Daruma Matsuura

Ce manga signe le retour de la mangaka de Kasane chez nous. Pour ma part, je découvre son travail et j'ai bien accroché à ce premier tome ! Konosuke est un personnage assez pathétique mais auquel je me suis attachée, puisqu'il est victime d'une sorte de malédiction. Quant à Tsuki, je la trouve trop mystérieuse et étrange, elle semble avoir beaucoup de secrets que j'espère vite découvrir !

J’ai bien aimé ce premier volume. L’histoire commence directement et nous sommes plongé dans l’univers et les pensées de Kasane, une fillette au visage repoussant. On ne voit jamais son visage en entier d’ailleurs, seulement une partie parfois et cela suffit pour montrer sa laideur (et méchanceté parfois). J’ai été bien absorbé par l’histoire et j’ai hâte de lire la suite pour en savoir plus sur Kasane et son mystérieux rouge à lèvres. C’est une histoire assez bizarre, sombre et perturbante, mais aussi originale je trouve. On ressent bien un sentiment d’horreur en lisant ce manga.



Je recommande à ceux qui recherche un thriller un peu psychologique. Par contre, soyez prévenu, l’histoire peut en déranger plus d’un.



3.5/5
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Quelques minutes seulement après avoir lu ce livre, je me sens dubitative. Je me suis lancée dans ce roman japonnais à l'aveugle, sans même connaître le manga dont il est issu. Le scénario me plaisait, la couverture était sympathique et le tout semblait original, alors je n'ai pas vraiment hésité.



Au final, je n'ai en effet jamais rien lu de telle. Un mélange prometteur entre superstition, fantasy et culture japonnaise, d'autant plus avec un protagoniste laid ce qui est plutôt rare. Mais malheureusement, ça ne l'a pas fait pour moi.



Premièrement, l'action est extrêmement lente. Aurant les deux premiers chapitres qui retracent l'enfance et l'adolescence d'Izana étaient intéressant, autant la suite m'a ennuyée terriblement. Je suis moi-même étonnée d'avoir réussi à finir le livre.



Il m'a fallu attendre la page 230 pour rentrer dans l'action, et pour le coup, les choses se sont mises aller trop vite... J'ai trouvé qu'on restait en surface et les actions auraientméritéses plus de détails ou plus d'états d'âme d'Izana qui disparaît presque entièrement du récit. Il ne restait que 80 pages pour développer toute l'intrigue et pour moi c'est une grosse erreur de rythme.



Cela ajouté au fait que le livre a deux narrateurs, Izana et Kaigo, mais que l'autrice ne nous indique d'aucune manière quand le changement s'opère, ou même que le style est plutôt lourd (ce qui vient peut être de la traduction) je n'ai pas vraiment profiter de cette lecture.



Enfin, je suis obligée de mentionner le côté EXTRÊMEMENT glauque et dérangeant de la fin du livre (d'ailleurs TW : vi*l, agression s*x**lle, meurtre...). Dubitative et dérangée sont vraiments les maîtres mots de ce que j'ai ressenti. Rien n'est romantisé mais enfin bon, la tournure est un peu inutilement sombre tout de même.



Donc je suis arrivée au bout de ces 300 pages, mais je suis forcée de constater que ce n'était pas une lecture pour moi, je ne lui trouve pour qualité que l'idée de base de vols de visage. Dommage !

« Izana, la voleuse de visage » est un roman préquel au manga du même nom (ou presque) « Kazane, la voleuse de visage » ; une série que j'ai énormément appréciée pour sa richesse, sa complexité et son intrigue efficace. C'est dans l'idée de rester encore un peu dans l'univers de Kazane, après avoir terminé le manga, que je me suis intéressée au roman. Celui-ci nous raconte l'histoire d'Izana, la mère de Kazane, souffrant elle aussi d'une laideur repoussante et d'un visage monstrueux.



Le roman est sans réelle surprise pour ceux qui ont déjà lu le manga, car les évènements du roman y sont déjà évoqués. Pourtant, ça ne m'a pas dérangé et j'ai apprécié que la jeunesse d'Izana soit développée de cette façon ; notamment sa petite enfance auprès de sa mère adoptive. On y découvre une petite fille attachante, pleine de rêves et d'espoirs, mise au ban de la société à cause de sa laideur et de superstitions archaïques. J'ai trouvé ce personnage vraiment attachant. Et j'ai aimé comprendre d'où venait cette femme dont l'ombre pesait constamment sur Kazane dans le manga. J'ai également beaucoup aimé le petit Kingo qui, lui aussi, s'est révélé attachant.



