Io Sakisaka

Ces deux premiers tomes placent le décor et permettent d‘introduire les personnages au public en douceur. Si le début de l’histoire semble banal, l’évolution du récit n’est pas ennuyeuse pour autant. On prend plaisir à suivre de sympathiques personnages pleins de bonnes intentions.



Le personnage de Saku est attachant. Cette jeune fille s’accroche à l’idée de pouvoir remercier la personne qui l’a sauvée et qui lui a permis de voir la vie autrement. Si sa démarche peut paraître niaise, on se rend rapidement compte que l’histoire va prendre un tournant auquel elle ne s’attendait pas.



La relation entre Saku et Sakura est douce, réchauffe le cœur, et ce qui était au départ une relation basée sur un échange de bons procédés devient rapidement une belle amitié (ou plus ?).



Ce manga m’a fait penser à « Orange » et à « Blue Flag », et fait partie de ces lectures douces et réconfortantes, certes légères et qui peuvent sembler vues et revues, mais dont on a tous et toutes besoin de temps en temps parce qu’elles font du bien !



Les illustrations sont douces, agréables à regarder, et se marient à merveille avec le récit. Il me tarde de lire la suite, le troisième tome est prévu pour le mois d’août !

Ces deux premiers tomes placent le décor et permettent d‘introduire les personnages au public en douceur. Si le début de l’histoire semble banal, l’évolution du récit n’est pas ennuyeuse pour autant. On prend plaisir à suivre de sympathiques personnages pleins de bonnes intentions.



Le personnage de Saku est attachant. Cette jeune fille s’accroche à l’idée de pouvoir remercier la personne qui l’a sauvée et qui lui a permis de voir la vie autrement. Si sa démarche peut paraître niaise, on se rend rapidement compte que l’histoire va prendre un tournant auquel elle ne s’attendait pas.



La relation entre Saku et Sakura est douce, réchauffe le cœur, et ce qui était au départ une relation basée sur un échange de bons procédés devient rapidement une belle amitié (ou plus ?).



Ce manga m’a fait penser à « Orange » et à « Blue Flag », et fait partie de ces lectures douces et réconfortantes, certes légères et qui peuvent sembler vues et revues, mais dont on a tous et toutes besoin de temps en temps parce qu’elles font du bien !



Les illustrations sont douces, agréables à regarder, et se marient à merveille avec le récit. Il me tarde de lire la suite, le troisième tome est prévu pour le mois d’août !
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Plus qu'un tome avant la fin de la série et cela se ressent. Le deuxième couple finit par se former (peut-être avec un peu plus de maturité que le premier) et ce sont les premiers émois plus charnels qui commencent à hanter les protagonistes.

Comme à son habitude, Io Sakisaka traite tout cela avec beaucoup de douceur et d'empathie, reconnaissant à ses personnages le droit de se tromper, d'avoir peur ou au contraire d'être excité par les petites joies du quotidien.

Du coup, je me demande ce que réservera le dernier tome.
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A un tome de la fin, l'autrice a enfin eu pitié de ses lecteurs et comme l'annonce cette belle couverture toute souriante, chacun trouve enfin le bonheur !



Io Sakisaka nous aura fait mariner et attendre pour voir enfin se mettre en place le couple Inui-Akari qui était pourtant tellement évident depuis le début. Ces deux grands nigauds maladroits m'auront souvent donné envie de leur botter les fesses mais quel bonheur j'ai eu à les voir se déclarer ! L'autrice a orchestré ça de mains de maître avec tout le suspens et les ressors connus des shojos mangas lycéens et pourtant ça ne m'a pas déplu. Il faut dire qu'elle a fait un si joli travail sur eux, que c'était impossible de ne pas les soutenir. Akari, c'est celle à qui on a tellement renvoyé une image de fille superficielle, qu'elle croit vraiment l'être et être vide. Du coup, elle se dévalorise sans cesse et n'ose pas se battre à fond pour ses sentiments, ce qui est terriblement triste. Inui, lui, est la victime collatérale de la brouille entre son frère et ses parents. Du coup, il n'ose pas vivre ses rêves à fond. Alors avec ces deux bras cassés le chemin fut vraiment long, mais il en valait le coup. La déclaration pour qu'enfin il se trouve est parfaite. Io Sakisaka a eu pour cela un excellent sens du rythme, de l petite phrase et un choix de lieu parfait. Bref, c'est LE moment qu'on attendait tous et il a été sublime, tout en douceur et humour, juste comme les personnages.



