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Critiques de François Cheng (462)
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Cinq méditations sur la mort

François Mitterrand, dans sa très belle préface du livre de Marie de Hennezel « la mort intime » s’interrogeait :



« Comment mourir ?

Nous vivons dans un monde que la question effraie et qui s’en détourne. Des civilisations, avant nous, regardaient la mort en face. Elles dessinaient pour la communauté et pour chacun le chemin du passage. Elles donnaient à l’achèvement de la destinée sa richesse et son sens. Jamais peut-être le rapport à la mort n’a été si pauvre qu’en ces temps de sécheresse spirituelle où les hommes, pressés d’exister paraissent éluder le mystère. Ils ignorent qu’ils tarissent ainsi le goût de vivre d’une source essentielle ».



« Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie » est un petit livre qui nous donne quelques pistes de réflexion pour aborder cette grande question. Il présente l’intérêt d’avoir été écrit par le poète François Cheng, qui excelle à nous faire profiter à la fois de sa double culture, occidentale et chinoise et de sa grande érudition. Sans donner de leçon, il s’interroge. Du coup, sa méditation devient, de façon très naturelle, celle du lecteur. Aux raisonnements philosophiques, il préfère les paroles des poètes, « non pour leur lyrisme, mais en raison de la fulgurante intuition qui les a suscitées, de leur formulation éminemment incarnée ».



En lisant ce livre, on se surprend donc à méditer en compagnie de François Cheng sur ces trois notions indissociables que sont la vie, la mort et le temps. Heidegger, bien sûr, est évoqué (« dès qu’un homme est né, il est assez vieux pour mourir »), mais aussi Goethe, Hölderlin, et surtout Rilke, qui décrit l’union de la vie et de la mort par le « Double royaume ». Et c’est ainsi que nous sommes invités à ne pas « nous accrocher seulement à ce seul versant de la vie, mais de nous situer au cœur du Double-royaume », puisque « en excluant la mort de sa vie, on se prive d’une vie complète et en l’y accueillant, on élargit et enrichit sa vie » (Etty Hillesum). On s’interroge ensuite sur les besoins que la conscience de la mort fait naître en nous : celui de nous réaliser (ne pas subir un « trajet de vie », mais réaliser son « projet de vie ») ; celui de nous dépasser nous-même (à travers nos passions et notamment l’amour) ; enfin, celui de tendre vers la transcendance, que ce soit par notre lien avec Dieu ou simplement avec les autres.



Ceci nous amène également à réfléchir sur ce qui distingue l’esprit de l’âme, dont François Cheng donne une définition lumineuse : « C’est elle qui, absorbant patiemment tous les dons et les épreuves du corps et de l’esprit, est l’authentique fruit conservant intact ce qui fait l’unicité de chacun. »

Après diverses réflexions, notamment sur la beauté et le mal, « les deux mystères fondamentaux qui interfèrent avec notre conscience de la mort », nous sommes enfin conduits à la grande question de la survie de l’âme. Celle-ci est vue d’abord sous l’angle de la communion des âmes au-delà de la mort, au moyen d’une belle évocation de Byron, Keats et Shelley. Evidemment, il n’y a alors plus qu’un pas pour que ce cheminement aboutisse à la question de Dieu, ou du lien qui peut unir toutes nos existences individuelles. Que l’on suive les méditations jusque-là ou que l’on ait bifurqué auparavant vers d’autres voies, on aura pris plaisir à accompagner François Cheng dans cette réflexion sur le sens de la vie : « Il n’y a qu’une seule aventure, et si chacun d’entre nous n’a qu’une seule vie, toute la Vie est une. »

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Cinq méditations sur la mort

Romancier, poète, essayiste, François Cheng emprunte la voie de la causerie pour parler de la mort avec érudition, sagesse et une vision neuve qui ne nous est pas toujours accessible tant il se réfère à des notions qui nous sont étrangères. Mais il vaut la peine d’essayer de le suivre en ce chemin, car si l’on ne capte pas tout, demeure en nous une certaine image de la vie qui fait du bien à l’âme et qui nous porte au-delà de notre manière habituelle de penser.

