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Critiques de Fred Vargas (4018)
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Ceux qui vont mourir te saluent

Relecture de ce roman suite à la sortie de Sur la dalle. Rien à voir bien sûr mais le plaisir de lire cette auteure avec des personnages très particuliers, un humour, un univers. On lit Vargas pour l'histoire certes mais également pour son univers si particulier. En tout cas moi, c'est ce qui me plaît chez elle.

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Ceux qui vont mourir te saluent

Ce n'est pas du grand Fred Vargas. On voit bien que c'est l'un de ses premiers romans policiers. Malgré tout, c'est très bien écrit.



Valence est attachant mais pas autant qu'Adamsberg.



Dans ce triumvirat surprenant, c'est vraiment Tibère le plus intéressant.

Il aurait peut-être été bien d'avoir plus de moments focalisés sur Néron mais bon, c'était tout de même amusant.
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Ceux qui vont mourir te saluent

isbn:9782286003166
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Ceux qui vont mourir te saluent

La plume de Fred Vargas est vraiment très amusante, et ses personnages toujours hauts en couleurs!

Le parallèle avec les empereurs romains tout du long a su me faire rire, mais, même si l’enquête m’a semblé intéressante, l’intrigue ne m’a pas particulièrement conquise.



En conclusion, j’en aurais attendu plus, mais c’est un bon moment passé aux côtés de ce triumvirat détonant que forment Néron, Tibère et Claude !
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Ceux qui vont mourir te saluent

Je retrouve avec plaisir et pour la seconde fois Fred Vargas. Elle a un style particulier que j'ai du mal à définir. C'est déconcertant. Est-ce parce qu'elle accorde un intérêt supérieur aux relations et interactions entre les personnages plus qu'à l'énigme elle-même ? Son style est sobre sans sophistication. Elle va droit au but.

Dans ce roman, les protagonistes évoluent à Rome et au Vatican suite au meurtre par empoisonnement de Henri Valhubert, une pointure en art. C'est un griffonnage de Michel-Ange qui le propulse à Rome et vers sa mort. Est-ce vraiment la seule raison ? Sa femme se rend souvent à Rome. Elle y est née et a grandi auprès de Lorenzo Vitelli, devenu évêque. Sa fille cachée, Gabriella fait ses études sous la garde de Monseigneur Vitelli, un prêtre secret et possédant des valeurs pas toujours honorables. C'est au palais Farnèse, lors d'une fête que le drame survient. Sont présents à cette soirée, Claude, le fils et ses deux acolytes Tibère et Néron, tous étudiants. Le frère de Valhubert, ministre français veut étouffer l'affaire et expédie sur place Richard Valence qui refuse une première fois. Dans le passé, il a eu une histoire avec Laura, la veuve. L'inspecteur Ruggieri est chargé de l'enquête. Tout ce petit monde est à la manœuvre, dans un huis clos de quelques rues et de bibliothèques dans la capitale romaine où la moiteur excite les sens.
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Ceux qui vont mourir te saluent

Je retrouve avec beaucoup de plaisir le style de Fred Vargas, porté par des personnages toujours aussi décalés et une sorte d’éloge de la lenteur. Pourtant, il y a bien des meurtres, des flics et des assassins, mais ils jouent ensemble un ballet qui relève plus de l’esthétique que de l’enquête policière. Ce drame noir, joué dans le décor de la ville éternelle, rassemble des personnages attachants et les lie dans une belle prose poétique. Fred Vargas ne propose pas de surenchère d’hémoglobine, d’intrigues trop alambiquées ou de psychopathes incroyables mais juste de l’amour qui tourne mal.



L’apparition d’un dessin inédit de Michel-Ange met en émoi Henri Valhubert, un célèbre collectionneur de Paris et proche des pouvoirs politiques. Quelques jours plus tard, ce dernier est retrouvé assassiné, par empoisonnement, à Rome. Les soupçons de la police italienne se portent rapidement sur son fils, Claude, présent sur les lieux du crime. Mais l’enquête met concomitamment à jour les liens, peu communs, entre Claude, ses deux amis se faisant appelés Néron et Tibère, son envoûtante belle-mère et un évêque.



