Io Sakisaka

J'avais acheté ce manga sur l'impulsion du moment, un jour où j'avais bien besoin de décompresser en octobre 2013. Je ne l'ai finalement lu qu'en mai 2014 et je m'en veux de l'avoir si longtemps séquestré dans les cartons de déménagements parce que j'ai a-do-ré !



Alors, oui, l'intrigue de ce shojo est encore assez téléphonée mais ce n'est qu'un premier tome. Et malgré cela, la recette a pris pour moi de façon admirable ! Futaba était une collégienne mignonne et gentille, mais qui - malgré sa timidité et son manque d'assurance - criait haut et fort qu'elle détestait les garçons... jusqu'à son rapprochement avec Tanaka lors d'un simple jeu avec leurs camarades de classe. Ils semblent plaire l'un à l'autre, mais aucun n'ose aborder le sujet ou avoir un geste significatif. Ils avancent dans leur relation à tâtons et leurs moments d'hésitation vont leur coûter cher : Tanaka déménage sans crier gare. le contact est définitivement perdu et la magie rompue.



le temps passe et l'on retrouve Futaba au lycée. On a un peu de mal à la reconnaître ; elle est passée d'une fille effacée à une adolescente exubérante qui se force à rire fort en public et à manger comme quatre pour tuer toute trace de féminité en elle et éviter les rivalités entre filles. Ses nouvelles amies n'en sont pas vraiment, mais Futaba préfère faire l'autruche. Chargée encore une fois de nombreuses victuailles, elle percute un garçon au détour d'un couloir. Quelle n'est pas sa surprise quand elle finit par découvrir qu'il s'agit de Tanaka, sa première histoire d'amour terminée avant même d'avoir commencé ! Mais son ami d'autrefois a bien changé...



Tanaka est ombrageux et son regard se fait tantôt vide, tantôt indifférent. Il raille facilement Futaba qui persévère, car une étincelle lui rappelle par moments qui il était. Elle sent qu'il se cache derrière une carapace et décide aussitôt de tout faire pour la percer. En amitié aussi, Futaba se remet en question. Makita, une élève de sa classe, fait l'objet des mêmes bruits de couloir qui l'ont poussée à repartir à zéro en entrant au lycée. Makita qui représente tout ce qu'elle aurait pu être si elle ne s'était pas laissée influencer par le comportement des autres filles.



Ce premier tome nous offre d'emblée une belle évolution de son héroïne. Tout se fait en douceur, avec un brin de nostalgie, de remords et de regrets. le crayonné de Io Sakisaka m'a pleinement conquise et j'ai trouvé les différents personnages très attachants. On pressent un drame familial derrière le changement de Tanaka, mais la mangaka sait maintenir le suspense sans pour autant frustrer le lecteur. Elle nous glisse quelques anecdotes pleines de bons sentiments et de complicité, qui nous permettent de mieux appréhender la situation ainsi que de mieux cerner les intervenants.



Un shojo pas si léger qu'il n'y paraît, touchant et empreint d'occasions manquées comme de rêves de seconde chance. L'histoire d'amour entre Futaba et Tanaka connaîtra-t-elle elle aussi un nouveau départ ? Ou nos deux jeunes gens ont-ils trop changé chacun de leur côté pour espérer un jour prochain pouvoir vraiment se retrouver ?
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Bien sur comme pour le premier volume j'avais déjà lu ces chapitres en ligne, mais bon c'est toujours mieux en livre. On retrouve Kô et Futaba dans un séjour scolaire avec trois de leurs camarades. Des amours se forment, des amitiés aussi et la nouvelle année scolaire débute pour nos héros.

Clairement, c'est le tome que j'ai le moins aimé pour le moment. Le personnage de Kotono m'énerve au plus haut point, elle m'insupporte, j'ai l'impression que Saku se fait complètement manipuler par elle...



Mais reprenons. Je ne reviens pas sur l'histoire, au risque de divulguer des passages des deux premiers tomes, mais ce joli manga de Io Sakisaka, qui nous narre le quotidien et les amours d'un groupe de lycéen, a quand même à la base beaucoup pour me plaire. Un duo de protagonistes, Haruki et Saku, mignons tout plein, et puis des graphismes tout en douceur et en délicatesse.



Simplement, j'ai été un peu déçue par la tournure que prennent les choses. J'ai peur d'enchaîner avec un manga qui traîne en longueur, et des rebondissements à n'en plus finir. J'espère être détrompée avec les prochains tomes !

