Frédéric Marcou

Un recueil de nouvelles très courtes : 5 sur 27 pages.

C'est vraiment court. Trop pour moi. On peut juste dire une chose l'auteur va a l'essentiel sans fioritures.



On se trouve dans un univers fantastique assez noir, mais très juste dans son contenu. L'écriture de l'auteur est agréable et assez poétique. Mais moi, qui aime le fantastique , je pense qu'il a besoin de plus de substance pour être réellement apprécié et mis en valeur.



Je ne rejoins pas l'auteur quand il dit que la nouvelle est destinée aux adolescents.. oui elle peut l'être mais je pense que pour bien vivre un roman l'ados, comme l'adulte a besoin de se l'approprier et donc a besoin qu'on étoffe son contenu.



Je pourrais je pense apprécier le travail de l'auteur sur un vrai roman, plutôt que sur des histoires trop courtes pour être réellement appréciées.

À chaque livre de Frédéric Marcou, je retrouve tout son univers, tour-à-tour sérieux, léger, fantasque, plein d'humour, d'amour et de rêveries.

Nous voici face à cinq nouvelles où l'auteur est au mieux de sa forme avec Voyage au pays de l'envie.

Dans "Il ne vous reste plus qu'à signer", la spiritualité bouddhiste est mise à mal, c'est le matérialisme contre le lâcher-prise. Quelle bonne idée de la part de Frédéric Marcou de faire rechercher sa nouvelle incarnation par moines bouddhistes "chasseurs d'incarnations". Avec une fin qui laisse songeur , et si...

"Damnation" est beaucoup plus complexe. Ce pourrait être une allégorie de la vie, avec cet homme qui pousse son chariot , se demande pourquoi il est là et qui fatigué emprunte la sortie de secours. Quand je lisais cet nouvelle, je ne pouvais m'empêcher de penser aux clochards qui poussent des chariots avec toute leur vie à l'intérieur. Venir au monde et vivre, tient parfois plus de la traversée de l'enfer que d'une île paradisiaque.

Serions-nous des damnés ? N'est-ce pas une tâche insurmontable que de chercher à comprendre pourquoi nous sommes là ?

Avec "Préambule" l'homme s'allège par petits bouts jusqu'à ce qu'il ne reste que l'essentiel, exit les souvenirs, les regrets, les remords ... On a l'impression qu'il va décoller, voler mais que nenni.

Je vous ai parlé de mes nouvelles préférées mais il en reste deux autres qui donnent à réfléchir aussi et que vous devriez lire. Le seul défaut de ce recueil tient au nouvelles trop courtes car les idées de Frédéric Marcou sont inattendues tout comme les chutes de ses nouvelles. Merci pour ce bon moment grâce à votre SP.

Malgré un temps froid et maussade, des nouvelles inquiétantes (8ème jour de confinement) Frédéric Marcou a su me faire sourire et me remonter le moral avec son SP "Les fragrances magiques".

Certains prennent la vie avec philosophie, Frédéric Marcou la prend avec poésie. C'est inné chez lui. Tout n'est que prose, rime, sonnets. Quel que soit le sujet, sa plume magique transforme un quotidien pas toujours drôle avec ses idées étonnantes, farfelues, tendres. Et puis, il y a ses variations sur un même thème avec des poèmes vivants qui se transforment, se cherchent. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est ce parti-pris de l'auteur qui profite de sa prose pour nous confier ses états d'âmes, son souhait d'être reconnu, ses doutes quand à sa prose mais aussi ses souffrances, sa vision critique d'un monde où il est difficile d'être soi-même.

Et pour finir, je lui laisse la parole pour ces quelques mots pleins d'une profonde signification par les temps qui courent :

"Les poètes de toute obédience

Lancent à tous des mots d'espérance"

Merci à vous pour ce don précieux.



Challenge POÉVIE : la poésie c'est la vie (2020-2021)

Attention ! Pluie de bonne humeur, d'humour et d'amour.

Frédéric Marcou nous entraîne à travers ses histoires d'amour vers cette universalité des sentiments que nous portons tous en nous et c'est émouvant.

Les rêveries nous emmènent dans son univers c'est un leitmotiv, propice à notre propre rêverie, nous sortons du texte. Je suis parti en méditation mais contrairement à Frédéric ce ne sont ni e réveil, ni le téléphone mais le chien qui a aboyé et je suis retombée sur terre.

