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Critiques de Fred Bernard (594)
La Fille du Samouraï

Magnifique album tant par ses illustrations dans un très grand format que par son histoire envoutante.... Lors d'un concours d'histoires vraies consacré aux îles de l'Orient, un jeune couple vient raconter son histoire : celle d'un jeune européen naufragé sur un île et pris sous l'aile d'un vieux guerrier aveugle. Il lui enseignera l'art du combat et acceptera son amour pour sa fille unique. Mais un jour, ils devront affronter les guerriers-démons et leurs terrifiants dragons....

Une histoire magnifiquement bien contée, un voyage au pays du Soleil Levant...
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La Fille du Samouraï

Conte ou réalité ? Un samouraï occidental, narre, sur la scène d'un théâtre, devant un jury, son histoire.

Naufragé sur une île au large du Japon, il est recueilli par un samouraï aveugle et sa fille. Il vivra paisiblement avec eux, apprendra la voie du sabre, tombera amoureux. Mais un jour, la jeune fille est enlevée par les terribles Guerriers-Dragons... Conte ? Cependant, lui et sa compagne ont le traité du samouraï tatoué sur tout le corps. Réalité ? Rajoutez à cela une musique envoutante, et les frontières sont irrémédiablement brouillées.

Encore un très bel album de ce duo. Autant un régal pour les yeux que pour l'imagination. Le lecteur ne peut trancher, et ne saura pas si Tomé dit la vérité ou non. Tant pis, il se laissera porter par le talent de conteur des auteurs et vivra dans une délicieuse indécision.
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La Fille du Samouraï

Ce livre décris une histoire dans une histoire. Certains lecteurs penserait peut-être que cet ouvrage est un conte, mais ceci est faux ça peut être une histoire vraie, mais certains croient (peut-être) que le dragon de Komodo n'existe pas, mais parce que peut-être ils ne savent pas ce que ça veut dire!
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La patience du tigre : Une aventure de Jean..

La Patience du tigre est une invitation au voyage. A la magie. Au mystère.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Rex et Moi

Une très belle histoire de dinosaures, d'amitié et de différence ! De plus de superbes illustrations.



Un jour Iggy Pick se rend compte qu'il y a des dinosaures bien plus grand que lui, il avait toujours été au sommet de la chaîne alimentaire mais la situation s'inverse. Qu'à cela ne tienne c'est un petit dinosaure courageux, malin et plein de ressources, sa faiblesse va devenir sa force.

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La patience du tigre : Une aventure de Jean..

« La patience du tigre » est le troisième volet des aventures de Jeanne Picquigny. Après "La tendresse des crocodiles" (Seuil, en 2003), où la belle aventurière partait à la recherche de son père au coeur de l’Afrique, et « L’ivresse du poulpe » (Seuil, en 2004), où elle partait à la recherche de son compagnon, Eugène Love Peacock, c’est un vieux meuble ramené de ce dernier périple à Cuba qui l’emmène sur la route des Indes.



Si l’attente depuis la dernière aventure de Jeanne fut longue, la publication de « Lily Love Peacock » (Casterman, en 2006), narrant la vie quotidienne de la petite-fille d’Eugène Love Peacock, aura contribué à faire patienter des lecteurs, qui se réjouiront d’ailleurs au passage de la réédition des deux premiers tomes de la saga en un seul volume chez Casterman.



C’est donc un « stippo », sorte d’antiquité aux multiples tiroirs secrets, qui sert de prétexte à ce nouveau voyage qui démarre en Angleterre pour finalement emmener les protagonistes sur les sommets de l’Himalaya au bout d’un périple de plus de 500 pages. Du Yorkshire, à la rencontre du père bibliophile d’Eugène, au fin fond de l’Inde, en passant par le site de Stonehenge ou la ville portuaire de Whitby, rendue célèbre par Bram Stoker, ce nouveau voyage proposé par Fred Bernard est à nouveau rempli de richesses.



Lors de cette chasse au trésor ultime, l’auteur démontre une nouvelle fois sa capacité à brosser des protagonistes d’une grande justesse, en seulement quelques cases. Le lecteur retrouve donc des personnages romanesques, mais surtout des femmes extrêmement sensuelles. Après Louise O’Murphy et Victoire Goldfrapp, lors des deux tomes précédent, c’est Pamela Baladine Riverside qui démontre que, huit ans plus tard, Fred Bernard comprend toujours aussi bien les femmes. Les autres personnages, hauts en couleurs, tels que le père Peacock, Timoty Python ou le Maharajah, ne sont évidemment pas en reste.



