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Critiques de Daniel Casanave (222)
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Shelley, tome 1 : Percy

Le premier tome de cette série sur P.B. Shelley prend la forme d'une bleuette convenue autour de la jeunesse du poète. Et se garde bien de rentrer dans le sujet de ce qu'a pu être la réalité qu'il a vécue.

Pas une grande réussite sur le fond, mais le dessin, malgré tout, est des plus agréables.
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Histoire dessinée de la France, tome 7 : Croi..

Croisades et cathédrales



Une BD très agréable série de " Histoire dessinée de la France" tome 7.



On retourne dans le temps au moyen-âge en compagnie de deux personnages de notre époque fort ;sympathiques.

Ils nous font découvrir la vie du peuple, des souverains, des gens de l'église, mais aussi la religion, les guerres et les croisades.

C'était passionnant.



Les illustrations sont très colorées et bien dessinées en accord avec le texte.

En fin de BD, des chapitres avec des thèmes comme l'âge d'or des reines, le temps des Plantagenêts, les héroïques chevaliers et d'autres encore.

J'ai apprécié car très intéressant et trouvé que cela était complémentaire à la BD.



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Une aventure rocambolesque de... Tome 5 : S..

J’ai pris cette BD un peu par hasard à la bibliothèque, parce qu’il y avait le nom de Manu Larcenet, je venais de lire le tome 6 du « Retour à la Terre ».

Une histoire rocambolesque… Le héros est un vieil home, gardien d’un cimetière, où il vit seul, et écoute de vieux disques de punk rock sur un antique gramophone… Un beau jour, il se rend compte qu’il n’a presque plus rien à manger, cela fait des mois qu’il n’a pas été ravitaillé… Il a été abandonné à son triste sort. Il décide donc de sortir du cimetière et de partir explorer les alentours…

Il va rencontrer alors le soldat inconnu sorti de sa tombe et c’est à deux qu’ils vont partir à la découverte… Une histoire d’anticipation, avec de l’humour noir.

Je ne suis pas friande de ce genre d’histoire mais la BD se laisse lire sans déplaisir… Manu Larcenet dénonce en filigrane l’absurdité de la guerre, mais cela reste un message juste suggéré.
Lien : https://aproposdelivres.word..
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Histoire dessinée de la France, tome 7 : Croi..

Je remercie la dernière Masse critique organisée par Babelio pour avoir eu la chance de découvrir cette bande dessinée.

Sur une idée très intéressante, j'ai pris plaisir à lire cet ouvrage même si je me suis par moments perdue chronologiquement.



Une belle découverte néanmoins, qui fait redécouvrir une période de l'histoire de France sous un autre angle.
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Histoire dessinée de la France, tome 7 : Croi..

Raconter l'histoire de France en analysant le passé avec l'éclairage des dernières découvertes et théories des historiens, tout en questionnant pour les remettre en causes les représentations fantasmées et les récits mythiques racontés sur ces mêmes périodes sur lesquels puisent les idéologies réactionnaires, et pourquoi pas mieux comprendre notre présent et se donner des pistes pour l'avenir (la remarque assez pertinente que l'organisation sociale et économique de cette époque pré-capitaliste pourrait être un modèle ou en tout cas une piste de réflexion pour le devenir de nos sociétés libérales mondialisées où nous sommes conscient d'être dans une impasse) : c'est le contenu de ce tome 7 de la série Histoire dessinée de la France avec brio et en cohérence avec l'esprit de la collection.

Les deux auteurs ont réussi un équilibrage parfait entre la partie bande dessinée et les articles en fin de volume. Dans la bande dessinée, le parcours un peu chaotique des deux personnages et les sauts d'un sujet à un autre, l'organisation sociale, les villes, les foires, les croisades, la religion, les cathédrales au fil des rencontres perturbent la compréhension chronologique mais avec beaucoup d'astuce les deux dernières planches font une synthèse de ce voyage temporel pour introduire la partie des articles. Cette seconde partie, en abordant chaque thème apporte une clarté et une cohérence sur le récit précédent et révèle que la foisonnement que l'on trouvait brouillon et un peu incohérent dévoile en fait une immense évolution de la société, des hommes, de l'économie, de la religion catholique sur les XII° et XII° siècle qui va donner les bases de la France des prochains siècles.

J'ai eu la chance de rencontrer à Reims les deux auteurs lors d'une conférence de présentation de leur album. La découverte de la méthode de construction de l'album, du travail entre l'historienne et le dessinateur, m'a rendu la lecture de cet album encore plus intéressante.
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L'incroyable histoire du vin

Loin de la vision francocentrée, Benoist Simmat et Daniel Casanave, parcourent, en textes et en dessins, dix millénaires d'histoire du vin. Né dans le croissant fertile, la culture du divin breuvage s'est développé quasiment dans le monde entier, influençant de nombreuses civilisations.

