, ses rouages, sa politique, ses enjeux.

Ici, magie et technologie sont liées, et elles sont indéniablement sources de tension et de manigances politique, assez pour traquer un enfant, devenu adulte au début du roman, sur dix ans, assez pour que chaque parti soit suspicieux et soupçonneux de l'autre. Assez pour avoir le potentiel de déclencher une guerre.



J'ai beaucoup aimé la narration, qui est à la fois presque omnisciente et clairement du côté de Sadge et Diba. Elle a cette tendance à nous faire nous questionner sur les personnages et leurs intentions, tout en influant notre jugement pour nous mener dans le sens de celui d’un des étudiants.

Cette narration est d’autant plus intéressante, à mon sens, qu’elle offre des impressions différentes d’un même personnage en fonction de qui le rencontre : si Sadge a un avis très tranché et négatif sur une personne, Diba, qui n’a pas son passif avec celle-ci et qui a appris à toujours contrôler ses émotions, offre un regard différent, regard dans lequel la narration nous plonge totalement. Des personnages deviennent ainsi ambigus, complexes, mystérieux.



En parlant de personnages, ce roman en comporte de nombreux, aux caractères et aux histoires variées. On prend plaisir à les découvrir petit à petit, à les lire se construire, évoluer.

Sadge, s'il est présenté au début du roman comme un garçon fatigué de fuir, las de la solitude imposée par ses hautes valeurs morales, goûte pendant quelque temps à ce qu'il a toujours rêvé : une vie stable et entourée. Il détonne forcément dans ce milieu très guindé, où il s’imagine que toutes et tous ont eu une vie tranquille et dorée et où, il le sait, il n’a pas sa place en tant que fugitif ne se liant jamais avec personne. Et pourtant, il se prend au jeu, et se laisse embarquer dans ce qu’il a toujours voulu expérimenter : l’amitié, l’intimité, la familiarité.

Diba, quant à elle, est présentée comme une solitaire qui a un contrôle absolu sur toute sa vie… si ce n’est sur sa solitude. Parce que son pouvoir, lié aux émotions qu’elle ressent, est puissant, trop puissant, on la fuit ; personne n’ose s’en approcher, de peur de mourir, personne n’ose la contredire, de peur de la faire exploser de colère, personne n’ose… sauf Sadge, qui reconnaît en elle son désespoir solitaire.

J’ai beaucoup apprécié leur dynamique, si contraire et pourtant si semblable : Diba n’espère rien de la vie, elle la subit ; Sadge rêve d’un meilleur avenir, il subit son présent et son passé. Ce que l’un ne peut obtenir, il essaie de l’offrir à l’autre. Cela mène les deux personnages à évoluer, à explorer leurs émotions, leurs envies, parfois pour la première fois de leur vie, parfois au péril de leur vie.

※⸙

La question de la volonté, du libre arbitre, et de ce que l’on fait de sa propre vie est réellement au cœur de ce roman. Seulement voilà, il n’est pas question de changement radical, de retournement de situation ; il s’agit d’essayer de sortir son épingle du jeu, de faire contre mauvaise fortune bon cœur, de s’offrir, envers et contre tout, et surtout contre le monde qui décide à la place des autres, le meilleur de ce que la vie peut nous donner.

Sadge est un fuyard, et il le restera. De même, Diba est exclue, et elle le restera. Et pourtant, ils se trouvent, se forgent une amitié qui leur est propre, qui fonctionne. Il s’ouvre, doucement, difficilement, par à coups, aux autres, elle prend confiance en elle, en ses capacités, en un avenir.

S’ils sont au début deux inconnus, ils deviennent à la fin de ce premier tome si familiers l’un envers l’autre, qu’ils semblent se connaître depuis toujours.

Bien que le maître des cartes et l’émotionnelle soient les personnages principaux, les autres protagonistes ne sont pas en reste, et chacun est traité pour lui-même, bien que des zones d’ombres soient toujours présentes, puisque la narration se concentre exclusivement sur ce qui touche à Sadge et Diba.



Si l’intrigue tourne autour de deux étudiants d'une prestigieuse université, ce n’est pas pour autant qu’ils sont coupés du monde, bien au contraire : leurs recherches s’effectuent sur des sujets brûlants d’actualité, puisqu’ils s’intéressent aux ARM, mécas de combat retrouvés lors de fouilles archéologiques il y a un peu moins d’une vingtaine d’année, et dont personne ne peut expliquer la présence. Civilisation perdue, qui n’aurait laissé derrière elle en tout et pour tout que ces robots et des traces archéologiques incohérentes avec ce niveau de technologie et de magie ? Ou le mystère est-il plus complexe, l’explication plus lointaine que cela ?

Une chose est sûre, armées comme étudiants et étudiantes, intrigant(e)s de royaumes comme passionné(e)s de technomagie, toutes et tous veulent percer le secret de ces immenses bijoux de technologie, qui sont invincibles… ou presque.

