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Critiques de Isabelle Aupy (127)
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Petit conte philosophique sur la liberté, l'importance d'appeler un chat un chat, sur ce qui nous rend unique et singulier, ...

"Les dirigeants avaient vite compris que pour asservir les gens aujourd'hui, il ne fallait plus la force, il fallait créer le manque et le besoin."

Dans le conte, il est question d'un besoin de chats qui sont en fait des chiens, plus dociles. Très belle écriture poétique !

De quoi faire cogiter en ces temps de mise en place de pass sanitaire et autres vaccinations obligatoires.









































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L'homme qui n'aimait plus les chats

Un hymne à la liberté, la liberté d'être soi et la liberté d'être là où on veut avec qui on veut
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Lu dans le cadre des 68.

Fable dystopique originale.

Tous les chats, métaphore de la liberté, vont subitement tous disparaître d’une île.

On va parvenir à faire croire aux habitants de cette île que les chiens, qui sont utilisés comme remplacement, sont des chats. Absurde vous me direz !

A partir de là c’est une prise de conscience qui s’impose à nous.

L’auteur discute la place de la parole convaincante, la facilité d’inventer des besoins inexistants.

Avec subtilité, elle interroge les consciences qui sont manipulées, aliénées.

Ce petit conte satirique philosophique soulève avec intelligence notre relation aux autres.

C’est à découvrir et pourquoi pas à faire lire à nos jeunes !!
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Je ne vais pas vous mentir, quand j’ai lu le résumé de L’homme qui n’aimait plus les chats d’Isabelle Aupy, je n’ai pas compris grand-chose. Enfin, j’ai compris ce que je lisais, mais ça ne m’a pas franchement avancé : je ne savais pas plus qu’au départ de quoi ce roman allait parler – en fait, le titre donne presque plus d’informations. Ce petit roman est le premier publié par les éditions du Panseur et je dois dire que la couverture de est jolie et le résumé obscur mais intrigant.



L’histoire se passe sur un île. Une île sur laquelle vivent des insulaires et des chats. Des chats en liberté, qui s’invitent dans les jardins, les maisons, qui vivent leurs vies de chats, un peu sauvages. Ils font partie du paysage et le narrateur apprécie leur présence. Et un jour, il ne peut que constater qu’il n’y a plus un chat sur l’île. Alors, des personnes arrivent du continent pour proposer aux îliens d’adopter de nouveaux chats. Qui ne sont pas des chats. Mais qu’il faut appeler ainsi…



L’homme qui n’aimait plus les chats m’a fait penser à Si les chats disparaissaient du monde de Genki Kawamura, lui aussi un drôle de livre sur les chats. Et sur ce que les chats représentent. Les souvenirs, l’amour, la liberté aussi.



J’ai bien aimé ce court roman, étrange roman qui a reçu le prix Coup de foudre aux Vendanges littéraires de Rivesaltes. C’est bien écrit, ça sort de l’ordinaire et ça fait réfléchir. La référence à Matin Brun de Franck Pavloff est effectivement bien trouvée. Et c’est une jolie découverte.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Amoureuse des chats, le titre m’a intriguée et je n’ai pas été déçue !

Un récit court et efficace où le choix des mots prend toute son importance. Une jolie réflexion sur le libre arbitre, le doute et la certitude, la différence entre l’envie et le besoin, la différence tout court. Le tout porté par une galerie de personnages vrais et attachants.

L’humour est absurde, le langage familier et si bien travaillé à la fois. On plonge dans cette histoire sans s’en rendre compte.

Un coup de coeur inattendu !
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Soit une petite île, île-refuge, loin de tout ce que l'on refuse, et sur laquelle individualité et tolérance font le lit d'une forme de bonheur tranquille.

Et puis des gens, venus là pour y vivre paisiblement, entre eux et avec eux-mêmes, pour y re-naître parfois, avec simplicité et authenticité. Parmi eux : le curé, la courageuse Gwen, Sergueï le poète anarchiste, la vieille institutrice, Thomas le vieux gardien de phare et puis le narrateur.

Et puis des chats, plein de chats, compagnons de vie et de paysage, "plaisirs inutiles" et cependant aussi nécessaires à l'harmonie de la vie sur place, aussi évidents que la mer et le vent.

Jusqu'au jour où les chats disparaissent et où débarquent des" agents tous habillés pareil", qui parlent le "convaincu" et qui distribuent des chiens qu'ils affirment être des chats !

Alors, "appeler un chat un chat", on le sait, c'est avoir un discours direct et franc...

Oui mais...appeler un chien un chat !??!

Suffit-il de nommer pour faire exister ? Quid de la pensée et de la réflexion ?

