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Critiques de Florence Belkacem (48)
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Coccinelle

Coccinelle, demoiselle

Bête à Bon Dieu

Coccinelle, demoiselle

Vole jusqu’aux cieux

Petit point blanc

Elle attend

Petit point rouge

Elle bouge

Petit point noir

Coccinelle au revoir



Un, deux, trois, voici venir une petite coccinelle.

Il fait jour dans la nuit.

Quatre, cinq, six, une autre petite coccinelle revient.

Il fait froid, c’est l’hiver, mais petite coccinelle est là.



Petite bête du bon dieu, pour Florence, c’est un signe de sa maman récemment éteinte.

Quand la mort se voudrait souffrance, grâce à ce récit, la mort ne peut qu’aller se rhabiller. Ouvrez l’œil, écoutez le chant des oiseaux, la coccinelle a bien plus d’une signification, elle transmet un peu de lumière, elle nous rappelle combien les morts ne veulent pas se laisser oublier.



Florence se questionne, elle lit des poèmes, elle lit les pensées des grands philosophes, elle se confronte à un monde qui ne croit pas, elle pose le doigt là où il faut :

« Combien d’entre nous prennent encore le temps de se tourner vers le ciel et de suivre un papillon des yeux ? Quand on pense que saint François d’Assise parlait aux oiseaux et que nous nous contentons de les regarder sur un écran… »



Cette coccinelle est un rendez-vous magique, une petite parenthèse qui s’amarre sur l’âme pour nous redonner confiance, pour nous ouvrir les yeux sur le poumon de la vie.

Pour Florence, au décès de sa maman c’est une pluie de coccinelles qui viennent lui chatouiller le cœur.

Au décès de son papa, ce sont des rencontres, un papillon, une parfumeuse du joli nom de Claire, qui viennent à elle pour éclairer ses nuits et parer les jours d’une jolie douceur de sentir ses parents près d’elle.



Son récit est parfumé de poèmes, de citations qui respirent la joie et l’amour.

C’est un récit qui touche et ne peut faire que du bien quand la mort vient chercher ceux qu’on aime. Bernard Werber explorait déjà à merveille la piste de l’au-delà avec l’empire des anges, Florence Belkacem par ses yeux ouverts, son cœur à l’affût et son âme réceptive nous ouvre ici les portes d’un grand royaume : celui où l’amour ne cesse jamais et où le monde de l’invisible n’attend que nous pour recueillir ses nombreux signes et messages ailés.
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Coccinelle

20 Mai, je commence à lire le récit de Florence BELKACEM – « Coccinelle »…

21 Mai, mon adorable petite fille est à la maison pour le week-end. Alors qu’elle arrose le jardin avec papi, j’entends sa petite voix :

« Mamie, mamie, mamie, viens voir… dans le jardin il y a cinq coccinelles ; 🐞 la maman et ses bébés, et regarde à côté, ce que j’ai trouvé, …. Une plume »

Coïncidence ?

Sur le bandeau du livre est écrit :



« TOUT EST SIGNE. IL SUFFIT D’OUVRIR SES YEUX ET SON ESPRIT. »



La maman de Florence BELKACEM disparaît en 2013.

C’est l’hiver, et dans la douleur du dernier « A-Dieu », pendant l’office des funérailles, une coccinelle surgit et grimpe sur le doigt de Florence. 🐞

L’apparition de cette coccinelle l’intrigue.

Et si ?

Et si, tout ne s’arrêtait pas après la mort ?

Et si c’était un clin d’œil de sa maman ?

Plusieurs fois, au fil du temps qui s’égrène, des coccinelles lui rendront visite. 🐞

Ces apparitions répétées ne peuvent pas être le fruit du hasard !.....

Alors, Florence cherche des explications ; elle lit de nombreux ouvrages et interroge de nombreuses personnes.



« Espérer toujours, ne désespérer jamais »



En 2018 et 2019, partiront successivement sa belle-mère et son papa. Eux aussi, viendront adoucir sa peine, en lui adressant de nombreux messages céleste.



L’autre monde est fait de messages et de signes qui relient le visible et l’invisible. Partis, mais toujours présents, s’installe alors avec nos être chers un autre langage, un langage sans paroles, un langage différent pour qui prendra le temps de contempler et de prêter attention aux manifestations qui surgissent dans sa vie.



