Isabelle Villain

Jean-Luc Provost forme avec sa femme Rita un couple d’entraîneur. Ils recrutent 6 jeunes, doués en gymnastique, pour les préparer aux jeux Olympiques.

Jean-Luc est dur et impitoyable avec ses jeunes sportifs, alors que Rita, plus douce, les aide à récupérer par des séances de kiné, mais les aident également dans leur chorégraphie.



Mais Jean-Luc a un accident de voiture mortel, ses freins ne répondant plus.

Qui a voulu éliminer Jean-Luc à 6 mois des jeux olympiques.

Que cache ce couple pour qu’une personne veuille s’en prendre à eux.



Embarqué dans ce roman court, mais fluide et agréable, on tourne les pages avec parfois le besoin de reprendre son souffle.

On accompagne ces jeunes, la souffrance physique qui doit les amener au top de leurs performances, mais la souffrance morale qui parfois les gagne.



Les personnages sont émouvants et touchants, un sujet qui nous parle, nous prend par la main et nous entraîne dans une enquête qui dévoilera leur souffrance jusqu’à une fin surprenante et touchante.

- La maturation sera la Clef de la Réussite -



Il y a 10 jours, la femme de Mathias, galeriste, est morte, assassinée pendant une réception qu'elle donnait avec son associé. Et depuis 10 jours Mathias, son mari, gendarme, mis sur la touche au regard des événements, tente de se souvenir de ce qui s'est passé ce soir-là. Mais qui aurait pu vouloir du mal à Aurélie ?



Les 2 auteures, réunies pour l'occasion dans l'écriture de ce thriller psychologique, ne vous épargneront pas. Entre secrets, mensonges et trahisons, elles vous entraîneront avec succès dans une enquête aux multiples rebondissements. Et soyez en certains, malgré les apparences, nombreuses étaient les personnes qui avaient un mobile et auraient pu vouloir faire disparaître Aurélie !



Le rythme est soutenu, direct, efficace. Vous serez informés des avancées de l'enquête, grâce à plusieurs personnages qui la relatent pour Mathias : sa collègue, son avocat, sa famille. Et vous vous retrouverez, tout comme lui, à en comprendre les contours et les enjeux au fur et à mesure, jusqu'à ce dénouement parfaitement diabolique que vous aller adorer détester !



Non, non, vous n'en saurez pas davantage car je veux vous laisser goûter chaque saveur des détails réunis ici dans un bouquet éclatant, humer le parfum de chaque révélation et observer alors de votre œil avisé la couleur de ce thriller psychologique.



Si vous aimez les huis clos, les histoires de famille, si vous adorez vous faire avoir au jeu des apparences, ce livre est fait pour vous !
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Jean-Luc Provost, célèbre entraîneur de gymnastique,  décède dans un accident de voiture.

Lorsque un témoin attire l'attention sur sa conduite avant l'accident,  il s'avère que le véhicule a été trafiqué.

Qui pouvait en vouloir à cet homme passionné par son métier,  formant avec son épouse Rita un tandem acharné,  souhaitant mener leur équipe de jeunes gymnastes à l'Or, aux prochains jeux Olympiques?



On retrouve les personnages  récurrents de l'auteure, des policiers de l'équipe du Lost dans cette enquête.  Je n'avais pas lu les précédents mais Isabelle Villain parvient rapidement à expliquer les liens entre eux, ce qui permet de vite s'y retrouver. Une enquête classique, mais un thème original puisque l'on découvre les coulisses,  pas toujours reluisante, des compétitions sportives de haut niveau.

Son style fluide en fait une lecture aisée, plaisante, sur un sujet intéressant,  on voit qu'elle s'est bien documentée. Il s'agit du 8ème roman de l'auteure.

Troisième roman que je lis d Isabelle Villain, mais cette fois écrit avec sa comparse Magali Collet. Et bien j ai été emporté dans les tourments de la famille Clavery.



Le roman débute par une scène au cours de laquelle Mathias Clavery est blessé dans un accident. Bien des années plis tard, il a construit sa vie de gendarme, avec une certaine distance avec le domaine viticole du patriarche. La femme de Mathias tient une galerie d art aborigène. Mais au cours d un vernissage elle est retrouvée morte. Les suspects sont nombreux, mais Mathias est premier sur la liste.



