Douglas Kennedy

Le seul livre de Douglas Kennedy que jen'ai pas apprécié. On dirait du Marc Lévy !

Le seul livre de Douglas Kennedy que je n'aie pas aimé .

Benjamin Bradford et sa femme Beth viennent d'avoir Josh, leur deuxième enfant. Et si tout allait bien avec Adam, le premier, là, ça se complique. Les nuits écourtées par de nombreux pleurs rendent leur vie de couple de plus en plus difficile.

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Oulaaaa j'irai pas mettre mes pieds dans le bush australien après une telle lecture! Histoire dantesque, quasi cauchemardesque, sur fond de road trip qui finit en bad trip.

Difficile de "classer" ce roman dans une catégorie : il m'agace Douglas Kennedy ; parfois je trouve qu'il fait trop dans la simplicité et en même temps je suis irrésistiblement accrochée par l'intrigue, certains passages assez profonds sur le plan de la réflexion. Souvent, je me dis "ça suffit" et je replonge et c'est chaque fois différent et je l'avoue, captivant.

Ce livre est un peu plus dur que les précédents de par l'histoire qu'il traite.

Difficile d'aborder une relation amoureuse, un divorce, au milieu de tout cela un enfant et surtout une dépression post-natale.

L'homme est manipulateur, la femme peut-être un peu trop naïve, pourtant tout avait si bien commencé.

C'est le livre dans lequel l'auteur m'a le plus bluffée car il décrit exactement les pensées d'une femme, les situations qu'elle vit, les difficultés d'avoir un premier enfant et surtout son état après l'accouchement qui se termine en dépression.

Aucun cadeau n'est fait à l'homme, je pensais même que l'héroïne aurait du mal à s'en sortir, car il avait vraiment tout sécurisé autour de lui, ça en faisait froid dans le dos.

En tout cas j'ai bien aimé ce livre de Douglas Kennedy, encore une histoire riche en émotion et très bien écrite.

Sympa ce livre de Douglas Kennedy! J'avais déjà lu "les charmes discrets de la vie conjugale" et cet écrivain n'a ni augmenté ni baissé dans mon estime. On ne peut pas dire que le style est transcendant, mais ça se laisse lire: le plus est évidemment l'intrigue, qui nous tient en haleine tout le long du livre. J'ai bien aimé le point de vue de Kennedy sur la dépression postpartum, ni trop ni trop peu dramatique.... Et ce qui suit est bien mené aussi, cette intrigue dramatique que l'on suit avidement en espérant que...

Détonnant !



Les premières pages m'ont fait douter de cet achat, le style d'écriture me laissait perplexe et puis quelques pages plus loin, tout s'enchaine, démarre: ce livre est excellent !

On passe un très très bon moment et on trouve bien dommage lorsqu'arrive la dernière page !

Un récit à la fois drôle et inquiétant qui change des romans habituels de Douglas Kennedy.

J'ai beaucoup aimé ce récit et ce voyage de l'auteur dans le sud des Etats-Unis, avec une galerie de personnages tous aussi intéressants les uns que les autres, la plume incisive de Douglas Kennedy rend la lecture d'autant plus attrayante.
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Déroutant ...

Un américain arrive en exil à Paris après un scandale qui lui a fait perdre son poste à l'université dans laquelle il enseignait la culture cinématographique et sa femme qui le met à la porte de chez lui. Il se veut écrivain et s'installe dans un quartier miteux de la capitale, trouve un petit boulot de nuit un peu louche mais bien payé et s'installe dans une routine que viendra troublée la rencontre avec cette fameuse "femme du Vème"...
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C'est un Douglas Kennedy, donc cela ne peut pas être tout à fait mauvais. Et en effet, c'est bien écrit, les personnages sont intéressants (à défaut d'être attachants), et l'histoire est bien racontée: on y retrouve tous les ingrédients qu'on s'attend à retrouver dans ce genre d'histoire.



