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Critiques de Gérard Delteil (71)
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Pièces détachées

Avec ce bon roman policier , Gérard Delteil a obtenu les prix du Quai des Orfèvres 1993 et c'est bien mérité ..

Une histoire rondement menée , une écriture fluide , des personnages bien décrits dans leur attitudes , et 2 enquêtes qui se rejoignent ...

On comprend assez vite le lien entre les 2 meurtres , mais une lecture vraiment agréable ..
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Le trésor de Tupac Amaru

Petit livre pour la jeunesse qui nous montre les problèmes relatifs à certains pays d'Amérique du sud ...

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Les écoeurés

Bien. Pour moi ce n'est pas le meilleur (ni le moins bien) de Gérard Delteil ! Je reste avec "Inondation" dans mon cœur. Mais je ne crache pas dans la soupe, j'ai bien aimé le jeune flic stagiaire un peu pris pour un pion qu'on manipule à son insu mais qui (pas si con) ne va peut-être pas faire de vieux os dans la police. Inutile de me dire que je me trompe , que la fin est ouverte ... je fais ce que je veux avec mes rêves et mes affections ! ;))
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Les écoeurés

Les Écœurés se lit quasiment comme un reportage. La démonstration, une nouvelle fois, que beaucoup d'auteurs de polars ont un talent particulier pour capter les difficultés du monde.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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Les huit dragons de jade

Peut-être celui de Gérard Delteil que j'ai le moins apprécié
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L'inondation

Excellent ! Un peu barré certes, mais j'en garde le souvenir d'une grande farce : un braquage en plein Paris alors que chacun et chacune cherche à survivre, des petits malins se transforment en batraciens pour toucher le pactole !
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Les écoeurés

Les Écoeurés : polar gilet jaune, acte 1.



Saint-Plennech est une petite ville portuaire de Bretagne. Les chantiers navals y ont fermé depuis un bail. Le tourisme ne marche pas. L'emploi est précaire, caissière, quelques saisonniers, des petits boulots ou un taf à l'usine d'engrais chimique qui est aussi le plus gros pollueur de la région. Sinon c'est le chomdu. Alors Saint-Plennech n'échappe pas à la vague Gilets Jaunes. Ils s'installent sur le rond-point du Mouchoir-Rouge.



Tout juste sorti de l'école de police de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, le lieutenant Alain Devers est affecté en Bretagne à Saint-Plennech. Il n'y est pas connu, le commissaire Barjac lui demande d'infiltrer les Gilets Jaunes. Il devra aussi rendre compte à l'expérimenté capitaine Gantois de la DGSI ( les Renseignements Généraux ). A travers le regard d'Alain, des bribes d'infos que j'avais en mémoire prennent vie. C'est certain, ce roman repose sur une solide documentation et il fera sans doute référence pour ne pas oublier.



Il y a eu un crime. Une Gilet Jaune est morte renversée par une voiture qui a forcé le barrage filtrant du rond-point du Mouchoir-Rouge. Le chauffeur a pris la fuite sans être identifié. L'enquête officielle n'est pas une priorité. Alain Devers a été accepté tout naturellement par les Gilets Jaunes et il est aux premières loges pour apprendre à connaître la victime et son passé, licenciée récemment d'un super-marché où elle s'occupait de la compta. Elle avait découvert des trucs louches. Les recherches d'Alain Devers n'occupent qu'une petite place dans le roman. Il bénéficie de la chance du débutant. Le suspense et les rebondissements ne sont pas au rendez-vous mais peu importe, l'immersion au sein des Gilets Jaunes de province est bien plus passionnante.



Grace à ce roman de Gérard Delteil, il sera possible de se rappeler ce qu'a été ce mouvement social loin de la violence parisienne qui est ici juste évoquée. Alain Devers a été envoyé parmi les Gilets Jaunes car il s'agissait d'anonymes qui n'avaient eu aucun engagement politique ou syndical. Il y avait des chômeurs et des retraités mais beaucoup rejoignaient les ronds-points après leur travail. Le lecteur revoit des images bien connues, cabanes faites de matériaux de récup, les chicanes avec des pneus et les slogans que l'auteur reprend comme titre de chapitre



L'auteur réussit à faire vivre cette communauté dans laquelle personne ne demande des comptes à personne. Cette communauté a ses peurs, celles des épouses effrayées par l'engagement de leur mari. Cette communauté doute, elle veut poursuivre la lutte en bloquant les industries mais que faire face à l'exaspération des petits commerçants, des ouvriers retardés sur le chemin de leur travail ou des caissières de centres commerciaux désertés ? Certains, comme Bruno Delbecq, veulent structurer le mouvement. Même s'ils sont respectés, il ne sont pas écoutés. Il y a la tentation de se présenter aux élections européennes qui se profilent. Il y a les réseaux sociaux qui véhiculent des messages contradictoires. Il y a des complotistes qui véhiculent des discours haineux.



