AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de David McNeil (54)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Angie ou les douze mesures d'un blues

Les douze mesures d'un blues, d'où les douze chapitres du livre :-)

Un livre agréable à lire, intéressant pour ceux qui aiment le côté autobiographique d'un musicien de l'époque des 'bluesmen' des années 60.

L'écriture est intéressante, justement parce que sans prétention. Ce qui fait que l'on ne peut oublier ce livre si l'on aime le blues.

Rappel : "David McNeil est chanteur et il a enregistré plusieurs albums sous son nom, il est aussi auteur-compositeur pour Yves Montant, Alain Souchon ou Julien Clerc et depuis 1991 il écrit des romans
Commenter  J’apprécie          30
Mékeskispasse ?

Deux pages que l’on ouvre pour en découvrir une troisième. L’illustration est belle et attractive. Ma préférée est celle où l’on voit des oiseaux sur un fil et lorsqu’on l’ouvre un chat apparaît, c’est donc sur ses moustaches que les oiseaux sont posés. Les questions aux mots attachés sont amusant comme Mékeskispasse. Par contre, le texte explicatif est un peu juste. Cet album à divers possibilités : faire deviner Mékéskifont et faire une création du même principe. Pour info : David McNeil est le fils du peintre Marc Chagall.
Commenter  J’apprécie          30
Quelques pas dans les pas d'un ange

J'ai aimé ces anecdotes sur le peintre, par contre, j'ai eu du mal avec le style d'écriture. Le livre est court, on reste un peu sur notre faim
Commenter  J’apprécie          30
Sur le zinc : Au café avec les écrivains

Passer la porte d'un café, d'un bistrot, d'un troquet, d'un bar - nommons-le comme on le désire -, c'est entrer dans une micro-société secrète organisée autour du sacro-saint comptoir et de sa salle commune. Dans cette confrérie particulière, on retrouve tous les groupes sociaux qui ne se rencontreraient jamais ailleurs, au travail, dans la rue. Tous y ont leurs habitudes. Certains y viennent pour parler, jouer, échanger, lire, écrire, penser. D'autres y viennent pour ne rien faire. Comme cela. Juste pour le plaisir de regarder vivre et s'agiter le monde autour d'eux.



Des habitués sont souvent ankylosés dans des rituels sclérosants. Certains clients arrivent ainsi ponctuellement, tous les jours, à la même heure, pour repartir - chaque jour - au même moment.
Lien : http://dunlivrelautredenanne..
Commenter  J’apprécie          30
Quelques pas dans les pas d'un ange

Quelques pas dans les pas d'un ange de David McNeil

Gallimard

Un peu de peinture pour les jours sans lumière.

Après le Paris Montparnasse des artistes survoltés un peu de quiétude dans la Provence où Chagall vint se réfugier après dix années d'exil à New Yok et un passage furtif dans un manoir brontesque à Orgeval.

Je me permettrais d'abord une petite mise en garde : ceci n'est pas une biographie, pas le moins du monde ! rien de chronologique, rien de particulièrement fouillé, je préfèrerais dire que son fils, le célèbre parolier David McNeil nous partage son album de famille, il ouvre la porte des souvenirs.

Il nous relate son enfance aux cotés de ce père qui donnait beaucoup aux autres et vivait pour son art. un père qui ne s'était jamais départi de son âme d'enfant.

A Saint Paul de Vence, Marc Chagall se fond dans le paysage, il ne fait qu'un avec le terroir, accessible pour les gens qui l'entourent, Marc se fait témoin d'un monde merveilleux. Les anecdotes se bousculent, moments de joie, inoubliables, nostalgie en filigrane.

Le peintre vit dans sa bastide « aux Collines » dans son paradis, enchanté, enchanteur, dans les souvenirs s'invitent d'autres, ils s'admirent, se jalousent : Picasso le prolixe, ensemble les deux hommes tentent l'aventure « céramique », Chaplin et sa fille la belle Géraldine, les familles divaguent, on parle mariage, Avec Léger le maître partage la passion du cirque, avec Prévert ils ont la même âme enfantine et puis Matisse dont l'ombre reste plus imposante que la sienne, petites bisbilles, tendres jalousies.

Des dessins, croquis, peintures et photos inédites agrémentent les souvenirs du fils, beaucoup de respect et d'amour dans les mots, de l'humour et de la tendresse pour évoquer un homme, un père, un faune qui appartenant plus facilement aux autres qu'à sa famille.