Parce que dans ce monde où seul un faible pourcentage de la population peut invoquer la magie, chacun à des aptitudes différentes : certains sont plus doués avec les plantes, d’autres avec les pierres, d’autres encore lorsqu’ils font des rituels, etc. Cela crée un système magique complexe, varié, qu’il est intéressant de découvrir, d’appréhender. D’autant plus que chaque type de magie est différent, possède ses propres lois, ses propres atouts et faiblesses, et que certains sont plus rares que d’autres. C’est le cas des pouvoirs que maîtrisent nos protagonistes principaux, l’un étant maître de carte, c’est-à-dire que sa magie provient d’un jeu de carte unique qu’il a reçu à la naissance, et qu’il doit apprendre à maîtriser plus ou moins par lui-même, l’autre une émotionnelle, sa magie étant directement liée à ses émotions, lui conférant ainsi une puissance dévastatrice pour son entourage et pour elle-même.

Les deux sont en marge du monde, pour des raisons assez différentes : pour le maître carte, c'est qu'il ne peut réellement faire partie d’une communauté, puisque sa catégorie de magie est unique à chaque magicien, ce qui fait que chaque jeu de carte est complètement différent d’un autre. De par ses deux atouts puissants et mortels, son jeu est également convoités par les royaumes, parce qu’il possède la seule magie capable d’arrêter les ARM, en causant la mort de leur pilote. Pour l’émotionnelle, puisque chaque sentiment est autant de bombe prête à exploser, elle est fuie, elle est redoutée, elle est crainte ; et, à dire vrai, peu de personne se soucient réellement de sa survie, puisqu’elle représente avant tout une menace. Peu importe donc qu’aucun émotionnel n’ait réussi à passer le cap des trente ans, peu importe qu’ils meurent rapidement dans la solitude la plus totale : on nous fait comprendre que rares sont ceux capables de voir ces magiciens au-delà de leurs capacités destructrices, de leur handicap. Diba est pour beaucoup une émotionnelle d’abord, une humaine peut-être ensuite.



Plus en marge de la magie, malgré leur omniprésence, des enjeux politiques se dévoilent peu à peu : on découvre la géographie de cet univers, ses acteurs, ses peuples, ses intrigues. La politique de ce monde se cristallise autour des ARM et de leur possession, mais surtout de leur utilisation. Armes de dissuasion, si une contrée venait à en posséder plus qu’une autre, elles deviendraient alors des armes de destruction massive, outils de manipulation et de chantage surpuissants. Tous les personnages du roman en ont conscience, à un degré plus ou moins fort ; même l’élève un peu naïve protège les cartes qu’elle a en main, et ne prend pas de décision hâtive. Et au centre de tout cela se trouve la capacité de Sadge : parce que chaque maître carte se voit attribué un jeu unique à la naissance, il est le seul à posséder la seule magie capable d’arrêter les ARM, à travers ses deux atouts puissants et mortels, lui permettant de tuer n’importe qui en un tour de bras.



Un dernier point qui m’a particulièrement touchée dans ce livre, c’est l’inclusivité tranquille, nonchalante qui s’y trouve. Personnages queers, qu’iels soient gay, lesbiennes, trans ou aromantiques, évoluent dans ce monde sans que cette caractéristique soit la seule qui les définisse, sans qu’il s’agisse là de leur seul intérêt dans l’histoire. Il en va de même avec le personnage handicapé, la directrice de l’université, qui n’est jamais décrite qu’à travers le prisme de son handicap moteur : il n’est qu’un élément de plus à sa description, sans être pour autant ce qui la définie totalement.

L’inclusivité se retrouve également dans l’écriture, avec la présence de note de bas de page pour expliciter des termes rares, qui pourraient faire obstacle à la compréhension ou à la représentation de la scène.



Vous l’aurez compris par cette très longue chronique, j’ai absolument adoré ce roman, et il me tarde de pouvoir lire la suite ! Les personnages, l’univers, l’intrigue sont posés, je n’ai qu’une hâte, c’est de les voir être encore plus développés !

C’est pour moi un sans faute, tant vis-à-vis de la construction du monde dans lequel évolue les protagonistes, qui laisse entrevoir sa complexité, sa diversité et malgré tout sa cohérence, que de son système de magie tout aussi divers et passionnant, que de l’intrigue qui nous tient en haleine tout en nous disséminant par ci par là des indices sur les relations intrapersonnelles, les futurs évènements, etc.

J’avais commencé par la couverture, je vais finir par elle également, parce qu’encore une fois, elle est magnifique. Mais ce n’est pas tout : si vous êtes du genre à lire un bouquin en plusieurs fois, vous vous rendrez bien vite compte que cette couverture est en fait… constituée des éléments les plus importants de l’histoire ! C'est absolument brillant !

