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Critiques de Frederik Pohl (104)
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Homme-plus

babelio_id:Pohl-Homme-plus/31121
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La Grande Porte, tome 3 : Rendez-vous à la Gr..

isbn:9782277220879
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La Grande Porte, tome 1 : La grande porte

babelio_id:Pohl-La-Grande-Porte-tome-1--La-grande-porte/9676
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La Grande Porte, tome 2 : Les pilotes de la..

babelio_id:Pohl-La-Grande-Porte-tome-2--Les-pilotes-de-la-Grande-/10076
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La Grande Porte, tome 4 : Les annales des H..

isbn:9782277226321
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La Grande Porte, tome 5 : À travers la Gran..

babelio_id:Pohl-La-Grande-Porte-tome-5---travers-la-Grande-Porte/409244
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La Grande Porte, tome 4 : Les annales des H..

La fin de “Rendez-vous à la Grande Porte” (Heechee Rendezvous) apportait pas mal de réponses aux questions laissées en suspens depuis le premier volume, comme la nature des Heechees et la raison qui les avait poussés à disparaître de notre galaxie ! Loin de l’avoir désertée, ces derniers s’étaient en fait réfugiés dans un trou noir, leur technologie en avance de quelques millions d’années le leur permettant aisément, et ce n’est qu’à cause de l’agitation des humains qu’ils avaient daigné en ressortir. C’est qu’à force de s’agiter, les humains risquaient en effet de réveiller l’Ennemi ! Cette civilisation presque aussi vieille que l’univers, qui semblait passer son temps à anéantir toute nouvelle vie intelligente dès qu’elle émergeait dans un coin de notre galaxie.



L’atout majeur de cette série avait toujours été la gouaille dont était doté son narrateur. Un Bob qui ne cessait de croiser différentes lignes narratives, entremêlant son présent, ses souvenir et ce qu’on lui avait raconté. Le tout en s’interrompant souvent pour des discussion avec ses IAs préférées, et surtout depuis le second volume avec Albert Einstein(*). Cela dit avec un Bob vivant à la vitesse d’une IA, multipliant ses avatars et ses rencontres, et dont la vie n’est pas linéaire, on passe à une niveau un poil supérieur. Ce qui nous donne droit à un rythme effréné pour une intrigue principale, finalement peu haletante, qui mêle le destin de trois enfants, dont un Heechee, à des ennuis de classe cosmique



Bref, ce livre, comme les autres, reste abordable, un poil bordélique et marrant ! Et les cours d’astrophysique sur les débuts de l’univers et sa fameuse “masse manquante”, ainsi que l’introduction à la “supersymétrie” m’ont à nouveau bien plu : je me crois moins bête qu’avant ! Moins réussi que le troisième, mais tout de même distrayant, ce volume est donc recommandé si on a suivi, et aimé, jusqu’ici les aventures de Bob !
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The Other End of Time

Lu en anglais



Un genre d'agent secret, Daniel Dannerman, se voit assigner une nouvelle mission. Il s'agit d'infiltrer l'observatoire spatial dirigé par sa cousine. La terre a reçu un curieux message de la part d'extraterrestre et le Starlab, en orbite, émet des ondes inexplicables. Il va falloir enquêter sur place et Dannerman va se trouver impliqué dans tout cette histoire.



Un début prometteur avec un message cataclysmique, des extraterrestres dans l'espace proche et des révélations intrigantes. Et une façon assez originale de voyager dans l'espace. C'est sans compter les deux factions extraterrestres ennemies.



Mais le roman se traine; on tourne autour du sujet principal. Puis on arrive à la fin qui est plutôt insatisfaisante et prétexte à des suites. Malheur de malheur !



Mon opinion est assez mitigée. Il y a quelques idées intéressantes, mais peu développées.

Comme j'ai assez aimé, malgré tout, je lui donne la note de passage.
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Plus de vifs que de morts

La société humaine a été totalement bouleversée par la découverte d’une immortalité théorique grâce à une modification génétique des embryons. Mais une poignée d’individus sont incompatibles avec ce processus et disposent seulement d’une espérance de vie de 120 ans, comme Rafiel danseur et chanteur star à la mortalité comique et fascinante faisant son succès. Alors qu’il prépare une adaptation modernisée d’Œdipe roi, Alegretta son premier amour le contacte après des dizaines d’années d’absence et Hillaree une dramaturge lui propose un projet pour faire de lui un véritable acteur.