L’écriture de Fred Vargas est toujours aussi apaisante, une douceur pour l’esprit. Quant à l’histoire, les liens s’allongent, forment des nœuds qui se défont petit à petit ou se resserrent autour des protagonistes. Tous les personnages de Fred Vargas sont étranges, leurs réactions sont décalées sauf celles de l’assassin… Fred Vargas est décidément une enchanteresse du roman policier français.

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Ceux qui vont mourir te saluent

Pas sûr que si j'avais commencé Fred Vargas par ce livre j'aurais poursuivi et découvert une auteure intelligente et divertissante.

Les personnages n'ont pas beaucoup d'épaisseur, on est plus dans le dire, sans le montrer. On dit qu'il est intelligent ou différent mais sans donner des éléments pour le (dé-)montrer. Ce que je trouve bien trop facile.

Par quelques petites touches, on peut percevoir ce que donner la littérature et le style de Fred Vargas dans ses autres opus, et notamment dans la saga Adamsberg. Ce livre-ci est plus court que la plupart des autres, moins fouillé, moins touffu, plus sec. Moins agréable, somme toute.

Bref, si vous commencez Vargas par ce Ceux qui vont..., dites-vous que vous avez largement mieux à croquer par la suite. Et pour ceux qui ont déjà (beaucoup) lu Vargas, vous serez probablement comme moi plutôt déçu et en même temps capables de voir les germes vargassiens (et non encore les gemmes) dans ces pages.
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Ceux qui vont mourir te saluent

Premier livre de Fred Vargas que je lis, sur les conseils d'à peu près tout le monde, famille, ami.e.s etc.

Je n'ai pas du tout été déçue par cette autrice qui m'a happée grâce à son écriture que j'ai trouvé très immersive. Elle transmet bien le caractère de chacun de ses personnages par les mots qu'elle leur fait employer ou même sa façon de les décrire et cette facilité à se glisser dans son univers fait que ce livre est simple à lire (dans le sens où on ne rebute pas à avoir le point de vue d'untel, pas dans le sens où l'intrigue est attendue).

D'ailleurs, l'intrigue en elle-même est bien ficelée (qui je suis pour juger ça?), il n'y a pas de superflu, les faits sont clairs, les suspects nombreux et les deux retournements de situation tout à fait inattendus.

En plus je me suis attachée au trio des empereurs (et les livres avec des personnages attachants sont les meilleurs tout le monde le sait).

Ce lire m'a donc donné très envie de découvrir les prochains, ce que je vais m'empresser de faire !
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Ceux qui vont mourir te saluent

Ces derniers temps, je relis mes coups de coeurs de jeunesse, lus en général entre 2000 et 2010. J'ai relus les Harry Potter le mois dernier, et à la sortie de « Sur la Dalle », c'était l'occasion de replonger chez Fred Vargas.

"Ceux qui vont mourir te saluent" m'a enchantée a 20 ans. J'avais aimé la poésie des mots, j'avais aimé le contraste entre la brutalité du polar et l'humanité tendre des personnages, j'avais adoré cette lumière enchantée qui pleut sur l'histoire et rend tout beau et lumineux. Il me semblait qu'en lisant ce livre (et tous les Vargas, en réalité) on lisait le monde a travers une lentille colorée de douceur exquise, une poésie tranquille, qui fait s'arrêter devant les choses les plus triviales ou ordinaires et les trouver belles à pleurer. Ce triumvirat pathétique et magnifique, cette vieille histoire d'amour tragique qui se réchauffe, les descriptions exaltées de Laura, perchée sur son piédestal de Femme Éternelle au profil si pur qu'il ferait pleurer des pierres… Je voulais voir la vie en Fred Vargas.

Alors bon, je dois être devenue aigrie, dure et revêche avec l'âge. Rien à dire sur l'écriture en elle-même, le style est beau, les décors bien plantés et bien utilisés et les dialogues sont bien faits, même ils ont un je ne sais quoi de vieillot dans l'expression. En même temps, cela a été écrit en 1987, on pardonne les expressions désuètes. L'enquête en elle-même est toujours simple mais prenante (je précise que je ne suis pas une grande lectrice de polars, un rien me suffit).

