Dante Alighieri

2021 est l'année des 700 ans de la mort de Dante. Une raison de se plonger dans un de ses ouvrages qui a traversé les temps et qui s'impose encore. Une lecture qui n'est pas simple. La traduction en français des chants de l'artiste conserve le style de l'époque avec des tournures de phrases très particulières. Accompagné de Virgile, on descend dans les neuf cercles de l'enfer. On rencontre énormément de personnages dans les différents cercles; des personnages contemporains de Dante, des personnages historiques ou de la mythologie. Les nombreuses et indispensables notes permettent d'avoir des explications sur tel ou tel. Avec ses contemporains, Dante règle ses comptes ou ceux de son camp. Les connaissances de Dante sont profondes et nombreuses. Pas un chant sans de nombreuses références à la bible, au livres et aux histoires anciennes. Un puits de savoir qu'il faut aborder avec humilité. On sort de l'enfer avec plaisir tant les tourments décrits sont horribles. Il y fait chaud mais oh surprise, le neuvième cercle est fait de glace. Prochaine étape le purgatoire. A suivre...

La Divina Comedia es una obra maestra, en el sentido que resume la ideología de la Edad Media y es un testimonio, casi una crónica de la vida en Italia de ese tiempo.Menciona un sinnúmero de personajes tanto antiguos como modernos lo que nos hace pensar cómo concebían las sociedades europeas católicas al antiguo paganismo.Pero aún así Dante conserva muchos aspectos del clasicismo greco-romano que hacen a decir verdad el relato mucho más interesante que de no haber contado con ello.Lleno de lirismo, metáforas y otros aspectos que quizás pueden hacer un poco denso la lectura, es una obra maestra.

La Vita Nova ou si on devait grossir le trait au maximum le journal intime de Dante Alighieri. On y pressent la force de la Divine Comédie et la figure mystique (en passe de devenir divine pour l'auteur) de Béatrice transparaît et est le coeur vibrant de cet ouvrage.

Très bizarre car très ancien (1321). Un classique à avoir lu pour ses références. Pas passionnant pour autant.

Cette édition reprend l'une des traductions de Dante les plus célèbres. Est adjoint un texte d'Yves Bonnefoy qui figure par ailleurs dans un de ses recueils (il s'agit d'une conférence faite au Collège de France sur "Dante et les mots".)

Comment ne pas avoir envie de lire cette BD ? Dante, en mode hipster, qui se retrouve en enfer sans trop savoir comment qui s’en sort grâce à un Virgile cynique transformé en chacal dans des péripéties improbables ? C’est assez trucculent.



La bande-dessinée se lit très rapidement grâce à son humour et son action. On arrive quand même à retrouver tout ce qui fait l’oeuvre originale mais remis au gout du jour. On y retrouve donc des personnages (parfois tristement) célèbres et on s’amuse à les imaginer dans les cercles de l’enfer.



J’apprécie ce genre de récits improbables ou tout le monde accepte l’histoire telle qu’elle est, « je suis en enfer ? Bon bah ok ».



On me l’avais déjà conseillée il y a quelques temps et donc, à mon tour je la conseille que vous connaissiez l’histoire originale ou non.
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Pas facile à lire, voilà ce que je dirais pour commencer ma critique qui n'en est pas une. J'ai toujours voulu lire ce recueil si souvent cité dans les romans policiers. Malheureusement n'étant pas du tout spécialiste du monde médiéval j'ai eu beaucoup de mal à comprendre ce que je lisais. C'est vraiment dommage. Il est très difficile d’appréhender le texte sans aide.

L'enfer est un des trois volumes de la Divine Comédie avec le Paradis et le Purgatoire. Dante veut découvrir ce qui se passe aux enfers et ce volume est un long poème relatant son voyage à travers les cercles des enfers, accompagné de son guide : Virgile.



Qu'un vivant puisse pénétrer dans ce royaume est, pour ceux qui sont damnés, extraordinaire. Cette vie est un prétexte pour eux pour regarder en arrière avec nostalgie et de raconter le pourquoi ils sont en ces lieux.



Dante est envié par ceux qui sont dans la tourmente, dans la souffrance mais lui, il voyage et ne voit le royaume du diable que comme un touriste, curieux, attentif mais qui sait qu'il va partir.



Je ne connais pas la Divine Comédie, mais sa lecture est prévue.



Ce poème est l'occasion pour l'auteur de nous faire découvrir le monde des philosophes, des monstres, des chimères. Le diable est très peu évoqué comme si la description de cet univers apocalyptique suffisait à faire les présentations.



Une seule lecture ne me permet d'en dire beaucoup plus tant ce poème est riche.