L'autre couple n'est pas en reste, car s'il est un peu plus en retrait depuis quelques temps, lui aussi a des choses à dire. Avec Ryo et Yuna, on est face à un couple désormais ensemble depuis quelques mois, dont au moins l'un des deux aimerait voir les choses évoluer. Il est ultra cocasse de voir ce pauvre Ryo vouloir aller plus loin sans que Yuna le saisisse parce que son "plus loin" à elle est bien différent du sien. En dehors de ça, sur la fin du tome arrive la question de la manifestation de l'amour dans l'espace public au Japon, ce qui est fort intéressant. On sait que les Japonais sont bien plus pudiques et réservés que nous, preuve en est encore ici. Puisque juste la vue d'un jeune couple s'enlaçant suffit à être la source de commérages et de remontrances. Suite au prochain numéro ^^



Mais parce que Love, Be Loved, Leave, Be Left ce n'est pas que des histoires d'amour, j'ai beaucoup aimé que l'autrice évoque les parents de Ryo et Akari. Il est bien rare dans les romances lycéennes d'entendre parler des parents sauf comme éléments perturbateurs de la romance. Alors c'est chouette d'entendre parler de problèmes familiaux dus à une mésentente des parents, de voir les conséquences d'une dispute sur les enfants, etc.



Cette série d'Io Sakisaka continue donc d'être un shojo lycéen classique mais de grande qualité avec de beaux personnages très humains dont les mésaventures ne peuvent que toucher le lecteur et lui rappeler peut-être son adolescence. L'autrice mélange à merveille romance, amitié et histoires de famille. Elle termine d'ailleurs ce tome sur un ultime rebondissement bien connu des fans du genre qui associe les trois et n'est pas sans agacer le lecteur ^^!
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Futaba est une collégienne discrète et féminine. Ce charme discret plaît beaucoup aux garçons notamment à Tanaka, qui est un garçon tout comme elle discret. Mais le fait qu'elles plaisent aux garçons est loin de plaire aux filles... Tanaka et elle se tournent autour timidement jusqu'au jour où ce dernier déménage brusquement. Ils se retrouveront quelques années après mais tous les deux ont bien changés...



En cherchant des recommandations de shojo, celui-ci ressortait systématiquement. Il est adoré par beaucoup de monde. Je ne sais pas si j'ai adoré mais en tout cas j'ai aimé. Les dessins sont sublimes. Vraiment. Les regards, les visages, tout est vraiment réussi. Quant à l'histoire je l'ai trouvé différente des autres. Futaba n'est pas niaise contrairement à beaucoup d'héroïnes de mangas. Elle essaye de se fondre dans le moule pour avoir des copines mais en même temps elle a du caractère. Tanaka qui paraît si timide lorsqu'il est collégien change brusquement lorsqu'il revient au lycée, il est dur, notamment avec Futaba. J'ai hâte de savoir ce qui lui arrivé (parce qu'il y a forcément une raison) pour qu'il devienne comme ça.

Les difficultés de l'adolescence y sont montrées notamment la jalousie entre filles et la difficulté d'être seul dans cette jungle que peut être le lycée.

Je commence le second tome dès aujourd'hui.

La série entre dans sa dernière phase avec beaucoup d'interrogation sur le devenir des personnages. On a d'un côté Yuna qui se questionne sur son couple, Akari et Rio qui s'interroge sur leur famille et Kazu qui réfléchit à son futur.



J'ai trouvé Yuna un peu, beaucoup trop présente dans ce tome. J'avoue que j'ai eu l'impression d'une redite de la part de l'autrice en ce qui concerne ses inquiétudes. Alors oui, ça sonne juste vu comme elle manque de confiance en elle, et oui Ryo est adorable du coup, mais c'était quand même un peu lourd à lire. Pour moi, c'est bon leur couple est formé et solide, pas besoin de mettre ce genre d'obstacle.



A l'inverse, j'aimerais bien qu'Io Sakisaka arrête de jouer avec nos nerfs en ce qui concerne Akari et Kazu. Ça va un temps de se tourner autour mais là, ça commence à faire long. Heureusement qu'elle en profite pour glisser des thèmes intéressants sur les 2e chance, la réparation des erreurs, l'entraide et l'écoute de l'autre, etc. Heureusement aussi que l'ajout du troisième membre du triangle amoureux est bien fait, que Ryonosuke est quelqu'un de bien et que l'autrice le traite tout en nuances, parce que sinon ce serait vite agaçant.