Pour un roman écrit en parallèle d'un manga, un premier roman qui plus est, je l'ai trouvé plutôt bien réussi ! L'autrice a su donner une vraie ambiance à son roman : les environnements, les décors, notamment celui de la montagne et du petit village reclus, les lieux visités par Izana ou l'aspect traditionnel et folklorique... Tout est très visuel et vivant. J'imaginais parfaitement la petite maison de Chigusa et le sentier qui sinuait vers la montagne pour rejoindre la cabane d'Izana :]



Le roman apporte donc un prolongement agréable au manga dont il est la préquelle ; éclairant le passé de deux personnages qui auront une influence considérable dans la vie de Kazane. Pour ceux qui ne connaissent pas le manga, la fin peut sembler un peu tirée par les cheveux, et peut-être précipitée, mais la conclusion est cohérente avec le manga. Une conclusion en apothéose et aux accents de tragédie.

Destiné à un public averti, le manga « Kasane, la voleuse de visage » nous raconte l'histoire de Kazane, une jeune femme au visage monstrueux et à la laideur repoussante, victime de moqueries, de brimades et même de maltraitante depuis toujours. Grâce à un mystérieux rouge à lèvres lui conférant la possibilité de voler le visage de la personne de son choix, Kazane va prendre sa revanche sur le monde et sortir des ténèbres pour vivre sous la lumière des projecteurs... Mais jusqu'où sera-t-elle prête à aller ?



La série écrite par Daruma Matsuura est à la fois fascinante et bouleversante. Au croisement de la tragédie et du thriller, Kazane est un manga qui nous livre une histoire sombre, violente, cruelle et sans concession. Le scénario est complexe et recherché, et de multiples rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'au dénouement final. Les dessins sont superbement esquissés et servent une narration rythmée, efficace et parfois inattendue. Une mention spéciale pour les sublimes couvertures, à leurs dessins atypiques et à la double interprétation jaquette/couverture qui montre Kazane sous ses deux apparences.



Et que dire des personnages, principaux ou secondaires, si finement développés ? Kazane à la fois victime et bourreau, attachante et détestable, possède tant de nuances qu'il est difficile de savoir si elle est l'héroïne ou l'antagoniste du drame qui se joue sur 14 tomes. Le lecteur pourra, tour à tour, et parfois en même temps, l'adorer ou la détester. Les autres personnages ne sont pas en reste, et tous bénéficient d'une écriture soignée, toute en nuances et ambivalences.



Les thèmes abordés par la série sont durs, parfois très durs même, mais rien n'est gratuit (je pense par exemple au passé de Nogiku, que je trouvais un peu « too much » en première lecture, mais qui est, en définitive, traité avec beaucoup de justesse) Le manga nous amène à réfléchir sur les discriminations et sur la violence à l'encontre des personnes différentes de la norme ; mais aussi sur le diktat des apparences et de la beauté.



Une série fascinante qui m'aura fait retenir mon souffle et éprouver une large palette d'émotions durant 14 tomes. C'est avec un pincement au cœur que je referme l'ultime tome de la série.

Cette nouvelle se présente sous la forme d'un petit livre offert avec le dernier tome (14) de la série manga Kasane, clôturant cette fresque sur l'importance du regard des autres dans sa construction personnelle.

Ayant déjà lu le roman "Izana, la voleuse du visage" du même auteur sur la jeunesse de la mère de Kasane, ce petit récit y fait directement suite.

Attirée comme beaucoup d'autres certainement par les évocations de l'auteur dans son manga "Kasane", je me suis empressée d'acheter ce livre.

On suit la mère de l'héroïne du manga, celle par qui toute l'histoire des voleuses de visage commence. Bien sûr, le titre renvoie directement à ce personnage, on sait donc qu'on va suivre son histoire si on a lu le manga en premier lieu, mais à la lecture de ce roman on oublie très vite celui-ci.