Outre des personnages singuliers et dotés d’une incroyable richesse, l’auteur propose des dialogues parfaitement ciselés, mêlant humour, poésie, sagesse et passion. Partageant les émotions et les sentiments de ses protagonistes avec brio, l’auteur invite surtout à partir à la découverte de contrées lointaines aux richesses abondantes. Tout au long de l’album, l’auteur prend le temps d’imprégner le lecteur de l’ambiance des Indes des années 20. Ce voyage dépaysant, mêlant aventure, psychologie, rêve et poésie, qui invite surtout à partir à la découverte de soi et des autres est, à ce titre, à classer auprès des meilleures aventures de Corto Maltèse.



Visuellement, le trait volontairement brouillon de Fred Bernard croque à nouveau les personnages et l’environnement avec une efficacité aussi redoutable qu’étonnante.
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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La Fille du Samouraï

Si j'ai craqué sur cet album et que j'ai décidé de le lire, c'est avant tout à cause de sa couverture que j'ai trouvé tout simplement magnifique. La deuxième raison en était le titre. Moi qui suis une mordue du Japon, je ne pouvais pas passer à côté d'une histoire de samouraï, fusse-t-elle des plus courtes. C'est donc avec un réel plaisir que j'ai entamé ma lecture et je dois dire qu'au final, l'adage dit vrai, il ne faut pas juger un livre à sa couverture. Je m'explique.



Tout d'abord, même si l'illustration de la couverture est superbe, j'ai trouvé que celles présentes dans l'album en lui-même, quoique très expressives et représentatives, étaient d'une moins bonne qualité, enfin, ce n'est peut-être pas le bon mot, disons qu'elles étaient de qualité inégale. Je n'ai pas toujours apprécié la technique choisie pour les dessins, en fait, ce qui m'a gênée, c'est que certains sont très beaux, précis, on sent bien le trait un peu plus appuyé, alors que d'autres sont plus "évasifs", se présentent plus sous une forme d'aquarelle qui ne définit pas réellement les traits mais les suggèrent. J'ai plus de mal dans ces cas-là. Malgré tout, les dessins arrivent à porter la poésie de l'histoire qui nous est contée, ils ont réussi à m'emporter dans un autre monde. Certains ne m'ont pas touchée, d'autres m'ont émue ou terrifiée. Passer de l'indifférence à une émotion soutenue m'a surprise, j'aurais sans doute préféré que l'intensité soit la même à chaque dessin ... Ce qui m'a surtout marqué, ce sont les dessins où l'on voit la fille du samouraï, qui ne parle pas. Son silence est démontré par le dessin avec une intensité incroyable, on ressent le poids de son regard derrière la papier glacé. Sa beauté et sa grâce sont très bien rendues, de même que son côte digne, solennel. Là, j'ai été subjuguée.



Mais, l'apparence ne faisant pas tout, il y a aussi un contenu dans cet album. Donc, parlons maintenant de l'histoire en elle-même. J'ai trouvé l'écriture très simple, facile à comprendre pour des enfants, intéressante. Mais j'ai ressenti comme une légère mollesse dans l'ensemble, c'est un peu "facile". Il s'agit d'un concours de contes orientaux auquel se présente, entre autres mais ce sont les personnages principaux, un homme et une femme, qui se présentent sur la scène vêtus de façon traditionnelle japonaise. Déjà, je n'ai pas aimé ce concept des "étrangers" qui viennent sur scène uniquement pour divertir les occidentaux, où est la majesté de l'histoire là-dedans, sa dignité ? J'ai trouvé que l'idée du concours amoindrissait sa portée, le côté spectacle lui fait perdre en profondeur, même si cela lui permet parfois de gagner en intensité avec les différents tableaux qui se succèdent. Notamment quand on imagine la musique jouée par la femme et qui suit le rythme des paroles du conteur. Le côté "mise en scène" m'a dérangée, maintenant, il est bien expliqué que c'est un concours "d'histoires vraies ou presque", bien sûr, ça laisse sous entendre que tout "ou presque" est inventé, mais je ne sais pas, j'aurais sans doute voulu pouvoir y croire un peu plus à cette histoire justement, parce qu'elle est belle.