Et puis toujours ces mots crées de toute pièce par l'auteur, petits mots surprenants, amusants, presque des mots d'enfants.

Lire le recueil de poèmes et de rêveries c'est s'accorder un moment de grâce , c'est se faire du bien. de plus même votre porte-monnaie ou votre banquier ne se plaindront pas car ses recueils sont à des prix tout à fait abordable, alors n'hésitez pas.

Et encore merci à Frédéric Marcou pour ce SP.

Avec "Le rêve du poète" Frédéric Marcou nous montre une autre facette de sa personnalité puisque ce recueil est illustré par certaines de ses photographies car il est aussi photographe amateur. Il commence sur une confidence :

"Enfin, malgré les problèmes évoqués, je voudrais terminer sur une note agréable : c'est mon septième livre, cela fait dix-huit ans que j'écris et j'aime toujours autant ça... je vous livre ici un travail d'artiste, comme un acte de liberté..."

C'est un album très intime où Frédréric Marcou nous dévoile ses doutes, ses interrogations, sa culpabilité vis-à-vis de ceux qu'il aime, son désir de reconnaissance et par-dessus tout ce besoin d'écrire.

En fait, il nous livre un recueil d'une grande sensibilité, d'une grande honnêteté peut-être un peu plus sombre dont je me suis sentie très proche car les affres de la création m'ont parfois assaillis. Un ouvrage que je recommande à tous.

Merci Frédéric Marcou pour ce SP.



Challenge Poévie : La POÉSIE c'est la VIE ( 2020/2021)

Je remercie Frédéric Marcou pour sa confiance toujours renouvelée.

Pages après pages, j’ai suivi la progression des recueils de Frédéric Marcou, ils sont au nombre de huit.

Morceaux choisis est le recueil de la maturité, moins léger, plus concerné par les problèmes du moment : écologie, futur, politique… Avec toujours en arrière plan, le sens de la vie.

Ce questionnement sur l’écriture, la poésie est-ce justifié d’écrire, de rêver, de méditer quand le monde s’agite frénétiquement, court inlassablement après le temps, doit-on se sentir « coupable » d’être différent ?

Et à chaque fois il réussit à partager ses sentiments, ses doutes, ses préoccupations. Il y a toujours des poèmes qui interpellent suivant notre humeur, notre vécu. Et puis Frédéric Marcou est honnête, pas de faux-semblants, il ne se cache pas et c’est ce qui le rend particulier.

Illusions et désillusions, vers quel avenir allons-nous ? Et surtout la place du poète, la sienne :

«Je rêvasse

Pendant que les autres poncent, rabotent, taillent

Je laisse mon esprit libre

De toute entrave

C’est peut-être cela être artiste»

J’ai envie de dire certainement et surtout continuez pour notre plus grand bonheur.

Merci pour ce service presse via Simplement pro.

Si Charles Trenet chantait soir et matin, Frédéric Marcou, lui, écrit tout au long de l'année. C'est un excellent guitariste qui sait jouer avec la corde sensible de son public.

Comme d'habitude Frédéric Marcou pense avec beaucoup de bon sens et d'anti-conformisme ce qui n'est pas pour me déplaire. À chaque recueil des poèmes pour sa femme, cette fée qui enchante sa vie. Puis un clin d'œil sur notre société et ses petits travers. Beaucoup de tendresse et d'humour avec Pauvre toutou où certains pourraient se reconnaître. Frédéric nous emmène au gré des saisons avec l'automne et ses fantômes, l'hiver et la neige. Bien évidemment, L'année poétique ne serait pas complète si Frédéric ne nous dévoilait pas quelques facettes du poète qu'il est.Ce qui est sûr c'est que certains de ses poèmes me vont comme des gants et je pense que je ne suis pas la seule lectrice à penser ainsi. Un auteur qui me donne des ailes, me transmet sa fantaisie et me fait réfléchir avec cette superbe pensée :

Paix, amour, écoute et compassion.

Dernièrement j'ai commenté Morceaux choisis et Frédéric Marcou m'a rappelé (la honte !) que j'avais oublié Bienvenue dans le monde réel. du coup, petit plongeon au fond de ma PAL, relecture et voici mon 9ème recueil de l'auteur enfin chroniqué.