Ayant apprécié le premier tome de ce manga mignon tout plein, je n'ai pas traîné pour lire le second. Il faut dire que tout cela se lit bien vite 🤭



Dans ce deuxième tome, notre héroïne, Saku, se rend peu à peu compte de la naissance de ses sentiments envers Haruki. Un début de romance qui pointe son nez.



***



On reste sur le même registre que pour le premier opus : c'est chou, les personnages sont adorables, pleins de bonté et de générosité, même si Haruki peine à le reconnaître 😅.



Comme dans nombre de romances lycéennes gravitent autour des deux protagonistes des personnages secondaires assez intéressants.



[Attention spoilers]





Kotono, par exemple, qui réalise que son petit-ami est quelqu'un de toxique. (Et qui s'en débarrasse !)



Fin des spoilers...



Bref, Sakura, Saku, c'est le genre de shojo bien sympathique et adorable qui fait passer un bon moment, une petite dose de réconfort et de tendresse. Un ouvrage qui ne révolutionne pas le genre, mais qui se lit avec plaisir !

J'ai découvert ce manga après avoir regardé l'anime quand j'étais plus jeune et je l'avais adoré donc j'ai décidé de le lire et je n'ai pas été déçue, j'ai adoré l'histoire et ses personnages et il faut que je le relise parce que ça fait tellement longtemps, ça a été un coup de cœur

J'ai trouvé cette lecture un peu décevante pour son intrigue... Je ne sais pas si c'est dû au premier tome, qui est alors vraiment beaucoup trop introductif, mais le rythme est lent, trop long.



Je suis habituée pourtant à lire des shojos, mais là ça ne va pas. L'intrigue pouvait être intéressante, mais ce rythme est donc trop long. En plus de cela, le personnage principal est bien trop naif (même si cela est propre à ce genre) mais en plus de cela, on ne le connaît seulement qu'à travers sa problématique donc c'est lassant. Certes, elle veut remercier celui qui l'a aidé, cela l'a transformé, mais que cet acte de gentillesse la bouscule autant, c'est un peu étrange... Elle n'est, à mon sens, pas si méchante que cela à la base donc c'est un peu étrange...



Donc, pour moi, c'est un flop. Le côté esthétique était pourtant là, avec un coup de crayon comme je les aime. C'est vraiment dommage...

La lenteur est de mise dans ce shojo signée de la maintenant connue Io Sakisaka. Mais c'est pour mieux prendre le temps et exposer clairement les hésitations, les revirements et les consolidations des sentiments adolescents. Il y a une réelle finesse dans l'intrigue proposée qui va plus loin que la simple romance. L'amitié, qu'elle quelle soit, tient également une place centrale.

Ce quatrième tome fait justement la part belle à ce sentiment et à tous ceux qu'il engendre.

L'intrigue romantique autour du couple principal prend aussi de l’ampleur. Vivement la suite !

Avis sur les deux premiers tomes.



Un début d'histoire tout en douceur. Après la lecture de ces deux premiers tomes, je trouve l'histoire touchante et adorable.



J'ai été ravie de constater que Saku, notre héroïne, a complètement changé sa façon d'interagir avec les autres après avoir été secourue. On se rend compte à quel point un geste qui nous semble anodin peut en réalité avoir de grandes répercussions sur une personne. C’est ainsi qu'en grandissant, la jeune femme adopte comme valeur de toujours porter secours aux autres !



C’est une adolescente attachante qui ne souhaite qu'une chose : rencontrer son sauveur et le remercier. Pourtant, à cet âge, les sentiments s’en mêlent, et la méconnaissance que l'on en a nous induit souvent en erreur.



Haruki, lui, est un garçon qui essaie de se faire discret. On comprend qu’il a toujours été dans l'ombre de son frère, et même s'il sait que celui-ci est une bonne personne et qu'il l’aime, il a souffert de la situation pour différentes raisons. Quand il rencontre Saku, il ne peut s’empêcher de l'épauler, même s’il se demande toujours pourquoi il le fait.



Les personnages secondaires comme Kotono, Daito et Mitoshi donnent un souffle supplémentaire à cette histoire. On sent que chacun a son vécu, que des attirances et des amitiés se créent, et on souhaite connaître quelle direction l'histoire va prendre.



