Eric Hérenguel

Deuxième volet d'une trilogie pulp exotique, Hudson Megalodon vous plonge dans une île de Manhattan peuplée de dinosaures et où King Kong règne en maître. Virgil le pilote a fini dans les geôles des Amazones, de terribles guerrières qui ont survécu dans cet enfer préhistorique. The Kong Crew est une trilogie uchronique d'aventures, drôle et riche en dangers inattendus et secrets inavouables.
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Un deuxième volet konguesque comme on l’adore, fantastiquement dépaysant et décalé, regorgeant d’une action qui ne peut vous laisser de marbre. On en redemande illico !
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Hérenguel a mis le paquet dans cette version couleur qui se joue en trois épisodes. Des chapitres où on a aimé les avions évidemment, Mustang ou Avenger. Tout bouge et vite dans ce Kong Crew où l’humour a aussi sa place.
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On retrouve Krän, Kunu et le garou pour une nouvelle aventure fantasy toujours aussi bourrin et bourrée de jeux de mots. Découpage sympathique de l'aventure entre ce qu'il se passe au royaume de la mort où de sombres machinations se trament et les aventures elles-même, absolument pas impactées par les machinations et rondement menées.

Version censurée de la Princesse Viagra

On retrouve Krän, Kunu et le garou pour une nouvelle aventure fantasy toujours aussi bourrin et bourrée de jeux de mots. Découpage sympathique de l'aventure entre ce qu'il se passe au royaume de la mort où de sombres machinations se trament et les aventures elles-même, absolument pas impactées par les machinations et rondement menées.

¤ Kerubim : un héros qui méritait mieux ¤



Dans la lignée des héros de Dofus, Kerubim est une sacrée personnalité. Dans un dessin animé, il raconte ses aventures de jeunesse. Il a son personnage dans le jeu-vidéo éponyme en tant que grand collectionneur dans une maison riche de souvenirs. Kerubim : c’est la définition de l’aventurier. Il a même le droit à une BD attitrée dans la collection « Dofus Heroes », en deux tomes. Je précise bien qu’elle est en deux tomes car selon moi il est nécessaire de lire les deux tomes pour se faire un avis complet, sauf si ce n’est pour ne pas avoir l’histoire complète et ne rien y comprendre. D’ailleurs, à la lecture du second, on n’y comprend pas grand chose de plus. L’aventure n’a pas de saveur particulière : les enjeux sont pourtant multiples. Il faut sauver Lombrocorp des rats. Si la cité de Lombrocorp ne nous parle pas, la présence de Sphincter Cell est appréciable. Mais pourquoi ne pas parler d’Amakna où règne justement Sphincter Cell dans le jeu ? L’autre enjeu, le principal, est le sauvetage de Lou. Celui-ci aurait pu être plus intéressant si on avait de quoi apprécier l’amitié ou le couple Kerubim-Lou. Or, sans attachement, la quête ne nous intrigue que très peu.



¤ Une histoire brouillon ¤



Parlons de la quête d’ailleurs. Les auteurs (Éric Hérenguel et Julien Ribas) ont tenté de produire quelque chose de complexe : un scénario situé dans le temps présent, et une dimension dans laquelle Kerubim se retrouve en face de son Dieu. Les deux choses entremêlées de retour dans le passé, de mémoire perdue, retrouvée ou corrompue. Dans tout ce bordel, on ne s’y retrouve plus et le scénario – pour lequel on n’a pas d’attache – devient confus. Dans ce second tome, mes passages préférés restent clairement les nombreux retours de Kerubim face à son Dieu, parce que c’est un peu drôle. L’aventure de Kerubim quant à elle ne m’a pas fait rêver. Pour le dessin, j’appréciais tout autant que je n’appréciais pas forcément. Pour les autres personnages, là aussi, c’est brouillon. On ressent surtout de la lourdeur et l’histoire des personnages n’est pas assez travaillée. Contrairement au premier tome, le tome 2 de Kerubim ne nous apprends que peu de choses de son histoire, il n’est que l’achèvement d’une aventure son véritable fond. L’enjeu de la quête lui-même n’est pas spectaculaire : il faut sauver une cité de la famine. Dans un univers comme le Krosmoz, on peut s’attendre à mieux.
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Et même si vous êtes plus intéressés par les version en couleur, en albums et en français, je vous conseille de vous procurer ces épisodes qui valent vraiment le détour, pour seulement 5€ !!!
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Merci beaucoup à Babelio et Masscritics pour l'envoi :)

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Je peux déjà vous dire que j'ai apprécié cette bande dessinée :) Elle est découpée en plusieurs petites histoires, avec mettant en scène Kili , et son acolyte robot Banjo. Les histoires mêlent violences , humour et second degrés.

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On se retrouve dans un monde post apocalyptique , futur et Western, le mélange est surprenant mais ça le fait ! la technologie est avancée, il y a des robots un peu partout, de supers armes et beaucoup de méchant !

