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Critiques de Eric Reinhardt (799)
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Cendrillon

Livre compliqué ou plutôt journal intime complexe. Image de la société des années 70 se mélangeant avec une sexualité hors norme. pas tout compris!
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Cendrillon

Plutôt que de dire que je n'ai pas aimé ce livre, je vais plutôt dire que je suis passée totalement à côté. Pour tout dire, j'ai hésité plusieurs fois à en abandonner la lecture (ce qui n'est pas très fréquent chez moi).

Difficile de résumer "cendrillon". Eric Reinhardt nous raconte plusieurs histoires, des tranches de vie. On peut suivre, entre autres, la vie d'un jeune trader qui jongle avec les millions de dollars et qui passe à côté de sa vie et celle d'un homme hanté par son passé, qui sombre dans le rejet de la société. Les personnages ont un profil assez similaire : ils sont tous issus de la classe moyenne et en ont gardé une sorte de complexe d'infériorité, ils ont tous un rapport conflictuel avec leur père dont ils ont une image négative. L'auteur nous livre aussi des choses plus personnelles (son amour pour l'automne, sa passion pour sa femme ...).

Si j'ai aimé le style d'écriture (il y a effectivement des passages magnifiques), j'ai eu du mal avec les nombreuses ruptures de rythme (on passe sans arrêt d'une histoire à une autre) et avec certaines scènes assez crues (dont je n'ai pas toujours compris en quoi elles servaient l'histoire). C'est un livre déroutant car foisonnant. L'auteur parle d'une multitude de sujets qui auraient pu faire l'objet de plusieurs livres.

Vous l'aurez compris, c'est un livre dont je ne conseille pas particulièrement la lecture.
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Cendrillon

Déjà quelques temps que j'ai terminé ce livre, et je tourne et retourne les idées dans ma tête sans pouvoir formuler vraiment ce que j'ai pensé de cette lecture. Je l'ai classé dans "Je n'ai pas aimé", mais j'ai aimé tout de même un peu... Enfin, j'ai beaucoup aimé le début, au moins, même si j'ai dû relire plusieurs fois certains passages et revenir en arrière pour savoir qui était qui et faisait quoi... Parce que, voyez-vous, c'est un livre foisonnant, d'une incroyable richesse, c'est un livre dense dans lequel fourmillent les idées et les concepts. Il n'y a que 4 personnages principaux, dont l'auteur, ce qui d'ailleurs m'a semblé bizarre et un peu narcissique tout au long du livre (quel est l'intérêt de se mettre soi-même en scène sauf à s'auto-encenser ou s'auto-justifier ?), mais les interactions entre les uns et les autres sont si nombreuses et complexes qu'on les dirait parfois indifférenciés, comme si la vie de l'un pouvait devenir pour quelques instants, évènements ou pages, la vie de l'autre. On se perd donc un peu, d'autant plus que les chapitres ne m'ont pas toujours semblé bien marqués pour effectuer une réelle transition entre un personnage et un autre. Il n'y a non plus quasiment pas de paragraphes, tout doit se lire d'une traite, comme si le cours de ces vies dont il est question ici, si intense, si désespérant parfois, si riche à d'autres moments, ne pouvait pas du tout être interrompu...



On ne peut pas reprendre haleine, dans ce livre. Les phrases parfois s'emballent également, il y a des digressions qui peuvent durer plusieurs pages, puis on revient au sujet, puis ça repart dans un autre sens... Il faut rester en alerte tout au long de sa lecture, et ne pas être fatigué pour réussir à se maintenir à flot avec ce roman ! On dirait que l'auteur a voulu tout dire, tout écrire, qu'il a mis dans ce livre des dizaines et des dizaines d'idées qui auraient pu se scinder en plusieurs ouvrages. C'est intéressant, certes, il y a même quelques pages passionnantes, mais c'est "trop", trop disparate, trop riche, trop dense, trop long (632 pages en poche !) pour moi en tout cas !



Suite sur Les lectures de Lili
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Cendrillon

Pas fini...

J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans, ça me semblait sans queue ni tête. Je suis venue voir les avis sur babélio : il y a suffisamment de bons livres pour que je ne me force pas!!
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Cendrillon

j'abandonne...

je me suis accrochée mais vraiment ce livre m'ennuie.
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Cendrillon

Le style ne compense malheureusement pas la complaisance de l'écriture (Ah l'automne, les Louboutin). Déception en regard d'un texte comme Existence.
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Cendrillon

cendrillon est un conte populaire
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Cendrillon

Très déçue. je n'ai pas aimé ce livre. J'ai arrêté, à bout, au bout de 420 p. sur 570.
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Cendrillon

j'ait teres tres bien aimer ce livre bravo
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Cendrillon

Il m'est tombé des mains ... ce n'était peut-être pas le bon moment.
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Cendrillon

Un calvaire.