La fin du deuxième tome ne laisse que peu d’imagination quant aux difficultés que vont rencontrer les personnages principaux, mais je suis curieuse de voir comment cela sera abordé !



Les dessins de Io Sakisaka sont tout en légèreté, et la couleur pastel des couvertures nous montre une belle douceur !
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Ce premier tome donne envie de lire la suite ! J'ai hâte de découvrir les secrets que cache Kô à Futaba ! Ce manga laisse une place importante à l'amour et à l'amitié. Pour moi, l'histoire entre les personnages paraît réel, les lecteurs peuvent s'identifier à leur vie quotidienne. J'aime beaucoup les dessins. Les prochains tomes s'annoncent addictifs.

C'est un manga romantique comme on se l'imagine, avec des triangles amoureux et tout ça. Et tant mieux parce que j'adore tous les mangas romantiques



C'est l'histoire de Yuna Ichihara, une collégienne qui est un peu triste depuis que Sacchan sa meilleure amie a déménagé loin de chez elle. Longtemps avant, Yuna avait confié à Sacchan qu'elle avait de l'amour pour un prince venu d'un livre. Mais en repensant à ça, elle croise un jeune homme qui ressemble à ce fameux prince...

Plus tard à la gare, une jeune fille lui demande de l'argent ayant oublié son porte-feuille. Pour lui assurer qu'elle viendra la rembourser, elle lui confie un bracelet.

Plus tard, Yuna apprend que cette inconnue est en fait sa nouvelle voisine Akari Yamamoto. Bien qu'opposées en tout point, même en matière d'amour elles finissent par devenir amies. Mais elle se rend compte qu'Akari connait

" son fameux prince " et même qu'ils sont assez proches au point qu'il vienne chez elle.

Mais quelle relation entretiennent-ils ?



De son côté, Yuna est amie depuis longtemps avec un jeune homme de son âge nommé Kazuomi Inui. Akari a l'air de s'y intéresser...

C’est un bonheur de retrouver la touche de Io Sakisaka avec cette nouvelle série.



Nous y faisons la connaissance de Saku. Un jour, elle a été emmené à l’infirmerie par un jeune homme après qu’elle se soit évanouie dans le train. Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle n’a qu’un nom pour retrouver son sauveur : Sakura. Pour rendre hommage à son sauveur, elle se donne alors pour objectif d’aider toutes les personnes qu’elle croise sur sa route tout en recherchant la trace de Sakura pour le remercier.



À travers ces personnages terriblement attachants, nous découvrons un titre qui questionne sur la gentillesse, l’admiration, l’amour. Quelle est la barrière entre ces sentiments ? Peut-on aimer une personne sans la connaître réellement, juste avec la projection que l’on en a ?

Peut-on aussi aider toutes les personnes que l’on croise ? Voilà les questions qui se dessinent avec ce tome qui est, certes introductif, mais qui nous promet de belles choses pour la suite.



Comme toujours avec Io Sakisaka ce titre est prévisible, simple, mais il est si doux et beau. Elle arrive à m’emporter dans ce cocon. Elle me transporte aux côtés de ces personnages avec une telle facilité, grâce à ce style que l’on reconnaît immédiatement. Elle a une patte graphique que je retrouve toujours avec un immense plaisir.

Parfois, il ne faut rien de plus qu’une histoire simple, belle, touchante pour passer un bon moment de lecture.



Une chose est sûre : ce premier tome donne envie de lire le tome 2. Vivement la suite.

Toujours à l’occasion de la sortie du nouveau titre de Io Sakisaka, « Sakura Saku », place cette fois-ci à « Love, be loved. Leave, be left » (littéralement : aimer, être aimé. Quitter, être quitté) avec un joli carré amoureux comme les fans de shôjô aiment tant ! Dans ce récit en 12 tomes, l’autrice a décidé de mettre en avant les deux jeunes filles en couverture, sans attribuer le titre d’héroïne plus à l’une qu’à l’autre. Pourquoi ? Parce qu’aucune des deux n’a la réponse absolue sur la manière dont il faut aimer ou tomber amoureux !