Alors, merci pour cette émouvant témoignage, empli de tendresse, d’espoir et de douceur.

Et merci à Ladybirdy ; le soir même de la lecture de son bel avis, je passais commande de ce livre auprès de mon libraire.

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Coccinelle

Janvier, 2013. Lors de l’enterrement de sa maman, une coccinelle va se poser sur Florence. En plein hiver, l’apparition de ce petit insecte est un signe pour Florence, un signe de sa maman. Plus tard, ce seront d’autres coccinelles qui apparaîtront successivement dans la maison familiale et dans l’appartement de Florence. À chaque fois, Florence y verra le signe que sa maman lui envoie pour lui dire que même si elle ne peut plus la voir, elle est là, toujours.



Il y a des récits qui chamboulent, qui touchent d’une manière indicible, et celui-ci, pour ma part, en fait partie. J’ai été bouleversée et profondément émue par ce texte très intimiste. Florence va se livrer à son lecteur et aborder une thématique très douleureuse comme l’est le deuil de sa maman.



Florence va s’interroger tout au fil des pages sur la place que les défunts prennent dans le quotidien de tout en chacun, de la place qu’on leur donne. Pour elle, ils nous envoient des signes, pour peu que l’on ouvre les yeux et que l’on décide d’y croire. Et bien, pour ma part, j’ai été totalement réceptive à ce que me narrait Florence, et je n’ai pu m’empêcher de m’identifier à elle. Je me suis beaucoup impliquée dans ce que je lisais, et du coup, je suis ressortie chamboulée et je suis passée par une multitude d’émotions.



Les mots de Florence sont justes. Il n’est jamais facile de se livrer à son lecteur de cette manière, et Florence va être très généreuse, nous faisant part de ses sentiments tout au long des pages. Elle va nous faire part de tous les signes envoyés par sa maman, et nous livrer des pans très personnels de son histoire.



La plume de l’auteure est sobre, tout en douceur et d’une sincérité sans égale. Florence a entrecoupé la part personnelle de son récit avec des citations d’auteurs, des poèmes et des explications plus en avant sur ce sujet.



Un récit où l’auteure va se livrer sur une thématique très délicate à aborder. Sous une écriture sobre, juste et emplie de sincérité, le lecteur passera par des émotions fortes. Je ressors bouleversée et ce texte m’a profondément émue. À lire absolument.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Ces libellules qui me font signe

Florence Belkacem,  dans ce livre choral, nous entraîne de la Kabylie des années 1920 à la banlieue parisienne de nos jours, en passant par L'Alsace occupée.

On y suit Aghdim, Mohand, Anna ou Pauline.

C'est Pauline qui nous guide.

Enfin, c'est elle qui a été choisie.

Par ce grand-père, mort il y a déjà 20 ans, qui lui rend visite une nuit.

Par cette mystérieuse femme, qui voit, sur le front de la jeune fille, un étrange signe, une lettre. Un T énigmatique.

Et par ces libellules, qu'elle croise à tout instant, qui s'invitent chez elle, qui frappent à sa fenêtre.

Le lecteur, assez vite, connaît l'origine de ces étranges manifestations.

Les protagonistes, eux, vont la découvrir parfois très tard.

Pourquoi Aghdim a-t-il quitté son Algérie natale précipitamment, abandonnant son fils Mohand à peine né ?

Mohand qui croit savoir, mais qui ne connaîtra le terrible secret de sa naissance que bien plus tard. Bien trop tard ?

Et ce T, qui se cache derrière ?

Récit émouvant, tant par les personnages que l'on y rencontre, que par les phénomènes surnaturels qui intriguent et invitent à s'interroger.

Ces odonates messagers, ces fantômes, sont autant de lumières qui viennent accompagner et apaiser les principaux acteurs de cette saga familiale.

Une belle découverte de cette rentrée littéraire.
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Coccinelle



Dés la première page, le ton est donné avec cette citation de Victor Hugo au cimetière de Guernesey:

«Où s’en est-elle allée? Dans l’ombre?

Non. C’est nous qui sommes dans l’ombre.