Cette science fiction est pleine d’humour à l’image de cette société légère, à la sexualité débridée, à la conscience historique nulle, cultivant l’égocentrisme absolu et moquant la mortalité dans une discrimination positive cynique. Rafiel incarne la projection cathartique sur l’écran de la disparition de la mort naturelle et d’une vie sans bornes dans un monde doté d’une source d’énergie inépuisable, où le temps n’a plus d’importance, dont le seul problème est la surpopulation. C’est l’existence d’une date de péremption pour Rafiel qui montre la vacuité d’une vie humaine éternelle qui gomme la notion de parentalité et ignore la douce et lente saveur de la durée, des instants à savourer. Le roman est tragi-comique, traversé par un personnage au destin mythique formant l’archétype de la différence précieuse qui émerge d’un snobisme ridicule, dans une pièce de théâtre résignée vers un départ obligé.
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La promenade de l'ivrogne

Le professeur Cornut est atteint de troubles hypnagogiques, d’une sorte de somnambulisme suicidaire au réveil ou à l’endormissement, sauvé à chaque fois in extremis par Egerd un étudiant ou par Maître Carl directeur de la résidence universitaire. Pour être surveillé efficacement, Carl conseille à Cornut de se marier et ce dernier choisit la jeune Locille dont Egerd est amoureux.

Dans son développement, cette comédie de science fiction, rappelant Ijon Tichy en moins fou mais de si peu, s’appuie sur un personnage principal novice en amour et atteint de paranoïa réflexive, un ami proche qui se réfère en permanence aux mathématiques dans une tradition qu’affectionnent Asimov et Heinlein, et une jeune femme de caractère pourtant très réceptive à l’ascendant naturel de son supérieur. La critique de la société est légère à propos du sexisme et de l’élitisme. Le surréalisme de la situation est révélé par les mathématiques dans un complot pathétique à base d’immortalité, de télépathie et de terrorisme biologique. La mise en place du récit est longue par rapport au nombre de pages mais une certaine légèreté mène allégrement à une révélation plus sérieuse sur l’évolution de l’espèce et les dérives politiques dans une vraie alliance entre fiction et science, très positive finalement, trouvant même une vertu dans l’abus d’alcool.
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Les gogos,  tome 1 : Planète à gogos

De la S-F un peu désuète, non exempte de naïveté, et pourtant tout ou presque est dit dans ce livre des 50's sur ce que l'on vit actuellement : la dictature de la publicité, la domination du marketing et l'oppression de la société de consommation. C'est déjà aujourd'hui...
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La Grande Porte, tome 1 : La grande porte

Une mystérieuse base extraterrestre déserte, des vaisseaux abandonnés, des aventuriers kamikazes avides de richesse qui partent sur ces vaisseaux incontrôlables. Ils partent vers la fortune ou vers le néant.

J' ai adoré les personnages denses, l'histoire originale et cette ambiance de baroudeurs. Je ne lis que rarement les cycles sur plusieurs tomes, mais là j'ai dévoré tous les livres du cycle de la Grande Porte...un régal
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L'ultime fléau

C'est le premier roman de Frederik Pohl que je lis... si je fais abstraction du diptyque cosigné avec Kornbluth : Planète à gogos et Les gogos contre-attaquent. Je découvre donc ainsi son style propre et ses idées développées sans l'influence d'un comparse. Quoi que ! Pohl a écrit ce roman 4 ans après Planète à gogos.



Dans ce court roman, changement de point de vue. Nos n'avons pas à faire à une société consumériste à l'excès, où tout est l'occasion de manipuler les masses pour leur faire acheter certains produits au détriment du bien individuel et collectif. Seuls en profitent la classe dirigeante des grandes multinationales. Non. Ici, l'histoire se déroule dans ce qui peut passer pour notre société de fin de XXe , début XXIe. C'est pas avec ça qu'on fait un roman, allez-vous dire ! Peut-être pas. Mais quand l'auteur imagine qu'une invention permettant de prendre le contrôle de corps humains à distance pour leur faire faire ce que bon leur semble... ça tourne vite au cauchemar.



Attentats, meurtres, suicides forcés, viols, tortures, etc. Qui est à la source de toutes ces exactions ? Notre héros le découvre petit à petit parce qu'il a la chance d'être pris en charge par celle qui est peut-être la moins pire, quoi que elle aussi soit sans scrupule. Arrivera-t-il à venir à bout de ce groupe de fous ? Ou succombera-t-il aux charmes de la sirène ?