Et dès lors, ce joli petit roman aux effluves marins se transforme en une intéressante dystopie dans laquelle d'aucuns voudraient, sans violence apparente, créer de nouveaux besoins, rendre les gens plus heureux malgré eux et les modeler afin d'installer une nouvelle idéologie.

Ces chiens sont des chats !!!? mais quels sont ces mots-mensonges qui ne sont pas en adéquation avec le réel et qui finissent par fausser les jugements et les comportements ? Car de cette uniformité à bout de laisse nait l'indifférence de chacun pour son prochain !

Une forme de "servitude volontaire" telle que l'évoquait déjà La Boétie, non imposée par la force, mais par la manipulation du langage. Et ceux qui se laissent embobiner sur cette île sont les mêmes qui gobent sans discernement les infos TV ou qui se laissent duper par de fallacieuses propagandes totalitaires.

Car le risque est là; et ce roman, parce qu'il dénonce , est utile. A la légèreté du début succède une réflexion sur la force du langage, son utilisation et son agissement possible sur les pensées.

Mais un petit groupe d'irréductibles résiste à l'envahisseur! Une résistance qui partira du phare ! Beau symbole que ce pont entre la mer et la terre, entre la lumière et les ténèbres, entre conscience et obscurantisme !

Avec des mots simples et efficaces, avec humanité et sensibilité, Isabelle Aupy nous démontre joliment que la vigilance est toujours de règle,, que "la bête n'est pas morte", que la désobéissance permet d'éviter le pire.

"Parce que les hommes, ça se tient par la main" et qu'il faut sans cesse veiller à ne pas se laisser déposséder de sa liberté.
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Sur une île, non loin du continent, vivent des hommes épris de liberté. Parmi eux, la vieille institutrice, le gardien du phare, le poète-musicien... et partout, des chats de toutes sortes, qui vont et viennent, les "pantouflards", les "domestiqués", ceux "qui aiment bien se laisser caresser, les "pas faciles à apprivoiser".

Un jour, les chats disparaissent. Est-ce arrivé peu à peu, sans que personne ne s'en rende compte ? Quelqu'un est-il venu les enlever ? Voulant trouver des réponses, on envoie un jeune professeur sur le continent : il revient avec une femme de l'administration. Pour les réconforter, on propose aux habitants de leur redonner des chats. Mais ce qui est présenté par les gens du continent comme des chats, ce sont des chiens, des chiens qu'on attribue aux insulaires, leur reflet qu'ils doivent tenir en laisse. D'abord, ils disent que ce sont des chiens, pas des chats : on leur affirme qu'ils se trompent. Il faut croire à ce qu'on leur dit ; on leur promet qu'avec ces nouveaux chats, ils ne seront plus seuls, qu'ils pourront plus facilement se rencontrer... On leur dit aussi que cela répond à leurs besoins... Or, le narrateur, dans son langage naïf, explique qu'ils avaient déjà tout (le récit est fait de son point de vue). Il constate justement qu'avec leur chien au bout de la laisse, les habitants ne se regardent plus. Leur imposer des chiens qu'on fait passer pour des chats est une entrave à leur liberté. Malheureusement, peu résistent, hormis le gardien du phare et une petite troupe autour de lui.



Cette courte fable, écrite par Isabelle Aupy, raconte comment, sans qu'on se méfie, la liberté peut nous être retirée. Sur fond de dystopie (le livre est placé sous le signe de Farenheit 451 et de 1984), le lecteur voit les gens se plier assez vite aux nouvelles règles, prendre des chiens pour des chats. Il n'y a pas d'éclats, pas de violence, juste une métamorphose du mode de vie qui se fait subrepticement.



La suite :
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Les échassiers

J’ai découvert ce livre qui fait partie des finalistes de libraires en Seine 2023. J’ai été séduite par la forme avec ce livre tête-bêche où d’un côté on lit « l’en-bas » et de l’autre « l’en-haut ». Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé ou ai été déçue car je n’ai tout simplement pas compris l’histoire et le message de l’auteur. Il y a des livres où notre imagination comble les non-dits des récits mais là je n’ai toujours pas compris ce monde étrange, les personnages qui le peuplent et le lien entre les deux parties du livre. Le livre est court, je l’ai fini en me disant que tout va s’éclaircir à un moment mais non… j’aurais bien besoin d’une fiche de lecture car je n’ai pas tout compris !
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L'homme qui n'aimait plus les chats

C’est un roman qui ne se résume pas, qui ne se raconte pas : à chacun d’y trouver ce qu’il fait résonner en lui : liberté, résistance, anticonformisme.



Mais sachez qu’il va être question d’ile, de chats, de chiens, de non-chats, d’humains, de courage, de relations, de vie et de liberté.