Là où on aurait pu attendre de faire absolument des liens avec le manga, le récit en lui-même est porté de façon tellement différente qu'il en devient plus qu'un préquel, une histoire véritable à part entière. Le médium est différent, le ton aussi, et c'est tant mieux, car on n'est pas tenté de faire un comparatif incessant avec le manga.

Les points de vues alternent, la narration est simple mais percutante, tout est réuni pour faire passer un bon moment où relations humaines bonnes comme néfastes mais jamais simples et mythologies se croisent : pour qu'une jeune femme s'affranchisse d'une ancienne tradition et puisse reprendre pouvoir sur sa vie, elle utilise pour cela cette même croyance qui s'avère bien plus qu'un mythe.

On déplorera cependant de nombreuses coquilles, fautes de frappes et mots oubliés.

Avant-dernier tome d'une histoire bien cruelle basée sur l'acceptation de soi, de son physique et de sa passion pour le théâtre. Ce tome va redonner un nouveau rebondissement à la série. Il est essentiellement centré sur Habuta et sa nouvelle pièce. Pièce qui rappellera bien évidemment la relation de Sukeyo avec Izana. J'ai eu de la pitié pour Habuta qui va voir toute sa vérité s'écrouler..toute sa vie destinée à ses 2 femmes, brisée.

Dans ce volume, à part le revirement de situation qui ne m'a pas forcément plu, j'ai trouvé tellement prévisible le désir de Kasane de jouer le rôle sombre de cette pièce.. que je me suis même demandée si ce revirement a été simplement créé pour arriver à cette fin. Cependant, j'ai hâte d'avoir le dernier tome en main !

« Izana - La Voleuse de visage » est le prequel du manga « Kasane » et raconte l’histoire d’une jeune fille, Izana donc, qui est victime de la malédiction de son village : à une lointaine époque s’affrontèrent une sorcière très laide et une prêtresse très belle, la sorcière gagna et revint sous les traits de son ennemie. Depuis, lors de l’année du cheval de feu, la tradition exige de tuer les nourrissons féminins arborant des traits disgracieux. Izana eut cette malchance -à l’inverse de Namino épargnée grâce à sa grande beauté- mais elle fut secrètement recueillie par une femme bienveillante, Chigusa, qui l’éleva et la garda cachée chez elle. Jusqu’au jour où Izana, ignorante de la tradition et de sa propre laideur, décida d’explorer l’extérieur de la maison. Je n’en dis pas plus !



J’ai aimé l’utilisation de légendes japonaises, la relation entre Chigusa et Izana ainsi que l’évolution de cette dernière qui n’est finalement pas tant victime de la malédiction que du rejet des villageois et de l’isolement. Même si ce n’est pas le premier à nous apprendre ceci, ce roman nous rappelle que l’apparence ne fait pas tout, n’est pas la seule qualité d’une personne, et qu’il vaut mieux ne pas s’y fier, à l’apparence. 😏

j'ai entendu beaucoup de biens de ce manga mais je n'ai pas été convaincue par ce tome 1 malgré l'histoire originale et dérangeante qu'elle propose. Je ne saurais pas dire ce qui m'a déplu. Je dirais juste que ce n'est pas un coup de coeur et que l'histoire n'a pas attisée ma curiosité. Le tome 2 m'attend dans ma bibliothèque mais je ne ressens pas la frénésie que je ressens pour d'autres mangas dont je meurs d'envie de lire le tome suivant.

Un tome légèrement en dessous des autres. On ne reconnaît plus l'héroïne; elle est devenue absente, effacée, comme résignée; du coup, le frisson qui nous habite depuis le premier tome n'est pas au rendez-vous cette fois.

J'espère que c'est dans l'objectif de nous offrir un final rocambolesque, inattendu et diabolique !

J'ai lu Kasane il y a peu et j'ai simplement été émerveillée par l'univers de ce manga que ce soit le dessin ou l'idée je trouve que chaque élément est parfait.

J'ai beaucoup aimé retrouvé la philosophie de l'esthétisme dans un manga et redécouvrir ces pièces de théâtre choisies pour correspondre à la vie de Kasane.

Je trouve cela dommage que la série se termine en 14tomes, j'aurais aimé pouvoir suivre Kasane plus longtemps...