C'est justement là que le bât blesse. C'est trop prévisible. Pas besoin d'avoir vécu une situation similaire pour savoir à quoi s'attendre. David a affaire à un monde de requins sans pitié où tous les coups sont permis, et on le sait très bien. De ce fait, on s'attend à beaucoup de choses: les caprices de star (Philip qui fait attendre David une semaine), les opportunistes de toutes sortes, le fait de pouvoir passer du statut de personne adulée à celui de proscrit, les magouilles en tous genres, le luxe qui fait perdre la tête, la façon écoeurante dont certains en profitent. Les thèmes sont bien abordés, mais ils font que le livre est sans surprises, même si l'auteur entoure ces thèmes d'une intrigue solide.

[...]

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Loin d'être le meilleur de Kennedy...

Ne pas commencer par celui-là !

Terriblement terrifiant.... venez vivre une aventure hors du commun au fin du bush australien en compagnie d'humains style film "Délivrance"..... Pas vraiment engageant ! et bien c'est ce que va vivre le pauvre Nick en compagnie d'une créature pas vraiment charmante nommée Angie, qui manie mieux les coups de poings que...
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Ce roman est celui d'une mort sui­vie d'une re­nais­sance.



Ben Brad­ford, un avo­cat de Wall Street qu'on pour­rait de l'ex­té­rieur qua­li­fier de brillant : c'est le type même du rêve amé­ri­cain in­car­né. Marié, père de deux en­fants, riche, vi­vant dans une villa luxueu­se­ment dé­co­rée, le tout dans une ban­lieue chic, tout de­vrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes.



Mais voilà cette vie ce n'est pas lui qui l'a choi­sie, c'est sous la pres­sion de son père qu'il se re­trouve dans cette si­tua­tion. Lui se rê­vait pho­to­graphe quand il était étu­diant, mais pour de mul­tiples rai­sons il a fini par aban­don­ner et len­te­ment s'est fait gri­gno­ter par la vie des autres.



Tout bas­cule quand il se rend compte que sa femme le trompe, qui plus est avec un pho­to­graphe... Au cours d'une al­ter­ca­tion il tue ce der­nier. Il doit alors fuir et se ré­in­ven­ter une nou­velle vie.



Une vie n'est ja­mais finie, ni dé­fi­ni­ti­ve­ment ratée. La ré­demp­tion est pos­sible, il n'est pas de faute im­par­don­nable...

Le meilleur de Douglas Kennedy!!

J'ai voulu lire Douglas Kennedy par pure conscience professionnelle et pour savoir pourquoi il était aussi populaire. En plus, je m'étais persuadée que c'était un auteur de romans... disons sentimentaux et en lisant "Cul-de-sac", un de ses romans, j'avais été étonnée de voir qu'en fait, pas du tout. "La poursuite du bonheur" a remis les pendules à l'heure : Douglas Kennedy est bel et bien un auteur de romans sentimentaux !

Une histoire de famille, de secret, de mensonge, de trahison, de révélations... sur fond historique : la chasse aux sorcières aux États-Unis après-guerre. Cela dit, je me suis complètement laissée emmenée par l'intrigue et les personnages. Conclusion : un bon roman sentimental, ça fait du bien de temps en temps, surtout en vacances sur un transat ! (août 2008)

le meilleur de Kennedy avec la poursuite du bonheur ...en tout cas en ce qui me concerne et en sachant que j'ai lu tous ses livres ! ;-)

J'ai adoré ce livre. Le ministère du tourisme australien ne soit pas être du même avis.



Rien à voir avec ce que D. Kennedy a pu écrire par la suite.

Jamais, je crois, je ne me suis sentie "claustrophobe" avant de lire ce livre. Oui, car, comme le héros, je me sentais enfermée, happée par la lecture, plongée jusqu'aux coudes dans l'histoire du protagoniste. Une histoire menée avec talent, grâce au style si reconnaissable et si agréable de l'auteur, avec des montées d'adrénaline, et le paysage australien en arrière fond. A lire ! (Mais après être allé en Australie, sous peine d'avoir peur d'y aller après coup !)
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