💝 Je dois reconnaitre que cette lecture était particulière, très différente de ce que je lis habituellement. Sous couvert du récit d’une anecdote de village, Isabelle Aupy nous emmène dans des considérations philosophiques sur la Vie et nos valeurs.

Loin d’être une spécialiste du genre, je trouve que ce livre est une métaphore très actuelle et même fortement engagé politiquement.



Il est difficile de parler d’un livre aussi atypique, de vous donner envie de le découvrir. J’ai peur de ne pas savoir le faire.

Alors je vous dirais simplement que si vous aimez les livres qui sortent de ce que l’on voit partout, que si vous voulez soutenir une jeune maison d’édition qui n’hésite pas à miser sur de jolies plumes, que si vous aimez les chats, que si vous aimez les îles et que surtout si vous aimez la liberté d’avoir le choix, ce livre doit rejoindre votre bibliothèque
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Dès les premières pages, je ne comprenais pas vraiment où l’auteure souhaitait m’emmener. C’est un univers assez spécial dans lequel je me suis plongé et qui finalement était plutôt agréable.



Plusieurs personnages assez atypiques construisent l’histoire et la font vivre. Des personnages assez différents les uns des autres.



Une histoire prenante avec un niveau d’écriture et style assez philosophique. Une façon de comprendre et de donner un sens à ce que l’on lit. L’auteure nous emmène donc sur une île assez spéciale que je vous invite à découvrir !



En résumé, c’est une bonne lecture que je vous conseille de découvrir. Une lecture fluide et agréable qui ne vous laissera pas indifférent à la fin du livre.
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L'homme qui n'aimait plus les chats



C'est un roman un peu comme un conte philosophique, l'auteure fait chanter les mots ce qui donne un peu de dynamisme à cette histoire.⁣

C'est un texte assez déroutant au départ des chats qui disparaissent du jour au lendemain sur une petite île isolée. Je me suis dit OK mais où nous emmène t'elle ?⁣



Et puis, on comprend, alors on se met à s'interroger sur des questions existentielles, sur notre liberté, notre quête du bonheur avec ces limites et ces deviance, nos différences et surtout le pouvoir du langage.⁣



Un livre d'une grande force et très bien écrit que je vous conseille car en plus il est vraiment très court.⁣



Un grand merci à Jeremy et aux éditions du Panseur pour m'avoir fait découvrir ce premier roman très prometteur d'une autrice à suivre. ⁣

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L'homme qui n'aimait plus les chats

« Les chats pour nous, c’était comme la liberté, c’est quand on la perd qu’on se rend compte qu’elle manque ».



Appelons un chat, un chat ! Qui ne connait pas cette expression qui prend, ou plutôt perd tout son sens dans ce court récit, mi roman mi conte, et dans lequel nous appellerons un chien… un chat.



Oui, vous avez bien lu ! Dans ce récit , les chiens se font chats pour remplacer ceux brutalement disparus de cette île, fidèles compagnons depuis toujours de ces insulaires, et remplacés par des chiens ramenés par des « agents » débarqués du continent.

Car après tout, comme le martèlent ces mystérieux agents à la mission qui l’est tout autant : « Ils ont quatre pattes, une queue, des poils et des moustaches. » Où est le problème ? Si problème, il y a.

Car pour certains, devant ce cadeau laisse compris (pour promener leur nouveau chat…), nul étonnement, nulle interrogation, et encore moins rébellion, devant une telle absurdité : ces chiens sont des chats. Cela est vrai puisqu’on le leur assène avec tant de conviction…



Et pour d’autres, dont le narrateur du récit, l’aliénation, car il s’agit bien de cela, sera moins aisée mais finira tout autant par les gagner pour mieux les libérer .



Je ne vous en dis pas plus et vous laisse embarquer pour cette île et ce récit qui invite à la réflexion sur un certain nombre de sujets : la liberté, le sentiment d’appartenance, la croyance, et bien d’autres encore. Le tout amené avec subtilité et savamment disséminé dans cette histoire, d’apparence sans queue ni tête (de chiens ou de chats), et qui n’est finalement que prétexte à une réflexion plus approfondie.

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L'homme qui n'aimait plus les chats

Sur une petite île balayée par les vents, les habitants vivent tranquillement en compagnie de nombreux chats, dont l’indépendance et l’insoumission charme et plait à cette population solidaire et haute en couleurs. Humains et chats vivent en harmonie dans cette enclave épargnée par la folie des hommes.