Mêmes ressentis qu'à la lecture de "La chute de Rome" de Jérôme Ferrari. Un roman narcissique d'un auteur qui se croit brillant.
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Cendrillon

J'ai été très déçue par ce livre. Autobiographie mêlée de plusieurs histoires. Confus et parfois affligeant par des descriptions détaillées de non sujets... J'ai caqué sur une colique dont on ne finissait pas! Un brin suffisant aussi... Bon! je passe à autre chose et je ne ferai pas remonter la moyenne de ce livre sur Babelio.
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Cendrillon

On découvre ici la vie entrecroisée de trois personnages, Laurent, Patrick et Thierry qui, a priori, n'ont rein en commun si ce n'est le fait d'exister dans un monde «pourri» par le monde de l'argent et celui du mal-être. Celui-ci est en effet rempli de traders, d'investisseurs obsessionnels, de politiques enivrés par le succès mais aussi d'adolescents qui hurlent leur haine et de parents soumis devant eux. Un monde sans morale où tout est permis et dans lequel les gens ont du mal à trouver leurs repères. Ce livre est en totale contradiction avec son titre, et c'est là où l'auteur réussit un coup de maître, puisque le lecteur découvre ici un anti conte de fées, à savoir celui de la triste réalité de la vie. Il est vrai que ce livre m'a laissé comme un petit goût acide dans la bouche mais il m'a néanmoins tenu en haleine jusqu'au bout. Très riche d'idées, le lecteur, une fois qu'il en a commencé la lecture, ne peut pas faire plusieurs choses en même temps sinon il risque de perdre rapidement le fil mais pour conclure, je dirais que c'est un livre très bien écrit et intéressant à découvrir !
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Cendrillon

Quatre récit s’entrecroisent dans ce livre. Laurent Dahl, Patrick Neftels, Thierry Trockel. Un trader millionnaire qui s’enfuit abandonnant femme et enfant après des opérations financières à haut risque qui l’ont rattrapé, qui en profite pour revenir sur l’écœurant licenciement de son père. Un enfant traumatisé d’avoir vu son père se suicider devant lui, alors qu’il l’y avait peut-être lui-même poussé. Une loque humaine enfermée en permanence dans sa chambre à vomir des insultes à la télévision. Et entre leurs histoires toutes plus glauques, plus dégradantes, plus burlesques et plus dramatiques, un certain Eric Reinhardt décide de louer une cave au Palais-Royal pour avoir un nouvel endroit inspirant où écrire, se voit proposer par sa voisine de soixante ans l’exceptionnelle opportunité d’une conférence à Gênes mais sans lui expliquer le sujet du rassemblement ni sur quoi il devra parler, ou encore est invité à écrire le journal de bord de la création du nouveau projet de danse d’un grand chorégraphe.



Cela fait longtemps que j’ai refermé ce livre et plus ma réflexion avance, plus j’en conclus qu’il n’a ni queue ni tête. Le système des quatre histoires en parallèle ne m’a pas convaincue. J’attendais désespérément qu’elles finissent pas se rejoindre. Elles le font, mais d’une manière si artificielle et décevante, que je me suis demandée si ça valait vraiment le coup de les lire jusque là. De plus, les personnages ayant des parcours tout aussi glauques et lugubres les uns que les autres, ils sont facilement interchangeables et j’ai fini par tous les confondre, parce que je n’arrivais pas à replacer chacun dans son parcours. Pourtant leurs histoires, prises séparément, m’ont plutôt plues. J’ai tout simplement adoré l’histoire du dîner avec le patron (je crois qu’il s’agit du patron du père Patrick Neftels) qui tourne à la catastrophe à cause d’une sortie d’autoroute ratée et d’un mélange d’alcool et de médicament, et que le père en question essaye de rattraper en achetant un tableau à l’épouse de son patron lors d’une exposition dans une galerie. Burlesque et hilarant!

Quand à l’histoire de l’écrivain, je ne sais qu’en penser. Ses aventures d’écrivain, avec la recherche d’un endroit pour écrire qui paraît si loufoque à son entourage, ses explications sur la nécessité d’écrire et ses sentiments quand il le fait, tout cela m’a beaucoup plu. Même si toute les recherches, les découvertes concernant l’art ou encore l’économie m’ont paru très longues et bien trop complexe, j’admets que nous assistons réellement à un écrivain qui s’imprègne de la réalité pour donner ensuite corps à ses livres et j’ai trouvé cela intéressant. L’histoire de la mystérieuse conférence, elle aussi, m’a intriguée, jusqu’à ce que son mystère en soit complètement révélé et là encore, tombe complètement à plat.