En bref : Ce livre m'a plu sans pour autant me donner envie de lire d'autres oeuvres de cet écrivain pourtant renommé.



P. S. : Au début du roman, l’auteur fait l’inventaire de toutes les grosses destructions qui ont marqué le début de cette ère de chaos. Et là(p. 43), erreur de traduction ? Il est question d’un gros chargement d’explosif, qui fait sauter les digues des polders hollandais et inondent... 2500 m2. Soit, à peu près — roulement de tambour — la moitié d’un terrain de foot. :-D Certains jours, j’aurai refermé le livre sans autre forme de procès. Une petite recherche et... oui. il s’agit bien d’une erreur de traduction ou de typographie. en effet, le texte original est 11:03 PM, E.S.T. : Heavily loaded munitions barges exploded near North Sea dikes of Holland ; dikes breached, 1800 square miles of reclaimed land flooded out . . soit 1800 miles carré. remis en mesures métriques : 4662km2. Là, d’accord. Grosse catastrophe !
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L'ultime fléau

Un homme accusé de meurtre et viol plaide la possession , le tribunal ordonne des prières d’exorcisme… Oups, on m’aurait menti ? Je ne suis pas dans de la SF ? Mais si , en cette fin du XXème siècle (hé oui le texte est de 1962 ) la Terre est ravagée par une épidémie de folie . Le héros , Chandler ,un ingénieur va découvrir que ce sont des hommes et non des démons qui sont aux commandes … Un roman sur le thème de la machine à contrôler les esprits , mais un tantinet superficiel , Pohl n’exploite pas quelques juteux filons : un homme « possédé » par une femme , d’intéressantes combinaisons sexuelles, la psychologie des victimes et des contrôleurs est à peine ébauchée (peut-on refuser le pouvoir suprême ?) et le tout fleure bon la guerre froide (les méchants viennent de Russie) . Reste que une Terre dominée par des fous ,on connaît au XXIème (écoutez vos informations du jour…) !
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La paix des étoiles, tome 1 : Les récifs de l'e..

Un space opera typique des années 60 . Beaucoup d’invention : la dystopie étouffante , la ferme d’organe bien trash (avec un avatar de la créature de Frankenstein) , le biotope original en plein espace avec de drôle de bestioles . Mais le développement est lent , les dialogues lourds et trop abondants , le scénario embrouillé . Quelques clichés très « pulp » ( la demoiselle dans son bain de mousse !) . Cependant ce n’est pas désagréable à lire au total.
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La paix des étoiles, tome 3 : L'Étoile sauvage

Ce titre exhumé des entrailles de ma bibliothèque date de 1968 . Il s’agit d’un bon vieux space-opera à la papa ,qu’on en juge. Dans un avenir lointain ,l’humanité s’est répandue dans un univers largement peuplé d’entités diverses ( E.T. , robots, étoiles pensantes …) . Deux branques ont décidé de fabriquer une étoile (pas dans leur garage mais presque) et mettent en péril le cosmos..En contrepoint , le personnage principal ,le gentillet et fade Quarmodian , veut retrouver sa Molly qui l’a plaqué pour un des deux fabricants d’astres susnommés. L’écart entre les deux arcs narratifs (cosmique et popote) est dur à assumer , le récit manque de souffle, les concepts scientifiques (la pensée d’un bébé étoile !) assez flous , avec cependant une apologie de la coopération et de l’ouverture aux autres plutôt sympathique. Naïf et pour tout dire obsolète.
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Les gogos,  tome 1 : Planète à gogos

Ce serait mentir que de parler de relecture. Car pour cela, il faudrait se souvenir de la première. Et si je suis certain d’avoir déjà lu ce livre — ainsi que ça suite Les gogos contre-attaquent — j’ai franchement eu l’impression de découvrir l’œuvre. Bon. À ma décharge, cette première lecture c’est faite il y a près de 40 ans. Dans une autre vie, quoi. CE n’est pas la première fois que je redécouvre un roman déjà lu de nombreuses années au paravent, mais cette fois-ci c’était en connaissance de cause.



Je pense que mon opinion est la même. Une lecture très agréable et un thème intéressant. Une société centrée sur la surconsommation dans laquelle le développement durable n’aurait pas sa place ; où les divertissements ne consistent pas en la lecture d’un livre ou le visionnage d’un film, mais dans la lecture ou le visionnage de publicités ventant des produits conçus pour vous inciter — forcer serait approprié — à en consommer certains autres. Une société dans laquelle les agences de publicité sont omniprésentes et toutes puissantes, font du lobbying à tour de bras pour manipuler les gouvernements comme les individus.