En fait, plus le temps passe, plus je me plais aux petits ajouts à côté de l'histoire principale : participation des amis qu'on ne voit qu'en arrière-plan, rôle des parents qui viennent parfois chambouler leur vie, etc. Parce que pour le reste, c'est réglé pour moi et que même si j'aime, j'ai aussi lu mieux dans ses autres séries.
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Je ne vais pas vous parler de chaque histoire courte mais dans l’ensemble elles se fondent sur des malentendus, non-dits , amour à sens unique, apparences trompeuses et les héroïnes en sortent toujours avec des leçons de vie. Le tout est plein de tendresse, de douceur et de bons sentiments. Cela m’a permis de découvrir IO Sakisaka et j’ai envie de lire ses séries, j’ai d’ailleurs quelques tomes de Love, be loved, leave, be left dans ma pile à lire.



Ce premier tome m’a permis de découvrir le style d’IO Sakisaka. Un recueil plein de tendresse qui nous embarque dans des romances lycéennes toutes mignonnes mais qui ont un petit quelque chose en plus pour nous séduire et nous faire réfléchir. Le schéma des histoires était un peu redondant mais dans l’ensemble, j’ai bien aimé.
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C'est mignon mais faut que ça bouge là !

Le fameux couple Yuna et Rio se consolide petit à petit avec tous les coeurs qu'on pourrait imaginer autour de leurs visages quand ils se voient tandis que Kazuomi et Akari sont toujours dans cet espace-temps lent où tout le monde s'aime mais personne ne se le dit. On finit le manga avec de la frustration et de l'impatience. Il y a eu une tentative pour remuer ce couple qui n'en est qu'aux prémices de se former mais ça n'a pas beaucoup influencé l'affaire.. alors nous, qu'est-ce qu'on devient ?

Un des deux couples se forme !!! Yay, après tant de péripéties, ces 2 tourtereaux se sont enfin retrouvés face à face à dévoiler leurs vrais sentiments pour notre plus grand plaisir ! Manque plus que les 2 autres... mais c'est sans compter un nouveau rebondissement que notre auteure a préparé : un ex réapparaît avec des mots durs et semble vouloir tourner autour de notre demoiselle. J'ai hâte d'avoir une fin heureuse pour nos 4 personnages.

J’ai été contente de lire à nouveau un manga de Io Sakisaka après « Strobe Edge ». J’ai retrouvé le graphisme doux de la mangaka avec des traits familiers mais pour autant j’ai découvert des personnages différents. J’ai beaucoup aimé le fait que la mangaka introduise non pas un mais deux personnages féminin.



Deux premiers rôles avec deux caractères différents. Akari est assez à l’aise et sociable, alors que Yuna à plus de mal à créer des liens surtout avec les garçons. Malgré leurs différences, elles deviennent complémentaires et amies. Leur vision de l’amour est toute aussi différente.



Akari semble protectrice envers Yuna. En effet, celle-ci tombe amoureuse du frère d’Akari nommé Rio. Est-ce un amour à sens unique ? J’ai parlé des filles mais les garçons sont bien représentés dans le manga. Avec Rio, le frère d’Akari et Inui l’ami d’enfance de Yuna. Bien qu’on puisse penser que les couples sont déjà formés et programmés, la mangaka nous complique la tâche.



Un premier tome qui est une belle surprise pour moi. La fin du manga ne peut que nous pousser à vouloir savoir la suite. On s’attache aux personnages et j’ai envie de savoir comment ils évoluent dans l’avenir.
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Kazu prend plus d’importance dans ce tome, surtout depuis qu’Akari a reconnu les sentiments qu’elle avait pour lui. Elle s’en est rendu compte lors de la rencontre organisée (goukon) à laquelle elle a participé avec Yuna. Cette dernière fait encore plus d’effort pour se rendre plus accessible aux autres (et c’est là que le futur Touma Kikuchi – Blue Spring Ride – se pointe haha). On termine ce volume par une course d’endurance, une scène que l’on retrouve souvent dans les mangas school life. Enfin je dis « termine »… Il y a encore une scène après ça, qui conclut le tome en beauté. Une scène qui nous fait nous redresser et hurler « quoiiii, je veux le tome 4 !! ». J’ai adoré.
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On entre dans le côté dramatique du manga avec ce tome 2. La fin du tome 1 nous apprenait que Akari et Rio n’était pas lié par la sang, et qu’en plus Akari est la fille qu’aime Rio (raaah personnellement, je trouve que Rio va très bien avec Akari… Difficile de dire avec qui je le préfère ^^ »). Une sacré secousse que l’on nous donne ici, et qui nous révèle une facette de Rio que l’on ignorait. Et à côté, on découvre une nouvelle Yuna qui va prendre son courage à deux mains pour se déclarer à celui qu’elle aime, même si elle connait d’avance le résultat… L’amitié de Yuna et Akari connait de plus ses premiers doutes. Et oui, il s’en passe des choses dans ce tome ! Et encore, le tome 3 n’est pas en reste !
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Résumé : Futaba a accepté de devenir la petite amie de Tôma, et fait tout pour oublier Kô. Celui-ci a attendu trop longtemps pour avouer ses sentiments à Futaba. Mais le voyage de la classe à Nagasaki, où a vécu Kô, peut se révéler à haut risque pour les sentiments de chacun.



