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Critiques de Frédéric Roux (27)
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Ring

Frédéric Roux,  ancien boxeur enfile  ses gants

pour régler ses compte à  la scène des années 80.

A  travers les portraits de  deux frangins, Akim et Karim

Il s'en prend  d'abord au  monde de la boxe qu'il a cotoyé...des poings.

Le premier super doué pour la boxe mais travelo

ne veut plus boxer pour ne pas abîmer son joli minois

alors que le second qui se prend pour un grand champion

mouline dans le vide au grand dam de son entraîneur

qui rêve de voir Akim endosser son short  et enfiler ses gants...sans ses talons aiguilles.

Bing bing , Il tape ensuite aussi à cœur joie

sur le Monde de l'Art Bling bling,

sur les galeristes et les culturistes,

sur Loik, un artiste contemporain,

sur SOS racisme et la poltique spectacle,

et son plus beau représentant   Arnaud le bobo.

Le style de François Roux  occille tantôt entre le KO technique d'un poids lourd et l'esquive toute en finesse qui fait mouche.

Avec Ring, tous les coups sont permis !
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Mal de père

Le père de Frédéric Roux est à l’agonie.

Un père à la vie hors norme. Un homme touche à tout. Un homme peu commun : fantasque, rebelle, imaginatif, anar, gueulard.

Mais surtout, jamais aimant, cassant, en rivalité permanente avec son fils.

Et cette longue agonie, qui dure, qui dure, sans que jamais les mots attendus ne soient dits. Jamais.

Les rapports père/fils sont rarement simples.

Je t’aime et je te déteste.

J’attends toujours que tu m’aimes

Ce livre est un réquisitoire, mais en même temps un bel hommage.

Un livre où l’auteur se défoule, règle ses comptes, avec lucidité, mais surtout avec tellement d’humour et tellement d’amour.

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Alias Ali

Considérant que tout avait été écrit sur Muhammad Ali, Frédéric Roux propose de faire sa biographie en juxtaposant des milliers de citations et en les remettant dans l'ordre chronologique. Ce montage titanesque donne un style incroyable à ce livre qui se dévore très vite.



Que l'on s'intéresse ou non à la boxe chacun pourra trouver un intérêt à ce livre car le personnage de Muhammad Ali dépasse les frontières du sport. Non content d'avoir été l'un des plus grands sportifs du XXeme siècle, Ali a cristallisé les passions autour de lui. Égérie du combat des noirs pour les droits civiques, opposant à la guerre de Vietnam, sa vie pourrait servir de baromètre à 30 ans d'histoire américaine. Et c'est bien ce que fait Frédéric Roux en nous racontant cette histoire.



Pour ma part je connaissais vaguement le mythe mais j'ai été enthousiasmé par la découverte de ce personnage touchant de générosité et de naïveté.
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L'hiver indien

Stud, Percy, Howard, Dale, Greg et Chris sont des Indiens Makahs.

Ils vivent, oubliés de tous, dans une réserve à l'extrème Nord-Ouest des Etats-Unis. Prison, chômage, ennui, alcool, c'est là leur lot quotidien. Mais au bout de trois ans de prison, Stud veut à tout prix changer la donne et retrouver "sa part d'Indien". Pour ça, il a un projet fou: reprendre la chasse à la baleine telle que la pratiquaient leurs ancêtres 50 ans auparavant...



Un roman énergique et rythmé dont la force réside essentiellement dans la vigueur de personnages extrèmement bien campés.

La finesse d'observation d'un Frédéric Roux à la fois tendre et incisif, ironique et familier, ne faisant pas l'impasse sur les "tares" de son équipe de bras-cassés mais au contraire les étalant avec une bonhomie goguenarde, déclenche chez le lecteur une étrange indulgence pour ces drôles de zèbres et un réel questionnement du sort des Indiens Makah.

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Lève ton gauche

La vie ordinaire d'une petit club de boxe anglaise dans la France profonde : l'entrainement, les tournois du dimanche dans d'obscures salles municipales, l'amitié des boxeurs... Les sacrifices nécessaires à ce sport sont parfois incompris par l'entourage, mais il s'agit, en définitive de ne pas être inférieur à soi-même !
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Et mon fils avec moi n'apprendra qu'à pleurer

Le titre m'a plu, la quatrième de couverture m'a fasciné.

Je ne m'attendais pas... à ne pas terminer ce roman. J'ai tenu jusqu'à la moitié.

Il est pourtant remarquablement bien écrit, il y a de l'humour autant que du vitriol, c'est un portrait de famille sans concession. Mais obscur, comme s'il me manquait une clef pour tout comprendre, des textes réservés aux initiés. Peut-être la différence de génération entre l'auteur et moi, les références n'étant pas les mêmes , m'a empêché de me couler dans ses mots ? Je ne sais pas.