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Cinq méditations sur la mort

Son propos affronté à la question de la mort est un éloge à l’absolu qu’est la vie !
Lien : http://www.laprocurelyon.com..
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Cinq méditations sur la mort

Quatre chapitres issus chacun d'une conférence préparent le lecteur au cinquième, un recueil de poèmes. Une langue parfaitement maîtrisée est ici mise au service d'une réflexion approfondie sur la mort, donc sur la vie. La convergence remarquable des pensées occidentale et orientale sur le fond de cette réflexion est superbement mise en évidence grâce au double enracinement de l'auteur dans les cultures chinoise et française.

Au terme de cette lecture, on perçoit un réel apaisement ("notre sœur la mort" disait saint François) combiné à une clarification progressive de concepts essentiels. Ainsi, le passage relatif au triptyque corps-esprit-âme, celui consacré au culte des ancêtres pratiqué par les Chinois, cet autre qui développe l'unicité et la singularité de chaque vie ("avoir été est un fait éternel"), la distinction entre l'instant et le présent, l'appel à Rilke et à Rimbaud, l'approche du Tao, la réflexion sur le rien et le néant, la description des diverses formes du désir (de réalisation, de dépassement et de transcendance), le développement sur les trois acceptions du mot "sens" en français (le ressenti, la direction et la signification) sont autant de services que nous rend François Cheng en nous aidant à nous rapprocher un peu du cœur de la vie.

N'ayez pas peur ! Ce petit livre n'a pas un ton morbide : on n'y parle pas tant de la mort effective que de la conscience que nous avons de la mort. Il affronte également deux autres mystères, celui de la beauté et celui du mal.

Finalement, on referme ce livre-pépite avec l'impression d'avoir en le lisant concélébré avec l'auteur ce souffle qui nous traverse : la Vie. Parmi les nombreuses citations, je retiens celle-ci de Gabriel Marcel : "Aimer un être, c'est lui dire :Toi, tu ne mourras pas".
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D'où jaillit le chant: la voie des oiseaux ..

François Cheng a publié chez Phébus un certain nombre d'ouvrages d'art, tous consacrés à la peinture chinoise, tous se caractérisent par la qualité des reproductions, la précision des explications et la beauté des oeuvres choisies.

Ce volume est consacré au motif académique des oiseaux et des fleurs qui s'imposa sous la dynastie des Song du Nord et brilla de tous ses feux sous le règne de Huizong.
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D'où jaillit le chant: la voie des oiseaux ..



Difficile d'échapper à la magie de cet ouvrage que François Cheng a imaginé et réalisé pour nous initier à l'art pictural Chinois .



Chaque tableau est expliqué et accompagné du poème écrit par le peintre , peinture et poésie dialoguant sans cesse dans cette culture qui ne distingue pas le coloriste du lettré .



le livre s'ouvre sur un tableau célèbre du XIème siècle de CUI BO

"lièvre dérangeant un gîte de pies"

Il s'achève sur un peintre contemporain ZHANG DA -ZUHANG

Hommage à la mémoire du grand Poète (Fête populaire en Chine)

"le soir elle loge dans les parvis du ciel"



François Cheng a utilement et habilement ouvert cet ouvrage par une courte présentation de cet univers si particulier qui va de la calligraphie à la peinture en passant par la philosophie et la poésie .



Des choix de textes et de peintures utilisés régulièrement dans les écoles de peintures comme par Wenjue Zhuang à Nantes .