Le secret pour apprécier Frédéric Marcou c'est qu'il se lit avec le coeur.

Cet opus est un témoignage plein d'émotions, très intime, sur le mal dont souffre Frédéric, on y trouve aussi ce qui lui permet d'aller mieux : écriture, poésie, méditation, etc…

Nous commençons avec quelques inventions loufoques du professeur Fred.

La seconde partie, nous raconte son enfance, et ce père personnage toxique au possible qui lui a volé son âme comme il l'explique si bien. Une enfance volée, une vie gâchée et un lent cheminement vers la liberté.

C'est aussi un plaidoyer pour ne plus détourner le regard. Je connais une personne atteinte de schizophrénie et j'ai retrouvé son histoire, mêmes manques et mêmes besoins. C'est un recueil à lire en tant que témoignage mais aussi pour l'espoir qu'il apporte.

N'étant pas très douée pour parler de sujets délicats comme celui-ci. Je laisse la parole à Frédéric

« Il y a environ 600 000 personnes schizophrènes en France. Pour moi elles sont toutes victimes des mêmes symptômes, l'absence de secours dans la détresse psychique. Ce sont des personnes qu'il faut entourer ; or on les méprise et on les écarte de la société, ce qui crée d'autres psychoses et donc d'autres malades. le processus ne s'arrêtera pas tant que la société ne changera pas en profondeur.

Je vais vous laisser un peu méditer sur cela. »

L'essentiel c'est un recueil tout simple qui vous touche en plein coeur. Frédéric Marcou nous offre la compilation de dix années de sa vie avec ses joies et ses moments sombres mais l'auteur à le sens du bonheur, même si ça n'est pas toujours facile.

La magie et la beauté surgissent de situations simples mais il y a souvent de la malice, de l'humour. L'auteur nous dévoile son mal-être face à une société qui manque souvent d'humanité.Les poésies sont lumineuses, après viennent les fameuses invention du professeur Fred qui pourrait faire du bien à tant de monde mais qu'il n'exploite pas car elle pourraient être mal utilisées. Viennent ensuite trois nouvelles assez surprenantes.

L'essentiel est un excellent recueil qui nous permet de découvrir l'univers de Frédéric Marcou avec des mots pour exorciser la douleur, des mots pour apaiser les maux et des mots d'amour car la plus belle des revanches quand la vie ne fait pas de cadeaux est de continuer d'aimer.

Merci à Frédéric Marcou pour ce SP riche en émotions.

Et c’est déjà le huitième recueil de Frédéric Marcou qui s’achève. Cette fois-ci avec «Un monde d’ailleurs » ce sont des nouvelles et un sujet qui l’interpelle : sa légitimité en tant qu’auteur.

Être écrivain et être considéré comme tel par ses proches, assumer une vie difficile car il n’y a plus de mécénat et pourtant écrire est un besoin vital.

Si les recueils de poésie de Frédéric sont frais, légers, viennent du cœur, sont parfois des clins d’œil à notre société. Ce nouveau recueil est plus sombre mais les temps ne sont éprouvants et la sensibilité de l’auteur s’en ressent (mais ce n’est que mon avis).

Ces nouvelles sur différents thèmes : Écrivain, Fantaisie, Médical, Une part scientifique sont très agréable à lire. L’astral, les fantômes, la réincarnation, des chiens venus d’ailleurs, la survie de l’humanité… et bien plus chacun peut y trouver son bonheur.

Dans ce recueil Frédéric nous donne des explications sur ces différents textes. J’ai bien aimé cette proximité avec l’auteur et son travail car s’en est un. Et pas le plus simple !

Merci Frédéric pour ce SP via Simplement

Dans ce recueil, Frédéric Marcou, auteur isarien, natif de Noyon, cette ville où Charlemagne a été couronné roi des Francs, nous propose cinq nouvelles fantastiques, teintées de science-fiction comme il les définit lui-même. Comme le titre le laisse entendre, il nous emmène en voyage, aux pays des songes, des enfers, en spiritualité ou encore visiter une autre planète.



Les nouvelles sorties de l’imagination de l’auteur, parfois inspiré par ses propres rêves, sont plutôt très courtes, ce qui parfois nous laisse un peu sur notre faim.



