Citations de Holly Black (976)
Lorsqu'un grand pouvoir est concentré en un seul point, certains sont prêts à se battre pour en obtenir des miettes. Quand la cour n'est pas occupée à boire du poison, elle boit de la bile.
Tu n'es rien ! L'espèce humaine prétend être résiliente. La vie des mortels n'est qu'un long simulacre ! Si vous n'étiez pas capables de vous mentir à vous-mêmes, vous vous trancheriez la gorge pour abréger votre misère.
"- Mais pourquoi ? [?]
- Parce que tu es comme une histoire qui n'a pas encore été écrite. Parce que j'ai envie de savoir ce que tu feras ensuite. Je veux faire partie de la suite du conte."
"It's you I love," he says. “I spent much of my life guarding my heart. I guarded it so well that I could behave as though I didn’t have one at all. Even now, it is a shabby, worm-eaten, and scabrous thing. But it is yours." He walks to the door to end the conversation. “You probably guessed as much," he says. "But just in case you didn't."
Cardan
Si tu es le mal, je suppose que tu ne peux pas être aussi le remède.
" Avant tout je te déteste parceque je pense à toi"
Mais elle ne l'écoutait pas. Sa bouche était entrouverte, souris fascinée, amoureuse d'un serpent.
Quand une personne vous a blessé, il devient difficile de se détendre en sa présence et presque impossible de revoir en elle quelqu'un qu'on peut aimer. Ce qui n'exclut pas le désir. Il m'arrive même de croire que ce sentiment en est exacerbé.
-Non... Eh, regarde ! lança Jared en lui montrant le livre. ça, c'est un farfadet.
-Un quoi ?
-Un farfadet.
Il désigna une image à Simon. Sur le papier jauni était dessiné un petit homme muni d'un plumeau. A côté de lui apparaissait une silhouette voutée, également de petite taille, mais armée, elle, d'un morceau de verre.
Il n’y a pas de place pour les regrets quand on est occupé à tenter de gagner. Ou du moins à ne pas mourir.
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p.210
- Avant tout, je te déteste parce que je pense à toi. Souvent. Ça me dégoûte, et je ne peux pas m’en empêcher.
Ni la loyauté, ni l’amour ne devraient être obtenus de force
'In the mortal world, when I thought you were my enemy, I still missed you.'
'My sweet nemesis, how glad I am that you returned.'
Parce que tu es comme une histoire qui n'a pas encore
été écrite. Parce que j'ai envie de savoir ce que tu feras
ensuite. Je veux faire partie de la suite du conte.
Ça fait du bien de se battre contre quelqu'un d'autre que soi.
- J'ai essayé de vous tuer, me rappelle-t-elle.
- Les relations qui ont compté dans ma vie se résument à ça, je rétorque. Quoiqu'il en soit, moi, je vous aime bien.
-C'est toi, que j'aime, confesse-t-il. J'ai passé une grande partie de ma vie à préserver mon cœur. J'ai si bien réussi que je pouvais faire comme si je n'en avais pas. Aujourd'hui, ce n'est plus qu'un organe scabreux, abimé et rongé par les vers. Mais il t'appartient.
Si tu est le mal, je suppose que tu ne peux pas être aussi le remède
“ Aïe de l’audace, aïe de l’audace, mais point trop d’audace, de crainte que dans ton cœur le sang se glace ”