De même, l’intérieur du livre comporte deux visages féminins, qui sont déterminantes dans l’histoire bien qu’à priori secondaires ; chaque chapitre, quant à eux, sont affublés d’une petite arche avec colonne, délabrée et envahie de végétation, qui participe à l’ambiance à la fois hors du temps et tellement ancrée dans le présent de l’intrigue du roman, tout en nous donnant l’impression d’être dans les jardins interdits, peut-être le lieu dont il est le plus fait mention dans ce premier tome.
Lien : https://lifeisarealbook.com/..

Un peu une lecture en demi-teinte pour moi.

J'étais quand même assez emballée par le tout début. J'ai vite dégommé la première moitié du livre. Ensuite, il y a eu des petites choses qui ont fini par me lasser un peu.

Les personnages sont tous un peu trop gentils pour moi. J'aurais aimé un peu plus de diversité dans les sentiments et dans les actions.

Ensuite, il y a certains thèmes qui sont abordé, mais on ne sais pas trop pourquoi, car ils ne sont à la limite que nommés, ce qui est dommage car il y aurait eu matière à développer.

Sinon, j'ai bien aimé le personnage d'Ashtiri.

Une super histoire qui vous permet de réfléchir sur la vie actuelle d'un handicapé émouvante et touchante

Sadge aimerait être un jeune adulte comme les autres, entouré d'amis et choyé par une famille. Mais il est différent, unique. En tant que mage maître-carte il détient deux pouvoirs suprêmes : le Joker et l'As de Mort. Deux cartes qui donneraient une victoire assurée à un pays en guerre. Son talent, il le doit à toutes les épreuves qu'il a traversées depuis sa plus tendre enfance, à tous les combats qu'il a dû mener pour échapper aux chasseurs de primes. Son quotidien jusqu'ici fait de fuites et d'isolement se chamboule en intégrant sous une autre identité la prestigieuse université de Puy-sur-Embrun. Avec sa nouvelle amie Diba, une mage émotionnelle aussi solitaire et blessée par la vie que lui, ils vont tenter de découvrir les origines et les secrets des ARM, ces Armures Robotisées Mobiles convoitées par les gouvernements pour leur avantage certain en cas de conflit.



J'ai adoré ce roman et pourtant je ne suis pas avide de science-fiction, mais dans Mystic Flown l'auteur réussit le pari de mêler le genre au fantastique. Elle use d'une écriture entraînante, ni trop simple ni trop travaillée, qui navigue avec justesse entre descriptions et dialogues donnant tantôt du dynamisme tantôt des renseignements sur l'environnement et les personnages. Le choix d'une narration omnisciente permet d'avoir un œil externe, elle rend le lecteur spectateur et au plus près des personnages, sondant leurs pensées et leurs émotions tout en prenant part à leurs habitudes. Cette narration porte à la fois la voix de Sadge et celle de Diba mais aussi et beaucoup plus rarement celle d'autres protagonistes.



DES PERSONNAGES MYSTERIEUX ET PLEIN DE MAGIE



Les personnages sont plutôt bien pensés, j'apprécie beaucoup Sadge et Diba, un couple dont les émotions sont parfaitement dessinées et dont les caractères sont attachants. Un duo qui fonctionne et qui se complète parfaitement. Leur évolution au sein du roman est vraiment intéressante, tant dans leurs capacités professionnelles qu'émotionnelles. En revanche j'ai trouvé Filairain, la directrice de l'université, trop lisse, sans réel caractère ni réflexion. Pourtant sa position laisse à penser que c'est une femme de caractère mais j'avoue ne pas avoir accroché. A contrario, la commandante Mori et l'ingénieure mystérieuse ont eu plus d'impact dans mon esprit, j'ai hâte de découvrir leur histoire dans la suite du roman.



UN ROMAN QUI NOUS PARLE



De façon générale Mystic Flown nous permet de réfléchir sur pas mal de sujets, une certaine philosophie s'en dégage. On y traite de l'amitié et de son importance dans la construction d'un être, on y évoque les impacts et les décisions décisives des guerres, les évolutions techniques et on tâte l’intangible. Le roman nous invite à nous questionner sur la façon que nous avons d'appréhender ce que les autres pensent de nous, la façon que nous avons de les regarder, de les juger aussi. Il laisse sous-entendre que chaque être est différent, que cette différence n'est pas nécessairement un danger mais qu'il faut creuser, sonder l'Autre pour le comprendre.



Grande fan d'animaux fantastiques et mythologiques, j'ai énormément apprécié ceux qui peuplent le récit comme les ondines. Ils donnent cette dose de fantastique bienvenue, cette féerie qui nous fait voyager vers d'autres contrées, qui nous sort de notre quotidien. Les différentes formes de magie sont parfaitement expliquées, on ne se perd pas dans des explications alambiquées. C'est simple et efficace. J'adore d'ailleurs l'idée du maître-carte et plus particulièrement la relation qu'à Sadge avec son jeu, une relation basée sur le respect et l'empathie.