Elle, elle est dans l’aurore. »

Ce livre interroge sur la survivance de l’âme après la mort.

Mais il ne s’agit pas d’un énième ouvrage ésotérique ou new age.

Parce que Florence Belkacem n’est pas médium, Florence Belkacem est une journaliste de qualité bien connue de tous ceux qui écoutent Radio Classique .

Elle est journaliste, donc, mais aussi courageuse car il n’est pas facile, dans notre société matérialiste d’évoquer l’au delà. C’est être en butte aux jugements, au mépris.... et j’en sais quelque chose, puisque ma petite maman décédée en février m’a envoyé des signes forts mais les rares proches à qui j’ai voulu en parler m’ont regardée d’un air effaré.... désormais je garde ces signes pour moi, tels des pierres précieuses inestimables.

Florence Belkacem a osé partager ces merveilleux cadeaux qu’elle a reçus de ses défunts, faisant fi des jugements ainsi que des moqueries.

Nous devons tous l’an remercier.

Au départ, elle n’est pas plus dans le cheminement spirituel que n’importe qui.

Mais sa maman décède et cet immense chagrin l’ouvre à une attention aux signes: une coccinelle le jour des obsèques en hiver où normalement aucune coccinelle digne de ce nom ne pointe le bout de son nez... puis au fil des mois, une autre coccinelle, et une autre, encore une autre... Alors elle s’interroge et en bonne journaliste fait des recherches parmi nos grands écrivains et philosophes: comment de tout temps ont ils conçu l’après vie?

Il en résulte un ouvrage lumineux, érudit, truffé de références et citations philosophiques ainsi que littéraires. Et courageux, car elle a pris des risques, Florence dans son milieu intellectuel, mais elle y croit et sa sincérité est à mon sens la plus grande preuve d’une certitude concernant ce qu’elle suggère.

Merci beaucoup Madame Belkacem, votre livre est un témoignage, une pierre à l’édifice du monde spirituel, tellement dénié de nos jours.

Merci d’avoir partagé vos trésors si personnels, précieux et intimes.
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Coccinelle

Ce livre, je l’ai découvert par hasard à la bibliothèque publique où je me rends régulièrement. Il y a des livres qui semblent écrits pour vous, celui-ci en est un pour moi. Il faut dire que j'ai un lien particulier avec les coccinelles.



Mais, au-delà de ça, la lecture de la 4ème de couverture a achevé de me convaincre :

"Dehors, il fait 5°C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ?

Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m’assaille. La prudence voudrait que je n’y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes – un papillon, une biche, une bague… – m’entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n’abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider.

Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils  » des invisibles, mais pas des absents  » ?"



Qui ne s'est pas interrogé sur l'existence d'une vie après la mort, ou ne l'a pas espérée peut-être, au décès d'un proche ?



Dans ce témoignage émouvant et intrigant, Florence Belkacem aborde la thématique douleureuse qu'est le deuil d'un parent. Au fil des pages, elle se questionne, et invite par la même occasion le lecteur à le faire, sur la place que prennent les défunts dans le quotidien de chacun.



Avec des mots justes, sincères, sobres, tout en douceur, elle nous livre un texte très fort. 



De plus, les références littéraires et citations qu'elle partage avec nous, nous incitent à aller plus loin, à avoir une réflexion plus profonde.



C'est un livre qui se lit presque d'une traite, qui chamboule et, en même temps, est assez apaisant. J’ai été profondément émue par cette lecture remplie d'espoir.

A lire et à relire sans aucun doute...
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Coccinelle

Reçu en version numérique dans le cadre du comité de lecture de LDLN. Depuis l'enterrement de sa mère, l'autrice considère comme des signes des choses fantastiques au sens propre: qui ne devraient pas être là comme une coccinelle en janvier. mais il en viendra d'autres et puis aussi une biche etc.

Je doute un peu; certaines coïncidences nous interpellent mais sont-ce vraiment des signes que nous font les défunts qui nous ont aimés?

Un livre agréable à lire.
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Coccinelle

"Coccinelle", un signe parmi tant d'autres de l'invisible...

Dans ce récit, l'auteure raconte les expériences qu'elle a vécues suite au décès de sa mère.

Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison: les morts seraient-ils des invisibles, mais pas des absents"?.

Tout est signe, il suffit d'ouvrir ses yeux et son esprit.

J'ai été touché par cette lecture. Je ne peux que vous la recommander.

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Coccinelle

C'est un livre qui bouleverse, et qui donne de l'espoir. C'est un livre sur la mort, et qui ouvre la porte sur une vie plus riche. C'est un livre érudit, mais que l'on dévore en quelques heures.

Je ressors de ce livre l'esprit ouvert à de nouvelles possibilités. Je ne sais toujours pas s'il y a une vie après la mort, mais je l'espère de tout mon coeur et Florence me montre le chemin.

Je l'en remercie.

Je remercie NetGalley et les éditions Le Cherche Midi pour l'envoi de ce roman.

#Coccinelle #NetGalleyFrance

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Coccinelle

Quelle magnifique ode à la vie ! En nous parlant de la mort, des signes que l'on peut décrypter, de la disparition de ses parents et de sa belle-mère, Florence Belkacem ouvre le chemin de la résilience, de l'amour infini et du sens de la vie.

Un texte fort, qui résonne en nous et, en outre, grâce aux recherches (quasi journalistiques) de l'auteure, nous ouvre des champs de réflexion très riches et poétiques, philosophiques et passionnants.

Des références et citations qui nous donnent envie d'aller plus loin.

À chacun d'entre nous, lecteurs, lectrices, d'apprendre à déchiffrer les messages que nos proches disparus nous envoient. Ils ne sont pas si loin. Peut-être juste "dans la pièce d'à côté" (comme dans le poème attribué à Saint Augustin ci-dessous).

Un texte, lu d'une traite, qui m'a bouleversée et que je recommande sans hésiter !





Texte complet du poème :

"L’amour ne disparaît jamais

La mort n’est rien

Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.



Je suis moi et vous êtes vous

Ce que nous étions les uns pour les autres

Nous le sommes toujours.



Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné

Parlez- moi comme vous l’avez toujours fait

Ne changez rien

Ne prenez pas un air triste ou solennel



Continuez à rire de ce qui nous faisait rire

Souriez, pensez à moi, priez pour moi

Que mon nom soit prononcé à la maison comme il a toujours été.



La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié

Elle est ce qu’elle a toujours été

Le fil n’est pas coupé.

Pourquoi serais-je hors de vos pensées simplement parce que je suis hors de votre vue ?



Je vous attends

Je ne suis pas loin

Juste de l’autre côté du chemin.

Vous voyez, tout est bien."



Auteur inconnu,

parfois attribué à Saint Augustin

#Coccinelle #NetGalleyFrance
Lien : http://sharingteaching.blogs..
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Coccinelle

Lors de l’enterrement de sa mère, Florence Belkacem, si proche d’elle, note de nombreux signes. L’arc-en-ciel, sur le chemin, l’apaise. Une coccinelle, en plein hiver, se pose sa main pendant la cérémonie. Elle sera la première de plusieurs apparitions. Si Florence y trouve un peu de réconfort, elle n’ose totalement y croire. Elle y reste réceptive, se documente en journaliste, explore l’au-delà. Et si nul ne quittait vraiment la vie? Si nous pouvions toujours prendre soin, discuter et sentir la présence de ceux qui sont partis?

Il y a les livres qu’on dévore et ceux qu’on lit lentement, parce qu’ils nous chahutent ou qu’ils viennent nous chercher. Il y a les livres qu’on peut chroniquer la lecture à peine finie, d’autres qui demandent à décanter dans notre esprit. Vous l’aurez compris, « Coccinelle » est de la seconde catégorie en ce qui me concerne.

La perte de ceux qui nous sont proches est un événement qui nous bouleverse au plus profond de nos vies, bouscule nos repères, laisse un grand vide. Chacun y réagit à sa manière, avec, selon sa conviction intime, l’espoir ou non que cet être cher continuera à être là, quelque part. Florence Belkacem nous délivre un message d’espoir. Soyons attentifs aux signes, continuons à évoquer, communiquer avec nos défunts, car alors peut-être pourrions-nous découvrir que nous ne sommes pas seuls. Si le récit prend une forme de journal intime, il est aussi extrêmement documenté entre références littéraires, philosophiques, scientifiques même à travers les travaux d’Edison. J’ai appris aussi de cette plongée dans le regard des grands penseurs et de leur rapport à leurs morts à travers le temps.

