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Critiques de J.-H. Rosny aîné (227)
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La Guerre du feu

Pendant la préhistoire, les Oulhamir ne maîtrisent pas le feu. Naoh avec l'aide de Nam et de Gaw promet de ramener le feu à la tribut. Court roman de J.H. Rosny Ainé sur les hommes préhistoriques. Certains chapitres sont splendides (la bataille entre les aurochs et les mammouths par exemple) mais les combats de Naoh se succèdent et se répètent créant un sentiment de lassitude.
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La Guerre du feu

C’est la consternation dans la tribu des Oulhamrs : à la suite d'un violent affrontement avec une tribu ennemie, leur feu s’est éteint. Incapables de le rallumer, ils doivent désigner des héros qui iront en voler à un autre clan. Ainsi commence l’épopée de Naoh, Nam et Gaw à travers un monde hostile et sauvage.

Bien documenté en son temps (1911), La Guerre du feu met en scène des relations entre tribus et entre individus des plus violentes, qui ont largement été nuancées par les archéologues du 20e siècle. Mais la singularité de ce récit fondateur réside surtout dans sa façon de montrer des humains qui n’ont pas encore pris l’ascendant sur leur environnement. Ne maîtrisant pas l’art de faire jaillir des étincelles de deux silex entrechoqués, les Oulhamrs restent tributaires d’une nature imprévisible, au cœur de laquelle l’espèce humaine est particulièrement vulnérable. Ainsi, à de nombreuses reprises, les mégalocéros, tigres, mammouths et autres aurochs volent la vedette aux héros de J.H. Rosny Aîné, relégués au simple rang de spectateurs de combats épiques et brutaux entre espèces animales. Ces moments, les plus puissants du roman, donnent un relief particulier à La Guerre du feu à l’heure où l’emprise de l’homme sur la nature est devenu un enjeu des plus préoccupants.
Lien : https://balises.bpi.fr/litte..
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La Guerre du feu

Je dois avoir lu la Guerre du feu trois ou quatre fois dans ma vie. A chaque fois, c'est la même fascination.

Quel souffle épique parcoure ces pages dignes de certains poèmes animaliers de Leconte de Lisle (les éléphants par exemple). C'est une véritable épopée que cette guerre du feu. Inimitable. Il est remarquable que ce roman me plaise autant à 15 ans qu'à 64 ans.

Un chef d'œuvre, vraiment....
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La Guerre du feu

Je ne m'attendais pas à des miracles en ouvrant ce livre, lu plus par souci de culture générale que pour le transport littéraire attendu.

La surprise n'en fut que plus agréable, d'abord en raison de l'écriture, riche et impeccable, mais aussi pour la qualité de l'intrigue et la capacité de l'auteur, et c'est une gageure, à susciter l'empathie de son lecteur pour son héros velu et courageux, à le plonger dans l'environnement hostile et grandiose de ce temps ancien où l'homme ne maîtrisait pas le feu, à lui faire aimer les mammouths et les grandes plaines couvertes d'herbes hautes, à évoquer enfin la complexité de l'évolution humaine en faisant coexister dans l'histoire des peuplades génétiquement diverses.

Pas un grand plaisir, mais un enrichissant voyage dans le temps!
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La Guerre du feu

Lorsque j'avais établi ma critique du film éponyme de Jean-Jacques Annaud sur un autre site que Babelio, j'avais déjà parlé du roman à partir duquel avait été tiré le scénario.

Jean-Jacques Annaud avait, assez génialement, il faut le dire, remplacé le langage articulé du roman préhistorique de JH Rosny Aîné par des grognements beaucoup plus primaires. Ce qui était plus facile au cinéma du fait que l'image ou les mimiques des acteurs pouvaient suppléer.

Le sujet du roman, c'est la quête pour la domestication du feu. On ne sait pas grand-chose de cette quête sinon qu'elle dut forcément être un problème majeur. Rosny situe l'épisode vers -100 000 mais les recherches sembleraient montrer la domestication du feu pourrait remonter beaucoup plus tôt vers -400 000.

Ce que Rosny montre, et que reprendra Annaud, c'est que le feu capté à l'occasion de coups de foudre ou d'autres manifestations fortuites, devait être stocké dans des boites sous la forme d'un tison dont il fallait maintenir en permanence le rougeoiement. Un coup de mauvaise pluie, une maladresse du gardien du feu et c'était terminé. Bien sûr, Rosny, en bon romancier, présente ça comme une évidence. Mais à la lecture du roman, je ne peux m'empêcher d'être fasciné par cette problématique : d'abord, il dut y avoir un jour où l'homme dut imaginer ou penser que le feu, issu de la foudre, pouvait être plus utile qu'à créer des catastrophes naturelles comme brûler des forêts. Puis, après avoir découvert les vertus du feu, comment le rendre pérenne à défaut de pouvoir le reproduire. Et tout ça sur des périodes de plusieurs centaines de milliers d'années. Je trouve ça réellement vertigineux.