Mon avis : Futaba s’est enfin décidée pour choisir Tôma, mais doit encore faire taire son cœur qui a des sentiments pour Kô.



Je pensais qu’elle s’était enfin décidée, mais son choix semble encore fragile. On assiste donc à de nombreux chassés-croisés entre Kô et Futaba. Kominato est toujours aussi amoureux de Murao, mais devient jaloux quand il pense que cette dernière est amoureuse elle aussi de Kô car elle a beaucoup d’attentions pour lui.



L’intrigue avance un peu, mais il y encore beaucoup d’hésitations, du coup le voyage de la classe semble être le moment des rapprochements et est peut-être le dernier détour avant la fin ?
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Lors de la lecture, je n’ai pas pu m’empêcher de me dire que la fin approchait. Kô va tout faire pour prendre Futaba à Tôma. Et en même temps, j’ai envie de dire que Futaba n’a jamais pu oublier Kô sauf qu’elle ne le savait pas encore, tandis que Tôma savait parfaitement que le cœur de la jeune fille n’était pas 100% vers lui, même s’il aurait aimé le contraire. Ce tome est vraiment entraînant et assez dynamique. Kô va régler sa situation avec son amie et va tout mettre en œuvre pour reconquérir Futaba. Il a su trouver la faille pour la faire douter et la faire se remettre en question. On va d’ailleurs suivre Futaba dans ses doutes et ses réflexions. C’est un peu le tome que l’on attendait toutes, celui où enfin le couple va se réunir après nous avoir fait souffrir, sourire, rêver et j’en passe. Même si je suis énormément chagrinée pour Tôma, vu que j’adore ce personnage, je ne peux m’empêcher de saute sur place et d’être enfin comblée d’avoir ce que je voulais. Enfin bref un tome que j’ai lu avec beaucoup d’empressement et d’attention. Il nous prépare parfaitement au tome final, que j’ai hâte de pouvoir lire.





En conclusion, j’ai retrouvé un peu toute la magie des premiers tomes, même si je n’ai jamais forcément été déçue par ma lecture, c’est vrai que le tome précédent nous fessait un peu tourné en rond. Là, nous avons exactement ce que nous attendions, même si c’est assez angoissant et oppressant, parce que mine de rien, on ne peut pas s’empêcher de douter. On sent vraiment la fin approcher et de ce fait, j’ai vraiment hâte de lire le prochain même si c’est la fin et que je serais forcément un peu triste de quitter ce petit monde.


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Je voulais attendre le dernier tome pour laisser en critique mon impression générale de ce sublime manga. Mais comme ce tome 12 préfigure déjà doucement la fin (en espérant que l'auteur ne nous fasse pas un mauvais twist final !), je laisse quelques mots...



Sous ma carapace d'adulte bat toujours un coeur d'adolescente, je crois bien. Je ne suis pas une fervente lectrice d'histoire d'amour en général, mais quand c'est si bien écrit, je me laisse totalement embarquer... Et ici, c'est le cas ! Io Sakisaka est une mangaka de très grand talent, que ce soit graphiquement (on atteint dans ce tome des sommets de sublime sur certaines cases, sincèrement !) ou scénaristiquement. Pourtant, l'histoire est classique. Elle n'échappe pas aux clichés et lieux communs du genre. Mais ça marche.



Ca fonctionne.



Et j'ai le coeur qui se serre, les sourires qui fleurissent spontanément, quand je suis avec une douloureuse et délicieuse appréhension les circonvolutions de l'histoire de Kô et Futaba.



On a envie d'y croire, jusqu'au bout. Parce qu'un amour d'une telle force, c'est juste beau. Oui, je sais, c'est de la fiction. Mais si belle, si intense, qu'on a envie d'y croire.



Vivement le dernier tome, en le rêvant d'une aussi belle conclusion qu'on a pu le rêver et l'espérer tout au long des tomes de ce très beau manga...