Dante, quadragénaire nonchalant se retrouve perdu dans une forêt "infernale". Flanqué d'un chacal nommé Virgile, les deux compères vont vivre des aventures rocambolesques inspirées de la Divine Comédie.

Le graphisme cartoon et angulaire, le rythme trépident, font penser aux séries d'animations actuelles.

Le tout est très référencé et saupoudré d'un humour féroce.

Une belle édition au format original, vient parachever le plaisir de lecture.

Non essentiel, mais agréable.

Dante, un hipster quadragénaire, effectue une randonnée en forêt quand il fait d'étranges rencontres qu'il tente de fuir. Mais il tombe alors sur un chacal rouge qui lui parle. Ce dernier lui affirme s'appeler Virgile et qu'il est prêt à aider Dante à échapper à toutes les propositions faites par les habitants de cette sombre forêt mais pour cela, il faut qu'ils traversent les différents cercles de l'Enfer, avec ses pêcheurs et les tortures qui vont avec …

J'avais hésité à acheter cet album mais en le feuilletant, j'ai été rapidement convaincue. J'avais un peu peur de ne pas forcément toujours suivre l'histoire car si je connais un peu La divine comédie de Dante, je suis loin d'en savoir tous les détails. Qui plus est, il y a aussi beaucoup de références variées dans cet album, soit par l'apparition de personnages (comme Berlusconi par exemple) ou par des allusions à des chansons ou à d'autres oeuvres (peinture ou gravure) qui ont aussi illustré le livre de Dante. Bien sûr, il y en a un certain nombre que je n'ai pas identifié du tout et d'autres où il m'a fallu faire des recherches sur Ìnternet. Mais malgré tout, l'ensemble reste très plaisant à lire : c'est fluide, avec beaucoup de scènes amusantes et des clins d'oeil grinçants à propos de notre société de consommation et ses abus. Même ceux qui ne connaissent pas du tout le livre de Dante peuvent donc y trouver de l'intérêt et il est facile de s'identifier à Dante et de s'attacher à Virgile. Le dessin est simple, avec beaucoup de tons rouges ou sombres mais c'est un peu normal pour l'Enfer ! Et je lui ai trouvé un petit côté intemporel, un peu comme des gravures d'un autre temps. Il y a aussi de nombreux petits chapitres, qui facilitent la lecture et qui permettent de faire des pauses pour aller rechercher des infos supplémentaires sur certaines allusions. J'ai donc énormément aimé, à la fois pour le côté érudit qui s'allie à un humour noir qui fait mouche, même si j'aurais encore plus apprécié s'il y avait eu un petit dossier complémentaire en fin d'album pour mieux comprendre les références sans avoir à me rabattre sur Internet (surtout que ma connexion ne fonctionnait pas très bien !)

J'ai eu plus de facilité à lire ce tome que le précédent. Mais l'Enfer reste le meilleur des trois.



Il y a beaucoup de lenteur dans celui-ci.



Je pense que ce tome constitue la rédemption de Dante lui-même.

Cette lecture me change de mes lectures habituelles, mais cela fait longtemps que je voulais lire la divine comédie.



Ce premier tome, fait froid dans le dos. Plus Dante parcourt l'enfer et plus les châtiments sont terribles.



Même si la lecture est difficile, car nous n'avons pas l'habitude de ce type de langage, elle est tout de même très agréable.



Je conseille toutefois de lire ce livre à voix haute. La compréhension en est plus facile.

Adapter la Divine Comédie de Dante en la mettant au gout du jour avec un humour décalé et des guest-stars aussi incongrues que Pinochet ou Hitler fallait le faire. L’Allemand Michael Meier relève le pari utilisant un style humoristique coloré que ce soit dans le dessin –cartoony- comme les textes, résolument contemporains. Cela étant, si souvent amusant, En enfer avec Dante (prénom du jeune homme paumé dans cet enfer, guidé par un chacal répondant au doux nom de Virgile) est à lire à petites doses à chaque fois, chronologiquement certes mais pas forcément tout d’un coup si l’on veut éviter une certaine lassitude. Quant à ceux qui comptaient sur cette version pour réviser leur bac français (qui arrive à grands pas), je pense que vous risquez de vous faire ramasser…sauf si le correcteur a de l’humour ! Proposition musicale par là: http://bobd.over-blog.com/2015/06/messe-infernale-en-enfer-avec-dante-vs-messe-pour-le-temps-present.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..

Une oeuvre majeure s'il en est, souvent citée, mais finalement fort peu connue dans son intégralité. Et c'est bien dommage au vu de la richesse des thèmes comme du texte. Richesse que l'on a l'occasion de redécouvrir aujourd'hui grâce à la voix très "old school" et du coup fort à propos, de Jacques Rolland. Un excellent Livre Audio!