C est une enquête très classique, mais remarquablement bien écrite. Les suspects sont nombreux et les fausses pistes également. On se prend à faire des hypothèses, mais en se plantant à chaque fois. C est ca le talent des auteurs.



J ai adoré cette famille Clavery, famille dysfonctionnel avec ses secrets, ses remords, ses rancunes sous la coup d un patriarche destestable au possible pre occupé par sa seule réputation. Les personnages de Dupuis et de Fanny sont également très réussis avec leurs failles qui en font des personnages attachants. Mais la mention revient aux deux frangins : Augustin et Mathias. Cette relation est juste....whaouuu !!!



Les thématiques abordées sont nombreuses notamment sur le poids de l héritage, la transmission, les relations familiales et une une je n aborderai pas pour pas spoiler, mais extrêmement originale et qui offre une angle différent sur la violence.



Bref vous l aurez compris j ai été conquis par le mélange des deux styles d Isabelle Villain et de Magali Collet. Alors plongez sans hésitation dans l univers des Clavery, vous n en sortirez pas indemne.

Je continue avec ce livre mes découvertes des Louves du polar.

Au départ, j'ai eu un peu de mal à me repérer dans l' histoire, sans doute lié au style des auteurs que je ne connais pas individuellement.

Mais j'ai vraiment été attirée par l' histoire, rapidement.

Des secrets, des mensonges, une vraie vie de petites communes de province, une équipe de gendarmerie pour mener l' enquête, un cocktail parfait pour dévorer ce livre.

J'ai vraiment été bluffée par le final que j'ai beaucoup aimé.

Mon avis 🤓 : ⭐️⭐️⭐️⭐️ / 5



Les membres de la brigade de Lost nous embarquent dans cette enquête qui nous plonge dans le monde du sport et plus précisément dans le milieu de la gymnastique. D’ailleurs même moi qui n’est pas un brin sportive, j’ai adoré découvrir toutes ces informations. Je n’avais pas conscience des sacrifices qu’il faut faire pour jouer à un aussi haut niveau en gymnastique et de l’intensité des entraînements.



Au début, on à l’impression qu’on est dans un petit roman policier gentillet, et puis les choses s’accélèrent et l’autrice nous apporte une lecture rythmée avec des rebondissements.



J’ai beaucoup aimé le fait que l’autrice détaille bien l’enquête, ça permet vraiment de réfléchir nous même aux indices et au potentiel coupable. Mais évidemment je me suis encore fait mener par le bout du nez.



Ce livre est le quatrième tome de la série sur le commandant Rebecca de Lost. Tome qui peut être lu indépendamment des autres. Du coup maintenant il va falloir que je commence la série dans l’ordre 😅



As-tu lu ce livre?

Si oui, l’as tu aimé ? ✨

Si non, est-ce qu’il te tente ?
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Lu dans le cadre du #challengeleslouvesdupolar

Excellent thriller psychologique, et coup de cœur !

A 7 mois des JO de Paris, la Team Provost - 5 athlètes 3 filles et 2 garçons - s'entraîne sans relâche.

Leur objectif : décrocher l'or évidemment.

Mais ce 10 décembre 2023, Jean-Luc Provost, leur coach, se tue dans un accident de voiture. Suicide à 7 mois des JO ? cela semble impensable. Après expertise du véhicule, il s'agit d'un meurtre. Les câbles de frein ont été sectionnés. L'enquête sera confiée au groupe de Rebecca de Frost, du Bastion de Paris, car l'affaire est sensible et devient médiatique. A qui profite ce crime ? Vengeance d'un ou d'une athlète écarté(e) de la Team ? D'un parent ? Jalousie ? Tout le monde sera interrogé et sera suspecté, aucune piste ne sera négligée. Puis, petit à petit, les langues se délient et la vérité apparaît...

Une enquête extrêmement bien menée, des thèmes abordés inspirés de faits réels, des faits révoltants, des rebondissements, du suspens qui ne vous feront pas lâcher ce livre avant le mot fin.

On est en immersion dans la vie d'un sportif de haut niveau, la réussite a un prix, des entraînements quotidiens, et toujours la peur de la chute et de la blessure qui vous éloignera de la victoire, du graal.

Lecture passionnante et bouleversante, la plume est fluide, addictive et percutante.