Je le répète : il est remarquablement bien écrit. Peut-être l'agressivité et la rancoeur que j'ai ressenti à travers les anecdotes rapportées par l'auteur ? C'est un roman d'écorché, je n'ai rien lu de beau ou de rassurant, il y a de la misère intellectuelle, des jalousies, de la petitesse. Peut-être que c'est la vision désenchantée qui m'a rebutée, peut-être qu'en insistant j'aurai changé d'avis. Mais je n'y suis pas arrivée.
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Et mon fils avec moi n'apprendra qu'à pleurer

Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre littéraire (récit autobiographique, autobiographie et biographie en général) mais je ne regrette pas, j'ai beaucoup aimé. D'après la quatrième de couverture, on s'attend à un règlement de comptes, on a l'impression que l'auteur va laver son linge sale en public, ce qui me faisait un peu peur. Soit, il parle de lui et de sa famille mais il ne se contente pas de livrer une version subjective des faits ou une suite d'anecdotes comme Jean-Louis FOURNIER dans Il a jamais tué personne mon papa. Non, il analyse et brosse un véritable portrait psychologique de ses parents, notamment de sa mère, entre rancœur et regrets et toujours avec humour, une ironie mordante qui vient dédramatiser la pire des situations et rend moins acerbe la blessure. « On ne choisit pas sa famille » : il faut apprendre à vivre avec, à accepter les autres tels qu'ils sont mais ce n'est pas toujours facile quand on a des parents aussi peu conventionnels, qui aiment par dessus tout « emmerder le monde », une mère capricieuse, qui s'attend à ce qu'on lui cède à chaque minute, que les autres se plient à sa volonté mais ne donne rien en retour ou alors pas gratuitement, la solitude semble être une compagne de toujours pour l'auteur et se fait réellement sentir. Il essaye de les comprendre et se livre sans pathos. Il s'interroge également sur la télévision et ses effets dévastateurs sur les relations sociales, l'école telle qu'il l'a connue (à l'époque des coups de règles sur les doigts et des instits sadiques), son manque de souplesse pour ceux qui ne suivent pas, qui sont en difficulté, la destruction/ reconstruction des centres-villes qui du même coup ont perdu leur humanité mais aussi sur sa vision de l'écriture, etc... Un véritable voyage dans le passé, dans une époque qui n'est plus mais qu'ont également connu nos parents.

Le style est assez déroutant : il m'a fallu un temps d'adaptation : l'auteur utilise un langage familier, une sorte d'argot démodé.
Lien : http://lecturesdalexielle.ov..
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L'hiver indien

Tiré d’une histoire vraie, l’auteur décide d’écrire ce roman à la suite d’un reportage de Thalassa. Un groupe d’Indiens décide de perpétrer le rite de leurs ancêtres, la chasse à la baleine. De nombreux obstacles vont se mettre sur leur route.



La première chose ; la majorité de ces hommes ont une tendance très forte à l’abus de boissons alcoolisées mais vraiment très importants les abus… et puis le plus jeune, beau comme un Dieu a aussi pour talent le vol qu’il pratique de la façon la plus naturelle. Les autres du groupe, n’en parlons même pas, ils sont pires…



Et puis la deuxième chose, aussitôt la chasse annoncée, toutes une troupe de pseudo-écolos rapplique, proférant injures et menaces, ils sont très vite suivis par les journalistes de différentes nationalités.



Un regard assez pessimiste sur ces Indiens qui vivent dans leur réserve et qui étouffent dans la misère et l’alcoolisme. Ils sont peu à peu oubliés par le reste des Etats-Unis.



La chasse à la baleine, un sursaut d’orgueil face à ce lent enfoncement.



Malgré le sujet original et très intéressant, le milieu du roman m’a particulièrement marqué, j’ai peu à peu ressenti l’ennui. Le temps passe, les pages du livre aussi et la chasse ne commence toujours pas. A la fin, je me suis demandée mais en fait que c’est-il passé au fait? Ce qui est mauvais signe.



Un roman qui partait d’une bonne idée mais qui s'est perdu en chemin.




Lien : http://l-ivresque-des-livres..
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Le désir de guerre

L'auteur nous fait partager quelques souvenirs vécus avec son grand-père. Cela nous permet d'avoir un aperçu de l'homme qu'il était. Il retrace aussi quelques moments de la guerre 14-18, à laquelle son grand-père a participé. On ne tarit pas d'éloges envers les anciens combattants mais ceux-ci n'ont fait qu'obéir aux ordres et ce n'est pas de gaieté de coeur qu'ils ont répondu à l'appel. Son grand-père a fait comme les autres, il a suivi. Dans la postface, l'auteur se demande qui est réellement prêt à mourir pour ses idées. En même temps, les hommes ne peuvent s'empêcher de prendre plaisir à voir le sang couler...
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L'hiver indien

fais comme eux, arrête l'alcool et deviens pecheur de baleines
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L'hiver indien

Au nord-ouest des Etats-Unis, dans une réserve indienne, un groupe d'Indiens décide de relancer la pêche à la baleine comme le faisaient leurs ancêtres dans le but de se sentir pleinement Indien.