Mais je me rend compte qu'avec l'âge et l'expérience, je n'arrive tout simplement plus à lire a travers la lentille tendre et poétique de Vargas, d'autant qu'elle a pris un vrai coup de vieux. Rien que cette vision de la « Femme Éternelle» m'a fait tant rouler des yeux que je me suis sans doute froissé le nerf optique. La « Fâââmme » ultime, si gracieuse qu'elle trouble les inspecteurs rien qu'en respirant et enchaine, à ses pieds et bien malgré elle, de beaux jeunes hommes exceptionnels, qui Voient sa Beauuuté, car leur Yeux sont Dessillés, et au-dessus des basses considérations des Imbééééciles qui ne comprennent rien à la Grâââce de… Raaaaah, mais c'est fini, oui ?! Elle est belle, les hommes qui la croisent veulent coucher avec, et malheureusement dans la vraie vie, personne ne révère aucune femme telle une sorte de Déesse éthérée flottant au-dessus des égouts de la vie sous prétexte qu'elle a un profil gracieux et l'arc du nez tendu quand elle pleure (ça veut dire quoi de toute façon, l'arc du nez qui se tend ? les humains, quand ils pleurent, ils ont les yeux qui gonflent et le nez qui coule, pas l'arc du nez qui se tend. Ça se tend pas, un arc du nez, y'a pas d'articulation !!)

Et ces héros, là, qui d'un coup d'oeil mesurent, jugent et décryptent n'importe quel type avec une lucidité terrible et déduisent qui est un con et qui est un empereur… La scène ou Tibère enlève ses chaussures pour être « biblique » (que j'avais adoré à ma dernière lecture) n'a aucun sens, ce n'est qu'un habillage caricatural et hyperbolique qui vise a nous faire comprendre que Tibère survole notre petite vie laide et rangée, car il est Exceptionnel, avec ses bras croisés et son sourire tranquille face à son arrestation, qu'il affronte avec le calme glacé d'un Galdiateur prêt à... Nouveau roulage d'yeux.

Bref, a 20 ans, je trouvais que Vargas habillait les Hommes et la Vie de délicatesse exquise et de beauté touchante. A presque 40, j'ai l'impression d'avoir mangé un dessert roulé dans du miel, du sirop d'érable et beaucoup de paillettes. C'est trop, ça passe mal, on sait que c'est artificiel, et en réalité, il faudrait vraiment laisser ce roman aux adolescents du coeur qui ont encore suffisamment la foi pour se laisser entrainer sans lever les yeux au ciel toutes les deux minutes. Je dois être bien trop blasée. J'ai un peu peur que les romans suivants me fassent le même effet. J'enchaine avec les Évangélistes, dont j'étais fanatique, et j'angoisse.

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Ceux qui vont mourir te saluent

Après la déception de « Sur la dalle », j'avais envie de retrouver un bon vieux Vargas.

"Ceux qui vont mourir te saluent" date de 1994 et j'avais dû le lire à sa sortie, autant dire que je ne m'en souvenais absolument pas, sauf vaguement le contexte romain...



Trois amis, rebaptisés Néron, Tiburce et Claude, sont étudiants à Rome, unis comme les doigts de la main, pour étudier mais surtout pour sortir et profiter de la vie nocturne romaine.

Le père de Claude est expert en art à Paris, et fait un voyage express à Rome pour enquêter sur un mystérieux dessin original de Michel-Ange qui pourrait avoir été volé à la Bibliothèque Vaticane.

Dans la dite-bibliothèque, travaille son ami, l'évêque..., qui est aussi un ami d'enfance de sa femme et qui veille sur les trois jeunes étudiants.

Et j'allais oublier l'envoyé du gouvernement français, chargé d'enquêter tout en étouffant les frasques des trois jeunes...

Le trio amitié / meurtre / Vatican se met en place et va se déployer tout en fantaisie pour notre plus grand plaisir.



Là je retrouve ce qui a fait connaître Fred Vargas, un contexte artistique et historique, un religieux iconoclaste, un humour grinçant, des dialogues savoureux, et des personnages originaux, attachants et provocateurs.

A lire ou même relire pour une bouffée de plaisir et de fantaisie, je pense d'ailleurs relire un ou deux romans dans la série des "Evangélistes" (que l'on a un peu oubliés au profit d'Adamsberg ensuite...)