Les belles personnes sont aimées et vénérées. Elles ont tout ce qu'elles désirent à leurs pieds... Mais la beauté est une pure illusion.



J'ai un avis très partagé sur ce livre. D'un côté, on ne peut pas nier que la réflexion qu'il apporte, sur l'importance de la beauté et le poids des traditions, même lorsqu'elles peuvent sembler stupides. De l'autre, il y a des côtés de l'histoire que je trouve vraiment dérangeant. Les pensées d'Izana par exemple. La manière de voler les visages. Et toute la culture du viol...

La couverture est très sombre et des griffes/lames semblent sortir de la nuit.

Tomber les masques ! Encore une fois !

Questions restant sans réponses. On est toujours aussi partagé sur Kasane mais comment totalement la blâmer ? Elle en paye le prix aussi.

Kasane (Saki) déploie ses ailes magistralement lors de la générale. Elle tente de l'inédit. Elle a sa façon à elle d'incarner ce rôle qui reflète sa vie et ses sentiments.

Ce rôle aurait dû lui faire tout dépasser, grande tournée, puis même partie à l'étranger. Fouler ce que sa mère n'a point connu.

Iku a un côté naïf, a l'air gentille mais énervante par moment. Pense-t-elle vraiment que dans ce monde si on est laid même si on a du talent, on pourra monter sur scène ? être applaudit ? Elle a bien vu ce qu'elle a subi jeune. Elle a vu qu'on l'a traité de monstre. La cruauté humaine peut être sans égale, si bien qu'elle peut nous conduire à commettre l'irréparable.

Ironiquement, cela sert aussi les intérêts d'Iku.

Alors que Kasane était pas trop mal en paix avec elle-même, en confiance, même si parfois ses larmes coulaient, car ce n'était jamais elle qu'on applaudissait vraiment, à cause de son passé.

Nothing is easy/Rien n'est facile !

Nobiku qui est sauvée n'est pas si reconnaissante ou ravie que cela, et elle a des idées noires.

Kasane se cherche, une très sombre pensée s'est emparée d'elle, mais des souvenirs l'ont fait rester.

Iku cherche à en savoir plus, comprendre ce qu'elle ne comprend pas.

L'agent de Kasane s'est sacrifié, a mis son talent en stand bye. Pourra-t-il un jour s'envoler avec elle.

Le metteur en scène voit au-delà du masque et se rappelle le passé.

Pas mal de gens ont eu des soupçons, se sont rappelés de choses à travers le masque !

ps : j'ai aussi aimé revoir Izana interprétée cette danse hors du temps qui m'a refait penser au livre.


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J’ai découvert ce roman durant l’été 2017 sur Instagram, je le voyais passer de partout et ce qui à suscité ma curiosité, c’est tout d’abord sa couverture et cette phrase accrocheuse « Et si vous pouviez prendre l’apparence de n’importe qui… » il n’en fallait pas plus pour que mon coeur de lectrice ne s’emballe, ensuite le résumé a fini par me convaincre qu’il fallait que je me procure ce livre et dès sa reception je me suis jetée sur l’ouvrage et croyez moi que je n’ai pas été déçue du voyage.

Nous allons découvrir ici, l’histoire d’Izana, une jeune fille, née l’année du cheval de feu, malheureusement pour Izana, la vie ne l’a pas doté de beauté. Une vieille légende de son village japonnais raconte qu’une fille laide, née l’année du cheval de feu, serait la réincarnation d’une sorcière qui autrefois tua une prêtesse d’une grande beauté et que la soricère victorieuse vola l’apparence de la prêtesse. Un jour,en pleine nuit, Chigusa, sage femme du village est appelée dans le plus grand secret auprès de Kasura, la mère d’Izana, qui va bientôt mettre au monde sa fille. Pour sauver la vie de sa fille, Kasura demandera a Chigusa de la proteger avant de se donner la mort ainsi durant de nombreuses années, Chigusa va élever Izana, enfermée entre les 4 murs de sa maison car personne au village ne doit savoir qu’Izana est toujours en vie mais en grandissant Izana veut découvrir l’extèrieur et décide un 1er Janvier pendant l’abscence de Chigusa de sortir de la maison pour pouvoir trouver l’école car Izana a soif d’apprendre mais sur son chemin, elle rencontrera un groupe d’enfants qui vont se moquer d’elle à cause de son apparence et à partir de ce jour sa vie va prendre un autre tournant…