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J'aime beaucoup la mise en page, avec une jolie page de garde avant chaque nouvelle histoire. Comme il y a plusieurs illustrateurs, on se retrouve dans plusieurs styles de dessins.

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J'ai donc passé un bon moment , j'ai beaucoup ri je l'avoue, c'est le genre d'humour qui me convient parfaitement :)
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Suite et fin de ce diptyque aux frontières des genres. L’enquête concernant les mystérieux meurtres dans ce bled nommé Providence prend maintenant des allures de chasse à l’homme. La tension monte au sein du petit village, les habitants s’affolent et le rythme de ce merveilleux hybride de western et de fantastique que nous livre Eric Hérenguel s’emballe. Les révélations et les rebondissements fusent, le mysticisme et les anciennes légendes indiennes viennent bousculer la réalité et le passé des habitants de Providence.



Les décors soignés et détaillés de l’auteur sont magnifiques. Les couleurs et les lumières plantent le lecteur soit dans un paysage printanier qui hume la feuille morte légèrement humide, soit dans une ambiance fantastique bleuâtre et brumeuse qui s’empare de la forêt et de ses alentours. Les dialogues sont soignés et, au passage, l’auteur de "Krän" n’oublie pas de

distiller quelques bonnes pointes d’humour.



A noter également, le merveilleux blog (http://lunedargentsurprovidence.over-blog.com) de l’auteur qui, de manière très intéressante et didactique, lève le voile sur les différentes étapes qui ont permis à ce petit chef-d’œuvre de terminer dans vos mains. De quoi mieux comprendre et respecter la trentaine de mois qui séparent les deux volets de cette histoire.



Bref, un diptyque indispensable !

Fun, débridé et jubilatoire, The Kong Crew déboule de (presque) nulle part et renverse tout sur son passage. Un plaisir coupable qu'il ne faut pas bouder, tant ce premier tome s'avère être une belle surprise de cette fin d'année chargée.
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Eric Herenguel nous offre une uchronie inattendue dans une ambiance de serials bien adaptée à l’époque de l’histoire. Notons la présence de Philippe Marlu au lettrage, de Franho au design et de Pauline Morice à la maquette.
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Ainsi, si vous aimez les vieux pulps, les récits d'aventuriers au sang chaud, aux commandes de leur avion, les affrontements avec des dinosaures… Alors autant vous précipiter pour dévorer ces pages, vous ne pouvez qu'être séduits ! [...] Une des plus belles sorties de cette rentrée, à lire absolument, encore et encore, voir même à offrir !
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Cette série prend ses racines dans les vieux pulp qu'adore Hérenguel. On sent cet hommage appuyé de l'artiste qui salue ainsi les maîtres comme Caniff ou encore Alex Raymond ! Ses planches sont sublimes et extrêmement bien rythmées. On saute d'une scène à l'autre, d'une course poursuite dans les égouts à la découverte d'une troupe d'étranges Amazones… Autant le dire l'auteur se fait plaisir et c'est très communicatif !


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Un très impressionnant travail graphique avec une narration aux petits oignons. C'est beau, précis, les décors sont très fouillés dans une mise en scène très efficace [...] Ainsi, si vous aimez les vieux pulps, les récits d'aventuriers au sang chaud, aux commandes de leur avion, les affrontements avec des dinosaures… alors autant vous précipiter pour dévorer ces pages, vous ne pouvez qu'être séduits !


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Le Prix de la Vitesse est une bonne lecture, un récit instructif et passionnant que je vous invite à découvrir.




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Un duo détonnant d’aventuriers qui a le chic pour se mettre dans des situations bien compliquées, dont il se sort, en général, grâce à une bonne dose de gros calibres et de mauvais esprit !
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Un classique revisité avec classe et qui offre une vision personnelle qu’on a hâte de retrouver dans un prochain diptyque.
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Eric Hérenguel nous propose donc de placer son récit fantastique en plein Far West, chose peu courante dans la bd et dans les médias en général, mis à part les "Mystères de l'ouest" on ne peut pas dire que le sujet passionne, autres similitudes avec la série : une pincée d'humour omniprésente, des personnages hauts en couleur et surtout le mélange qui fonctionne une fois de plus.
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L'humour de ce tome rattrape le petit manque que j'avais trouvé dans le tome 2. Epique recherche de la garoutte et dialogues cinglant entre Krän et le gros méchant ! Des barres de rires. Vite le mois prochain pour que je m'achète la suite

Le savoir-faire scénaristique de Xavier Dorison n'est plus à démontrer et il parvient à nous entraîner aisément dans ce voyage semé d'embûches, dans une Amérique baignée de fantastique. Son personnage principal possède l'envergure du héros mythologique et si le riche scénario entremèle plusieurs intrigues, le souffle de l'épopée dynamise à souhait ce cocktail étonnant. Le dessin d'Eric Herenguel offre à l'aventure une mise en images à très grand spectacle.
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