L'homme sur la scène nous raconte son histoire, et celle de sa compagne. Ils s'appellent Tomé et Tomo. Tomé, c'est le jeune homme qui se tient face au public et déclame son histoire, Tomo, c'est la jeune femme qui reste en retrait derrière lui et qui accompagne son récit de son silence et de sa musique. Tomé va conter au public son histoire, celle du naufrage qui l'a conduit à se retrouver sur l'île de Tomo, où elle vivait seule avec son père. On apprend que ce dernier, aveugle, était un grand maître samouraï. Il va recueillir Tomé dans sa maison et lui enseigner la Voie, un code de combat, un code d'honneur, une façon de vivre, précieuse, un savoir, inestimable, qu'il va lui transmettre comme à une fils. Bien sûr, on se doute dès le départ que Tomé ne pouvait pas résister aux charmes de la fée Tomo. Très vite, ils tombent amoureux, mais une malédiction sévit dans la région qu'ils habitent. De puissants et féroces guerriers-démons, dresseurs de dragons, habitent une île pas très loin de la leur et enlèvent Tomo par vengeance contre son père qui autrefois s'est levé contre eux. S'ensuit un combat féroce pour libérer Tomo. On connaît la fin de l'histoire puisqu'elle est sur scène devant nous. C'est une histoire belle, triste, palpitante, fascinante, emplie de danger et de rebondissements, malgré ça, j'ai eu du mal à me laisser emporter par elle, à ressentir réellement quelque chose. C'est dommage parce que vraiment on sent l'histoire incroyable et captivante derrière mais, une fois encore, j'ai trouvé les mots un peu faibles ...



La scène finale quant à elle est celle qui a sans doute eu le plus de portée pour moi, c'est celle où Tomé et Tomo se dénudent pour monter aux spectateurs leurs corps recouverts de tatouages, de signes. Ces tatouages représentent la Voie véritable, celle du maître samouraï Masumi Musashi, qu'il leur a légué en héritage mais qui ne doit pas tomber entre les mauvaises mains. C'est un lourd secret qu'ils portent sur leurs corps, un héritage fort. Voilà ce que j'aurais voulu découvrir un peu plus, cette vie de samouraï, finalement, on en voit que quelques bribes, c'est suggéré mais pas approfondi. Quand le titre m'a interpellée, je me suis dit que j'allais forcément en apprendre beaucoup plus sur les samouraïs, eh bien non. On en apprend un peu, bien sûr, car à un moment donné, Tomé explique toutes les techniques et tactiques que le père de Tomo lu a enseigné, mais j'aurais voulu les voir en action. L'histoire des samouraïs est tellement fascinante, que ça m'a cruellement manqué. Maintenant, je comprends que, dans un album, on ne peut pas trop en dire, mais ça m'a vraiment laissée sur ma faim ...



En effet, c'est un album intéressant que j'ai lu, mais qui n'a pas su me passionner comme je m'y attendais. C'est une belle histoire qui nous est racontée, il y a du danger, de l'amour, des traditions, ça a beaucoup de poids sur le récit mais j'ai trouvé que ce dernier manquait de "puissance" pour réellement mettre tout ça en valeur. L'idée de départ est originale, c'est la mise en forme qui amoindrit son impact je trouve. Seules quelques illustrations ont sauvé cet album à mes yeux, mais je ne sais pas si j'en garderai un souvenir impérissable ... C'est un album qui se lit comme on regarde une pièce de théâtre, il faut se laisser entraîner sur le chemin de l'illusion, du conte lu à haute voix, s'imaginer la musique, les silences aménagés qui apportent à l'intensité de l'histoire, si on le lit juste pour le lire, la magie n'opère pas, il faut se l'imaginer vivant. J'ai déjà vu une pièce japonaise où se mêlait le conte lu et la musique, c'est envoûtant, magique. Si on s'imagine cet album comme au théâtre, ça prend tout son sens. Il faut la ressentir, entendre les cordes et les voix vibrer pour pouvoir s'imprégner de l'atmosphère du conte, sans ça, on passe à côté. Malgré tout, même en visualisant le tout de cette manière, je n'ai pas réussi à accrocher.