Izana, la voleuse de visage est le préquel du manga Kazané, la voleuse de visage, si vous n’avez pas lu le manga comme c’est mon cas, pas d’inquiétude, ce livre peut se lire indépendamment. Daruma Matsurra, nous délivre ici un rythme de lecture assez lent pourtant l’écriture est addictive, sensible, parfois même poetique mais elle a aussi sa part sombre car elle peut être également cruelle et tranchante. Cette ambivalance dans l’écriture donne à cette histoire une atmosphère particulière.

Ne vous attendez pas à lire un roman d’action ou fantastique classique, ce n’est pas le cas ici nous serons plongés dans un univers de croyances et légendes japonaises. De traditions, de textes anciens qui se transmettent depuis des siècles de générations en générations. Plus que de simples coutumes, elles deviennent loi et qui les transgrésent se voit exclu par les habitants du village.

Tout au long du récit, nous découvrirons tour à tour le poing de vue de 3 narrateurs différents, ça fait partie de l’originalité de ce roman. Tout d’abord, nous avons, Chigusa, la protrectice de Izana, qui est une vieille dame adorable et qui ne va pas hésiter à enfeindre les lois du village pour protéger ceux qui en ont besoin. Ensuite, nous avons, Izana, qui est loin d’être une jeune fille ordinaire et pourtant elle a se désir de vivre sa vie comme tout le monde et enfin Kingo, un petit garçon du village, qui tout comme Izana est rejeté mais pour des raisons différentes et à qui Chigusa viendra également en aide. Tous ces personnages ont des personnalités différentes et parfois complexe comme celle d’Izana, finalement qui est-elle vraiment?

Ce roman apporte à la reflexion concernant l’apparence, une personne belle à l’extérieure l’est-elle forcement à l’intérieure? ou inversement? Nous verrons ici que la beauté peut ouvrir bien des portes et que la laideur peut conduire à la mort.

En conclusion, j’ai passé un agréable moment de lecture, me plonger dans cette légende et la culture japonnaise a été un vrai plaisir. Malgré ce côté dramatique et angoissant, ce récit est également ensorcelant et addictif. Nous avons qui une fin ouverte qui nous donne envie d’en savoir plus et de découvrir dans les mangas l’histoire de Kasané, la fille d’Izana plusieurs années plus tard. Que vous soyez amateurs de légendes urbaines ou non, laissez vous tenter par Izana, la voleuse de visage. Vous ne le regretterez pas.
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Je suis un peu déçue par ce tome car même si le drame que j'attendais se produit enfin, l'histoire est coupée en plein élan au milieu pour revenir encore une fois sur le passé d'Izana. Certes, il est très intéressant mais je ne sais pas si c'est très judicieux de le placer là et sous cette forme assez longue et lourde (pas subtile) au passage.
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Quel tome magistral ! On sent monter la tension à chaque page d'abord au fur et à mesure que chacune des filles sombre dans la folie, puis au fur et à mesure que chaque "camp" élabore ses plans pour anihiler l'autre. J'ai vraiment trouvé ça jouissif.
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On entre dans un nouvel arc avec ce tome. C'est toujours aussi passionnant à suivre. On s'inquiète, on tremble pour les deux soeurs et on se demande comment ce drame va bien pouvoir finir. La collaboration entre elles fait froid dans le dos et apporte de l'espoir en même temps. J'ai aimé revoir Kasane sur scène et voir Nogiku se libérer un peu de son passé.
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Ce tome amorce la fin d'un cycle et préfigure le suivant. A l'image de la couverture, nous sommes en plein drame. La tension est toujours aussi présente chez les deux soeurs même si elles agissent un peu chacune de leur côté et j'attends la prochaine confrontation avec impatience.
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Avec juste 5 tomes, le mangaka a réussi à créer un univers très riche, plein de tension et de drame avec un vrai côté théâtral qui correspond parfaitement à la série. Avec ce tome, on plonge encore un peu plus dans la noirceur et la folie de Nogiku, faisant presque de Kasane un personnage secondaire. Je me régale.
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