Citations de Guillaume Guéraud (247)
Mon âme est pleine de cicatrices.
Reste quand même sur tes gardes ! lui recommanda Clift. Je ne souhaite pas te voir avec un piercing dans les pupilles et un tatouage au fond des orbites.
Un bon citoyen est un citoyen aveugle !
Ils s'étaient croisés sans le prévoir sur le palier. Il revenait des urgences et elle partait pour ne plus revenir. Il n'avait pas tendu sa main couverte de pansements pour la retenir. Il était resté sur le palier froid en contemplant la rampe terne de l'escalier.
Il avait brûlé des milliers de rétines - à une époque où toute une frange de la population tentait de résister - mais plus personne ne semblait désormais ignorer que les images rendaient aveugle.
Le prince charmant n'est pas un peureux. C'est un dur dans son manoir. Sa belle épée est dérisoire, mais il pense sauver le monde en pourchassant les dragons sans pleurnicher. Il danse entre les monstres embrasés de flammes et les sataniques sorcières amères.
"Je m'en fiche de la boîte à bonbons.
Un jour, je serai grand, alors je mangerai des bonbons sans demander l'autorisation à ma mère."
On ne pouvait pas encore imaginer. C'était impossible. Même dans nos plus épouvantables fantasmagories. C'était trop tôt. Même si tout laissait déjà craindre le pire, de la pollution au réchauffement climatique en passant par les centrales nucléaires, les catastrophes étaient envisageables. Mais pas ça. On ne pouvait pas soupçonner son existence avant de voir le sang couler.
"Cosmina" murmura t-il. Il n'avait jamais entendu ce prénom, mais il l'associa au cosmos et tira des plans sur la comète.
— "Oscillation de l’espace-temps"… "Polarisation"… "Coalescence"… "Inflation cosmique"… Ça te dit quelque chose ?
— On dirait que ça parle d’amour.
Aucun trouble. Aucune perturbation dans ses rétines. Tandis que l’homme s’arrachait les cheveux à pleines mains, tandis que la femme fourrait les siennes dans la bouche pour s’empêcher de hurler davantage, tandis que leurs voix s’éteignaient et que leurs corps soubresautaient comme des pantins électrifiés, la luminosité du ciel terne ne vacilla même pas.
Arrivé au sommet de la côte, j’ai aperçu les premiers rayons du soleil, ils tremblotaient comme s’ils hésitaient à se montrer.
Le sous-bois était encore trempé, à cause du déluge de la veille, et toutes les feuilles mortes brillaient. On aurait dit un tapis moelleux et majestueux sur lequel reposait la forêt toute entière.
La pluie a dégringolé toute la journée. Mais pas le genre de petite pluie qui rafraîchit, non, un vrai déluge. Les gouttes qui tombaient étaient carrément plus grosses que mes poings. On ne pouvait même plus voir la forêt depuis la fenêtre. Mais ça n’avait pas l’air de déranger mémé Kalachnikov. Au contraire.
-Il pleut comme vache qui pisse ! elle a dit en se frottant les mains de satisfaction.
-Il est l’heure de déjeuner, Loulou, je vais te préparer une bonne tarte aux orties !
Sans rire, voilà le genre de trucs qu’elle me force à manger.
-C’est bon pour mon arthrose ! elle a précisé. Parce qu’elle aussi a une maladie qui se finit par « rose », mais encore rien à voir avec la couleur,…
Cette histoire sentait le soufre.
"Les questions se posaient ainsi d'une autre façon : Qui cette arrestation arrangerait-elle ? Qui échappait ainsi aux soupçons de la population ? Qui avait enregistré les aveux ? Qui avait alignait docilement les mensonges dans le journal ? Les réponses étaient les mêmes : la femme du maire, le maire, le commissaire et le chef de La Gazette.
Ces quatre jouaient sur le même tableau depuis le départ.
La porte s'est ouverte dans notre dos "
J'ai adoré lire ce livre, le résumé apéritif est très intriguant et il nous donne envie de lire ce roman.
Ce qui est génial également, c'est que c'est une petite histoire, le nombre de page n'est pas très important donc il est facile à lire.
Malgré le langage familier, je trouve que ce livre est complètement adapté aux jeunes d'aujourd'hui. Il y a une certaine réalité par rapport à la violence et à l'harcèlement entre jeunes et c'est ça qui nous pousse à aller jusqu'au bout de celui-ci.
Rien ne m'a déplu, très bon roman.
La première de couverture et le résumé apéritif sont intriguant, il donne envie de lire le livre.
Le langage utiliser dans le livre est assez facile à comprendre, il est un peu vulgaire et est donc destiné à des jeunes adolescent et pas des enfants.
Durant la lecture, on se pose différentes questions où l’on a pas toujours les réponses comme « que ça devenir Martial? »
Pour conclure, je trouve que ce livre est chouette, qu’il donne envie grâce a son nombre de page et que l’histoire donne une bonne moral.
"Les journalistes brassaient du vent et mes illusions en ont profité pour se faire la malle".
Il se mordit la langue pour ne rien leur avouer car, d'après ce qu'il avait pu voir dans les films,les super-héros ne dévoilaient jamais leur véritable identité trop tôt. C'était toujours la fille qui découvrait la vérité juste avant la fin. Et comme ça la rendait amoureuse, évidemment, elle embrassait le super-héros. Paco avait d'épater ses camarades mais il ne dit rien. Il comptait sur Esperanza pour le démaquer toute seule et l'embrasser juste avant la fin.