En revanche, j'aurais apprécié que le personnage de Plume d'Aigle, le chasseur de prime, soit un peu plus présent. Il est mentionné au cours d'un chapitre mais il disparaît pendant un très (très) long moment et on ne sait pas du tout ce qu'il advient. J'imagine fortement que sa place sera plus importante dans le deuxième tome et qu'on aura des explications, mais il aurait mérité un poil plus de détails ici.



POINT ILLUSTRATIONS : Que dire de la couverture à part qu'elle est magnifique. J'aime les éditions collector (surtout si ça traite d'Harry potter :P), et dernièrement les maisons d'éditions multiplient les livres objets. Ici je trouve que la maison d'édition à miser sur la couverture en gardant une certaine humilité dans la confection de l'ouvrage, le rendant beau mais pas bling-bling comme certain et c'est très appréciable ! Le choix des couleurs, bleu-nuit et violet majoritairement, rend un bel effet et les illustrations d'inter-couverture sont magnifiques, avec un ARM, une ondine et un personnage que j'imagine être Diba (?).



♥ Un quasi coup de coeur pour ce premier roman d'une duologie qui nous offre un univers étonnant, mêlant les genres avec brio et créant des personnages atypiques. Vite que le second (et dernier) tome sorte !
Lien : https://lacueilleusedelivres..

"Il maudissait le hasard de lui avoir mis ces deux cartes entre les mains. Et il maudissait encore plus l'attachement qu'il leur portait. Sans ça, il aurait pu s'en débarrasser pour toujours. Mais il refusait de toute son âme de laisser des instruments de mort entre les mains de n'importe qui. Car les gens de pouvoir n'avaient aucun respect pour la vie des autres."



Sadge est un Maître-Carte recherché : il détient en effet des cartes particulièrement puissantes qui peuvent détruire à elles seules des armées entières. Il espère trouver un peu de répit à l'université de Puy-sur-Embruns, où il rencontre Diba, une émotionnelle. Comme lui, Diba est solitaire, son pouvoir dangereux et incontrôlable fait peur à tous. Petit à petit, ils vont s'apprivoiser et mener l'enquête sur de mystérieuses armes très puissantes.

Mais même à l'université, Sadge est menacé. Quand lutter pour la survie est quasi impossible , quand la mort est attendue, comment s'en sortir ?



***



Un univers dense et riche, deux personnages abîmés par la vie, qui vont se trouver et s'entraider. Deux personnages touchants, qui dévoilent progressivement leurs fragilités et leurs forces. J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié qu'ils deviennent amis et non amoureux, ça change ! Autour d'eux gravitent des personnages forts, aux caractères variés.



La magie est bien présente, plusieurs types de magie qui se côtoient : magie des cartes, des émotions, des éléments... Ces differentes magies se mêlent à la technologie, c'est un univers atypique mélange de science-fiction, enquête et fantasy, le tout orchestré avec brio.



De l'émotion, de l'aventure, une quête, mais aussi des complots, des créatures fascinantes et des mechas. Un conflit qui menace, la question des ARM (et toutes les hypothèses sur leur origine !), des querelles politiques larvées, un duel, c'est complexe, passionnant, bref, j'aime beaucoup !



Je suis très heureuse d'avoir fait cette lecture (bon, par contre, cette fin, ce n'est pas possible ! Heureusement que la suite sort bientôt).



Si vous aimez les histoires complexes, les héros torturés, je ne peux que vous recommander cette lecture qui m'a enchantée !

C'est l'heure du Du-du-du-du Duel !



Dès que j'ai aperçu Mystic Flown sur le stand de GULF STREAM au salon de Montreuil en 2022 avec sa couverture violette et ses magnifiques illustrations, je suis tombée sous le charme de l’objet livre. Ce premier tome d'une duologie prometteuse, m'a emportée dans un univers où la science-fiction se mêle habilement à la fantasy, magie, manigances politique, scolarité, amitié et technologies futuriste, grâce au talent d’écriture de Dana B. Chalys.



L'université de Puy sur Embruns servira de lieu de rencontre à Sadge et Diba, deux personnages solitaires. Sadge, fuyant le gouvernement, est d'abord réticent à s'attacher à l'école et à ses étudiants, mais la douce et intelligente Diba va petit à petit l'apprivoiser. Leur relation se forme en douceur, en montrant comment chacun se découvre et se confie l'un à l'autre. Cette amitié est touchante et authentique. Les 2 personnages sont très bien développés, chacun avec sa propre personnalité et son histoire personnelle. Les lecteurs apprécieront cette amitié sincère qui montre que chacun a besoin d'un ami pour s'épanouir.



J'ai beaucoup aimé avoir les deux POV de nos héros. Ce choix de narration est d'autant plus judicieux puisqu'il permet d'avoir pratiquement une vision omnisciente de ce qu'il se passe en temps réel en fonction du personnage. Diba offrira un regard neutre, là où Sadge a des aprioris et un passif tumultueux que ce soit vis-à-vis de l'armée, de l'autorité ou du pouvoir en règle générale.