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Coccinelle

Suite a l'invitation télévisée de Florence Belkacem j'ai immédiatement ressenti le besoin de me procurer son livre afin de me plonger dans son récit.

Récit qui concerne les signes que nos défunts nous envoient.

Magnifique témoignage qui m'a donné des frissons et qui a eu raison de mes larmes.

Ayant été touchée de très près par ce genre de phénomènes et ayant fait face a plusieurs reprises a la mort et la perte d'êtres chers je ne pouvais que me conforter dans cette histoire.

Sans rien dévoiler du livre par pudeur et par respect, je remercie Florence pour le courage d'avoir couché ces mots sur le papier et de nous partager tous ces moments magiques a qui veut bien le croire mais qui sont d'un tel réconfort et qui apporte une telle sérénité et un bien être immense, voir un apaisement a qui a la chance de les vivre.

Bouleversant, intense ,j'ai adoré découvrir cette lecture et toutes les émotions qu'il s'en dégage.
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Coccinelle

J'ai été attirée par la couverture que je trouve très belle. La quatrième de couverture me laissait perplexe mais après tout pourquoi pas, j'ai l'esprit ouvert bien que cartésien.



Je dois dire que la magie n'a pas opéré, ce n'est vraiment pas mon truc les signes de l'au-delà pourtant il serait si doux d'y croire et je pense également qu'après tout pourquoi ne pas imaginer un signe du proche disparu. Mon esprit cartésien me fait dire qu'effectivement l'on peut interpréter certaines apparitions comme coccinelle, arc-en-ciel, courant d'air comme des signes même si tout cela est le fruit du pur hasard, après tout il n'y a aucun mal à se faire du bien. J'y ai moi-même pensé lors d'un enterrement lorsqu'un rayon de soleil a traversé le vitrail en face de nous, y'a pas à dire ça réchauffe le coeur sur l'instant et après tout nous n'en savons rien.



Quant à la lecture, elle est fluide, j'ai aimé les références à des auteurs, des philosophes tout au long du livre. Alors si vous croyez à la vie après la mort ce livre est pour vous, c'est une belle histoire
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Coccinelle

Dans "Coccinelle", Florence Belkacem raconte les différences expériences qu'elle a vécues suite au décès de sa mère en 2013.

C'est un très beau récit, très bien raconté de manière fluide, sensible (mais sans aucun pathos) et sincère.

On sent la plume de la journaliste qui cherche à comprendre et qui, pour cela, approfondit en faisant ses propres recherches soit auprès de spécialistes, des grands auteurs de la littérature ou en philosophie.

Un très court livre (137 pages pour l'édition poche Pocket) attachant, sans "gras" (dans le sens où "tout est à garder"), que j'ai refermé avec une lueur d'espoir quant au message qu'il délivre.

Florence Belkacem a eut beaucoup de chance d'être aimé de la sorte par ses disparus, qui lui ont fait savoir par de petits messages subtils leur présence et leur soutien.

Un livre sobre et que je vous recommande.

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Coccinelle

Le jour de l'enterrement de sa mère il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Mais une coccinelle se pose sur la main de Florence. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ? Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore…



La manière avec laquelle Florence nous livre ses pensées est à la fois très personnelle, intimes et pleine de délicatesse, mais aussi très très bien illustré et documenté, truffé de Références littéraires. Résolument, on voit là, l'esprit de cette grande journaliste, qui se retrouve face à l'inconnu du deuil et qui tente d'y trouver un sens.



Ce livre est beau, lumineux d'une grande douceur, ce livre fait du bien et m'a touchée de plein fouet. Il est comme une main tendue, chaude et amicale, au milieu des ténèbres qu'est la perte d'un être cher.
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Coccinelle

Doux et tendre témoignage sur les signes que nous envoient nos chers défunts. La plume est agréable, l'ouvrage foisonne de références qualitatives sans encombrer le récit, les signes évoqués sont mignons et peuvent rassurer qui en a besoin à la suite de la perte d'un être cher qui attriste et désarçonne tant.