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De l'âme

Ni encyclopédie, ni précis, "De l'âme" est une invitation à vagabonder sur un chemin de pensée, en très bonne compagnie.
Lien : http://culturebox.francetvin..
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De l'âme

Échanges épistolaires autour de la vie, de l'âme, de l'amour, de ce qui constitue le cœur de l'humain et sa richesse. Les sept lettres permettent de s'interroger chacun sur sa propre conception de sa spiritualité.
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De l'âme

Un essai splendide où François Cheng, à travers 7 lettres évoque avec clarté et érudition, l'âme, l'esprit, Dieu et la vie. Loin de la pure théologie, c'est une véritable réflexion philosophique. On y retrouve le style de l'auteur, sa poésie, sa concision, son talent. Cet ouvrage résonne de sagesse, il nous invite à faire nous aussi, notre propre voyage intérieur, pour nous découvrir, et tenter de trouver ce que nous sommes, ici et ailleurs.
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De l'âme

Poétique, philosophique, spirituel... 160 pages d'Humanité. Riche d'une profonde connaissance de l'Extrême Orient et de l'Occident François Cheng a la plume légère des poètes et la sensibilité des personnes ouvertes sur les multiples facettes de l'humain.

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De l'âme

C'est toujours un peu difficile de donner un avis sur un ouvrage dans un genre quelque peu hors norme, ni roman, ni poésie, épistolaire certes, mais philosophique aussi. J'apprécie François Cheng, car il incarne l'humilité et la sagesse dans ses propos et de sa personne également. J'avais visionné la GL où il présentait cet ouvrage, et bien sûr, le peu qu'il a dit, on se sent tout à fait impressionné par son discours.

Dans ce livre, il répond donc à une amie à sa demande, de lui parler de l'âme. En fait qu'est- ce l'âme ? Non point l'esprit qui lui peut être défini, déficient, tout comme le corps, mais l'âme ? Cette chose, substance, invisible et pourtant partout dans notre corps, cette âme qui nous quitte quand le corps s'éteint.

Il aborde également la beauté, c'est récurrent dans les écrits de M. Cheng, la beauté de toute chose, savoir s'émerveiller, apprécier la beauté de la vie, du souffle de cette vie qui nous porte sur notre chemin. Et la beauté de l'âme, ne dit on pas : c'est une belle personne. Non pas pour son aspect physique, pour ce qu'elle dégage, son aura, son comportement, la bonté de l'être.

Il philosophe donc sur cette âme, lettre après lettre il nous dépeind simplement, cette âme qu'elle est bien en nous, et qu'on peut, si on l'accepte, s'élever vers une autre dimension "spirituelle", le corps étant qu'une enveloppe charnelle, mais l'âme peut-on la modeler, l'améliorer, pourquoi y a t il des gens "avec le fond mauvais" et d'autre de toute bonté ? l'âme peut elle être noire ou mauvais, bonne ou sensible ?

Voilà beaucoup de sujets qui s'ouvrent à nous en lisant cet essai philosophique. Beaucoup de références d'ailleurs qui appuient ses dires ou donnent des exemples de cette réalité de l'âme.

A lire pour ceux qui s'intéressent à la trilogie de l'être humain 'corps-âme-esprit-

SAvoir que l'âme existe n'est pas le Graal pour mourir serein ou sans crainte, mais pour vivre sa vie dans la conscience de la beauté et la fragilité de la vie.

J'ai encore besoin de relire ce livre plus doucement , distiller ces propos, pour mieux saisir toute la teneur de vérité.

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De l'âme

A lire et relire sans doute d'ici quelques temps. F. Cheng nous donne ici sa réflexion sur l'âme qu'on a tendance à oublier, tellement nous sommes coincés entre corps et esprit. Mais voilà, il n'y a pas que ça...et l'univers nous le rappelle par sa poésie et sa vitalité.

Un livre philosophique et poétique, simple et pourtant profond.
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De l'âme

Bon. Au risque de ne pas faire très "intello", je dirai que c'est un livre que je vais devoir relire pour tout saisir, si possible... Ce questionnement n'est pas pour me déplaire, loin s'en faut. L'âme. .. cette part de nous qui demeure un profond mystère , et qui cependant semble , de la triade" âme corps esprit" , être la seule à porter en elle une promesse d'éternité, de plus d'amour envers les autres et soi même. .. Monsieur F. Cheng est assurément très érudit, mais ses écrits s'adressent au "tout public ", aux citoyens lambdas dont je fais partie. Je regrette une chose. C'est qu' il ne se soit pas suffisamment mis à ma portée . Il ne s'agit pas bien entendu de faire au plus simple car je ne suis pas tout à fait stupide. Il s'agit de se souvenir, quand on s'adresse aux lecteurs, que nous ne sommes pas tous philosophes et académiciens. Tout le monde semble avoir tout compris. Eh bien moi non. Je sors plutôt frustrée de cette lecture. Dommage.
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De l'âme