Si l'intrigue principale est centrée sur les deux étudiants et de leur enquête autour des mystères qui entourent les ARM, l'autrice met le paquet sur les décors. Riche de détails, l'académie du Puy sur Embruns est décrite avec précision dans les moindres branches, les moindres murs, les couloirs ou encore les jardins interdits. Je pouvais lire des paragraphes de descriptions sans me lasser. J'ai énormément apprécié que l'on soit amené à en découvrir toujours plus en cours de route, sur les manigances politiques, la guerre qui couve entre les royaumes sans toutefois en dévoiler tous ses rouages !



En conclusion, c'est un immense coup de cœur, une lecture extraordinaire ! Le point fort du roman ? L'intégralité de ce qu'il contient !

L'objet livre est déjà follement attirant : après l'avoir reçu je n'avais qu'une envie, le dévorer. Ça sort le 1er septembre, et la jaquette présente une splendide carte du monde sur son verso.



J'étais vraiment à deux doigts du coup de cœur, je peux parler d'un presque coup de cœur. On est sur une fantasy réussissant pas mal de cultures dont une que j'ai pu découvrir, que j'ai adoré découvrir : la culture égyptienne.



Ashtiri, voleuse talentueuse, va être missionnée pour trouver le dernier lion d'albâtre. D'après le roi, ce dernier est le seul à pouvoir sauver le royaume du fléau qui décime sa population. Mais le lion d'albâtre est une légende aux yeux d'Ashtiri... La quête qui démarre est donc intrigante.



On alterne les points de vue, on croise beaucoup de diversités et des amitiés et amours se forment petit à petit, la lecture est confortable, c'est mignon et on ne veut que du bien à tout nos personnages.



Bref j'ai passé un sacré moment de lecture, j'apprécie d'autant plus que ce livre est un tome unique, ce qui est assez rare dans ce genre. On profite d'autant plus de sa lecture. Et alors la fin... elle est explosive, et très rythmée, je dirais que c'est elle qui m'a peut-être fait penser qu'une suite aurait pas été désagréable.

Livre reçu en service presse, merci @gulfstreamediteur pour l'envoi !



Il sort le 1er septembre !



Au départ, je n’ai pas accroché plus que cela à la plume mais au final, c’est l’histoire qui m’a convaincue. C’est une histoire qui parle de grande aventure, de religions et de croyances mais surtout qui essaye d’unifier un monde en proie à l’égoïsme, à la domination et au pouvoir grâce à l’empathie, la résilience, l’amitié, la cohésion et bien d’autres choses. Alors c’est vrai que comme ça, on dirait le monde des bisounours mais croyez-moi, on en est très très loin.



Le roman se base sur l’histoire de l’humanité, notre humanité. On y retrouve énormément de références à diverses cultures et pays ou continent. Dans celles qui sont les plus présentes, il y la culture africaine, celle du Moyen-Orient, japonaise ou encore égyptienne. On sent qu’il y a eu beaucoup d’inspiration et que ce roman est là aussi pour les honorer si je peux dire.



Car en plus de ces références, on retrouve plein de petits messages qui sont sous-entendus. Ce sont parfois des belles pensées, parfois des petits conseils pour avancer dans la vie ou grandir, parfois même juste aider à atteindre un certain état d’esprit voire même un lâcher prise. À certains moments, on s’arrête sur une phrase où l’autre, en se disant que c’est beau. Mais j’ai aussi eu l’impression de trop, comme si c’était ça l’objectif principale de l’autrice et qu’elle l’avait enrobé d’une histoire de fantasy. En tout cas, les thématiques sont belles car on parle de liberté, d’empathie, de résilience, d’égalité et équité, d’esclavagisme, de confiance en soi ou les autres, du pouvoir sur autrui, de la soumission d’autres peuples, de guerre, réputation, …



Donc pas un coup de coeur pour moi mais une très belle aventure que je conseille !

Roman coup de ❤.

Avant, je tiens à dire que j'ai adoré la plume de l'auteure que j'ai trouvé très poétique et qui m'a particulièrement touchée. J'ai même versé ma petite larme à la fin, ce qui est très rare pour ma part quand je lis un livre.



Ce livre nous entraîne dans un univers oriental très riche. A travers la quête d'Ashtiri, des thèmes forts sont abordés tel que l'esclavage, l'orientation sexuelle, la place des femmes ou les préjugés que l'on peut avoir sur un groupe de personne et les amalgames que l'on peut faire sur un individu à cause de son peuple ou de sa famille. C'est une histoire très humaine dans laquel on va suivre plusieurs héroïnes qui vont tout faire pour sauver leur monde malgrés leur provenance ou leur passé.