De part son expérience, Akari (qui a déjà un petit ami) pense être à même de savoir qui est bon pour sa nouvelle amie ou pas. En l’occurrence, l’ami d’enfance de Yuna plutôt que son demi-frère à elle, Rio. Sauf que ça serait trop simple et pas assez croustillant, évidemment… Alors, avec son manque de contact avec la gent masculine, Yuna reste très fleur bleue, rêvant du prince charmant qui pourrait être… Rio ?! Mais deux barrières de taille s’opposent à ce premier amour : le beau jeune homme préfère les filles ‘canon’ et il a le cœur brisé par une mystérieuse jeune femme disparue avant même qu’il n’ait pu déclarer sa flamme.



Autant dire que Io Sakisaka titille la curiosité du public. Qui est cette personne ? Comment savoir si Rio et Yuna peuvent former un couple ? Et qu’en est-il du beau Kazuomi ? Akari est-elle aussi pragmatique qu’elle le dit ou son cœur peut-il aussi lui jouer des tours ? Voilà de quoi faire frémir les amoureux de l’amour !



Avec son style très plaisant et des personnages attachant, l’autrice nous (re)plonge dans le bain des premiers émois et des premières peines de cœur. Un thème qui plait toujours et qui attire sans aucun doute le lectorat féminin adolescent qui pourront se retrouver dans l’une ou l’autre des héroïnes de cette histoire. Alors, serez-vous team Yuna ou Akari ? Quels couples semblent se profiler selon vous ? Affaire à suivre !
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Les personnages et les passages sont très bien dessinés, l'histoire est prenante amour de jeunesse ,changement de personnalité,chagrin d'amour et plus encore. L'histoire de chacun des personnages est importante car ça fait avancer l'histoire et permet de comprendre leur points de vue.



Mitsumy

Comme toujours avec les sagas d'Io Sakisaka, c'est vraiment avec une pointe de tristesse que je viens de refermer ce dernier tome pourtant lumineux. Il faut dire qu'elle avait réussi à créer, une fois de plus, une si belle brochette de personnages, que je n'avais pas envie de les quitter !



L'autrice nous avait laissés la dernière fois sur un rebondissement ultra classique dans les shojos, dont en plus j'ai rapidement deviné l'issue, mais ce n'est pas grave, je lui pardonne. Ce tome n'aura d'ailleurs rien d'original, il sera également moins marquant qu'ont pu l'être les finals d'autres séries de sa bibliographie, mais ce n'est pas grave. L'important, c'était de dire au revoir correctement à ce joli quatuor et c'est mission accomplie !



Cet ultime opus est également l'occasion de revenir sur plusieurs sujets qui nous ont occupé tout au long de notre lecture. Il y a d'abord le terrible poids des rumeurs et de la "bienséance" au Japon, qui est franchement agaçante tant cela enferme les gens dans un carcan qui n'a plus lieu d'être. Alors ça m'a plu de voir une autrice dénoncer ce qu'en dira-t-on qui empêche les gens de montrer publiquement leurs sentiments. Après tout, on a bien le droit de se tenir par la main ou de s'embrasser en public quand même ! J'ai également beaucoup aimé retrouver la question centrale des parents de notre duos de remariés. C'est très rare dans une romance lycéenne qu'on parle de la famille et ici, j'ai trouvé que tout avait été plutôt bien abordé sans en faire trop non plus. J'ai aimé les discussions autour de la famille de Rio et Akari et l'importance que chacun y occupe.



Cependant tout ne fut pas fait sans maladresse. J'ai trouvé certains discours complètement coupés de la réalité (même pour un japonais...) et d'autres un brin rétrograde. En fait, même si la représentation des deux couples est mignonne, au final certain passage où j'entends les garçons dire qu'ils doivent protéger leur bien aimée me hérissent un peu le poil, tant je trouve ça d'un autre temps.



Heureusement l'autrice finit toujours par retomber sur ses pattes et c'est ce que j'aime chez elle, pour proposer quelque chose d'équilibré. En effet, les filles de cette saga ont vraiment su prendre le pouvoir petit à petit pour se hisser à la même hauteur que les garçons et ce n'est pas peu faire au Japon. Du coup, forcément, c'est avec une petite larme que je les ai quittés parce que j'étais triste de dire au revoir à des personnages auxquels je m'étais attachée. Ils ont tous bien grandi, apprenant à s'aimer, à aimer les autres, à accepter de vivre leurs rêves et d'écouter ceux des autres. C'est un titre vraiment ultra positif !