Intéressant, divertissant et bien documenté.




Lien : http://papivore.net/document..
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Merdre : Jarry, le père d'Ubu

Je me répète, je me répète, les biographies ne sont pas mon genre de prédilection....

C'est sans doute ce qui fait que je n'ai pas mis une note plus élevée sur cette BD.

J'avais envie d'en savoir plus sur Alfred Jarry, père du Père Ubu, et cette BD m'attirait plus qu'un roman biographique. Bien construite, avec quelques trouvailles de narration et de dessin, j'ai passé un bon moment de lecture.

J'ai même trouvé qu'il y avait de l'émotion, mais juste ce qu'il faut, pas de la trop dégoulinante ni trop attendue...



En bref, j'ai trouvé cette BD subtile et tendre pour une vie qui ne l'était pas tant... Je recommande donc :)
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Hubert Reeves nous explique, tome 2 : La forêt

Habituellement, j’ai toujours un peu de mal avec les BD documentaires. Quand je lis une BD, j’aime bien avoir une histoire. Je lis des BDs pour faire une pause entre deux romans, pour me détendre. J’ai toujours trouvé les BDs documentaires moins « détente », moins intéressantes…



Mais je dois dire que j’ai apprécié celle-ci. Alors certes, j’aurais préféré une BD avec une histoire. Mais pour une BD documentaire, elle n’est pas si mal. Nous suivons une classe en voyage scolaire dans la forêt, l’occasion d’apprendre tout un tas de choses sur ce milieu naturel, à commencer par « qu’est-ce qu’une vraie forêt ? ». On en apprend sur les animaux, sur les arbres. C’est assez intéressant et assez facile d’accès pour de jeunes lecteurs.



Le dessin est adapté au lectorat visé. Nous avons de beaux graphismes, doux et précis à la fois, avec un petit côté enfantin et des belles couleurs.



Je ne suis pas fan des BDs documentaires, mais celle-ci, je l’ai bien aimée.

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Hubert Reeves nous explique, tome 1 : La bi..

Je suis un grand fan d'Hubert REEVES. L'idée de cette bande dessinée est bonne, les dessins bien colorés mais elle n'est pas assez accrocheuse pour des enfants. Je dirai qu'elle est plus destinée aux parents pour expliquer aux enfants. Le paragraphe sur les espèces invasives explique très bien le phénomène.
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Verlaine

Rimbaud est très présent dans cette BD intitulée Verlaine. Car c'est bien la relation entre les deux auteurs qui est au centre du tome. C'est aussi le vécu de Verlaine dans une campagne belgo-française incapable de supporter ce que Verlaine représente.



Le dessin rappelle les BD du début du XXè siècle, par un crayonné assez léger et une mise en couleur assez douce.



Malheureusement, je ne maîtrise pas assez la vie de Verlaine et de Rimbaud pour comprendre l'ensemble et pour combler les ellipses et les non-dits de l'album. Dès lors, j'ai le sentiment d'être passé à côté d'une partie du propos.
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Hubert Reeves nous explique, tome 1 : La bi..

une bande dessinée très sympathique à lire tant les scènes sont fraîches, les illustrations dynamiques et colorées, et les récits faciles à comprendre. C'est clair, pédagogique et tendre. A lire ! J'attends le tome sur les forêts avec impatience.
Lien : http://capocapesdoc.over-blo..
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Tu sais ce qu'on raconte

Une petite ville comme il en existe tant en province.

Ni grande, ni petite.

Tout le monde connaît tout le monde.

Tout le monde a un avis sur tout.

Et comme rien ne se passe, le moindre événement devient le centre de toutes les conversations.

L'événement en question: le fils Gabory serait revenu.

La rumeur enfle, de maison en maison. Le fils Gabory est revenu. Comment ose-t-il après ce qui s'est passé ?

Casenave et Rochier on construit leur histoire comme un long dialogue dont les protragonistes changent sans cesse. A chaque case, nous changeons de lieux et de gens, mais la rumeur continue son chemin, chaque phrase amenant un élément nouveau, indiscutable parce que tout le monde le sait bien, même si personne n'a rien vu et si les événements se contredisent entre euc.

La rumeur n'a pas besoin d'être vérifiée. Elle grossit, empoisonne certains esprits.

Jusqu'à ce que...