L'inspiration de l'auteure pour son univers est très tournée vers l'Égypte ancienne, on peut y retrouver des références aux différents dieux ainsi que d'autres aspects de cette culture. J'ai adoré m'y plonger



Ce livre sort le 1er septembre et si vous aimez la fantasy et les décors orientaux, je ne peux que vous conseiller de foncer !

Ce livre, je l'avais déjà lu dans son ancienne édition, mais quand l'auteure a annoncé qu'il y avait quelques rajouts et me l'a proposé en service-presse, je n'ai pas hésité, étant donné que j'avais déjà beaucoup aimé son univers. Bon, évidemment, ma mémoire de poisson rouge est arrivée, et je me suis rendu compte que mis à part un bout de la fin, j'avais quasi tout oublié, et donc ça été une redécouverte que j'ai beaucoup aimé ! Ici se côtoient plein de légendes, qui sont vraiment bien menées par l'auteure, et ce mélange d'univers est vraiment bien amené !



Casey, une fois le bac en poche, se rend pour une semaine à Paris, en compagnie de sa meilleure amie Dakota. Si elles pensaient passer une semaine tranquille, à visiter les lieux prisés de la ville, elles se trompaient. À peine arrivée, Casey est témoin d'événements pour le moins étranges, et avec l'aide de son amie, va essayer de trouver le fin mot de l'histoire. Durant leur périple, elle feront la rencontre de Nick, un jeune homme mystérieux, mais qui deviendra bien vite un ami sur qui elles pourront compter. Mais est-ce une bonne idée de fouiller partout pour avoir des réponses ? N'est-il pas mieux de rester dans le flou et être protégé ? Dans quoi vont-elles vraiment tomber et vont-elles en ressortir indemnes ?



Même si c'est la seconde fois que je le lis, j'ai autant apprécier m'immerger dans cet univers, qui est très fouillé, approfondi et bien mené. Comme je le disais plus haut, le mélange de toutes ces légendes et croyances aurait pu paraître lourd, et pourtant, sous la plume de Dana B. Chalys, tout coule tout seul. On se retrouve dans un cercle vicieux, en compagnie de deux jeunes filles fan du fantastique, mais qui ne pensaient jamais qu'il existait vraiment. Font-elles un rêve, un cauchemar ? Est-ce vraiment la réalité ? Il est vrai que l'on pourrait en douter, vu tout ce qu'elles vivent en à peine une semaine. D'épisodes rocambolesques en situations tout aussi invraisemblables, nous découvrons en leur compagnie un univers que l'on ne croise que dans les romans.



J'ai beaucoup aimé Casey, car vu ce qu'elle vit, je trouve qu'elle a beaucoup de cran et ne se laisse pas faire. Elle a son petit caractère, qui l'aide beaucoup dans les tâches qu'elle a à accomplir, et garde toujours les pieds sur terre, même si elle découvre un univers qu'elle pensait juste romancé. Quant à Dakota, j'avoue que c'est mon petit coup de cœur. Pétillante, drôle, charismatique, elle incarne parfaitement l'adolescente de nos jours. Elle est aussi une fidèle amie et toujours là pour épauler Casey. Jamais elle ne se débine et est prête à tout pour vivre aussi ce côté fantastique dont elle a toujours rêvé. Nick, quant à lui, est aussi attachant, mais moins que les filles. J'ai apprécié le suivre pour son côté doux, intelligent et quelque peu sarcastique. Il sera aussi une aide non négligeable pour les filles.



Concernant l'intrigue, on a pas le temps de s'ennuyer et je peux vous dire que malgré le peu de pages, on en redemande arrivés à la fin. Une fin qu'on aimerait changer à notre sauce, surtout quand on a un cœur shamallow comme le mien. J'ai eu les larmes aux yeux et je suis vraiment triste... même si ce final est très bien amené et aussi dans la logique des choses.



En résumé, un roman qui embarque dès le début, avec des personnages certes différents, mais qui se complètent très bien. Un univers vraiment atypique, mêlant beaucoup de légendes mais sans être lourd. Un petit roman que je vous conseille vraiment, car vous passerez de très bons moments. D'autant plus qu'une fois dedans, vous avez du mal à le lâcher !



* Je remercie Dana B. Chalys pour sa confiance ! *



Justine P.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..

Dans ce premier roman auto-publier de Dana B. Chalys, la première chose que j’ai souhaité, c’est que l’héroïne se prenne une baffe ! *vœux exaucé, merci fée marraine*



L’auteur nous plonge dans un univers totalement nouveau.

En pleins cœur de l’hiver, la famine s’abat sur le village de Thorov. Ses chasseurs trouvent de moins-en-moins de gibier.

Sighild, fille du chef de clan (héroïne de l’histoire totalement imbuvable) décide de partir à la recherche de nourriture avec un groupe de malheureux volontaires forcés.

Rapidement, la situation se révèle de plus grande ampleur, c’est tout le continent qui commence à souffrir de la famine.



