Soojin veut participer au grand concours des tourterelles mais n'en a pas les moyens jusqu'au jour où il trouve une tourterelle, au merveilleux chant, blessée qui'il soigne. Elle gagne et l'argent du concours servira à soigner les yeux malades de sa petite soeur.
Les illustrations en collage sont poétiques et douces, les couleurs chaudes.
Cependant l'histoire qui est pourtant jolie est mal racontée, on ne comprend vraiment qu'à la 2e ou 3e lecture.
Il y a trop d'éléments d'un seul coup puis plus puis il gagne puis l'argent est pour sa soeur qu'on a juste entre aperçue... Bref ce n'est pas très facile à suivre.
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Un beau jour, dans la rue, Nathalie est violemment giflée par un adolescent accompagné d'un copain, qui prennent la fuite. La jeune fille essaie de comprendre le pourquoi de ce geste et elle est profondément désemparée par cette violence qui lui est faite, sans raison.
Un très court roman (une trentaine de pages, certaines illustrées, lues en 10 minutes) sur le phénomène du "happy slapping". Les sentiments par lesquels passe Nathalie sont très bien décrits, sans apitoiement superflu ni tapage. Un petit roman fort pour amorcer la discussion avec des enfants ou des ados sur ce phénomène, pas anodin.
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Ce nouvel ouvrage de François David et d'Henri Galeron ne manquera pas de t'étonner. Une multitude de drôles de bêtes toutes aussi étranges les unes que les autres t'y attendent : une luciole en forme de lampe de poche, une oie avec un corps de chien, ... L'illustration et le graphisme sont à la hauteur des textes remplis d'humour et de jeux de mots. Voici un recueil qui ne te laissera pas indifférent. Alors, laisses-toi emporter!
C.Fontanel
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Dans cet album, paru aux éditions Sarbacane, François DAVID et Olivier THIEBAUD nous proposent 16 têtes d'hommes. Portrait en mots faisant face au portrait de profil composés d'éléments naturels, d'objets du quotidien, de trésors en lien avec le poème.. L' homme qui joue, L'homme qui tue, L'homme qui rêve...Les portraits sont composés à la manière d'Arcimboldo.
Les poèmes sont légers, graves, empreints d'humour ou de mélancolie. Une belle harmonie entre poèmes et portraits.
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Lecture jeune, n°119 - En découvrant ces couples – de petits personnages de terre d’une grande expressivité – heureux et enlacés, nous faisons nôtre l’expression enfantine « oh ! les amoureux ! ». Nous en changeons simplement le ton. Face à cette intimité dévoilée par une photographie figeant le petit bonheur quotidien, nous ne ressentons pas la gêne et le sentiment d’intrusion de l’enfant, mais éprouvons l’instant donné à partager. Les gestes de tendresse des amoureux de terre prennent place dans un environnement bien réel et signifiant – vacances au bord de la mer, cité morose, séance de cinéma, bitume de la rue, etc. Cela conduit immanquablement le lecteur à vouloir reconstituer l’histoire de leur vie. Accolé à l’image, le dialogue des personnages écrit par F. David nous rapproche encore un peu d’eux. Enfin, le texte poétique résonne avec l’image et nous en dit plus sur ce qui lie les couples : « premiers émois », « long parcours », « toujours plus proches », « fiers d’être ensemble »… Le sentiment amoureux se trouve ici intelligemment incarné, de façon moderne et vivante. Un album émouvant dont la thématique et le traitement toucheront un large public. ? Hélène Sagnet
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