Je dois reconnaître ne pas aimer les petites villes, pour en avoir pratiquée une pendant plusieurs années. Il y a toujours quelqu'un qui tient quelque chose de source sûre. De préférence quelque chose d'inavouable de préférence. C'est plus grisant.

Dans cette bande dessinée, Casenave et Rochier suivent la rumeur. La véritable héroïne de cette histoire. Les colporteurs et les rares contradicteurs ne sont que des anonymes. Certains auront l'honneur de voir leur rôle s'étoffer, mais pour la majorité, ils ne sont que des visages anonymes, comme on en croise tous les jours. Des gueules quelconques croquées avec talent par Casenave. On fil des pages, le lecteur est pris à témoin, découvre le que l'on reproche au fils Gabory. On découvre surtout toute l'hypocrisie d'une petite ville qui a ostracisé plus ou moins consciemment un indivivu marqué par les circonstances, mais qui a ignoré le comportement d'autres, mieux installés dans la hiérarchie.

Ce livre est la chronique de la violence sociale, lorsqu'un groupe décide d'exclure un individu. Ce mécanisme est implacable, d'autant plus qu'il repose sur uun effet de masse. Pour harceler efficacement, rien de mieux que la bonne conscience de quelques dizaines de personnes de bonne foi, et de petit esprit si possible.

Et la rumeur ne s'arrête pas.

Elle peut même en faire naître une nouvelle...
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Tu sais ce qu'on raconte



Voilà une BD qui traite d'un sujet intéressant et pas tout à fait banal : la rumeur. Pourquoi intéressant ? Parce que c'est, à mon sens, un vrai problème de société. En effet, les rumeurs peuvent faire beaucoup de mal. Et c'est un peu ce que démontre cette BD.



Nous sommes ici face à une rumeur qui fait parler les habitants d'un village (difficile d'estimer la taille de la commune). Chaque case amène un personnage différent qui reprend pourtant la conversation en cours sans en gêner la logique. Cela montre à la fois la rapidité avec laquelle une rumeur se répand et montre aussi que certains "on dit" peuvent occuper l'esprit de plus de personnes qu'on ne le croit. Et dans tout ça, comment démêler le faux du vrai puisque le principal intéressé, l'homme au cœur de la rumeur n'apparait même pas. On voit donc cette rumeur s'enfler et aller jusqu'à prendre des proportions énormes. C'est fou quand on y pense, tout ce qu'une rumeur peut déclencher.



Niveau dessins, ce n'est pas un style que j'affectionne particulièrement. Mais ça va, ça passe. L'important ici est, je pense, de bien différencier les différents intervenants et c'est assez réussi. On a l'impression de se trouver face à une multitude de personnages. J'ai eu plus de mal avec les couleurs utilisées. Mais bon, ça passe.



Pour conclure, je dirai que c'est là une BD intelligente et bien construite.

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Tu sais ce qu'on raconte

L’association entre Gilles Rochier et Daniel Casanave me paraissait improbable. Si j’apprécie les deux auteurs, je les imaginais mal ensemble. Quelle erreur ! Le premier signe un scénario des plus originaux : raconter une histoire à partir de on-dit. Casanave dessine alors toute une galerie de personnages d’une bourgade qui discutent d’un fait divers… Le tout pèse 80 pages et est publié chez Warum.



Quel bel ouvrage ! S’il est incontestablement expérimental dans sa narration, « Tu sais ce qu’on raconte » est également très accessible. Bien sûr, on se récupère que des bribes de conversation, qui construisent peu à peu l’histoire.



Le point de départ est simple : le fils Gabory est revenu prendre un café. De là, les événements s’enchaînent : pourquoi est-il revenu ? Peu à peu, on découvrir son histoire, sa famille, les raisons de son départ… Et les vieilles rancunes surgissent : et si le môme était venu se venger ?



La multitude des personnages permet de dynamiser la narration. Certains savent des choses, d’autres questionnent… Le tout rebondit de case en case et happe le lecteur. À force de ressasser le passé, une nouvelle histoire surgit, dans le présent cette fois-ci. Ainsi, on découvre à la fois le passé du fils Gabory, mais on suit son retour…



On ne va pas se le cacher : quand on ferme l’ouvrage, on s’attendait à une fin plus percutante (quoique…). Une petite pirouette supplémentaire pour atteindre le nirvana des ouvrages conceptuels ? Malgré tout, la fin du livre suffit à combler nos désirs et fait de l’ouvrage une indéniable réussite, tant dans le concept que dans sa réalisation concrète.