Ce livre, sans être un coup de cœur se rapproche très fortement d’une super découverte.



Contre toute attente, Dana B. Chalys parvient à ce que nous nous attachions à ses personnages (et avec Sighild, ce ne fût pas une mince à faire).

Comme indiquer plus haut, il s’agit d’un roman autoédité, je tire d’avance mon chapeau à l’auteur.

Néanmoins, il y a eu plusieurs détails qui me déplaisent, selon moi, il y a un manque de cohésion et les personnages ne sont pas assez développés.

Les interactions qu’il y a entre eux sont aussi assez hasardeuses, on ne comprend pas trop les intentions qui les animent.



Malgré cela, j’ai apprécié ce premier tome, assez court et très rapide à lire (peut-être trop, car je n’ai pas vraiment eue le temps de m’immergée complètement dans l’univers de l’auteur. Raison pour laquelle, je suis heureuse d’avoir craquée pour les deux premier tome de cette série).

Vous souvenez-vous que je restais assez dubitative quant à la suite de cette série autoéditée ?



J’avais, néanmoins, décidé de lire le second tome afin de me fixer une décision définitive quant à cette série.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que, pur une fois, j’ai eu une idée de génie !



Dans ce second tome, nous suivons Eivind, le beau Pisteur (nan, je ne suis pas objective) de Thorov, sur ses terres natales.

Par la force des choses (je n’en divulgue pas plus se serait un spoil de premier ordre), il va être dans l’obligation de prendre les armes pour rendre la liberté aux nomades du désert.

Avec des alliées des choix, il se retrouvera à la tête d’une petite armée qui aura pour but de destituer l’empereur du désert.



J’ai plus apprécié ce second tome que le précédent, je suis ravie de l’amélioration que j’ai pu constatée au fil des pages (des descriptions plus détaillées, plus d’information quant aux ressentis des personnages, etc.)

Je dois avouer que l’auteure a fait un réel travail sur l’écriture de ce deuxième opus.



Je trouve également, que l’intrigue est ici, bien plus développée que dans le tome précédent.

Le lecteur est tenu en haleine tout au long du récit, et même si il est aisé de deviner la fin, cela ne nous fait pas lâcher le livre pour la cause.

J’ai réellement eu l’impression de foulé le sable chaud, de sentir l’odeur des épices, d’être aux côté d’Eivind et de ses compagnons, et de profiter du soleil du désert.



J’attends avec impatience la suite des aventures des ces héros ors du commun. Allez Dana, au travail !

Voici donc la suite que j'attendais avec impatience et une fois terminée, on réclame une autre suite. Oui, Dana B. Chalys est douée pour nous faire succomber avec ces petites nouvelles bien croustillantes voire croquantes. Ici, dans cette nouvelle, nous découvrons une Miki hors du commun. J'avais déjà un bel aperçu de son tempérament et de cette gentillesse envers sa meilleure amie, Siana dans le premier volume, mais là, elle est juste trop magnifique. Elle fait la connaissance d'un jeune papa célibataire et de ses jumeaux. Elle qui, jusqu'à maintenant était juste douée pour le mannequinat et tout ce qui touche de près comme de loin au milieu de la mode et du bling bling, va se surprendre à aimer les enfants et à avoir des sentiments pour ce jeune père.



D'ailleurs, il y a beaucoup de différences entre nos deux protagonistes.

Et ces mêmes différences vont les rapprocher au point peut-être d'avoir mal pour l'autre.



Lui, ce père, qui se nomme Raphael, fait tout pour protéger ses gamins et ne laisse personne rentrer dans sa vie et celle de ses enfant aussi facilement. Pourtant, entre eux, un magnétisme va se déclencher et les armes vont tomber.



On découvre une femme qui s'attache, qui prend conscience et qui espère. La porte va t-elle s'ouvrir pour elle ?



Une nouvelle trop courte mais intense surtout vers la fin. On passe un agréable moment. J'espère que les autres lectures seront à la hauteur de celle-ci. Sincèrement, merci !

Je suis tombée dessus bien par hasard en furetant sur le site Amazon à la recherche d'une nouvelle fraîche entre deux lectures. Et je peux vous dire que cette histoire est juste magnifique. C'est vraiment le mot. Siana est une ancienne obèse mal dans sa peau. Après plusieurs tentatives de régimes qui n'ont pas fonctionné, elle décide de se prendre en main en subissant un rétrécissement de l'estomac par acte chirurgical et une diminution mammaires pour enfin avoir un poids normal et être dans la norme.

Malgré les changements sur son physique, elle ne s'aime toujours pas. Les blessures d’antan sont toujours présentes et a réellement du mal à se trouver jolie. Alors, sa meilleure amie, un ancien mannequin, lui propose de faire des photos avec l'aide de son frangin, photographe. Elle l'appelle ça : photos-thérapie Persuadée que ces photos pourront l'aider à prendre conscience de ce qu'elle est devenue, et à s'aimer....enfin.