Résumé : Kô a invité son mystérieux correspondant téléphonique, qui traverse les mêmes épreuves que lui, à la fête du lycée. Il s’agit en fait d’une fille, Yui, avec qui il s’est lié d'amitié dans son ancien collège. C’est un choc pour Fubata, qui se demande quelles sont les relations exactes entre Yui et Kô, d’autant plus que Yui sous-entend avoir échangé un baiser avec Kô par le passé. Et en même temps, Kô embrasse Fubata lors de la fête du lycée, est-ce parce qu’il ressent des sentiments ou parce qu’il a profité de l’occasion ? Fubata ne sait plus quoi en penser, et se demande quel genre de garçon est en fait Kô…



Mon avis : L’action est relancée dans ce tome 6, avec l’arrivée d’une rivale potentielle, Yui, qui a l’avantage de connaître Kô depuis qu’il a quitté le collège de Fubata quelques années auparavant, et qui a comme point commun avec lui de partager la souffrance d’avoir un parent mort d’un cancer.



Fubata ne sait plus comment réagir, surtout quand Kô l’embrasse. Elle ne sait pas s’il ressent des sentiments pour elle ou s’il se joue de son amour pour lui. Et elle ne voit pas que Tôma est amoureux d’elle…



Les amours contrariés et croisés ont la belle part dans ce tome, et on se demande comment va évoluer la relation entre Fubata et Kô , quand on voit la scène finale du tome…
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Je suis tellement bouche-bée (satisfaite) de ce livre. Il m'a tellement plu que je ne sais pas combien de fois je pourrais le lire et le relire. C'est ma préférence des mangas et animes.

Futaba a accepté de sortir avec Kikuchi. Bien qu'elle ne soit pas encore amoureuse de lui, nous sentons qu'elle commence à développer des sentiments pour lui. Ses sentiments sont-ils sincères ? J'ai de sérieux doutes... Même si je comprends qu'elle ait besoin de passer à autre chose, je la trouve quand même un peu lâche. Elle fait semblant d'être heureuse, se ment à elle-même ainsi qu'à tous ceux qui l'entourent. Ce que je trouve encore plus cruel de sa part, c'est qu'elle ignore Kô et fait une croix sur tous les bons souvenirs qu'ils ont en commun. En agissant ainsi, elle tente de se préserver mais cette attitude est d'autant plus douloureuse pour Kô.... D'un côté, cela lui sert de leçon, mais je n'arrive pas à lui vouloir d'avoir agit comme il l'a fait.



De son côté, Murao commence à s'en vouloir un peu d'avoir caché à Futaba que Kô est amoureux d'elle. Je suis bien contente qu'elle culpabilise car c'est en partie sa faute si Futaba est désormais avec kikuchi. Elle n'a pas été honnête et cela cause désormais bien du tourment à Kô et Futaba. J'espère qu'elle va faire en sorte de réparer ses erreurs...



Concernant Kikuchi, je n'arrive toujours pas à l'apprécier. Je le trouve trop possessif, insistant et jaloux. Bon, je sais bien qu'il a des sentiments sincères pour Futaba, mais c'est agaçant tout de même.



Kominato est de plus en plus attachant. Il en volerait presque la vedette à Kô ! J'avoue que ces derniers tomes, je craque un peu pour lui. J'espère qu'il va réussir à avouer ses sentiments à Murao. Il mérite vraiment d'avoir sa part de bonheur.

Depuis le premier tome, les turpitudes romantiques des personnages sont mises en scène avec leur quotidien de lycéens. Ce n'est pas nouveau, certes, mais j'ai trouvé que ce qui arrivait dans ce tome, ce qui se rapporte à ce fameux quotidien, était bien sympa. Encore une fois, rien de nouveau à l'horizon, mais j'ai toujours aimé ce genre d'événements qui sont, il me semble, typiquement japonais. Les personnages préparent dans leur établissement différentes animations. En l'occurrence, la classe de Futaba ouvre une sorte de café et les garçons doivent s'habiller en filles et les filles en garçons. C'est l'occasion d'assister à plusieurs situations mimi où rageantes et la mangaka en profite pour présenter un nouveau personnage, celui avec une grand L, celui qui arrive pour compliquer les choses encore plus. Comme si ça ne suffisait pas.
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L'histoire d'amour si je puis dire est quasi inexistante, les personnages ne sont pas attachants du tout, je suis en pleine interrogation quant à savoir si je poursuis ou non ce manga qui comporte pourtant très peu de tome.