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Ceux qui vont mourir te saluent

Fred Vargas - 1994



Henri Valhubert, est assassiné à Rome, un soir de fête, au milieu de la foule. Immédiatement, les soupçons se portent sur son fils Claude et ses deux amis, qui portent également des surnoms d'empereurs : Néron et Tibère. Ces derniers ont par ailleurs une relation ambiguë avec la veuve de la victime.



Le frère de la victime, ministre français, envoie alors l'inspecteur Valence mener l'enquête à Rome afin de découvrir la vérité, pour mieux la cacher si cela s'avérait nécessaire.



J'avais lu, il y a quelques années, un autre roman qui ne m'avait pas spécialement plu. Ici, même si la partie "enquête" est plutôt superflue, je suis vraiment entrée dans l'histoire et j'ai eu du mal à lâcher le livre avant de le finir.



Je retenterai donc un autre roman de cette autrice.



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Ceux qui vont mourir te saluent

Une enquête qui ne m'a pas particulièrement transportée, pourtant se déroulant dans un Pays que j'adore, l'Italie !



Les trois amis, Claude, Tibère et Néron, partent faire la fête à Rome, lorsque le père du premier protagoniste meurt empoisonné parmi la foule.

Celui-ci étant venu au Vatican suite à une suspicion de vol d'un Michel-Ange dans les archives de la Bibliothèque Vaticane.

L'Inspecteur Ruggieri devra collaborer avec le français Richard Valence pour découvrir le pot aux roses dans cette chrétienté italienne, sous les ordres de l'Evêque Lorenzo Vitelli.

Laura Valhubert, l'épouse du défunt, mettra un peu de gaieté féminine parmi cette gente masculine, qui sera totalement épris d'elle.



Quelque chose m'a un peu déplu, la plume de l'auteure ou l'enquête elle-même, je ne saurais trop dire, manque d'évènements ou d'émotions.

Ce n'était pas la plus horrible lecture, mais pas non plus la meilleure, vite lue, vite oubliée.



CHALLENGE SOLIDAIRE 2024
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Ceux qui vont mourir te saluent

Pour une première lecture de Fred Vargas, réalisée dans le cadre du Challenge Solidaire 2024, je n'ai peut-être pas fait le meilleur choix… ce roman étant un des premiers de l’autrice.



Toujours est-il que cette courte enquête ne m’a pas vraiment passionnée.



Nous voilà à Rome, avec un mort par empoisonnement, sur fond de probable trafic d’œuvres d’art issues des archives du Vatican.

Ajoutez à cela un trio d’étudiants ( Claude, Tibère et Néron) pour le moins déjantés et qui jouent aux empereurs, un évêque un peu particulier, deux énigmatiques jolies femmes, un inspecteur de police italien un peu rapide à tirer ses conclusions (vous aussi, vous trouvez ça cliché ?), et un envoyé spécial au charisme très spécial aussi, appelé à mener sa contre-enquête.



Faîtes chauffer le tout et vous obtenez un plat de spaghettis un peu trop cuits, à détricoter en 190 pages.



C’est d’ailleurs la seule chose qui aurait pu réellement m’évoquer l’Italie, les spaghettis, car je suis restée sur ma faim en terme d’ambiance et d’immersion. Cette histoire aurait pu se dérouler quasiment n’importe où, je n’aurais pas vu de différence. Il m’a vraiment manqué des descriptions de lieux, de senteurs, de bruits… tous ces petits détails de vie qui font que l’on se fond dans un décor, qu’on le hume et qu’on s’en imprègne. Là, je ne me suis pas immergée, je ne me suis retrouvée ni à Rome, ni au Vatican.



La seule chose que j’ai bien ressentie, c’est cette sorte de malaise poisseux au contact de l’étrangeté des personnages, dont aucun n’a d’ailleurs réussi à attirer ma sympathie. Tout le reste était factuel, froid, lent, comme désincarné.



Et si je salue l’humour caustique, truffé de références à l’histoire antique, entourant nos trois jeunes «empereurs », j’ai eu beaucoup plus de mal à adhérer au trop plein d’originalité, flirtant même avec la schizophrénie, qui les concernait. C’était carrément trop loufoque pour moi.