Daniel Casanave avait la lourde tâche de dessiner ce livre original, où les personnages récurrents restent des anonymes que l’on voit trois ou quatre fois dans l’ouvrage. Il fallait donner vie aux personnages, même, en les voyant peu. C’est plutôt réussi. Son trait fait merveille pour dessiner une petite bourgade et ses habitants. Le choix du dessinateur est particulièrement pertinent ! La bichromie est bien utilisée et met en valeur son trait dynamique.



« Tu sais ce qu’on raconte » est un beau bouquin, le genre que l’on pourrait citer en exemple de narration. Car si les racontars nous apprennent beaucoup de choses, il reste beaucoup de zones d’ombre et le fin mot de l’histoire ne sera pas révélé. Au lecteur, devenu habitant de la bourgade, de se faire son propre avis…

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La Petite Bédéthèque des Savoirs, tome 2 : L'un..

Cette courte bande-dessinée reprend tous les grands thèmes de l'oeuvre de vulgarisation de Hubert Reeves (Patience dans l'azur, l'heure de s'enivrer, Poussières d'étoiles...) en la survolant à une vitesse supra-luminique. Autant dire qu'il s'agit là moins d'un ouvrage de vulgarisation à la cosmologie qu'une brève introduction aux idées de Hubert Reeves sur l'univers, la science, la culture, l'éthique et l'esthétique et comment tout cela marche ensemble.

Ce petit livre rend compte de la philosophie de Hubert Reeves qui, sans prétendre à l'originalité, a une grande influence sur le public francophone. Dans cette collaboration avec le dessinateur Daniel Casanave, nous retrouvons tout le charme des livres de l'astrophysicien. Le dessin est ici moins didactique que poétique et prend en charge cette dimension des ouvrages du vulgarisateur dont le sens poétique sert les idées scientifiques avec la plus grande honnêteté possible.
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La Petite Bédéthèque des Savoirs, tome 2 : L'un..

Avec son talent de conteur reconnu, Hubert Reeves écarte les savants calculs modernes et, pour répondre aux questions, se fait épistémologue par la voix de Démocrite.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Une aventure rocambolesque de... Tome 3 : A..

"Ce n'est pas parce que les crétins répètent “Dieu est grand” depuis des siècles que c'est vrai." (37)



Fous de Dieu à poils, à plumes, à petites et grandes oreilles, cet album s'adresse à vous !



Car Dieu est en fait tout petit... aussi petit que le zizi des terribles Huns s'il faut en croire ce rapport sur leur dévastatrice rapine de la Beauce :



"Quelques chats auront du mal à s'asseoir pendant plusieurs jours"



Dieu est un brin d'herbe railleur qui ne répond pas plus à la question de l'existence que la conquête du pouvoir ou l'accession à l'immortalité. Attila, dans son errance, en sait quelque chose. La perplexité de l'homme est grande quand on ne la remplit pas de multiples objets prémâchés.



Excellente et mystique digression, à savourer doublement par ces temps où Dieu courre les rues...



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Shelley, tome 1 : Percy

Une délicieuse "biographique" ! Scénario et dessins se complètent parfaitement faisant de cette lecture un moment aussi poétique et décalé que semble avoir été la vie de Percy Shelley, personnalité bondissante, fantasque et attachante, toujours prêt à tomber amoureux d'une femme ou d'une cause.
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Une aventure rocambolesque de... Tome 5 : S..

"Drôle" de B.D. ; cette année est le centenaire de 14-18. Mon grand-père maternel, officier de cavalerie, fit la "guerre de Verdun". C'est sans doute voulu que cela soit sans horizon, ou plutôt, un horizon bouché, murs d'incompréhensions face à l'horreur et la démence, tombes sans fin ... Le propos est une fresque antimilitariste d'un monde "tombal" à perte de vue, jusque dans les rivages de l'océan, hanté par des âmes en peines, parcouru par un gardien (mémoire ?) des lieux. Ayant travaillé dans un cimetière dans mes 26 ans, je confirme que ce sont des lieux calmes et agréables pour se soustraire à l'agitation bruyante des "vivants". Le "monde des défunts" pour peut que nous respections leur souvenir, est bien moins pénible à fréquenter que celui de ceux qui se targuent d'êtres nos semblables, en chair et en os, mais finalement pas tant que cela ... !

Larcenet n'a pas donné là son potentiel artistique du meilleur cru, bien que le sujet l'eut permis, dommage ...

( les références des "33t vinyle" punk ne me sont pas apparu de la meilleure inspiration en effet ...)
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Toi au moins, tu es mort avant

A travers un récit de vie hors du commun, Toi au moins tu es mort avant met en lumière le destin d’un grand résistant, sans grandiloquence ni faux-semblants.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..
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