C'est beau et c'est doux.

Voilà, encore un peu de bleu et de magie pour janvier !

Commenter  J’apprécie          20
Quelques pas dans les pas d'un ange: Une en..

Des souvenirs éclatés semblables à des taches de couleur étalées sur la palette d’un peintre.

David Mc Neil raconte les instants de joie, les parts d’ombre et les lieux de mémoire partagés avec son père Marc Chagall.

Un récit coloré où scintillent le jaune du midi, le bleu des yeux du peintre, le vert de l’enfance, le rouge des amitiés tumultueuses et le noir de l’ultime épouse.

l’auteur pose un regard sensible et émouvant sur un des célèbres artistes du XX ième siècle , il trace le portrait, tout en douceur, d’un être rieur, anticonformiste, la tête dans les nuages.

Il décrit un travailleur acharné, hanté par les scènes de Vitebsk, le shtetl de son enfance.

Un livre passionnant où des anecdotes drôles et intimes se mêlent à de merveilleux tableaux.

Un très bel hommage d’un fils à son ange paternel.



Commenter  J’apprécie          20
Tous les bars de Zanzibar

Quel titre ! Et quel type ! Fils de... etc, etc... Mais il est bien plus que ça. Il est David McNeil, talentueux qui brûle la chandelle par les deux bouts. Son écriture est comme sa vie, il mange les phrases, il avale les histoires, il est partout, il est nulle part, toujours partant, du talent plein son âme. On pense à Vian (il ont le même oncle, tonton Ellington, ils soufflent dans la même trompette), il est inventif, il est cocasse, burlesque, on pense à Prévert, l'ami Jacques, avec qui il partage la même bulle de poésie. Il a le don du rythme, s'enflamme pour une idée, commence tout et ne finit rien, gâche sa vie diront certains. Intelligent, pas dupe pour un sou, il essaie de semer le camion de blues (un camion entier, c'est dire s'il en a !), Mais le camion lui colle aux basques, toujours dans ses pattes, et les derniers chapitres sont teintés de bleus, la vie passe, David rêve avec ses fantômes, le rêve, sa réalité ?
Commenter  J’apprécie          20
Un vautour au pied du lit

Avec panache et humour, ce chanteur, guitariste et écrivain nargue la souffrance et la mort.

J'ai refermé le livre avec la confirmation que la vie est une invention vraiment magnifique !
Commenter  J’apprécie          20
Sur le zinc : Au café avec les écrivains

Pourquoi aller au café

Pour passer un moment , avec la vision d'un écrivain Au Café, plusieurs écrivains et leurs rapports au café terrasse

Commenter  J’apprécie          20
Mékeskispasse ?

Ce livre est à mettre entre toutes les mains, à la fois surprenant, étrange et beau.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
Commenter  J’apprécie          20
Tangage et roulis

Pour citer David McNeil il faut inventer des endroits où placer des points. Ce type doit être un incontrôlable bavard ou se venge sur papier d'un mutisme de timide. Nos yeux courent, affolés par d'interminables phrases et ne sont pourtant jamais essoufflées grâce au rythme de musicien (de magicien !) que McNeil impose. Tangage et Roulis, comme les autres romans de cet auteur que j'ai lu, rebondit littéralement d'histoires rocambolesques en petits morceaux de poésie avec une délicieuse odeur, légèrement surannée, de pure liberté.


Lien : http://paamuna.blogourt.fr
Commenter  J’apprécie          20
Quelques pas dans les pas d'un ange

Souvenirs d'une enfance entre un père de renom (Chagall) et d'une famille mi-désorientée, mi-indispensable, le récit d'un début de vie ponctué de sensibilité et d'incompréhension. Un brin décousu mais à lire comme des tranches d'un début de vie exceptionnel entre paysage méditerranéen et poudre de pastel. Comment vivre auprès d'un maître qu'on appelle tout simplement papa?
Commenter  J’apprécie          10
28 boulevard des capucines : Un soir à l'Olym..

David McNeil, né en 1946 dans l’État de New York, est un auteur, compositeur, interprète de chansons, également auteur de romans, arrivé en France en 1948. Ses chansons ont, entre autres, été interprétées par Yves Montand, Alain Souchon, Julien Clerc, Sacha Distel, Robert Charlebois, Renaud, Laurent Voulzy... Sa mère vivant en Belgique, David McNeil fit partie autour des années 1970 du milieu du cinéma underground belge. Il avait décrit son enfance avec son père, le peintre Marc Chagall, dans son livre Quelques pas dans les pas d'un ange. Paru initialement en 2012, 28 boulevard des Capucines, vient tout juste de ressortir en poche.

