![]() |
François-René de Chateaubriand
C'est une très méchante manière de raisonner que de rejeter ce qu'on ne peut comprendre.
|
L'émission intégrale : https://www.web-tv-culture.com/emission/jerome-attal-la-petite-sonneuse-de-cloches-51577.html A la fois dandy et Pierrot lunaire, Jérôme Attal avance tel un funambule, entre tendresse, humour et sensibilité. Depuis son premier livre, « L?amour en lambeaux », en 2007, il a su fidéliser son lectorat et prouver un réel sens de l?écriture. Romancier, il a aussi imposé son nom dans le monde de la musique en écrivant pour de nombreux artistes, tels Florent Pagny, Jennifer ou Johnny Hallyday. Si l?exercice est différent, Jérôme Attal voit tout de même de nombreux points communs entre ces deux activités et surtout une même finalité, jouer avec les mots pour transmettre des émotions. Les sujets et les personnages de ses romans sont très diversifiés. On y décèle toutefois des fils rouges comme l?attachement aux souvenirs d?enfance, la fragilité du lien amoureux et puis la langue, belle et présente, avec un vrai travail sur le choix des mots et la construction des phrases. « Les jonquilles de Green Park », « 37, étoiles filantes », les plus récents titres de Jérôme Attal, ont séduit les librairies comme les lecteurs. Nul doute que ce nouveau livre trouvera aussi son public. Nous voici à Londres en 1793, où le jeune Chateaubriand a fui la Révolution. Sans un sou en poche, il dort une nuit dans l?abbaye de Westminster, le baiser d?une jeune fille, la sonneuse de cloches, le tirera de son rêve. Mais ce baiser a-t-il réellement existé ou n?est ce qu?une affabulation que Chabteaubriand, devenu l?auteur que l?on sait, racontera dans ses « Mémoires d?outre-tombe». 220 ans plus tard, Joachim, un jeune français, en mémoire à son père, part à Londres, lui aussi sur les traces de la petite sonneuse de cloches, cherchant à savoir si elle a réellement existé. Dans une déclaration d?amour à la capitale britannique, du Londres de la fin du XVIIIème siècle à celui d?aujourd?hui, Jérôme Attal n?a pas son pareil pour nous inviter à larguer les amarres. Avec son écriture toute en finesse et en élégance, il nous embarque dans cette drôle d?aventures, sur les traces De Chateaubriand. Et tel un enquêteur, nous voilà dans les bibliothèques londoniennes où l?amour peut se cacher derrière chaque porte. Voilà un joli roman, plein de fraicheur. Mais au-delà de cette intrigue amoureuse, Jérôme Attal aborde aussi d?autres thèmes essentiels comme la filiation, la transmission, et l?importance du lien charnel qui nous unit aux livres. Il écrit d?ailleurs « il s?agit d?un roman sur mon amour des livres ». Vous aussi, partez à la rencontre de « La petite sonneuse de cloches ». le nouveau roman de Jérôme Attal est publié aux éditions Robert Laffont.
![]() |
François-René de Chateaubriand
C'est une très méchante manière de raisonner que de rejeter ce qu'on ne peut comprendre.
|
![]() |
|
![]() |
François-René de Chateaubriand
On vit avec un cœur trop plein dans un monde trop vide. Et sans avoir usé de rien, on est désabusés de tout.
|
![]() |
François-René de Chateaubriand
J'aime dans le chat cette indifférence avec laquelle il passe des salons à ses gouttières natales.
|
![]() |
François-René de Chateaubriand
« L'écrivain original n'est pas celui qui n'imite personne, mais celui que personne ne peut imiter. » - Extrait de Génie du christianisme |
![]() |
François-René de Chateaubriand
Faites que la beauté reste, que la jeunesse demeure, que le cœur ne se puisse lasser et vous reproduirez le ciel. |
![]() |
Atala de François-René de Chateaubriand
Les douleurs ne sont point éternelles ; il faut tôt ou tard qu'elles finissent, parce que le cœur de l'homme est fini ; c'est une de nos grandes misères : nous ne sommes pas même capables d'être long-temps malheureux.
|
![]() |
|
![]() |
Les aventures du dernier Abencerage de François-René de Chateaubriand
On place souvent dans les tableaux quelque personnage difforme pour faire ressortir la beauté des autres : dans cette Nouvelle, j’ai voulu peindre trois hommes d’un caractère également élevé, mais ne sortant point de la nature et conservant, avec des passions, les mœurs et les préjugés mêmes de leur pays. Le caractère de la femme est aussi dessiné dans les mêmes proportions. Il faut au moins que le monde chimérique, quand on s’y transporte, nous dédommage du monde réel. (p3 - Avertissement) |
![]() |
|
En quelle année, la mère de Chateaubriand lui "infligea-t'elle la vie" ?