En tant que Médium, ce livre peut faire office d'entrée en matière avec le sujet, en délicatesse sans être trop gnangnan ni trop illuminé... A chacun ensuite d'oser lire certains des auteurs évoqués tout au long de ce récit.



Bravo à l'auteur pour avoir eu le cran de partager ce récit qui peut faire du bien à beaucoup...
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Coccinelle

J’ai été bouleversée et très émue par le merveilleux témoignage de Florence sur la disparition de sa mère. Et d’ailleurs, ce n’est pas qu’un témoignage autobiographique mais c’est aussi un récit bourré de citations philosophiques, littéraires et de nos grands poètes.

Florence nous parle de la perte de ceux qu’on aime avec beaucoup de douceur et plein d’espoir. Un livre qui fait un bien fou, à lire absolument !

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Coccinelle

Un livre à lire et à relire, dans le besoin, dans l'interrogation...

Un récit autobiographique émouvant et intrigant . Il est surtout universel.

Qui ne s'est pas interrogé à la mort de ses parents ou de ses proches ?

Qui n'espère pas une vie après la mort ? la preuve dans un monde à côté ?

Florence Belkacem dans un hommage sincère à sa mère puis ensuite à son père, ose publiquement raconter ce qu'elle a vécu, ce qu'elle a raconté à des amis qui ne l'ont pas cru ou l'ont cru perdue, face aux sceptiques, ose nous faire espérer et croire.



http://passeuredelivres.over-blog.com/2020/05/coccinelle-florence-belkacem-cherche-mid.html
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Coccinelle

Il y a deux mois, une de mes chères amies a perdu sa mère. Une perte inopinée et injuste dont la soudaineté a à peine laissé le temps à mon amie de lui dire aurevoir.

Je ne peux concevoir le malheur que cela représente de perdre une maman. Une maman est un pilier, parfois elle constitue à elle seule les fondements de toute une famille.



On dit que le processus du deuil est un cheminement normal qui se divise en 5 étapes. Comment alors surmonter son chagrin quand au moment de sa disparition, notre mère se trouve dans un autre pays à plus de 2000 km de nous ? C'est pourtant ce qu'a vécu mon amie. Privée de ce moment douloureux, mais essentiel. De ce fait, pour apporter mon soutien à ma si chère amie, je lui ai offert de l'espoir personnifié en petit livre.



"Coccinelle" traite de ce sujet universel qui nous touche tous et toutes : le décès d'un être cher.



Florence Belkacem nous livre un récit émouvant, tendre, positif et très personnel. Chaque page est teintée d'un espoir pur et d'une extrême bienveillance.

Le premier signe qui va toucher l'autrice se manifeste sous la forme d'une coccinelle en plein mois de janvier le jour des obsèques de sa mère. À partir de cet instant, plusieurs autres signes vont se révéler et aider Florence à mieux appréhender sa tristesse.



L'autrice fait le lien entre le visible et l'invisible. Après tout, Victor Hugo disait que "les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents". Peut-être que la majorité d'entre nous est trop ancrée dans une réalité rationnelle et refuse d'ouvrir les yeux ? Avec son histoire, Florence nous propose de croire aux signes que l'on reçoit ou que l'on recevra peut-être un jour ou l'autre.

Grâce à son livre, l'autrice nous tend la main et nous donne du baume au cœur en nous permettant de croire que la vie n'est pas une destination et que nos défunts ne sont pas complètement partis.



Ce témoignage touchant m'a bouleversé car moi aussi à la mort de ma mamie, j'ai eu l'occasion d'être spectatrice de certaines coïncidences pour ainsi dire incroyables.

Offrir ce livre poétique à mon amie pour l'aider à surmonter cette épreuve, fût pour moi une évidence.

Peut-être était-ce un signe ?
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Coccinelle

Quand j’ai refermé le livre de Florence Belkacem, j’ai ressenti un grand bonheur. Ayant perdu ma mère il y a peu, son récit m’a profondément touchée. Ça respire l’amour, malgré la douleur et les larmes,C’est un livre magnifique, poétique, généreux.Florence Belkacem est lumière,

elle est vie,elle est gaieté.

Mille mercis à elle.
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