Alors certes, Love Be Loved m'a moins marquée et chamboulée que Strobe Edge ou Blue Spring Ride mais j'en ressors tout de même très émue. L'autrice a su proposer autre chose que les drames adolescents auxquels elle nous avait habitué. C'est une histoire plus complète et plus mature qu'elle a tenté d'écrire ici et s'il y a encore des réglages à faire, c'est une très belle promesse. J'ai hâte de voir quelle sera sa prochaine série chez nous !
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Après avoir été dans l’inaction pendant des mois, Kazuomi décide enfin de Akari. Toutefois les choses ne sont pas aussi simple, surtout avec l’insistance amoureuse de Ryosuke, l’ancien petit ami de Kazuomi. Dans ce dixième tome, Io SAKISAKA prend le temps de s’attarder sur Kazuomi, ses sentiments et sa situation familiale. Malgré cela la décantation de cette situation ne se fait pas réellement, mais ce n’est pas très grave. On sait que Kazumomi et Akari s’aiment sans être conscients des sentiments de l’autre. Ici, ce qui est le plus important est la manière dont la mangaka continue d’écrire des personnages aussi forts, et qui n’ont eu de cesse d’avoir leur personnalité grandir. L’amitié est le noeud de ce récit. En couple ou non, notre quatuor s’adorent et feront toujours tout pour se soutenir moralement. Chacun aura son avis et sa vision par rapport à la situation que vit Akira avec la probable séparation de sa mère et de son nouveau beau-père. De leur côté, le couple Rio et Yuna est toujours aussi mignon, sans jamais tomber dans de la romance guimauve. Io SAKISAKA possède assez d’expérience et de recul pour savoir à quel moment cela pourrait sombrer dans de cliché. Les relations sont toutes complexes et de même degré d’importance pour la mangaka. Cela se ressent à la lecture, qu’il est impossible de détester l’un des quatres. En conclusion, ce dixième tome de Love, Be Loved Leave, Be Left, est une réussite. Il y a beaucoup de réalisme dans l’amitié entre ces quatre enfants. Io SAKISAKA décrit l’adolescente, les premiers émois, et la complexité des sentiments humains à la perfection.
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Un premier rendez-vous a lieu dans ce neuvième tome de Blue Spring Ride entre Tôma et Futaba, toujours déterminée à tourner la page « Kô », alors que lui-même est pourtant (enfin) décidé à se défaire de Narumi.



Rah, ce tome a brisé mon pauvre petit cœur de midinette ! Pourquoi ? Mais pourquoi ? Tôma est gentil, adorable (quoique, comme dirait Kominato, il sait insister quand il le faut), mais je ne peux que le détester, parce que je ne supporte pas de voir Futaba avec quelqu’un d’autre que Kô.



Alors, c’est sûr, c’est bien fait pour lui, il aurait dû agir avant, écouter Kominato et ne pas laisser la jeune fille lui filer entre les doigts, mais… Mais ! Je ne supporterai pas qu’ils ne finissent pas ensemble, ils sont fait l’un pour l’autre, c’est évident.



J’aurais aimé que Murao découvre la vérité avant, j’avais même espéré que Kominato lui en parlerait pour qu’elle réoriente Futaba vers Kô, mais après tout, lui seul est responsable de ses erreurs.



D’ailleurs, en ce qui concerne Murao, je suis assez partagée. Même si je penche depuis le début en faveur du professeur Tanaka, j’adore Kominato et, contrairement à Tôma que je rêve de voir évincé, j’aurais de la peine pour lui si cela devait lui arriver.



J’adore toujours autant ce manga. Même s’il a tourné un peu en rond à certains moments (avec les voltes-faces de Kô), je suis très attachée à cette bande d’amis si disparates. Ils sont bien construits, ils ont tous leur place, et aucun n’est jamais négligé au bénéfice d’un autre (même si Futaba et Kô occupent les premiers rôles).



J’ai envie de conclure cette série, et en même temps, j’appréhende de la terminer, parce que les protagonistes me manqueront tous énormément. C’est vraiment un gros coup de cœur dans l’ensemble.
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Dans ce huitième tome de Blue Spring Ride, Futaba avoue enfin ses sentiments à Kô. Elle espère que s’il la repousse, elle parviendra enfin à passer à autre chose, mais en dépit de ses attentes, cela ne lui rend pas la chose plus facile. Quant à Kô, il est toujours tiraillé entre ce qu’il souhaiterait et ce qu’il se sent tenu de faire.