Dans la première, « Il ne vous reste plus qu’à signer », le sujet principal est la réincarnation vue par les bouddhistes, dans la suivante, « Damnation », que j’ai beaucoup apprécié, j’y ai vu notre condamnation à une vie de labeur où nous sommes achetés par quelques plaisirs confortables. Ensuite, dans « Rêve impromptu », il nous fait découvrir une planète, « État policier » où la magie est interdite, mais où la douce folie de certain, illumine un peu les âmes. Dans « Homo sapiens sapiens neandertalis », Frédéric Marcou nous offre un texte aux notes scientifiques et enfin dans « Une autre forme de mort », il nous dresse un tableau de la mort avec une scène que l’on pourrait imaginer être vécue par Ray Garraty dans Marche ou Crève de Stephen King.



L’auteur nous raconte également dans son avant-propos, le cheminement de la création de ce recueil de nouvelles, nous rappelant ses inspirations de lectures adolescentes. Je trouve ce texte intéressant car, il permet de se questionner sur notre rapport aux nouvelles, qui pour moi ne sont et ne doivent pas être qu’un genre destiné aux jeunes lecteurs. La nouvelle est comme pour les autres formes de littérature accessible à tous avec des styles et des genres différents. Il suffit d’ailleurs de lire « Voyage au pays de l’envie » pour s’en rendre compte.

Les fragrances magiques de Frédéric Marcou m'ont été gentiment proposées à la lecture par l'auteur, je tiens à le remercier pour sa générosité coutumière.

Difficile une fois de plus de donner un ressenti en poésie, je ne suis pas experte loin de là mais ici je dois reconnaitre que je suis restée spectatrice et hors champ . Les textes ont du sens , veulent faire passer des messages divers et variés et si pour beaucoup j'en approuve le contenu je n'ai pas pour autant été sensible à leur musicalité . Peut m'importe à moi néophyte que cela se dise sonnet ou non, je suis à la recherche d'un texte qui me séduise sans rimes ni raison et là cela n'a pas été le cas. Il me semble derrière tous ces mots entre- apercevoir l'effort et le travail consacrés à l'écriture , j'en tiens compte mais je n'ai pas été conquise et j'en suis désolée .

Un grand merci à Frédéric Marcou pour sa confiance .

L’univers de Frédéric Marcou est un tourbillon de mots, jetés en l’air, accrochés à des rimes, dans un geste de magicien désireux de révéler derrière les sombres apparences des lumières porteuses de sens et de joie.

Son Essentiel est une alchimie complexe de textes poétiques écrits à différentes périodes, de chroniques loufoques menées tambour battant par l’inénarrable et très inspiré Professeur Fred –sans doute un clone de l’auteur échappé d’un laboratoire clandestin- auxquels succèdent trois nouvelles de belle facture qui laissent augurer une prochaine tangente vers des textes plus proches du format roman.

Dans ces précieux bouts de vie, l’auteur se livre et délivre des messages denses, colorés comme de subtiles auras, avec une sincérité et une sensibilité à fleur de peau.

Avec ce recueil, je découvre la plume toute personnelle de l’auteur avec laquelle il nous partage son envie irrépressible d’écrire. Et pourtant, comme il le souligne, le manque de reconnaissance est parfois pesant lorsque la tête est remplie de mots qui ne demandent qu’à être découverts. Et une question se pose, pour qui écrit-on ?



C’est une belle idée d’avoir associé des poèmes avec des photographies (de l’auteur mais aussi d’autres personnes), cela donne une dimension plus sensible. Il est alors possible de les découvrir seules, mais aussi de les coupler afin d’en découvrir un autre sens.



Différents thèmes sont abordés dans ce recueil, d’ailleurs j’aime beaucoup cette organisation. La poésie est parfois un peu floue car il peut être difficile pour le lecteur d’entrer dans la tête du poète et lorsque c’est classé par thème, c’est comme entrer dans un monde différent à chaque fois tout en ayant une petite idée de là où on va.



L’amour, la tristesse, le rêve, l’espoir sont autant de sensations dans lesquelles il est possible de se retrouver. Pour ma part, l’émotion ne m’a pas étreinte lors de ma lecture mais j’ai tout de même relevé des bouts de phrases, des instants d’écriture qui ont fait écho. La poésie est encore plus personnelle, je trouve, que les romans, en tout cas dans le ressenti. Elle touche au cœur et même parfois à l’âme. Il est alors tout à fait possible de reconnaître que l’écriture est agréable mais de ne pas y être sensible. Le poète doit continuer à rêver et à écrire, d’ailleurs peut-il vraiment faire autrement ?