La vision de ce mouvement social est également détaillé côté représentants de l'Etat. La sous-préfète voudrait parler à un représentant fiable. Pour le commissaire il faudra bien un jour débloquer la situation par la force "faire les zouaves sur le rond-point passe encore, mais qu'ils bloquent le port,ça dépasse la ligne rouge".



Licencier, harceler, c'est un crime. Gérard Delteil en a fait un roman noir.
Lien : http://romans-policiers-des-..
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Les écoeurés

Le bandeau fluorescent qui ceinture ce livre annonce la couleur : « les Ecoeurés » est le premier polar consacré aux gilets jaunes. Le roman s'ouvre sur l'avertissement d'usage : cette oeuvre de fiction est inspirée de faits réels qui ont défrayé la chronique ces derniers mois. L'auteur a situé son récit à Saint-Plennech, une sous-préfecture de Bretagne fictive derrière laquelle on reconnait Saint-Malo. Alain Devers y dépose ses valises pour effectuer un stage dans le cadre de sa formation de lieutenant de police. Son supérieur l'envoie sur les ronds-points pour qu'il surveille discrètement les manifestants. Un week-end, une femme qui participait à un barrage filtrant est tuée après avoir été renversée par un véhicule. Le chauffard a pris la fuite sans que personne ne relève sa plaque. le jeune policier prend l'initiative de le rechercher sur son temps libre.



Le récit repose sur deux enquêtes qui apparaissent comme totalement secondaires. Ce roman est plutôt conçu comme un documentaire sur les gilets jaunes. L'auteur se focalise sur une ville de province. Les violences sur les Champs-Elysées n'apparaissent qu'en second plan. Le mouvement est montré sous une lumière crue : mobilisation spontanée, organisation anarchique, revendications contradictoires. Des manifestants apolitiques côtoient des militants d'extrême gauche et des illuminés adeptes des théories du complot. Certains font le choix de la violence, d'autres celui du dialogue. Les autorités peinent à trouver des interlocuteurs car les chefs et les porte-paroles sont vite brocardés. Gérard Delteil s'attache à révéler ce qui se cache en arrière-plan d'un tel mouvement : manipulation, infiltration, récupération… Mais ce qu'il faut surtout retenir de ce roman, ce sont les portraits des « écoeurés» dépeints avec beaucoup de réalisme : Claire complète son allocation chômage en faisant des heures de ménage au noir ; Bruno, un autoentrepreneur, parvient difficilement à payer les traites de son pavillon ; Nicole vient de perdre son poste de comptable part haranguer les automobilistes à un carrefour…

Un tableau sincère et exhaustif du mouvement, parfois schématique sur certains de ses aspects.

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Gombo

C'est toujours un plaisir de lire Gérard Delteil ! Un grand écrivan, par son style et sa maîtrise des techniques de la narration ! Et, cerise sur le gâteau, il est un critique implacable de notre société capitaliste. Que l'histoire se passe en France, en Amérique latine (Chile, Argentine), en Afrique (Cameroun, Algérie), Delteil sait de quoi il parle, sa fiction est toujours un stratagème pour dénoncer les crimes du l'impérialisme. soit sous une dictature, soit dans un pays démocratique.
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Le conjuration florentine

J'ai trouvé que c'était une bonne idée de lire ce livre avant mon séjour à Florence. J'avoue qu'il ne m'a pas beaucoup servi une fois sur place, exception faite des personnages historiques qu'il m'a permis de mieux resituer dans leur contexte. Mais j'ai beaucoup aimé cette fresque historique qui décrit la Florence du 15e siècle, et qui met en scène Savonarole, le jeune Machiavel et surtout, ce jeune prêtre un peu perdu qui devient espion, sans grand talent certes, mais qui nous fait pénétrer dans toutes les couches de la société, et découvrir les relations sociales, les enjeux, revendications de l'époque et leurs conséquences historiques. C'est très agréable à lire, on apprend beaucoup (sur l'histoire, la politique...), bref, j'ai passé un excellent moment avec cette conjuration !
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Mâle de mer

un couple de bourgeois fortuné, prennent a leur bord

un jeune homme fauché.

au début le jeune homme,

va trouver la croisière plutôt

plaisante, surtout que Christine n'est pas farouche,

et que jean Michel a pas l,

air jaloux.mais peux après

il va se poser des questions,

une bonne histoire pleine de surprises.
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Le Poulpe : Chili incarné

Le Poulpe est un personnage que j'aime beaucoup, inventé par un auteur que j'aime énormément et dont les premiers épisodes m'ont beaucoup enthousiasmés.