Ce qui m’a rappelé qu’à plusieurs reprises, l’auteur raconte avoir été démoli par les spécialistes de critiques littéraires qui lui ont reproché de ne pas savoir écrire, d’être un écrivain de la classe moyenne, et il évoque aussi le mépris dont il fait l’objet de la part des grands pontes de la littérature, qui tourne presque au complot politique. Là, je grimace. Parce que bon, ce n’est pas un livre grand public, vu les acrobaties narratives auxquelles il se livre et surtout vu les références intellectuelles, culturelles et commerciales qu’il se donne. Tout le monde ne peut pas se payer le luxe de commenter une représentation de Médée à l’opéra ou d’être fasciné par les chaussures fabriquées par Christian Louboutin. Si Eric Reinhardt essaie de nous faire croire qu’il est un représentant de la classe moyenne qui tente d’infiltrer le monde aristo des auteurs, il va falloir m’expliquer pourquoi il a déjà vu des Louboutins en vrai et pourquoi il est qualifié de “doué comme c’est pas permis” et d’”époustoufflant” par sa propre quatrième de couverture qui cite les mots des journalistes du Nouvel Obs et de Télérama et se contente d’une laconique ligne qui ne présente rien de l’intrigue. De là à ce que je le trouve suffisant, voire méprisant, il n’y a qu’un petit pas…
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Cendrillon

Roman total, étrange dans lequel se superpose les lignes narratives. Nous suivons le parcours de l'auteur qui s'inclut dans la narration au même titre que ses avatars. Ce roman possède une faiblesse assez puissante, c'est que les avatars d'Eric Reinhardt sont bien plus intéressants que lui. Ce roman n'a jamais aussi intéressant que quand l'auteur quitte la scène et laisse la place à Patrick Neftel, à Laurent Dahl et à Thierry Trockel.
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Cendrillon

ER était donc déjà vantard en 2004 car au milieu de ce fatras, il ne manque pas de se vanter et de rappeler les excellentes critiques dont l'ont honoré quelques journalistes.
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Cendrillon

Moi qui avait vraiment beaucoup apprécié les romans ultérieurs d'Eric Reinhardt, je suis restée sur ma faim avec celui-ci.

Trop décousu, d'autant plus que j'ai mis du temps à le lire, égocentré, déséquilibré. Il contient néanmoins en germe ce que je vais aimer plus tard chez lui.
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Cendrillon

Cendrillon, c'est une histoire de pieds, d'automne, et de terrorisme. De terrorisme dans tous ses états, celui qui prend l'homme au tripes, et aussi celui qui se manifestent par les armes. Reinhardt signe un livre contrasté entre l'histoire d'un homme en rage et celle d'un écrivain qui semble fatigué. J'ai personnellement préféré les moments où il parle de lui, ses descriptions admiratives de l'automne et de la cambrure des pieds des femmes. J'aurais aimé qu'il m'en dise plus sur lui, ces passages restent les plus authentiques.
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Cendrillon

Je précise tout de suite que je fais un commentaire bien que je n'aie pas fini le livre .



Un écrivain parisien parle .

On va tout savoir. Il s'appelle Eric Reinhardt, il a écrit : Demi-sommeil, Le moral des ménages, et Existence, dont il a eu des critiques élogieuses dans le Monde, Elle , etc., que, quand elles sont élogieuses, il affiche sur ses murs. Il écoute aussi les émissions de radio qui en parlent, dont l'une (dont il nous retranscrit l'intégralité), pas élogieuse du tout, mais suffisamment habilement « écrite » pour qu 'on comprenne que tous ces animateurs de France Culture sont des gros connards. Il travaille dans une mansarde de 12 m2, mais le plus souvent au café Nemours où il commande des cafés serrés et drague vaguement des clientes. Il a deux enfants, Leonardo et Donatien, qui partagent le délicieux rituel du petit déjeuner familial. Il a une femme formidable qui s'appelle Margot qui, tel le prince pour Cendrillon, l'a sorti du bourbier pour en faire un homme qui, certes, reste un pauvre type désespéré, mais s'épanouit chaque automne, où il croit retrouver une certaine plénitude.

C'est narcissique à souhait, mais comme bien souvent ces hommes déchirés où côtoient l'infantile et le désespoir, sont plutôt touchant (quoique sans doute impossibles à vivre).