François Cheng nous aide ici à enrichir nos réflexions, en abordant le sujet de l'âme. Il évoque son rapport avec l'esprit, les différences qu'il y a entre les deux, les auteurs qui évoquent ce sujet et leur opinion dessus. Il met en avant la qualité de l'âme et son caractère singulier car ayant un statut d'immortalité et de transcendance. C'est poétique, doux, respectueux, spirituel et surtout très abordable comme lecture. Il étaye ses propos avec une bibliographie qui m'a donné des envies de découvertes littéraires !
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De l'âme

« A l’intérieur des murs et au-dehors des haies

Le printemps déchainé ne nous protège plus.

Au fin fond de la terre en exil, nos mains nues

Font sortir de l’oubli toutes nos roseraies »



(FC « Enfin le royaume » p.12)



François Cheng confie dans cette œuvre « De l’âme » être transporté par la Beauté de certaines œuvres de musique classique.

Il est de fait que le lecteur peut éprouver au fil de la parution des livres de cet auteur (en particulier « Cinq méditations sur la Beauté », « Cinq méditations sur la Mort » et « Oeil ouvert et coeur battant : Comment envisager et dévisager la beauté ») une sensation proche de celle que l’on ressent à l’écoute de certaines suites pour instrument de J. S. Bach, des variations identiques déclinées mais qui, dans leur nouvel écrin de beauté et de pureté, malgré tout surprennent, charment et subjuguent.

On retrouve en particulier cette étonnante synthèse entre le taoïsme et le message christique, l’eau et le feu en une alchimie (p.152 et 153 septième lettre)



Pour la forme, le texte se veut épistolaire, des lettres à une amie très chère, retrouvée incidemment et qui l’interpelle sur la nature de l’âme. Un peu comme pour Sénèque et ses « lettres à Lucilius », ces lettres unilatérales semblent être mises en scène dans un vrai faux dialogue, mais cela ne retire rien à leurs qualités.



Notre académicien disserte par conséquent sur l’âme en la distinguant de l’esprit. L’esprit est le centre névralgique qui régule la pensée, la raison (p.40 à 42 troisième lettre) tandis que l’âme est désir de vie, désir de beau (p.16 seconde lettre), élan pour s’élever même au plus profond de la nuit, de la souffrance (p.26 et 27 seconde lettre, p.96 et 97 cinquième lettre). L’âme est révélation suprême, de la Vie, de la Voie, la vibration originelle AUM (p.149 septième lettre)



L’homme « moderne » ne sait plus accéder à la voix, la voie de l’âme, asservi par sa quête infinie de puissance matérielle, de pouvoir de l’ego (p. 130 et 131 sixième lettre).



Quelle que soit la singularité de François Cheng, difficile de ne pas avoir présent à l’esprit d’autres œuvres comme « L’âme et la vie » de Jung, « Ecoute petit homme » de Reich, plus récemment « Les irremplaçables » de Cynthia Fleury. De même, le concept de l’âme comme source privilégiée d’accès à l’intériorité (p. 115 cinquième lettre) n’est pas sans rappeler Platon et son mythe de la réminiscence.

Le rythme du livre renvoie aussi aux méditations métaphysiques de Descartes, séquencées en six essais qui permettent au philosophe de conclure en l’existence d’un Dieu (parfait). La septième lettre de l’académicien rassemble tous ses éléments de réflexion et les consolide dans cette foi vibrante.



Mais dans cet essai, l’auteur exprime aussi à petites touches de pinceau avec pudeur mais non sans une émotion sismique intense, des séquences très personnelles des souffrances vécues dans sa vie, en particulier lors de son enfance dans la tourmente de la guerre sino japonaise que peut-être un jour l’histoire officielle occidentale reconnaitra comme événement majeur de la guerre mondiale qui a ensanglanté le monde entre 1914 et 1945. Le Mal absolu existe, François Cheng l’a éprouvé dans son corps et son âme, mais en dépit de cela il ne retient que les élans de vie, élans vers la Beauté.