Pour conclure je dirai que c'est une jolie histoire pour une agréable lecture. Si vous voulez découvrir quelques miettes de la culture japonaise, c'est une petite initiation sympathique à sa grande histoire et vous serez sans doute touché par la belle histoire d'amour de Tomé et Tomo, par l'intensité de ces deux personnages qui se racontent à leur manière. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture.
Lien : http://coeurdelibraire.over-..
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La patience du tigre : Une aventure de Jean..

Avec son dessin en noir et blanc qui paraît d’une désarmante simplicité, ses beaux croquis de voyage et ses clins d’oeil à Tintin, Fred Bernard offre un long moment de lecture jouissif, et surtout de vrais instants de bonheur. Et confirme qu’il est un conteur hors pair, de ceux qui vous emmènent au bout du monde en deux coups de crayon.
Lien : http://www.bodoi.info/critiq..
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La patience du tigre : Une aventure de Jean..

Fred Bernard réalise un album qui ne manque pas de souffle romanesque. En somme : un véritable roman dessiné.
Lien : http://www.actuabd.com/La-Pa..
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La Fille du Samouraï

C'est un voyage magnifique. Cet album jeunesse est beau, l'histoire est fantastique. C'est un conte avec des dragons, des guerriers sans peurs et une musicienne féerique. La scène se joue en Europe mais le récit transporte l'auditoire en Asie, et le lecteur vit la même expérience. Belle aventure !!
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La Fille du Samouraï

Fred Bernard écrit les textes et François Roca les met superbement en images. Les illustrations sont réussies comme toujours, même si certaines ne brillent pas par leur originalité (la jeune fille qui joue de la musique dans les bois m'a furieusement fait penser à ... Blanche Neige version Disney) car le dessinateur, tout comme l'auteur, a du mal à renouveler son style.



C'est d'ailleurs l'histoire que je n'ai pas trouvé très intéressante. Il faut dire qu'elle est particulièrement tirée par les cheveux...





L'histoire est contée par Tomé Dias qui participe à un concours d'histoires vraies (où l'on retrouve des personnages des anciens livres des auteurs). Il explique comment il rencontré son épouse japonaise et comment il a perdu la main droite.





C'est là que l'auteur fait intervenir un samouraï aveugle Musashi Masumi qui vivait seul avec sa fille Tomo sur une île habitée d'eux seulement, jusqu'à ce qu'arrive un jeune homme étranger (Tomé donc), naufragé, qui par la suite va suivre les enseignements du maître, tomber amoureux de Tomo et combattre des guerriers-démons à leurs côtés.





Tout d'abord, j'ai trouvé le procédé du concours d'histoires vraies peu original et artificiel (en plus du choix des prénoms à consonance proche), tout comme le fait que le samouraï soit directement inspiré de Miyamoto Musashi (qui a vécu au 16e siècle et non au 19e siècle où se déroule l'histoire). Celui-ci est une légende qui a déjà inspiré de nombreux livres, manga et films. Il n'était pas utile de prendre encore exemple sur lui, d'autant plus que l'on explique finalement peu les préceptes de vie et de combats des samouraïs dans l'ouvrage. De même, on ne sait comment les personnages communiquent au début. On a l'impression que Tomé apprend le japonais du jour au lendemain.



Enfin, le combat final avec les guerriers-démons et leurs dragons qui ne s'avèrent être que des varans de komodo n'apporte pas grand chose à l'histoire. L'espèce n'est pas présente dans les contrées nippones, mais on n'est pas certains d'être au Japon et on n'apprend pas réellement pourquoi ils se seraient exilés si loin.





Bref j'ai trouvé l'auteur bien peu inspiré et même si on sent l'envie de raconter une belle épopée, tout comme dans les ouvrages précédents du duo, celle-ci s'avère bien fade. Quant au titre, on se demande pourquoi l'avoir choisi tant le personnage de Tomo est secondaire, Tomé étant le vrai héros de l'histoire.



Une petite déception donc de la part de ces auteurs qui ont par le passé marqué l'histoire du livre pour enfant.
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La Fille du Samouraï

Dans une langue veloutée et des illustrations à l'huile inoubliables, ce récit fantastique mêlant aventure, amour et combats est de ceux qui, à défaut d'être finement tatoués comme le corps de Tomo, impriment l'imaginaire.
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La patience du tigre : Une aventure de Jean..

Le résultat est beau : cinq cents pages de pur bonheur, entraînant le lecteur dans une avalanche d’émotions. Récit d’aventure ou fable contemplative, Jeanne Picquigny ne peut laisser indifférent.
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La Fille du Samouraï

Un bel album autour de l'histoire de deux jeunes amants, un occidental qui devint samouraï et sa bien aimée musicienne extraordinaire.
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La patience du tigre : Une aventure de Jean..