À quelques mois des JO, je ne peux que vous recommander cette pépite.
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In vino veritas... Voici une location latine mystérieuse et intrigante... Et si la vérité se cachait effectivement dans le vin comme le suggère le titre de ce roman écrit à quatre mains par Magali Collet et Isabelle Villain publié par Taurnada Editions😉



Fan des romans où il est question d'art et attirée par ce mystérieux titre, j'ai été contente de lire, en ce mois consacré aux louves du polar, un thriller où est évoqué le syndrome de Stendhal, syndrome très particulier provoquant un trouble intense proche du black-out lorsqu'un sujet admire une œuvre d'un artiste ou une toile en particulier. Comme vous pouvez vous en douter, je me suis régalée avec ce thème qui m'a permis d'en apprendre plus sur ce symptôme qui touche généralement des artistes ou des personnes sensibles à l'art. En débutant cette histoire, nous nous retrouvons face à une disparition qui a ébranlé toute une famille. Lors d'un vernissage, une galeriste est retrouvée morte dans son bureau le crâne défoncé. Qui donc pouvait en vouloir à cette femme semblant pétillante et bien sous tous rapports ? Est-ce que ce meurtre a un lien avec les œuvres qu'elle exposait ?



J'ai trouvé que l'écriture à quatre mains de Magali Collet et Isabelle Villain a été très réussie. Sachant que l'exercice peut se révéler difficile, je n'ai ici pas eu l'impression ici de lire un ouvrage écrit à deux plumes. L'écriture s'est révélée très fluide. J'ai apprécié cette impression de mille-feuilles où l'on avance doucement avec à la clef une nouvelle couche où un voile sera levé. Néanmoins, j'ai été contente d'avoir vu juste (pour une fois 😉) sans pour autant avoir eu l'impression que la résolution de l'affaire soit trop simple et évidente.



À plusieurs reprises, le récit m'a soulevé des questions concernant sa crédibilité. J'ai pu en discuter avec Isabelle Villain avec qui j'ai pu avoir un échange très agréable et qui a levé mes doutes. Je tiens à l'en remercier :-)



Si vous souhaitez passer un moment agréable de lecture avec un ouvrage que vous n'arriverez pas à lâcher, je vous conseille de découvrir ce roman.

Un très bon polar qui nous emmène dans les coulisses des gymnastes de haut niveau avec leur entraînement à la limite de l'humain, leur volonté farouche, l'obsession de la médaille, l'importance du coach qui peut être vénéré plus que les parents.



Un polar qui nous fait surtout découvrir des faits qui, comme partout ailleurs, furent longtemps inconnus de tous : le viol.

Le viol de ces jeunes athlètes qui, pour atteindre la gloire, ou par innocence au vu de leur jeune âge, ou pour protéger ces parents qui ont tout sacrifié à leur réussite, ou encore pour se protéger eux-mêmes, ne diront jamais rien.

Ils encaisseront plus ou moins bien, ils s'en sortiront avec plus ou moins de séquelles



L'auteure s'inspirant de faits réels nous emmène dans cette histoire certes fictive mais tellement percutante, limite dérangeante avec son côté omerta et ses enjeux politiques et financiers alors que l'on parle d'êtres humains.



Un très bon rythme dans cette lecture, des rebondissements bien placés qui donnent une bonne dynamique au récit.



Des révélations qui font mal, qui dérangent, qui bouleversent.

Une histoire humainement poignante où la tension augmente peu à peu au fur et à mesure des différentes découvertes.



Une plume qui sait rendre cette lecture addictive où l'auteure s'amuse à dévoiler petit à petit tout en nous embrouillant dans nos certitudes pour mieux nous bluffer avec son dénouement.



J'ai tout autant apprécié le côté polar que le côté fait divers, l'ensemble étant merveilleusement bien combiné.



Je ne sais pas si je regarderai les JO 2024 mais si oui il est évident que je ne verrai plus les gymnastes du même œil.



3ème titre que je lis de cette auteure, et je reste toujours aussi fan.

Un thriller psychologique écrit à quatre mains où les autrices parviennent à mêler leurs idées et emmêler notre cerveau!



Une galériste assassinée lors d'un vernisage, un mari Mathias, capitaine de gendarmerie qui peine à justifier son emploi du temps et se trouve écarté de l'enquête, des coupables potentiels (nous sommes sur un huis-clos avec 284 protagonistes dont un certain nombre avaient de bonnes raisons d'éliminer la charmante Aurélie qui s'avère être un piètre personnage avec un visage d'ange).