Le problème c'est que le photographe en question qui n'est autre le frère de sa meilleure amie, n'a pas l'habitude de shooter des personnes comme elle.

C'est un dragueur né, qui ne couche qu'avec des mannequins aux formes généreuses et j'en passe. Mais il accepte pour faire plaisir à sa grande-soeur, persuadé que l'affaire serait vite réglée.



Et si parfois, il lui arrive d'être maladroit ou même avoir des paroles blessantes envers elle, il prendra conscience petit à petit, qu'il est celui qui pourra l'aider.



Une histoire bouleversante car il y a des paroles qui font mal. On se met à la place de la principale intéressée et on ressent sa peine, sa souffrance, le dégoût de son propre corps.

L'émotion est omniprésente du début jusqu'à la fin de cette nouvelle et l'auteure ne passe pas par 4 chemins.

L'obésité et ce mal-être existent réellement au point de vouloir en finir avec la vie à cause du regard des autres ou des paroles blessantes que certains pourraient avoir envers ces personnes.



Cette nouvelle est à recommander. Et j'attends la suite avec impatience.

J’ai dévoré cette suite tant elle m’a captivée ! Comme je le disais dans mon ressenti livresque du premier tome, j’avais beaucoup d’attentes à propos de ce second opus. Vous pouvez me croire, elles ont toutes été largement comblées.

En effet, tous les ingrédients étaient présents avec un dosage optimal. Rien n’a été laissé de côté ou tout simplement oublié. C’est un merveilleux coup de cœur livresque à mes yeux.

L’évolution des protagonistes est prodigieuse. Sadge a une détermination hors du commun à vouloir faire ce qui est juste. Nous parvenons facilement à ressentir chacune de ses émotions. Son pouvoir est sans conteste totalement démentiel ! Lors de sa quête pour une paix durable, il va devoir affronter des épreuves ainsi que des chemins semés d’embûches. Les gens importants le voudront à tout prix, mais rien ne parviendra à le détourner de son but.

Diba, elle aussi, évolue de manière significative tout en gardant une belle bonté d’âme. Son lien très fort avec Sadge est parfaitement décrit. Je dois avouer que c’est très plaisant de lire ce genre de relation amicale intense sans qu’elle ne devienne ambiguë ! Elle est un soutien inébranlable pour lui.

D’autres personnages sont davantage présents et actifs dans cette suite. Certains se révéleront étonnement surprenants et leurs réactions seront d’autant plus inattendues. J’avais deviné les réelles origines de l’un d’eux et j’étais heureuse d’avoir vu juste dans les derniers chapitres.

Arrivée à la dernière page, j’en voulais encore tellement j’ai adoré ! Je recommande cette histoire à cent pour cent, elle est géniale et mérite d’être connue.

! 𝑳𝒆 𝒓𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒅𝒖 𝒌𝒊𝒇𝒇 !



🦦🦦🦦



Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j’avais adoré le tome 1, je l’avais dévoré et il m’a fait vibrer ! J’ai donc profité du salon du livre de Mons pour acheter le deuxième 🤗

Sa couleur rouge a rajouté un degré d’intrigue ! ❤️



𝘐𝘯𝘵𝘳𝘪𝘨𝘶𝘦 𝘱𝘢𝘭𝘱𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵𝘦

Je n’ai que rarement apprécié les romans avec des « robots » etc. Et pourtant celui-là m’a clairement conquise. On ressent les implications derrières les revendications de nos personnages. Ce pourquoi ils se battent nous prends aux tripes et on veut qu’ils réussissent !

Autant vous dire que j’ai été à fond dedans ! en 1 jour de congé je l’ai lu, c’est parlant ! 🥰



𝘈𝘔𝘐𝘛𝘐𝘌

Vous allez vous demander pourquoi j’écris en majuscule, mais dans cette histoire, on ne peut pas parler d’Amitié avec un grand A. C’est tout le mot qui mérite d’être en grand ! 🫂

J’ai tellement teellleemmennt apprécié le fait d’avoir un roman sans romance ! Cela nous rappelle bien qu’il n’est pas obligatoire d’avoir des amoureux dans une histoire !



𝘝𝘳𝘢𝘪𝘦 𝘧𝘪𝘯 ?

J’ai comme qui dirait un gros doute. Peut-être que Mystic Flown est la saga principale. Pourtant la dernière phrase et la fin de ce tome me laisse penser à une saga annexe, parallèle, …

Et ça, 𝗷’𝗮𝗰𝗵𝗲̀𝘁𝗲 !



🦦🦦🦦



J'ai énormément apprécié cette saga ! J'ai été enveloppée par les décors, prise dans l'intrigue, dans la sympathie envers les personnages !

Elle fera clairement partie de mes recommandations !



🔑[ Livre ; Science-fiction ; Review ; dystopie ; robot ; amitié ]
Lien : https://www.instagram.com/p/..