À côté de ce récit, deux histoires parallèles, des productions de l'écrivain suppose-t'on, des images transformées de lui-même (ou de ce à quoi il a échappé?) suppose-t'on aussi, deux hommes falots (comme lui?) incapables de s'affirmer, professionnellement en perpétuel échec, face à leurs femmes tendrement exaspérées. Leur incapacité au monde a marqué définitivement son empreinte sur leurs fils dont on va ensuite suivre les parcours dissemblables.



Donc c'est assez formidablement écrit, plein d'idées ingénieuses, de digressions surprenantes. J'ai souvent été assez admirative, amusée, voire emportée, mais aussi souvent lassée, voire exaspérée face a cette logorrhée créative qui frise parfois le pédant. On a l'impression qu' Éric Reinhardt a participé à un atelier d'écriture où le maître disait : donnez-vous à fond, allez-y au maximum et même plus, rajoutez-en, montrez votre génie, plus il y en a mieux c'est, et surtout ne coupez rien ! On a l'impression que Reinhardt nous dit : regardez comme j'en rajoute,comme je suis un écrivain inventif, qui ne recule devant rien, aucune hyperbole, comme je me roule dans la médiocrité des autres (entre autre) pour en faire mon écrit quotidien le plus brillant.



Reinhardt ne limite donc ni l'incontinence verbale, ni les redondances volontaires, ni tout un panel de figures de style répétitivement appliquées (phrases nominales enchaînées, allitérations, anaphores, accumulations), ni les pages, les pages, les pages qui courent imbues de leur propre qualité mais n'apportent rien l'une à l'autre.



Ah ! Il y met de l'ironie et un humour alternativement pince-sans rire ou carrément basique, mais avec un tel sérieux... C'est brillant, brillantissime, parfois, mais, même si je me dis que cela cache la faille, (ou la béance ?) j'en arrive vite à trouver que cela s'exhibe de façon hystérique. Tout cela est troublant ! oui, c'est vraiment troublant, ce mélange d'humilité et de suffisance, de désarroi et de légèreté, cette accumulation multiple, déchaînée qui, en tout cas, ne peut laisser indifférent.



J'en étais là dans ma lecture et mes réflexions, j’avançais avec l'intention d'aller jusqu'au bout, dans une certaine curiosité qui se partageait entre les personnages du livre et le personnage de l'auteur. Et puis, d'un coup, page 275, j'ai été submergée. Après 10 pages de description du Palais-Royal puis 10 pages d'un dialogue ininterrompu, merveilleusement rendu mais parfaitement inintéressant, j'en ai eu marre, j'ai saturé. Je me suis dit que si ça se trouve, les 300 pages qui me restaient à lire pouvaient n'être que la continuation de ce dialogue, pourquoi pas, encore une trouvaille provocatrice de Reinhardt ? D'un coup, le destin Laurent Dahl et d'Éric Reinardt m'indifférait complètement et je me suis dit que le génie, même torturé, est vain quand il m'ennuie



J'ai fermé le livre. J'ai repris la citation ci-dessous, que j'avais noté page 103, qui montre qu'Eric Reinhardt partage sans doute avec moi un questionnement sur lui-même : est-ce de l'arrogance ou de la sincérité ? Les deux sans doute , beaucoup de questions n'ayant pas de réponse dans la vie.





" - Regarde ! Lis ces phrases ! Du brio ! De l'invention ! Une verve authentique ! Des trouvailles ! De l'humour ! Il parle d'une satire survitaminée ! Et drolatique ! Il écrit que ton livre est drolatique ! Et qu'il est brillant ! Il déplore à chaque ligne que tu brilles ! - Et le truc du marionnettiste trop malin ? - Tu vas pas te plaindre qu'il te trouve malin ! - Et formidablement satisfait ! C'est aimable comme observation ? Marionnettiste formidablement satisfait ? - Mais il souffre ! Tu le surprends en pleine souffrance de gourmet littéraire ! Je crois qu'elle est drôle son existence de gourmet littéraire ? Comment veux-tu qu'il accepte que tu prennes du plaisir ? Mais c'est immoral ! Elle est immorale, ta vie, pour la plupart des gens, c'est immoral ce qu'on vit ! Et en plus les provoques, tu les cherches, tu t'amuses en écrivant ! Tu claques les mots et les trouvailles comme d'autres claqueraient du fric et sortiraient leur carte Gold !"
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Cendrillon

quelques très beaux passages mais des longueurs et les personnages se perdent.... et nous perdent . Un sentiment de malaise parfois... et un discours inintelligible ..........des digressions, pas d'unité et des personnages déstabilisants ............
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