Je remercie chaleureusement Frédéric Marcou pour m'avoir envoyé son ouvrage L'essentiel.

Nous trouvons ici des poésies, des nouvelles, mais également des dessins de Vincent Demongodin. Il s'agit d'un recueil et je dois avouer que je l'ai trouvé très intéressant.

J'ai été touché par certains textes, moins par d'autres mais l'ensemble m'a plu.

J'ai aimé les poèmes : Lettres à une amie ; Ah les filles ! ou encore Juste un sentiment comme ça. Les rêveries d'un poète solitaire m'ont également touché.

J'ai apprécié les inventions de Fred, des chroniques très bien écrites.

Ces textes sont bien écrits, je trouve la plume de l'auteur emprunte de sensibilité. C'est touchant, et même si je ne suis pas du tout une grande adepte de la poésie, ce qui m'a le plus plu dans ce recueil ce sont les poèmes !

Je vous invite à découvrir cet auteur, et je mets avec plaisir quatre étoiles à L'essentiel.

Qu'il est difficile de livrer un ressenti à la lecture de textes poétiques! c'est du moins mon ressenti . Recueil de poèmes et rêveries de Frédéric Marcou un petit moment de calme et d'amour dans un monde en perpétuel mouvement. Si derrière les mots d'amour et d'espoir se cachent des douleurs ou justement parce que ces peines et souffrances sont là, Frédéric Marcou nous offre de forts jolis poèmes et textes poétiques. Hymne à la Femme aimée, amie, confidente,soutien , proche ou lointaine. Hymne au rêve , au droit de rêver je dirais même à l'obligation de rêver.

Merci à Frédéric Marcou pour son présent ...

Je vous présente un nouvel ouvrage de cet auteur dont je vous ai déjà parlé plusieurs fois. Celui-ci ne contient que des poèmes qui parlent principalement de thèmes du quotidien, de l’amour, de la vie à deux et de questionnements que nous avons tous à plus ou moins grande échelle. Comme toujours avec les recueils et d’autant plus avec les poèmes, nous ne pouvons pas tous être touchés de la même façon du fait de notre propre vécu.



Personnellement, je l’ai été comme d’habitude plus par certains que par d’autres, mais dans la globalité j’ai passé un excellent moment avec ces textes. Surtout qu’à la base, je ne suis pas vraiment fan de poésie et j’ai tendance à rapidement passer mon chemin. Mais ce que j’aime ici, c’est qu’ils racontent des histoires ou des instants de vie, et c’est ce qui permet qu’à la fin de chaque texte, j’ai envie de lire le suivant.



En bref, j’ai une fois de plus passé un excellent moment avec la plume et les textes de l’auteur.

Une fois de plus, c'est difficile pour moi d'évaluer des nouvelles, pas vraiment mon genre, juste une accroche que je verrais bien décliner en roman pas forcément un pavé, mais un 200 pages au moins.

Toujours est-il que l'auteur a su me séduire avec ces textes hors du commun, dans lesquels il respecte les codes de la nouvelle. Les 3 grandes règles sont respectées. C'est concis, précis, tourne bien autour d'un seul événement. L'effet de chute est bien là. Abrupt. Moi je dis bravo. Je me suis bien essayé à ce genre, ce à plusieurs reprises, aimant gratter le papier, ( Ok un peu plus que ça), mais je n'ai pas trouvé l'exercice facile. Donc je réitère mes félicitations. Néanmoins, je pensais qu'une nouvelle devait faire au moins 100 pages. On en est loin ici, puisque le tout comporte une quarantaine de pages, préface et commentaires de l'auteur inclus. Donc on se retrouve avec, à tout casser, 5 pages environ par nouvelle ?

5 nouvelles plutôt sombres, hormis la première qui traite de la réincarnation, avec pour héros, l'auteur lui même. Quelle bonheur se serait d'avoir une deuxième chance ! C'est que Frederic Marcou, l'humour c'est sa tasse de thé, elle contrebalance le coté triste de ces écrits empreint de fantaisie et nous plongeant dans un monde fantastique, celui que son imaginaire le pousse à créer. Un psychologue s'y penchant trouverait à en dire.