La Voie universelle.



Dans cette sensibilité il consacre des développements vibrants à Simone Weil notamment à son « Enracinement ».



Un livre magnifique, un livre de François Cheng



« Des mots projetés dans la nuit

Pour traverser à gué la Voie.

Pour retrouver, jadis entrevue

Depuis longtemps perdue, l’Etoile »



(« Enfin le royaume » p.42)

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De l'âme

Je n’ajouterai rien aux critiques déjà nombreuses qui mieux que je ne pourrai le faire ont déjà dit le génie, la poésie et l’incroyable délicatesse de l’écriture de l’auteur.

Je me contenterai simplement de remercier M. Cheng de nous offrir cette réflexion sur l’âme. Ce mot que notre monde occidental évite soigneusement depuis des décennies. Comme si l’ignorance et le mépris pouvait effacer une vérité ancrée dans notre nature même…



Alors que dire, sinon que l’on sort de cet ouvrage bousculé, enrichi de milles questions et d’autant de pistes de réflexions que l’insatiable curiosité de l’auteur nous pousse à prendre le temps d’explorer. Mais si les voyages forment la jeunesse, François Cheng nous redit que c’est la présence qui forme la sagesse. Soyons présents au jour présent, à l’instant qu’il nous est donné de vivre, à cette fleur qui s’offre à notre regard, à ce rire d’enfant cueilli dans la rue, à ce tout autre qui se blottit dans nos bras, à la richesse de ce terroir qui nous offre son sang fruit de la vigne et du travail de l’homme… Soyons présents, c’est ainsi que nous répandrons l’Amour propre à combler les âmes.



Je ne recommande pas cette lecture à tous les cœurs ferrés de certitudes et pétris d’habitudes. Pour les autres…

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De l'âme

En répondant à sept lettres François Cheng soulève une question fondamentale :" de l'âme " !

Dans cet essai empreint de sagesse, d'érudition et de finesse, il nous livre ses réflexions, ses expériences ( y compris celles de sa jeunesse chinoise ), et surtout son admiration pour Simone Veil qui est une femme exceptionnelle !

Il distingue le corps ( enveloppe charnelle ), l'esprit et enfin l'âme ( qui est le propos du questionnement ) pour nous inciter à entreprendre un grand cheminement vers la Voie...
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De l'âme

Une belle méditation sur l'âme, grande oubliée de notre temps en comparaison du corps et de l'esprit. François Cheng nous invite, à travers cet échange épistolaire de sept lettres, à redécouvrir la beauté de celle, qui en nous, résonne, s'émeut et communie.
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De l'âme

Poète, romancier et essayiste, François Cheng endosse ici sa casquette de philosophe pour nous parler de cette notion abstraite et intangible qu'est l'âme humaine.Vaste programme qui laisse toute liberté à l'auteur d'étendre ses réflexions dans de multiples directions bien que la notion religieuse soit ici privilégiée.





François Cheng nous livre un essai passionnant sur sa conception de l'âme humaine, riche de références et de citations d'autres penseurs. Il incite le lecteur à méditer aussi sur ce concept métaphysique tout en lui ouvrant de nouvelles perceptions. Un ouvrage assurément enrichissant, à la fois léger et profond, qui nous invite à un voyage bienfaisant.
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De l'âme

Une amie perdue de vue depuis trente ans interroge l’écrivain sur l’âme. S’ensuivent sept lettres portant la réflexion de l’auteur sur cette vaste question.



Si le propos, tout autant que la réflexion de François Cheng, sont intéressants, j’ai trouvé la forme de l’exercice très artificielle et sans véritable apport en comparaison avec les auteurs (trop?) longuement cités dans son ouvrage.



A lire avant une petite séance de méditation.
Lien : https://lucioleetfeufollet.c..
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