Ivre d’amour, de sexe et de culture, l’aventurière Jeanne Picquigny est l’héroïne la plus enthousiasmante de la BD française, à (re)découvrir dans « La Patience du tigre », 500 pages d’extase écrites et dessinés par l’ultra-créatif Fred Bernard.







Fred Bernard est une malle au trésor. On découvre ses albums par hasard, on s’en approche avec envie et curiosité, aimanté par l’entrelacement de corps animaux et humains qui s’offre en couverture et par ses titres-haikus : « La Tendresse des crocodiles », « L’Ivresse du poulpe » et aujourd’hui, « La Patience du tigre ». A l’intérieur, c’est l’explosion. De l’aventure, du rêve, du sexe, de l’humour et des larmes. La vie de haut en bas.



Amazone féministe née au début du XXe siècle, Jeanne Picquigny...
Lien : http://www.tessmag.com/2012/..
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Jésus Betz

Emplie d'émotion, cette lettre de l'homme-tronc à sa mère est d'une beauté dérangeante, déconcertante. Elle évoque avec gravité et simplicité la différence et le regard de l'autre. Tous les sentiments de l'âme humaine sont condensés en une superbe prose que François Roca illustre d'un réalisme triste à pleurer.
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La Fille du Samouraï

L'association de François Rocard et Fred Bernard est au mieux de sa forme. Le récit est digne d'un conte classique, riche et palpitant. Les illustrations gagnent en couleur et en détail pour nous en mettre plein les yeux ! Vivement la prochaine invitation au voyage en attendant traversons l'Asie.
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Anouketh

Ce livre nous emmène au milieu des pyramides, et pourtant on reste dans des préoccupations d'enfants d'aujourd'hui ! Chaque proposition des amis d'Anouketh se place dans le quotidien entre l'école et la famille.

La petite touche humoristique de cette histoire, ce sont les interventions des fourmis qui suivent le groupe d'amis. L'une d'entre elle, particulièrement bavarde, commente sans cesse les paroles des mini-dieux et d'Anouketh, pour le plus grand agacement de ses congénères.

Du côté des illustrations, on retrouve le trait tout en rondeur de François Roca. Sur des pages hautes d'environ 35 cm, ses peintures créent un magnifique décor dans lequel on plonge avec un immense plaisir. Sous le soleil égyptien, on découvre toutes les caractéristiques de cette époque : les dieux, les momies, les pyramides, les animaux et bien d'autres choses...
Lien : http://litterature-jeunesse...
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L'Homme Bonsaï

Après avoir parlé de l’album illustré par François Roca pour la jeunesse, j’étais curieuse de découvrir la BD dessinée par l’auteur du texte Fred Bernard et adressée aux adultes.



Le Capitaine O’Murphy raconte sa rencontre avec l’homme Bonsaï, anciennement Amédée le potier, devenu pirate puis corsaire.



Le texte est toujours aussi captivant, plus coupé que la version illustrée. Cela dit cela reste normale pour une bande dessinée ; mais cela change complètement le ton de l’histoire. On passe d’une histoire à l’autre, du récit d’O'Murphy à celui d’Amédée, et ce sans aucun problème. Les illustrations m’ont aussi beaucoup plu, d’autant plus que ce ne doit pas être facile de passer de l’écriture aux dessins.
Lien : http://boumabib.fr/2010/05/2..
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Uma, la petite déesse

Cet album est un petit chef-d’œuvre. François Roca raconte lui-même une histoire dans l’histoire de Fred Bernard.

J’ai été frappé par les expressions des visages qui sont facilement déchiffrables de par la finesse des dessins. L’utilisation des couleurs est sensationnelle. Les scènes de batailles sont dans les tons rouges et marrons correspondant à leur côté sanguin, l’atmosphère semble saturé. Au contraire, les scènes de la fuite d’Uma prennent des teintes bleues et vertes (celui de la jungle), le ciel est omniprésent donnant une sensation de liberté et de prospérité (notamment celle d’Uma volant sur le dos d’un aigle).

La magie des couleurs donne vie aux situations et aux personnages créés par les deux comparses...
Lien : http://boumabib.fr/2010/04/0..
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