L'hiver indien raconte cette histoire en deux parties.

La première relate la naissance du projet et la recherche des membres de l'équipe. cela permet une description d'une nation indienne désagrégée, bouffée par l'alcoolisme, l'obésité et la délinquance. Les Indiens qui ne s'intègrent pas au monde actuel restent toujours à la marge.



La seconde partie est l'essai de la mise en place du projet qui voit naitre l'opposition des écologistes. Au-delà de la protection de la baleine, il y a toujours un relant de racisme. Cette partie est moins réussie que la première et est parasitée par des personnages secondaires que j'ai eu du mal à trouver pertinents.



L' hiver indien est l'essai pour des indiens de retrouver une sorte d'identité dans un monde qui les ignore. Mais ce retour à leurs racines leur est refusé.
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L'hiver indien

L'histoire se déroule a Neah Bay au Etats-Unis dans une réserve indienne où les Makahs se laissent mourir d'inaction et d'alcool. Jusqu'au jour où Stud, sortant de prison, et son frêre Percy décident de constituer un équipage pour chasser la baleine grise a la manière de leurs ancêtres( barque et harpon). Ils doivent faire face ,dans un premier temps, aux réticences de leur propre éthnie mais aussi, dans un second temps, aux écologistes extrémistes qui considèrent qu'il vaut mieux protéger les baleines que des indiens.



J'ai eu du mal a rentrer dans cette histoire de Pieds nickelés indiens car j'ai trouvé que la constitution du bateau prenait beaucoup de temps et n'apportait pas grand chose a l'histoire. Quand on rentre dans les préparatifs et les bâtons mis dans les roue de ce projet c'est beaucoup plus intéressant et beaucoup plus spirituel. L'auteur nous décrit avec un grand talent les conditions de vie des indiens dans leur réserve et il nous fait partager leurs joie (un peu) et leurs peines(beaucoup). Le constat est désespérant et l'auteur nous le dit avec beaucoup de finesse et de cynisme. Ce qui m'a gêné c'est de deviner tout de suite comment allait se terminer cette histoire.



Un plaisir de lecture mitigé pour une note de 6/10.
Lien : http://www.desgoutsetdeslivr..
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L'hiver indien

J’ai repéré ce livre à la fin de la lecture de «  retour à brodeback mountain ». Je l’ai acheté chez gibert en avril. C’est avec une grande joie que j’en ai commencé la lecture. Je ne m’attendais pas à ce résultat. En effet, sérieux et loufoque, pamphlet et réalisme, démesure et psychologie… un doux mélange un peu déstabilisant porté par une écriture tout aussi inclassable : simple mais pas tant que ça, drôle parfois mais juste…. Beaucoup de dialogues et de personnages, de péripéties mais en même temps pas tant que ça ont rendu la lecture moins fluide que je ne m’y serais attendue. A découvrir en tous cas.
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Alias Ali

Ce livre est une pure merveille et pourtant il est inconnu. Je suis ici pour aider à corriger cette injustice. Ce livre est à lire obligatoirement par tous ceux qui s'intéressent à ce magnifique boxeur, magnifique personnage qui a sa place dans l'histoire américaine.

Ali, c'est bien plus qu'un sportif, c'est un homme qui a toujours suivi sa route, sa propre notion de la justice, même s'il a fallu faire face à l'état et au pouvoir des blancs (c'est un blanc qui écrit). Et le format atypique du livre (construite de citations) rend le livre des plus passionnants. Courrez l'acheter, et même s'il est difficile de le trouver, trouvez le! La lecture de ce livre vous sera inoubliable!
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L'hiver indien

Neah Bay est au centre de la réserve des indiens Makahs, au nord-ouest des Etats-Unis. Les Makahs étaient 40000 à la fin du XIXème siècle, ils ne sont plus que 1500 aujourd'hui. Parmi eux Percy et Stud, qui, comme leurs acolytes errent sur une terre qui n'est plus la leur, noyant leur pauvreté dans l'alcool. Percy et Stud décident de regagner leur dignité dépossédée au fil du temps en se livrant à l'entreprise prisée par leurs ancêtres : la chasse à la baleine !



Mais c'est une équipe de bras cassés qui se met en place : tous sont plus ou moins des alcooliques notoires et chacun traîne son tribut de galères. Envers et contre tout, Percy le tombeur, Stud son frère qui sort de prison, Howard le poète qui use et abuse des aphorismes, Dale son fils, Greg fan d'Elvis Prestley et Chris gourrou, s'allient pour enchanter à nouveau une vie désincarnée.



