Citations de Elena Armas (142)
-Tu n'es plus seule désormais. C'est toi et moi, maintenant. On est dans le même bateau, et on va y arriver.
Parce que quand je prendrai enfin tes lèvres, il ne sera plus question de faire semblant. Je ne te montrerai pas ce que ce serait si tu étais à moi.
Je te montrerai ce que c'est. Et je ne chercherai pas à te prouver à quel point tu te sentirais bien si j'étais à toi. Tu sauras déjà que c'est le cas.
-Quand il y a un obstacle sur le chemin et que tu tombes, je tombe avec toi. On se bat pour
traverser les épreuves ensemble.
-J'ai cette sensation de plénitude quand tu es dans mes bras. Cette sensation d'avoir trouve mon foyer en toi.
- Quand je t'embrasserai enfin, tu ne douteras pas un seul instant que tout cela est réel.
Certaines personnes affirment que la plus belle preuve d’amour qu’elles ont reçue est un poème écrit à leur attention, une chanson ou une déclaration spectaculaire. Mais en cet instant, alors que j’étais blottie contre les longues jambes d’Aaron, ses doigts massant délicatement ma nuque, j’ai pris conscience que je n’avais ni besoin ni envie de tout cela. Si on ne me faisait jamais de déclaration enflammée, cela m’irait. Parce que les mots d’Aaron étaient, à mes yeux, les plus beaux que j’entendrais jamais sur moi. Pour moi.
My eyelids eventually fluttered shut, but, right before darkness engulfed me, I thought I heard Aaron whisper, "You feel complete in my arms. you feel like my home."
“Because when I finally take those lips in mine, it will be the furthest thing from pretending. I will not be showing you what it would be like if you were mine. I’ll show you what it is. And I sure as hell won’t be showing how good I could make you feel if you called me yours. You’ll already know that I am.”
He paused, and I swore I could see the restraint in his posture. As if he was stopping himself from pouncing and returning us to our former position, right against the hard surface of the wardrobe door.
"When I finally kiss you, there won't be any doubt in your mind that it is rea."
Aaron dipped his head, his voice dropping too. "Are you trying to impress me with sport lingo, Catalina?
The way he said my name was new. I couldn't explain how, but it had been different from any other time he had voiced those four syllables. And it sent a shiver dancing down my arms.
"It's sexy, but don't ever feel like you need to impress me. I already am."
Aaron's arm reached out, the backs of his fingers gracing my temple. My lips parted, tingles spreading down my skin.
It was him who lowered his voice then. "Always fighting me."
I looked up at his handsome and stern face, his blue eyes assessing my reaction.
"Resisting me."
My heart tripped, making my chest feel like I had just sprinted a mile or two.
Aaron's head dipped, his mouth coming close to where his fingers had been a few second ago. Almost as close as it had been when we'd danced. "It's as if you want me to beg. Is that something you'd enjoy? Me begging?" His voice sounded so...intimate. Hushed. But it was his next words that scattered my thoughts all over the place. "Is that what this is? You like bringing me to my knees?"
Whoa.
He took one step closer. Sometimes, I'm convinced you enjoy making me suffer." His usually deep voice sounded hushed.
« — Catalina.
C’était reparti. Pas Lina. Catalina.
— Je suis content de ne pas t’avoir embrassée.
Quelque chose s’est brisé dans ma poitrine.
— Pourquoi ?
Ma voix n’était rien de plus qu’un murmure tremblant.
— Parce que quand je prendrai enfin tes lèvres, il ne sera plus question de faire semblant. Je ne te montrerai pas ce que ce serait si tu étais à moi. Je te montrerai ce que c’est. Et je ne chercherai pas à te prouver à quel point tu te sentirais bien si j’étais à toi. Tu sauras déjà que c’est le cas.
Il a marqué une pause, et j’ai vu l’effort qu’il faisait pour se contenir, comme s’il s’empêchait de me sauter dessus pour reprendre la scène où nous l’avions interrompue, contre la porte de l’armoire.
— Quand je t’embrasserai enfin, tu ne douteras pas un seul instant que tout cela est réel. »
- Désire-moi comme je te désire. Ces aperçu de ce que nous pourrions être me tuent, Lucas. C’est pour ça que je pleure, parce que je suis frustrée, dévastée, parce que je ne peux pas t’avoir. Je te veux et je ne pourrai jamais t’avoir.
"Si j'étais à toi, je serais incapable de ne pas te toucher"
"Tu as oublié le nom de ton petit ami ?
[...]
De toutes les personnes qui auraient pu entrer dans mon bureau à cet instant, il avait fallu que ce soit lui.
_ Aaron, me suis-je entendue prononcer d'une voix cassée.
_ Aaron ?
_ Si, ai-je murmuré en plantant mon regard dans le sien.
_ D'accord, a dit Mama.
D'accord ?
_ Qué ?
Aaron avait saisi les mots espagnols, a fait le rapprochement avec une facilité qui n'aurait pas dû me surprendre.
_ Un appel personnel au travail ? a-t-il commencé en secouant la tête.
_ C'est lui que j'entends ? C'est cet Aaron avec qui tu sors ?
[...]
_Si, ai-je répondu, sans me douter qu'elle prendrait ce mot pour une confirmation.
Mais c'est ce qu'elle a fait, comme il fallait s'en douter.
_ No, ai-je ajouté, essayant de faire marche arrière.
_ No sé, Mama.
_ Ta mère ? s'est enquis Aaron.
_ Como que no sabes ? est arrivé au même moment."
Parfois, lorsqu'on souffre, il faut d'abord prendre conscience qu'on a besoin d'aide avant de pouvoir l'accepter.
Elle était magnifique. Etonnante. Tout ce qu'un homme pouvait désirer. Et elle me regardait comme si elle se préparait à me voir partir alors que j'aurais fait n'importe quoi pour rester.
Ses lèvres ont pris les miennes comme s'il luttait pour son dernier souffle, comme si la pluie qui tombait autour de nous annonçait la fin du monde. Il m'a embrassée comme si c'était notre premier et dernier baiser, comme si c'était la seule chance qu'il avait de me donner ce que je lui avais demandé. Cela aurait dû me mettre la puce à l'oreille, mais je m'en moquais. Comment m'en soucier quand sa bouche était contre la mienne, me dévorant ?