Il faut avouer que ce qui fait la grandeur d'un homme, parfois, fait la décadence d'une série. En clair, quand Jean-Bernard Pouy (une génie, est-il besoin de le rappeller), a inventé le personnage de Gabriel Lecouvreur et mis en place le concept et la bible de la série (en clair, des passages obligés, des personnages récurrents, un auteur différent à chaque fois, un titre sous forme de jeu de mots...) et qu'il a ouvert cette série à tous le monde, il a, à la fois, fait la renommée de cette collection et, à terme, l'a condamnée.



Car, d'avoir tenu parole en acceptant de publier toutes les histoires qui seraient écrites et ce quelqu'en soit l'auteur, il a réalisé ce que personne n'avait fait avant et, en même temps, à condamné la collection à vivre des hauts et des bas.



Au final, après presque trois cent épisodes, force est de constater que la qualité littéraire de ceux-ci oscillent entre l'excellent et l'exécrable. Et, entre les deux curseurs, nombre d'épisodes ne parviennent pas à trouver leur place faute à des auteurs voulant parler à tout prix d'un sujet, au point, peut-être, d'adapter un scénario qui n'était pas prévu pour Le Poulpe, ou bien de vouloir incorporer un de leurs personnages auprès de Gabriel Lecouvreur. Ces épisodes, sans être mauvais, pouvant même être parfois bons, n'en sont pas moins des déceptions tant ceux-ci n'entrent pas dans le moule et dans l'ambiance d'un bon « Le Poulpe ».



C'était le cas avec, par exemple, « Touche pas à mes deux seins » de Martin Winckler où l'auteur incorpore son personnage de Bruno Sachs dans la série et c'est encore le cas avec le titre d'aujourd'hui où le sujet semble avoir été choisi pour un autre projet et l'auteur l'aurait remanié pour y incorporer Le Poulpe.

En effet, Gérard Delteil est un auteur confirmé dont il est difficile de mettre en doute la qualité de plume. D'ailleurs, je ne me risquerais pas à cette extrémité, n'ayant rien à redire sur la qualité littéraire intraséque du roman dont il est question.



Seulement, l'on sait Gérard Delteil passionné d'Amérique Latine et on connait l'engagement politique de l'auteur. Si l'engagement politique n'est pas un frein à l'écriture d'un bon Le Poulpe, la plupart des auteurs de base de la série sont très engagés, le sujet sur le chili, Pinochet et cette histoire de momies n'avait, selon moi, que très peu de chance d'intéresser Gabriel Lecouvreur. Non pas que le bonhomme soit rétif aux voyages, ni qu'il ne soit pas touché par les problèmes de dictature, mais, j'ai du mal à le voir s'intéresser à cette histoire de momies, d'autant que l'auteur ne parvient pas vraiment à nous faire comprendre les motivations du héros (à part l'argent ?) et qu'il semble plus pousser par une tierce personne que par sa propre curiosité (qui est sa source habituelle de motivation).



À partir de là, je me demande ce que va foutre Lecouvreur au Chili et je me désengage de l'histoire et c'est fort dommage.



Dommage car, avec une motivation bien établie ou, mieux, avec un autre personnage, un journaliste Chilien, par exemple, quelqu'un touché de prêt par le fait divers, le roman aurait pu être tout autre.



Effectivement, le sujet pouvait être intéressant bien que j'ai du mal à croire que l'on puisse confondre des momies de plusieurs milliers d'années avec des corps récemment momifiés, surtout lorsqu'elles sont destinées à des musées. Je ne sais si l'auteur a trouvé cette idée dans des rumeurs...



Pour autant, le sujet pouvait surtout être prétexte à exposer l'histoire du Chili et des pays alentours...



Mais, Gabriel Lecouvreur étant de la partie, le fait de respecter la « Bible » du Poulpe, empêchait, de facto, de produire une oeuvre appronfondie et renseignée.



Reste alors une petite histoire sympathique dans laquelle, pour moi, Gabriel Lecouvreur ne trouve jamais sa place. Il a beau se trouver dans la mouise, boire des bières, vivre des péripéties, rarement j'ai eu l'impression de lire un vrai « Le Poulpe ».



Au final, un roman qui se lit sans déplaisir mais qu'il est difficile d'apprécier réellement en tant qu'un « Poulpe » tant les motivations du héros demeurent floues.
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Les années rouge et noir

Un véritable flash back dans ma jeunesse , des noms et des "affaires" qui me reviennent à la mémoire à la lecture de cet excellent roman . Bien documenté , bien écrit , on ne se perd pas dans les personnages malgré qu'ils soient nombreux bref un moment de lecture agréable .
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Le Poulpe : Chili incarné

Les aventures de Gabriel Lecouvreur, alias le Poulpe, héros récurrent, ont la particularité d'être écrites par un écrivain différent à chaque roman. Ici, c'est G. Delteil qui s'y colle et nous emmène en Amérique du Sud. Il "pérégrine" au Chili et au Mexique tandis que les témoins se font dessouder.