Bien sûr, le héros-narrateur a beaucoup de chance dans son malheur. Hé ! c’est de la SF américaine des années 50. C’est donc toujours plus proche du blockbuster que du roman psychologique. Toutefois, malgré ce côté bourrin, ce roman fait passer un message.



Je ne lui ai, en fait, trouvé qu’un seul défaut : Un délire à propos de C02 liquide commercialisé sans qu’on sache pour quoi faire et qui se trouverait en abondance dans le sous-sol de Vénus. C02 que les héros se proposent d’utiliser pour provoquer un effet de serre sur cette planète et ainsi lui assurer une température de 25 à 28 °C toute l’année. On trouverait aussi dans le sol de cette planète du NH4 à l’état liquide. Comme ce sont là les seuls éléments scientifiques du roman et qu’il n’en est question que pendant deux pages, il est facile pour le lecteur de mettre ça au fond de sa poche avec un mouchoir par dessus. Oublions donc l’inculture scientifique de nos deux écrivains.



En bref : J’espère bien trouver la suite d’occasion pour finir la lecture de ce diptyque littéraire. Mais rassurez-vous : le premier peut se lire seul. alors n’hésitez pas.




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Les gogos,  tome 1 : Planète à gogos

Planète à gogos (1953) est un roman de science-fiction de Cyril M. Kornbluth et Frederik Pohl. La Terre n'est plus gouvernée par des politiciens mais par des publicitaires sans scrupules. La surpopulation gangrène la planète bleue et une agence est chargée de convaincre les consommateurs de se rendre sur Vénus. Un roman détonant sur notre système capitaliste.
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L'ère du satisfacteur

Charles Forrester, né en 1932 était un pompier qui malheureusement à été brûlé vif lors d’un incendie en 1969, il avait alors que trente-sept ans. Il a été ramené à la vie après une longue période d’hibernation et ainsi, il se réveille en 2527 après J.C. C’est donc en cette période que l’histoire débute et dans laquelle on le suit où, un nouveau monde l’attend et qui lui est totalement incompréhensible.

Dans cette nouvelle ère, il y a un objet qui est précieux pour avancer, il s’agit du satisfacteur : un télétransmetteur-répondeur servant aussi bien de téléphone, carte de crédit, de bar portatif, bref une vraie secrétaire à plein temps. Bien évidemment tous ces services ne sont pas gratuits, il faut donc que Forrester trouve du travail et quelque chose qui paye bien vu que le taux d’inflation est élevé dans ce siècle.

Bien que l’intrigue est assez fictive, elle reste néanmoins bien imaginée et crédible sur beaucoup de points, entre autres avec la nouvelle technologie qui peut être comparable avec ce que l’on a aujourd’hui.

Dès le début du livre, j’ai toute de suite été happée par l’histoire puisque l’on explore en même temps que Charles ce nouveau monde et donc on va de surprises en surprises.

De plus, la plume de l’auteur étant simple et sans fioritures cela rend cette lecture très agréable à lire et compréhensible.

Pour conclure, c’est le premier livre que je lis de cet auteur et certainement pas le dernier car très abordable et addictif. Bref, un petit roman de science-fiction que je recommande également aux lecteurs débutant dans ce genre littéraire.




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La Grande Porte, tome 1 : La grande porte

Dans un futur lointain où la surpopulation et la surconsommation des ressources ont laissé les humains dans un état regrettable, mais non sans espoirs. Le pétrole et les minéraux sont extraits puis transformés en nourriture.



Une solution consiste à devenir prospecteur sur la Grande Porte. La Grande Porte est un ancien port spatial extraterrestre, avec une flotte d'anciens vaisseaux spatiaux préprogrammés pour se déplacer. Le problème est que les scientifiques ne peuvent pas comprendre comment ou pourquoi les navires vont là où ils vont et s'ils reviendront ou non. La prospection consiste à sortir un navire et à voir ce qu'ils peuvent trouver, les artefacts extraterrestres pourraient valoir des millions s'ils sont utiles pour la science, ou un prospecteur pourrait sortir et revenir sans rien, ou ils ne pourraient pas revenir.



Personnellement, je m'attendais à un Space Opera, dans lequel les personnages vont à la quête d'objets extraterrestres et découvrir les Heechees, cette mystérieuse civilisation extraterrestre dont on ne sait rien.



Mais cela reste tout de même un bon roman.
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