Citations de Isabelle Alexis (148)
Ne pas mettre de mots sur les maux, c’est ajouter du malheur au monde.
Le mal vient toujours de la bande, de l’ami proche, du fidèle parmi les fidèles.
Le bonheur, c’est la somme de tous les malheurs qu’on n’a pas.
C’est toujours au moment où on se dit foutu pour foutu que le mental reprend le dessus !
La hantise du sportif de haut niveau c’est la tendinite, le petit os du pied, les genoux, la crampe, les chevilles, le ligament. Le mot blessure signifie fin du monde. Certes, ils aiment leur apparence physique mais ils sont obsédés par ce qui se trouve à l’intérieur. Ils peuvent dessiner tous les petits os du poignet et les nommer par leur nom latin, mieux qu’un étudiant en médecine. Leurs yeux deviennent des IRM. Ils pigent tout ce qu’il se passe à l’intérieur d’eux-mêmes.
Malgré "tout ça", elle avait droit à un baiser. A un beau baiser d'au revoir. Pas d'adieux.
- Tu es ivre ?
- Non.
- Tu es folle.
- Non plus.
Désirer, c'est être en vie.
La vie nous offre des cadeaux qu il faut savoir accepter. Je me laisse toujours porter par elle.
Elle est lamentablement échouée au sol, piégée par ces grandes planches qui pendent au bout de ses pieds, incapable de bouger, comme une tortue qu'on aurait laissée sur le dos, agitant ses petits pieds dans le désespoir le plus total.
- Ah, ma chérie, alors, tu l’as trouver, ce brie ? – Zut… le brie.
qu’une gourde au magasin nous avait enfermés, qu’elle ne m’attende pas. Le message avait été envoyé par une certaines Marie. Une gourde jolie ?
Ce livre m'a porté bonheur. Je te le confie. Prends-le, lis-le, mais après, surtout, ne le garde pas! Offre-le à quelqu'un d'autre.
« En quoi est-ce un problème de ne pas être mariée à 35 ans ? Tout le monde n’est pas fait pour le modèle classique, le fiancé, la maison en banlieue, les deux enfants et le travail stable. »
« C’est fou comme le fait de prononcer, ou non, certains mots a le pouvoir de changer le cours de la journée. »
« Ô mon bel arbre ! Roi majestueux des forêts ! Rends-moi l’esprit de Noël ! Puisse ta grâce naturelle partout infuser ! »
Je rêve d’une vie avec elle. Une grande aventure, sans orgueil et sans préjugés.
Tout était minuté, le temps était devenu si précieux, que l’idée d’en gaspiller la moindre minute l’angoissait. Comment faisaient les autres pour s’en sortir ? Pourquoi était-ce si difficile ?
Alors, à quoi ça servait d’être Superwoman si c’était pour se réveiller tous les matins tellement épuisée qu’elle attendait toute la journée le moment où elle pourrait aller se coucher ?
Bertille regarda sa petite dernière comme rarement elle l’avait fait auparavant. Elle ne voyait décidément pas grandir ses filles, tandis qu’elle se sentait encore la petite fille de sa mère.