On tourne les pages, l'étau se resserre, on pense comprendre ce qui s'est passé, mais c'est sans compter sur l'imagination débordante des autrices qui n'ont de cesse de nous faire tourner la tête au milieu de ce vin qui coule à flots, délie les langues et nous fait tourner en rond tout comme les enquêteurs.



Le dénouement? Encore une fois je salue le talent des autrices qui m'ont bluffée et pas que moi d'ailleurs.



Et comme disait Augustin à son frère Mathias :

"- Tu dois être fort. On va trouver une solution. "



Merci aux éditions Taurnada qui m'ont permis de lire ce roman après avoir gagné un concours !

Voici un excellent polar. Au début, on pourrait croire qu'on se trouve dans un roman d'Agatha Christie, avec une belle galerie de personnages, qui sont tous, soyons honnête, pas très clairs.

Mais après, c'est plus vers un thriller psychologique qu'on se tourne.

Tout commence dans une soirée dans une galerie huppée. Il y a du beau monde, tout semble parfait, mais vite des petits incidents arrivent, jusqu'à la découverte du cadavre d'Aurélie Clavery, l'une des 2 associés de la galerie. Vengeance ou crime passionnel ?

Telle est la question. Car Aurélie était une femme ambitieuse, qui n'hésitait pas à prendre quelques libertés peu légales, et ses relations avec son gendarme de mari, on va vite s'en rendre compte, n'étaient pas si harmonieuses que cela.

Au gré des va et vient temporels, on découvre tous les personnages, leurs différentes facettes, leurs secrets, leurs rancunes. Les suspects pleuvent au fil des révélations et on a bien du mal à se faire une idée sur le véritable coupable. Car la victime était très loin de faire l'unanimité, et faisait grincer beaucoup de dents. Alors, tel un bon verre de vin, on déguste l'histoire, on analyse les rebondissements, les caractères et les motivations de chaque protagonistes, on s'interroge sur l'importance ou non de certains chapitres plus courts. Et puis, il y a cette explosion finale, surprenante et de toute beauté.

Bravo à ce fabuleux roman à quatre mains Magali Collet et Isabelle Villain. J'en redemande.

La Barberie, un hameau qui semble idyllique. On y découvre la vie de famille en quasi autarcie.



Une première partie ou l’on ne sait pas bien ce qui nous attend.



Et puis tout s’accélère jusqu’à une fin que rien ne laisser envisager.

Roman assez court, mais très rythmé. Les personnages se jouent de nous, entre mensonges, secrets et trahisons. Certains personnages sont détestables. J'ai deviné la fin, ce qui est assez rare. Bref un roman avec sa dose de suspense qui se lit avec plaisir.

Mauvais genre est le 3eme tome ( sur 5 actuellement : dans l'ordre Peine capitale, Ames perdues, Mauvais genre, Blessures Invisibles et De l'or et des Larmes) ) de la commandant Rebecca de Lost , un personnage que j'affectionne particulièrement , forte et fragile à la fois , qui n' a pas ce coté super héroïne comme on rencontre parfois , elle est restée naturelle .

L'intrigue est indépendante , le roman peut donc se lire indépendamment, même si je conseille fortement de lire cette série dans l'ordre pour suivre l'évolution du personnage de Rebecca , dont la vie personnelle occupe une place importante dans chacun des tomes.

Et autant vous prévenir tout de suite, il vous faudra obligatoirement lire ce tome ci avant d'attaquer Blessures invisibles, puisque une des intrigues est ici en suspens.

Mauvais genre commence fort, avec une scène horrible , un gamin qui voit mourir sa mère sous ses yeux. Puis bond dans le temps, une jeune femme est assassinée chez elle , c'est Rebecca et son équipe qui sont chargés de l'enquête . Un premier rebondissement arrive assez vite, bien que je l'ai deviné . Le parcours de la victime amène quelques moments d 'émotions .

A coté de cette intrigue principale, quelques petites intrigues secondaires sont développées : la menace pesant sur Rebecca , un meurtre commis selon le même opératoire d'un tueur qui est en prison...

j'ai trouvé que c'était peut être un peu trop de digressions par rapport à l'intrigue principale qui s'en sort un peu bâclée , et expédiée ( d(autant que le roman est court) .

de plus j'ai trouvé qu'il y avait certaines invraisemblances, et que la police parait bien incompétente dans la manière de régler certaines affaires .