Et puis si vous me connaissez, vous savez que sans un minimum d’affect et d’émotions, je suis bien difficile à appâter. Malheureusement, avec ce roman, je suis restée de marbre et quasi insensible au sort des personnages…



Même l’enquête, si on peut l’appeler ainsi, a eu du mal à me tenir en haleine. J’aurais pu me satisfaire du manque d’action, mais le suspense et la tension psychologiques n’étaient pas non plus au rendez-vous.

Sans compter que les soupçons que j’avais eus dès le début s’étant révélés exacts… je n’ai même pas été surprise par l’épilogue.



Bref, n'étant pas grande lectrice de polars, je pense tout simplement ne pas avoir été la bonne cible pour ce roman, qui ravira sans aucun doute bien des adeptes du genre.

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Ceux qui vont mourir te saluent

Je n'avais pas lu, pour des raisons strictement personnelles, de romans de Fred Vargas depuis 2017. Pour le défi solidaire, je me suis replongée dans celui-ci, que j'avais lu il y a fort longtemps, et dont je ne gardais pas un très grand souvenir.

Je le dis d'entrée de jeu, je n'ai pas vraiment apprécié cette lecture, parce que certains personnages me sont sortis par les yeux (je ne suis pas gentille, je le sais). Les trois empereurs, enfin, les trois amis qui se sont donnés des noms d'empereurs ? Je n'ai que très modérément apprécié ces dilettantes. Laura, la femme fatale ? Elle est plutôt la femme victime de préjugés d'un autre temps (c'est en lisant une réflexion à son égard que j'ai vérifié la date de publication). L'enquêteur officieux, Richard Valence ? Il m'a semblé très stéréotypé. L'intrigue ? Non, je ne me suis pas doutée du dénouement, peut-être aussi parce que l'intrigue ne m'a pas intéressée plus que cela.

Pas le meilleur roman de Fred Vargas à mes yeux, mais cela n'engage que moi.
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Commissaire Adamsberg - Nouvelles, tome 2 :..

C'est un livre très court (40 minutes et 2 chapitres). J'ai lu beaucoup de livre de Fred Vargas mais j'avais oublié le commissaire Adamsberg. J'aime toujours le style de l'autrice et les personnages. Le commissaire part du principe que la nuit de Noël est la nuit des brutes. Les gens veulent divorcer, s'engueulent, picolent et... tuent. Un cadavre est retrouvé le 27 décembre et seul Adamsberg est persuadé que c'est un meurtre et non un suicide mais c'est compliqué à prouver. Il va recevoir une aide atypique et assez drôle dans cette histoire. J'ai beaucoup souri, j'ai trouvé que l'histoire était très très bien lue, j'avais l'impression d'être juste à côté du commissaire. Un très bon moment d'écoute.
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Coule la Seine

Un régal.


Ces 3 nouvelles sont un concentré de fred vargas.


Un policier ressemblant à un caméléon : donnant du temps au temps, entièrement intégré dans son univers, apparemment impassible mais d'une extrème vivacité au passage de chaque proie qu'il ne manque jamais.
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Coule la Seine

Après une telle lecture (La nuit des brutes) il m'est devenu difficile de me souvenir sans hésitation où sont les sources de la Seine et de la Loire.
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Coule la Seine

3 nouvelles très courtes... trop courtes bien sur!!!

Je suis tout de même un peu dubitative, pas certaine que le format court de la nouvelle serve vraiment au mieux les énigmes et les personnages alambiqués de Vargas...
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Coule la Seine

Ah ! Des nouvelles de Vargas : je ne connaissais pas et je ne regrette pas ! (la suite sur le lien !)
Lien : http://www.karine-carville.c..
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Coule la Seine

Trois nouvelles pour le prix d'un roman!



Quand c'est du Fred Vargas on peut s'attendre à tout, mais surtout au meilleur.



Toujours la même ambiance, les mêmes personnages qu'on a plaisir à retrouver. L'image d'un Paris que je ne connais pas, d'une époque. La notre. Peut-être.



C'est bon de s'y replonger, d'y penser quelques heures, guidés par le commissaire Adamsberg.
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