Une fois de plus, on avance et on recule dans ce tome, et il y a encore matière à s’arracher les cheveux. Bon, j’aime toujours autant cette histoire, mais j’ai surtout envie de sauter sur Kô et Futaba et de les secouer pour qu’ils réalisent (enfin) qu’ils sont fait l’un pour l’autre.



D’ailleurs, Kô commence un peu à réagir (merci Kominato…), mais Futaba, lassée par ses voltes-faces, est vraiment déterminée à tirer un trait sur lui. Elle a du mal, dans un premier temps, mais la gentillesse de Tôma, de plus en plus entreprenant, l’encourage dans cette voie.



Je n’ai pas trop apprécié qu’elle se « force » à (re)devenir féminine, mais si j’en crois la réaction de certains personnages, qui ne semblent pas non plus conquis par ce changement, j’ai bon espoir que cela ne soit pas un revirement définitif.



J’ai également du mal avec Tôma, c’est typiquement le garçon « bien sous tous rapports », mais son gros défaut, c’est de ne pas être Kô, et je ne vois honnêtement pas Futaba finir avec lui à la fin du manga, donc leur relation actuelle ne m’emballe pas spécialement. J’ai l’impression que ce n’est jamais qu’un obstacle supplémentaire.



En revanche, j’aime assez le couple qui se profile en second plan, et j’espère que Kominato (malgré ma préférence marquée pour le professeur Tanaka dans un premier temps) finira lui aussi par conquérir le cœur de Shûko. M’enfin, celle-ci était au centre de l’intrigue dans le tome précédent, et je comprends qu’elle soit cette fois-ci plus en retrait.



Il me tarde de lire la suite, car même si on piétine un peu, qu’on continue à faire autant de pas vers l’avant que vers l’arrière et que les retournements de situation s’enchaînent, Blue Spring Ride reste un manga vraiment très sympathique à suivre ! Seul point discutable de ce tome : je n’ai pas du tout compris l’intérêt de l’histoire annexe. Pas qu’elle soit mauvaise, mais elle n’a aucun rapport avec le reste du manga.
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Dans ce septième tome de Blue Spring Ride, Futaba ne s’est toujours pas remise de la façon dont Kô l’a éconduite et rumine beaucoup. Elle peut toutefois compter sur le soutien de ses trois autres amis, même si, de son côté, Murao est confrontée à ses propres sentiments.



J’avais été très frustrée par le tome précédent, mais j’ai adoré celui-ci, même si la relation entre Kô et Futaba n’évolue pas vraiment. La situation de Murao, en revanche, se démêle après un quiproquo qui lui fait prendre conscience des risques auxquels elle expose le professeur Tanaka si ses sentiments pour lui venaient à être remarqués.



Murao est mon personnage préféré depuis le début du manga, et j’ai été très émue par la tournure prise par son histoire. C’est triste, et en même temps compréhensible. D’un côté, j’aurais aimé que les choses se passent différemment, de l’autre, c’est encourageant pour Kominato, qui est vraiment un garçon sympathique.



Tôma a quant à lui moins de chance, puisqu’il s’attire les foudres de Yuri alors que ses amis tentent maladroitement de le rapprocher de Futaba. J’ai beaucoup souri face à la réaction de la jeune fille, qui n’est pas sans m’évoquer mon propre ressenti à l’égard de Tôma. Je n’ai rien contre lui, seulement je ne voudrais pas voir Futaba avec quelqu’un d’autre que Kô…



En somme, Blue Spring Ride se poursuit toujours d’excellente manière, et rebondit de façon agréable après les nombreuses voltes-faces du tome précédant, en axant davantage celui-ci sur Murao et le professeur Tanaka. Suite au prochain épisode…
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Ça avance petit à petit pour notre quatuor ! Enfin... les hésitations sont encore là et les quiproquos sentimentaux sont encore plus présents avec le 5eme intervenant dans ce cercle d'amour mais tout cela va amorcer des réactions et des tentatives. Fort heureusement, j'ai le prochain volume tout près de moi ;)

J'aime beaucoup les traits d'Io Sakisaka, tous les personnages sont subtils et attendrissants en dessins comme en caractères. Mais ce tome ! Raa, il m'a agacée les 3/4 du temps : quiproquos, sous-entendus incompris et "vas-y que tous les perso se font des films!". Heureusement que la dernière partie m'a fait sourire par cet événement si classique et en même temps surprenant pour ce petit duo!