Mais ce décor devient le théâtre d’un étrange drame. Les chats disparaissent. Le désarroi de la population face à cette disparition inexpliquée va provoquer un débarquement de personnages venus du continent pour remédier à l’affaire. Sous forme de conte et de parabole l’absurdité dans laquelle nous sommes plongés depuis plusieurs décennies déjà nous sera révélée, celle qui nous enjoint à nous jeter dans une folie consumériste qui consiste à accepter de faire nôtres des soi-disant besoins.

Un texte court et puissant, fantaisiste et profond, drôle et grave à mettre entre toutes les mains.







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Les échassiers

Les Échassiers, un récit dystopique en deux parties présenté dans un écrin au teint marron mat. Dedans, elle nous parle de deux mondes que tout oppose et réunit à la fois, avec une plume poétique rare.
Lien : https://syfantasy.fr/critiqu..
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Petit texte court mais surprenant ! Le titre, l'image de la couverture, je pensais avoir à faire à un texte humoristique et léger.. et bien ce n'est pas le cas.

En surface oui, on suit la vie d'insulaires à qui "l'administration" va imposer insidieusement des changements de vie. Tout parait simple, le style, les propos, mais pourtant le message est bien là et amène à réfléchir sur le pouvoir des mots, la liberté, le libre arbitre. Je n'en dirais pas plus car j'ai aimé découvrir tout ça à la lecture. A vous d'en faire de même !



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L'homme qui n'aimait plus les chats

On me l’avait conseillé, dans la sois disante lignée de 1984, rien de tout cela , un livre sans surface que j’ai trouvé léger à faire bâiller. C’est une petite nouvelle vite lue mais je n’y ai pas trouvé de sources inspirantes ni d’idées attractives.
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Les échassiers

Isabelle Aupy nous offre un conte philosophique. Avec un style parfaitement maîtrisé, où la simplicité apparente nous conduit à travers le parcours initiatique de deux jeunes hommes. Ils devront plonger dans l’âge adulte avec envie pour l’un et sentiment de perte pour l’autre. Chacun devra affronter l’Ogre et comprendre ce qu’implique de le nourrir, ou plus exactement apprendre à se déciller afin de refuser de le nourrir.

Un roman construit en miroir, entre monde d’en-haut et monde d’en-bas, où le lecteur chemine à son gré et à son rythme et se confronte à sa propre part de nuit.
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L'homme qui n'aimait plus les chats

On découvre un endroit où chacun des habitants de l’île peut vivre comme il le souhaite, où tout le monde est solidaire. Mais tout bascule avec l’arrivée de nouveaux « chats ».

J’ai beaucoup aimé ce livre car l’auteur nous montre que qu’il est facile nous empêcher de penser ce que l’on veut et que l’effet de groupe peut nous influencer très rapidement. Ce texte nous force à réfléchir sur l’importance de la liberté…


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L'homme qui n'aimait plus les chats

Je ne partage pas l'engouement général sur ce roman qui m'a déçu, au point de ne pas aller jusqu'au bout.

La langue utilisée est assez pauvre, les aphorismes ainsi que les personnages et la communauté décrits dans le récit n'ont pas d'originalité particulière. Je m'attendais à quelque chose de plus fouillé, plus subtil. Il me semble que ce récit serait plutôt à destination d'un public d'enfants ou d'adolescents.

Concernant le fond, l'idée de départ est bonne mais mal servie par la forme. L'intention était, manifestement, de faire du narrateur quelqu'un de peu instruit qui écrit comme l'on parle et en qui tout un chacun serait censé se retrouver. Cela n'a pas été mon cas et m'a même gêné dès le premier chapitre du roman.
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Les échassiers

Ce livre est arrivé dans ma PAL suite au prix littéraire "Libraires en Seine 2023" et j'étais plutôt agréablement surprise par la mise en scène.

2 histoires qui se superposent, 2 climats, 2 sens de lecture. Je trouvais l'idée originale et me suis lancée en commençant par "Le Haut".



Ces personnages qui marchent de plate-forme en plate-forme, sur des bambous, leur évolution, leurs rêvent, leur histoire, les peurs...j'ai été séduite par cette petite aventure.



Je passe ensuite à "En bas" et là grosse déception ! J'ai attendu un lien entre les 2 mondes, un vrai lien, pas juste des pieds de bambous. Un échange, des explications, des découvertes communes, des similitudes mais tout est différents, détaché, décorrélé de la première partie et du coup je n'ai pas trouvé l'intérêt des 2 sens de lectures.



Donc soit j'ai raté un truc, ce qui se pourrait bien, soit il manque un petit quelque chose à cette idée pourtant originale :)
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L'homme qui n'aimait plus les chats

Pourquoi les chats de l’île ont-ils disparu ?

Ils ont été abattus par des agents venus du continent.
Ils ont été capturés par des agents venus du continent.

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