Le style, quant à lui, reste assez simpliste, toutefois, empreint, parfois, d'un peu de poésie. En tant que beta-lectrice, j'aurais biffé les quelques répétitions, aisément évitables. Mais ça c'est un autre débat, car je me suis plus passionnée pour les thèmes. Pour en apprécier davantage la plume il faudrait que l'auteur ose se lancer dans un roman plus substantiel ?

Je verrai bien une histoire un peu loufoque avec son Fred l'inventeur de l' Essentiel pour héros. Une histoire drôle et très sérieuse à la fois.

Pour ce qui en est de la remarque de l'auteur, comme quoi les nouvelles sont plus adaptés aux ados, perso, je ne ne pense pas. À mon sens c'est une idée préconçue.

15/20
Lien : http://missneferlectures.ekl..

Me voilà de retour pour vous présenter un nouveau recueil de poésie de cet auteur dont j'apprécie toujours autant la plume. Celui-ci est découpé en plusieurs grands chapitres: amour, rêve, surface, artiste, espoir, tristesse, âme et inclassable. Cela permet de retrouver des poèmes différents dans chacun d'eux avec des thèmes bien spécifiques. Petit plus: l'auteur agrémente son recueil de photos, ce qui amène une touche bienvenue et donne plus de profondeur à son ouvrage.



La partie "Amour" m'a beaucoup plu et elle nous emmène sur les chemins de ce sentiment si doux que ce soit quand il nous parle de son amour ou des poèmes. J'ai particulièrement été touchée par "Donner son amour" qui rappelle à quel point les mots prennent plus de sens quand nous avons quelqu'un à qui les offrir.



Les textes suivants touchent au "Rêve": rêve d'un ailleurs, d'un monde différent, de voyages. C'est un sentiment qui m'effleure souvent et qui me pousse à me lancer sur de nouveaux chemins chaque année, en partant découvrir d'autres lieux sur notre belle planète. Ces rêves-là nous permettent d'avancer dans notre ici et maintenant, sans oublier toutes les belles choses qui nous entourent.



Le chapitre s'intitulant "Surface" est celui qui regroupe des poèmes différents, dont la forme est autant étonnante que le fond. J'ai été très surprise et j'ai trouvé que certaines réflexions étaient encore plus profondes que dans d'autres poèmes. Je mettrais cette partie en lien avec la suivante, "Artiste", qui s'intéresse au poète et au fait de grandir, avec aussi un style différent, les deux s'enchaînant de belle façon.



"Espoir" et "Tristesse" sont plus mélancoliques avec la perte de soi sur un chemin tortueux et froid. Les poèmes deviennent plus sombres et une certaine douleur transparaît dans certains textes. Ces derniers nous conduisent tout droit vers la dernière partie, "Âme", qui ramène de la lumière et redonne de l'espoir, où quand une personne qui croise notre route peut tout changer.



La fin rappelle que vivre dans l'ici et maintenant est le sens de tout et qu'il est bon de ne pas se perdre sur notre chemin, de ne pas passer à côté des choses simples qui font qu'une vie est belle et mérite d'être vécue. Alors vivons et profitons tant que nous le pouvons encore!



En bref, l'auteur nourrit nos réflexions avec ses poèmes qui touchent et nous rappellent les choses qui sont essentielles à notre vie.

Je continue de découvrir les poèmes et les textes de cet auteur et j'apprécie toujours autant son style. Je me laisse toujours envoûter par ses mots très facilement, les pages se tournent à un rythme rapide et la fin est arrivée sans que je m'en rende compte. Comme je le dis à chaque fois, nous serons tous touchés différemment par ces poèmes et ces courtes histoires, mais il y a de quoi faire le bonheur de chaque lecteur, en fonction de ses goûts et de ce qu'il a vécu dans sa vie.



Je dois quand même admettre que j'ai préféré toute la partie plus "poèmes", surtout ceux qui sont adressés aux différentes femmes, plutôt que les rêveries où je me suis un peu perdue parfois, n'arrivant pas toujours à suivre les fils rouges. Disons que j'ai été moins touchée par certains thèmes abordés et/ou par la façon dont ils sont amenés, mais cela n'enlève rien à l'intérêt de découvrir ce recueil qui nous fait voyager.



En bref, j'ai passé un excellent moment durant cette lecture et j'aime toujours autant plonger dans l'univers de l'auteur.