Le 27 janvier 1997, alors que David McNeil n’a plus chanté sur scène depuis vingt ans, il est convié à donner un concert exceptionnel à l'Olympia, juste avant que la prestigieuse salle du boulevard des Capucines à Paris ne fasse peau neuve. A partir de ce prétexte, l’artiste va nous livrer souvenirs et anecdotes liées au monde musical surtout, mais aussi aux rencontres nombreuses qui ont émaillé sa vie.

Les tournées miteuses de ses débuts aux conditions beaucoup plus confortables qu’il constate lors des deux concerts de chauffe donnés en province avant l’Olympia, son ébahissement inattendu devant l’ampleur du chèque généré par les droits d’auteur de Mélissa (pour Julien Clerc) qui le sort du pétrin financier où il végétait, les sujets abordés sont vastes. Chaque chapitre du bouquin est dédié à un artiste qui l’accompagnera sur scène à l’Olympia, Robert Charlebois son grand copain, Alain Souchon, Renaud, Laurent Voulzy et d’autres. Mais je l’ai dit, David McNeil a eu le chic, toute sa vie, pour croiser beaucoup de gens bien différents, il y aura donc ici Robert Doisneau, Antoine Blondin et Chagall bien entendu, Yves Montand et Simone Signoret ou bien Patrick Modiano condisciple de lycée.

Le livre est très court, écrit sur un ton enjoué, mais sous cette apparente légèreté percent l’émotion ambigüe quand il évoque son père, « c’est ce jour-là que j’ai su que mon père me suivait de loin », le cynisme quand il se remémore les avantages matériels faciles dont les employés de RCA-France usaient et abusaient sans vergogne, « les absences au bureau dont tout le monde se fichait » et il balance quelques piques mine de rien, ne crachant pas sur le name dropping, « …le camp de cases Majax, ainsi appelées parce que le magicien y invitait ses conquêtes dans de méchants bungalows à six sous. » Ou bien les vacheries, « Henri Salvador savait vraiment crooner, merveilleux chanteur, mais bonhomme exécrable. » A moins qu’il ne fasse de l’humour noir à propos d’un guitariste de Renaud, François Ovide qui s’est suicidé : « Renaud l’a appelé de la réception. François à répondu : - Je descends tout de suite… Et il a sauté par la fenêtre du sixième étage. »

Un bon petit bouquin, qui se lit extrêmement vite avec une foule de personnages célèbres ou du moins connus et ma foi, fort bien écrit par cet observateur pointu du monde artistique. Du people de qualité ?

Commenter  J’apprécie          10
Quelques pas dans les pas d'un ange

Quelques souvenirs du fils de Marc Chagall à travers de courts chapitres trépidants. Intéressant, même si certaines personnes m'étaient inconnues. J'ai particulièrement aimé ce style un peu décousu où on reconnait le parolier.

Un très bon moment de lecture.
Lien : http://monique.leonard@hotma..
Commenter  J’apprécie          10
Quelques pas dans les pas d'un ange

David McNeil rend hommage à son père le peintre Marc Chagall.

David est né dans le Bronx vers la fin de l’exil du peintre aux Etats Unis.Celui a été obligé de quitter la France en 1941 pour échapper au nazisme.

David McNeil nous raconte ses souvenirs d’enfance dans le Sud de la France (jusqu’à ses six ans son père a vécu avec sa mère, puis celle-ci l’a quitté pour vivre avec un photographe).



Il évoque la vie dans le sud de la France. Les couleurs du Sud se mélangent aux couleurs des tubes de peintures de son père, Il se souvient des baignades à la plage, des balades dans les vignes où ils croisent Matisse et Picasso, des discussions en russe. David relate également des souvenirs moins heureux aussi avec l’’internat et enfin les retrouvailles et de rares moments partagés avec son père (une visite au Louvre, à l’atelier où il l’aide à préparer les fonds de toile,



Ensuite David ne partagera plus le quotidien de son père, qu’il verra toujours en compagnie de « Elle », sa belle-mère qu’il n’apprécie pas beaucoup. (Son nom n’est pas cité en entier, il s’agit de Valentina Brodsky, jeune femme d’une ancienne famille, russe comme son père)