Allègre et de style humoristique, le thème a pourtant un substrat véridique : des militaires chiliens auraient vendu à des archéologues européens de fausses momies fabriquées à partir des cadavres d'opposants politiques torturés et assassinés.



Un roman dans la tradition, qui respecte le cahier des charges du Poulpe.

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Le Poulpe : Chili incarné

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Les Pilleurs de Bagdad

De quoi ça parle ?

Entre 2000 et 2003, après la chute de Saddam Hussein et à l'aube de la guerre en Irak, trois personnes qui ne se connaissent pas vont être amenées à se croiser à Bagdad.

Capitaine Mike Diaz, militaire américain d'origine mexicaine au CV impressionnant va être contacté par un mystérieux commanditaire afin de réaliser une opération top secrète un peu spéciale : voler des objets d'art dans le musée de Bagdad.

Betty Grisham, pacifiste australienne, qui veut manifester contre la guerre sur place, va demander l'aide de son père aux multiples relations, afin de pouvoir se rendre sur les lieux. Après quelques ratés, elle va être rattachée à l'équipe de Diaz, sous la casquette de journaliste free-lance.

Et enfin, Malek, petit trafiquant de ferraille irakien, enlevé par les agents secrets de Saddam Hussein pour cultiver sa ressemblance avec le dictateur et devenir son sosie.

Ces trois individus vont tenter tant bien que mal de survivre à cette guerre et tous ses dangers...



Mon avis :

Le sujet est original pour un thriller : une opération secrète visant à piller des objets d'art et une séquestration à des fins politiques, le tout sur fond de guerre d'Irak.

L'histoire est narrée à plusieurs voix : celles des trois personnages principaux et celles des personnages secondaires à une fréquence plus ou moins régulière. C'est un type de récit qui me convient, ajoutant un peu de piment à la narration.

Le style d'écriture est agréable à lire : fluide et simple. Les personnages sont peut-être un peu trop caricaturaux entre le soldat américain hyper courageux que rien n'arrête et la fille de bonne famille aux idées rebelles et révoltées. Celui de Malek me semble plus travaillé et moins stéréotypé.

Bizarrement, c'est un livre qui aurait pu me plaire par différents aspects : le récit dicté par plusieurs narrateurs et le style d'écriture qui se lit bien, mais je n'ai pas accroché. Je n'ai pas réussi à entrer entièrement dans l'histoire mais sans pouvoir dire pourquoi. Peut-être est-ce dû aux personnages vus et revus ? Peut-être par l'histoire qui reste simple et sans trop de suspense ? Je ne sais pas. Je ne vous déconseille quand même pas de le lire mais je ne pense pas que ce soit nécessaire. C'est un roman que je vais vite oublier, je crois.
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Riot gun

Très bon polar dans lequel le suspect est son propre enquêteur et vice versa. Victime d'un coup monté, il tentera de démontrer son innocence avec l'aide d'un journaliste, Lubin, qui travaille pour son propre compte. La chute est pour le moins désarmante !
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L'inondation

Paris, janvier 2011, la Seine déborde.

Les parisiens se retrouvent pris au piège avec la montée des eaux qui se fait à une vitesse incroyable. C’est l’histoire de plusieurs parisiens qu’une seule chose relie, la crue a atteint le menton du Zouave du pont de l’Alma. Certains sont réquisitionnés en cellule de crise à Europe Télécom ou à la Préfecture ; pendant que d’autres s’organisent pour survivre, apportent leur aide bénévole ; alors que d’autres sont ravis et en tirent profit pour réaliser le braquage du siècle. Mais les adeptes de la secte le Temple de la science mentale croient en l’Apocalypse et vont tenter d’aggraver la montée des eaux.

Livre captivant avec une intrigue bien ficelée mais je m’attendais à un peu plus d’action dans ce roman.

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Les années rouge et noir

Un thriller aux rebondissements multiples. Un récit dense mais fidèle à la réalité historique, politique et sociale qui nous plonge au cœur d’une époque complexe.
Lien : http://www.bodoi.info/les-an..
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Les années rouge et noir

De mai 1942 à mars 1978, un récit à la fois historique et politique de le vie française à travers des portraits de Parisiens dont les parcours s'entre-mêlent . Facile à lire, un rappel des leçons d'histoire du lycée et de nos propres souvenirs .
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