La fin est réussie , même si elle ne résout pas tout ( suite au prochaine épisode) et même si elle est un peu mélodramatique . En tout cas, je n'ai pas deviner qui était le coupable . J'avais bien une piste , mais me suis plantée .

Autre point intéressant : la thématique des femmes qui tombent amoureuses de prisonniers de longue durée . Un choix qui me dépasse, surtout quand il fait faire et dire n'importe quoi . L'amour est aveugle dit on . Le personnage en question m' a paru particulièrement antipathique .

Pour les autres personnages , à part celui de Rebecca , j'avoue ne pas être attaché plus que ça , certains entourant l'héroïne sont même un peu agaçants.

Me reste à lire Blessures invisibles pour avoir le fin mot de l'histoire et voir comment Rebecca va réagir . Un assez bon roman, bien écrit mais qui se disperse un peu trop.

Très bon thriller qui se lit facilement. L'histoire de famille commence sur les chapeaux de roues...."de velo" (bon d'accord humour noir, c'est très bas mea culpa!!!)



Que celui qui n'a jamais vécu de bouleversement émotionnel au sein de sa famille me jette une pierre! Cependant, on ne finit pas tous psycopathe heureusement.



C'est l'histoire, ici, d'une riche famille bordelaise productrice de vin de renom composée des parents et de 2 fils. Lorsque la femme du plus jeune, directrice d'une galerie d'art arborigene meurre assassinée, l'enquête se porte sur plusieurs suspects, et dévoile au fur et à mesure l'obscure personnalité de chacun, jusqu'au dénouement que je n'avait absolument pas vu venir.



Très bon moment de lecture. Je recommande vivement. J'ai d'ailleurs apprécié également les références sur l'art australien en fin de livre.

Coup de coeur ❤



Depuis que j ai rencontré Isabelle Villain à Nîmes, je suis devenu un vrai fan de ces romans. Et "de l'or et des larmes" est de très haut niveau, et une vraie pépite à découvrir. Apres l avoir lu vous ne regarderez plus les gymnastes de la même manière.



Jean Luc Provost, entraîneur des futurs gymnastes, décède dans un accident de voiture. Accident ou crime ? C est ce que va devoir découvrir Rebecca avec son équipe. Elle va pénétrer dans les coulisses du sport de très haut niveau avec des athlètes, qui sont aussi des ados, pour trouver la réponse et va découvrir un monde exigent et rude, où seule la performance compte.



J ai été véritablement remué et touché par ce roman, notamment par ces notions qui sont le fil rouge du sport de haut niveau : abnégation et sacrifice. C est d'autant plus touchant que ce ne sont que des ados, qui sacrifie leur jeunesse pour cet espoir d'or. J ai beaucoup aimé aussi que Isabelle Villain mette en avant la difficulté de gérer la séparation avec les parents, et la place prédominante de l entraîneur et de son équipe. Car bien évidemment on y parle également d emprise. Et là on touche aux dangers du sport de haut niveau avec les risques physiques et psychologiques. Je n en dirai pas plus au risque de spoiler 😉.



C est finement écrit, intelligent, inquiétant mais la conclusion est magnifique et source d espoir. Un moment de lecture riche et touchant à découvrir de toute urgence

Un beau suspense, bien ficelé, bien documenté, avec tout ce qu'il faut de rebondissements aux bons moments et même une grosse cerise sur le gateau pour le dénouement !

Quand on entre dans l'univers de Peine Capitale, on s'immerge pour n'en ressortir qu'à la fin, rassasié de cette bonne intrigue et de ce bon suspens, mais avec une envie folle de replonger !!! J'ai quand même lu meilleur livre policier/polar...Je suis un peu déçue par ma lecture


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  Ce roman écrit à quatre mains m’a intriguée. J’avais déjà lu des œuvres de ces deux autrices. Comme une image de Magali Collet, et De l’or et de larmes pour Isabelle Villain, et j’avais passé un bon moment avec chacun de ces thrillers. J’ai donc été piquée de découvrir ce que donnait l’alliance de leurs univers. J’ai profité des fêtes de fin d’année pour le déguster.



   In Vino Veritas présente le meurtre d’une jeune femme, assassinée lors du vernissage organisé dans sa galerie. Parmi tous les notables de la région, les secrets, les complots et les petites magouilles vont bon train, alimentant rancœurs et mobiles. Dans ce contexte, deux frères, Mathias – le mari de la victime – et Augustin, son aîné, vont se retrouver. La détermination de l’un étant un élément capital dans la liberté de l’autre.