Un témoignage à la fois tendre et imagé de ce que fut son enfance au côté d’un Maître incontesté de la peinture
Lien : http://lajumentverte.wordpre..
Commenter  J’apprécie          10
Tous les bars de Zanzibar

On y croise Yves MONTAND, Jacques BREL, Robert CHARLEBOIS…Et bien d'autres, j'ai appris récemment qu'il était le fils de Chagall...C'est beau, bien écrit comme certaines de ces chansons....
Commenter  J’apprécie          10
Angie ou les douze mesures d'un blues

David McNeil est chanteur et il a enregistré plusieurs albums sous son nom, il est aussi auteur-compositeur pour Yves Montant, Alain Souchon ou Julien Clerc et depuis 1991 il écrit des romans dont ce Angie ou les douze mesures d’un blues ressorti en collection de poche. Un titre bien long pour un livre si court qui n’a d’intérêt que pour son côté autobiographique qui nous (re)plonge dans le monde musical des années 60. L’auteur encore jeune guitariste jouant dans les rues se retrouve par un de ces hasards grandiose, road manager de Memphis Slim une légende du blues pour ceux qui ne le sauraient pas, entre Paris, Bruxelles et Londres. On croise dans le livre les Rolling Stones, d’autres bluesmen fameux comme John Lee Hooker, Willie Dixon etc. Un bouquin qui se lit très vite, je l’ai lu dans la journée, très plaisant pour ceux qui ont connu ou s’intéressent à la musique de ces années de grâce. Sympathique mais sans plus.

Commenter  J’apprécie          10
Angie ou les douze mesures d'un blues

David McNeil nous invite à le suivre dans ses périples des années 60.



Le hasard va le placer road manager de Memphis Slim, le légendaire pianiste de Blues, et ainsi l'amener à voyager avec une superbe créature que ce dernier traine un peu partout, Angie. Aux fil des tournées ils vont croiser d'autres légendes comme John Lee Hooker et surtout les Rolling Stones, dont certains membres ne vont pas rester insensibles aux charmes de la belle comme leur discographie nous l'apprendra par la suite.



Un livre court, dépaysant, et parfois amusant, qui se lit vite mais s'oubliera aussi somme toute assez rapidement.
Lien : http://www.amazon.fr/review/..
Commenter  J’apprécie          10
Sur le zinc : Au café avec les écrivains

Décevant par rapport à d'autres anthologies de la même collection (folio 2euros). Peut-être est-ce le sujet qui m'a moins intéressée (les cafés et autres bistros dans la littérature), mais j'ai trouvé les textes ennuyeux et moins bien choisis que d'habitude. J'ai préféré les derniers, dans la partie "D'autres viennent simplement pour s'ingurgiter les contenus variés de nombreux verres", qui contenait notamment un poème de Rimbaud, un de Verlaine et un extrait de La curée de Zola. Il n'y a pas seulement des classiques, les texte sont assez variés, mais ne m'ont pas convaincue.
Commenter  J’apprécie          10
Angie ou les douze mesures d'un blues

Une plongée dans l'univers du blues et du rock durant l'année 1962.

Au début du récit le narrateur rencontre, par hasard, en faisant du stop, le grand chanteur noir américain de blues Memphis Slim et devient son «Road Manager», en fait, son homme à tout faire… Lui qui pourtant est musicien et ne s’intéresse qu’à sa musique, accepte cette situation pour une toute autre raison… elle se nomme Angie elle voyage à l’arrière de la Rolls Royce de Memphis Slim et est très belle… . Il tombe tout de suite amoureux d’elle…



au fil des pages on découvre cet univers, à partir de portraits, de rencontres, de la liaison qui va faire que du blues, l'Angleterre créera le rock ... on rencontre les Rolling Stones, dont une des chansons phare s'intitule Angie.



Ce roman, certainement autobiographique, se lit très facilement, le ton est à la fois léger et plaisant, tout en finesse et en nuances.

Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de David McNeil (287)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz de la pentecôte, la pente et la côte aussi !

La Pentecôte, (du grec ancien πεντηκοστὴ ἡμέρα / pentêkostề hêméra, « cinquantième jour »), célèbre :

La venue de l'esprit saint, 60 jours après la résurrection
La venue de l'esprit saint, 50 jours après pâques
La revenue de l'esprit saint, 60 jours après pâques sur les apôtres et tous les invités
La venue de l'esprit saint, 50 jours après noël en comptant les jours de carême

10 questions
33 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}