"En définitive, ce qui le frappait chez Dale ou chez Percy, c'est qu'ils étaient transparents, un peu comme s'ils avaient été vides, leur intérieur était vide ou, plutôt, inoccupé, comme un appartement désert où l'on ne peut apercevoir les traces du dernier locataire qu'au travers de ce qu'a laissé la compagnie de nettoyage. Lorsqu'il y réfléchissait davantage, il se disait que ce devait être une question de génération à moins que leur sang indien se soit dilué. Dans quoi ? Il n'en savait rien, peut-être dans le Pepsi Cola... (...) N'être rien ni personne n'était pas un problème pour les jeunes, faire quelque chose ou son contraire n'avait aucune importance, il leur suffisait de continuer d'avancer sans en avoir la volonté, de réussir sans l'avoir décidé vraiment et, tant qu'à faire, de prendre du bon temps. Avant ? Les autres ? Ils ne s'en préoccupaient d'aucune façon ! Ils n'avaient ni passé ni avenir, pas plus que d'amis véritables.



C'était donc eux, la fameuse 7eme génération." (p. 367)



Ils affrontent notamment les courants écologistes peu enclins à laisser des baleines se faire harponner sans vergogne par des indiens en mal d'identité !



Leur épopée sera jubilatoire...



Ce que j'ai moins aimé :



Un roman beaucoup trop long ! Il a facilement 100 ou 200 pages de trop !
Lien : http://www.lecturissime.com/..
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L'hiver indien

Il ne fait pas bon vivre dans la réserve indienne des Makahs de Neah Bay. La communauté de semble être constituée uniquement de perdant alcoolique à qui la vie ne peux rien offrir de plus glorieux et réconfortant qu’une bonne bouteille de wisky et surtout la bonne cuite qui s’en suit. Percy, l’indien le plus sexy de la réserve s’en contentait bien jusqu’à présent : une partie de chasse à l’écureuil, un ou deux vol par-ci, par-là et une bonne beuverie pour passer le temps lui suffisait amplement. Mais voilà que du jour au lendemain son frère Stud débarque tatoué de la tête au pied après trois ans de prison. La prison justement l’a fait réfléchir et il se dit que cette vie là ne suffit pas et qu’il ne peut pas continuer comme ça plus longtemps. Sa décision est prise, les indiens pour s’en sortir doivent renouer avec les traditions de leurs ancêtres afin de ne plus errer sans but sur cette terre qui leur a été volée. Il convint ainsi après avoir affronté quelques réticences et incrédulités, son frère et ses amis de toujours - une bande de loosers – de l’accompagner dans un projet fou : reprendre la chasse à la baleine !

(cliquez sur le lien pour lire la suite)
Lien : http://aufildeslivres.over-b..
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Comptés debout

Un recueil d'anecdotes de 100 pages.



Cela pourrait apparaître comme très limité, mais c'est sans compter la gouaille des boxeur, bien plus spontanée et naturelle que celle de la plupart des humoristes. Et au delà du matériel original, le style de Frédéric Roux donne de la présence et de l'impact à ces brèves de comptoir de luxe.



Et c'est aussi un petit peu pédagogique car on découvre, en filagramme, le monde des "Journeymen", ces boxeurs de seconde zone indispensables à ce sport spectacle.



D'authentiques prolétaires qui arrivent à briller par leur sincérité et leur humilité.



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Mike Tyson

Le meilleur travail journalistique fait sur la figure culturelle qu'est devenue Mike Tyson.



C'est la fin des idéologies et l'avènement du spectacle sportif, où les titres de champions ne veulent rien dire si les millions de Pay-Per-View ne suivent pas.



Avec le parcours de Tyson, enfant non-construit du ghetto devenu humain par l'art pugilistique et la gestion émotionnelle de Constantine D'Amato, l'auteur dresse le portrait de l'économie du spectacle nait dans les années 80-90.



La plume de l'écrivain sait être drôle et outrancière mais aussi précise et documentée. Une précieuse originalité, tant Mike Tyson met KO toutes formes d'objectivité chez ses contemporains.



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L'hiver indien

Dans le nord ouest des Etats-Unis des indiens veulent faire revivre une ancienne pratique de la chasse à la baleine, la tribu après avoir accepter le projet se met à douter au regard des indiens paumés à l'origine du projet et ils mettent en concurence à cette équipe de boîteux une équipe plus lisse mais rien ne va se passer comme prévu.

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Et mon fils avec moi n'apprendra qu'à pleurer

Un livre rare, qui permettra à plus d'un(e) en souffrance familiale de réviser ses peines et de déculpabiliser son ressenti. Une résilience psychologique véritablement aidée par ce roman vrai.
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