  Tout d’abord, j’ai beaucoup aimé l’atmosphère familiale créée par les autrices. Chez les Clavery, les non-dits gangrènent tout. L’orgueil du père fait de l’ombre à tous, la mère se complaît dans son rôle de maîtresse de maison parfaite, Mathias – l’enfant fragile suite à un accident de voiture lorsqu’il était enfant- est porté aux nues. Couvé par sa mère, idéalisé par son père, il souffre aussi de cette atmosphère pesante et de la rivalité que cela a instauré avec son frère Augustin. Ce dernier est finalement le vilain petit canard de la famille, celui à qui on reproche tout, mais vers qui l’on se tourne en cas de besoin. Son retour au moment du drame est décisif : pour Mathias, pour sa famille mais aussi pour lui-même.



  Les autrices ménagent dans ce roman des rebondissements que nous ne voyons pas venir tout de suite, elles sèment des indices que nous prenons plaisir à trouver, récolter pour démasquer le coupable. Ce qui est intéressant, c’est que l’explication du meurtre d’Aurélie n’est pas manichéenne. Il y a des torts partagés, une victime loin d’être toujours innocente, un coupable lui-même bien amoché. J’ai aimé les renversements de situation proposés, les révélations étonnantes alors que nous pensions que tout était plus ou moins réglé.



  Un des atouts de ce roman est de présenter des personnages très humains. Au cours de ce thriller, nous découvrons les petites turpitudes, les compromissions et les secrets de chacun. Aucun n’est épargné et finalement, tous ont concouru au drame même si tous n’ont pas achevé la victime.



  Le montage romanesque est d’une efficacité redoutable. Fort du caractère de ses adversaires, le coupable manipule, échafaude des plans, avance en tapinois et porte l’estocade quand nous nous y attendons le moins. En réalité, comme dans une tragédie, la machine infernale est lancée dès que nous ouvrons le livre et il est déjà trop tard pour éviter le drame. Avec une minutie d’horloger, les autrices tissent une inextricable toile, dont personne ne réchappe : ni le lecteur ni les personnages.



  Ainsi, In Vino Veritas est un très bon thriller, il est rythmé, il ménage ce qu’il faut de rebondissements et de surprises pour nous emporter et nous porter jusqu’aux dernières pages sans que nous nous en rendions compte. Les pages filent, nous plaignons les uns, nous doutons des autres, nous nous agaçons de puérilités et de démonstrations d’égo, nous vivons finalement l’histoire aux côtés des personnages, en témoins privilégiés et protégés. C’est donc un très agréable moment de lecture.
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❤



2 e livre de l'autrice que je lis, après mauvais genre que j'avais beaucoup aimé.



J'ai adoré cette métaphore de notre société

Société : notre pays et notre gouvernement

Société : nos entreprises et nos différents collègues et patrons

Livre englouti en 1 journée

Histoire qui change des thriller classique

M'a fait penser à mes anciens manager. Diviser pour mieux régner.



Les autres livres de l'autrice sont d'office dans ma wishlist

#challengeleslouvesdupolar

"In Vino veritas" est un roman à quatre mains, d'un tandem d'autrices ayant déjà une certaine expérience dans le roman noir.



Le roman n'est pas très long et est un véritable page turner, une grande soirée m'a suffi pour en venir à la conclusion et je voulais à tout prix savoir, rapidement, si mes hypothèses étaient justes (l'ennui de lire beaucoup de noir, c'est qu'on devine souvent où les auteurs veulent nous emmener).



Saluons aussi une thématique que je n'ai jamais rencontrée dans aucun autre roman, et traitée, par ailleurs, de façon sensible.



J'ai regretté, toutefois, de n'avoir pu m'attacher à aucun des protagonistes de cette histoire, protagonistes que j'aurais préférés s'ils avaient été un peu plus fouillés et dont je n'ai pas compris certaines réactions.



Par ailleurs, si une nouvelle édition devait voir le jour, il serait bon que l'éditeur fasse revoir le travail de correction qui a, visiblement, été un peu hâtif, ce qui ne rend pas justice au travail des autrices.



En conclusion, une lecture agréable, même si certains points m'ont un peu manqué pour le coup de cœur.