Bien sûr le roman fera un raccourci pour passer de la conservation du feu à la reproduction. Ce que reprendra aussi Annaud, pas tout-à-fait de la même manière mais ça ne change pas le propos …

Le roman de Rosny, à l'instar de ses autres romans préhistoriques ("le félin géant", "Vamireh", "Eyrimah", etc …), inscrit cette "guerre du feu" dans un environnement hostile où l'homme n'est qu'une petite créature qui doit faire face à toutes sortes d'animaux du lion au loup, de l'aurochs au mammouth. Seule sa ruse (ou sa faculté de raisonnement, c'est selon) lui permet de compenser sa petite taille et sa faiblesse.

Un autre point ne cesse de m'interpeller car, en fait, relève de questions pour lesquelles je ne sais pas trop quoi penser. Et le point de vue de Rosny diffère fondamentalement de celui d'Auel dans "les enfants de la Terre".

Il s'agit des contacts entre tribus ou hordes qui cohabitent sur la Terre. Chez Rosny, il y a méfiance voire hostilité systématique sinon carrément guerre. Chez Auel (on est, plus tard, aux alentours de -15 000), les tribus sont plutôt pacifiques et rechercheraient les contacts dans un but de progrès et d'échanges.

Sachant que la Terre n'est pas très peuplée à cette époque, cette réflexion me semble intéressante car appelle à penser à la nature profonde de l'homme et de sa réaction face à l'autre. Sachant que l'Histoire moderne n'est faite que de guerres et de conquêtes dans une période infiniment plus courte de quelques milliers d'années seulement … Sans qu'on ait bien évidemment le moindre début de preuve ce qui rend la réflexion excitante. Et vaine.

De mon point de vue, "la guerre du feu" est le roman le plus intéressant de JH Rony Aîné à cause de ses diverses dimensions abordées ou problématiques suggérées.

Et puis, le style toujours fleuri, toujours lyrique, toujours épique de Rosny nous invite en 1910 ! dans un formidable bond en arrière où le merveilleux côtoie toujours le tragique et le fantastique. Comme l'alliance de l'homme avec les mammouths contre les affreux dévoreurs d'hommes.

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La Guerre du feu

Voici un texte fort, à l'écriture soutenue, parfois alambiquée.

Le récit est proche du film qu'en a tiré JJ Annaud (du même nom), mais j'en recommande toutefois la lecture, car ce livre écrit en 1906 nous transporte dans un autre monde, par le thème, par son style.
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La Guerre du feu

Il y a peu de livre, dans ma Babeliothèque, qui date de mon enfance... La guerre du feu en fait partie.

Et bien des années plus tard, je garde un bon souvenir de cette lecture.

Je suis en admiration devant la mémoire de l'auteur qui à vécu cette période de la préhistoire,sinon comment pourrait-il nous la relater avec tant de précision et

de détails...Avant l'histoire était, la préhistoire, et il faut lire la guerre du feu pour avoir une idée d'ou l'on vient...
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La Guerre du feu

C'est un grand coup de cœur, pour ce roman éponyme de Rosny Aîné !

Cela semble inutile de le présenter, tant il est connu.



Sur cette terre encore sauvage, une tribu perd son feu, elle est en danger de mort ! Naoh, un jeune homme courageux, loyal, curieux, va partir à sa reconquête. C'est la lutte pour la survie, contre une nature hostile, et foisonnante qui n'épargne rien : c'est l'Homme contre les éléments, l'Homme contre les animaux carnassiers et bien sûr, l'Homme contre l'Homme. Mais l'Homme curieux qui sait écouter, fera des alliances qui lui rendront service. La richesse de plume de l'auteur, donne une petite idée, de l'abondance de cette nature, même si tous les animaux décrits n'ont peut-être jamais existé, leur présence reste cohérente avec le milieu.



A découvrir ou à relire!
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La Guerre du feu

Je reconnais que la préhistoire n’est pas vraiment ma période historique préférée.

Je ne pense pas avoir lu plus de 5 ou 6 livres sur ce thème (les livres de Jean M. Auel pour ne pas la citer ).

Cependant, je me rappelle avoir vu dans ma jeunesse le film de Jean-Jacques Annaud « La guerre du feu » et il me reste assez de souvenirs de ce film pour dire que je l’avais vraiment apprécié.

C’est au gré de mes flâneries sur Babelio que j’ai découvert que « La guerre du feu » a d’abord été un livre d’un auteur belge dont je n’avais absolument jamais entendu parler : J.H Rosny ainé.

Cela faisait un moment que la curiosité me chatouillait au sujet de ce livre. J’avais envie de retrouver l’ambiance crée par Annaud.

Il faut dire que dès le début j’ai réalisé que le livre et le film sont relativement différents même si les thèmes principaux subsistent. Passé ce petit moment de presque déception (j’aimais bien le personnage féminin incarné par Rae Down Chong et celui-ci n’existe pas dans le livre) j’ai apprécié cette lecture. Le style de Rosny m’a vraiment emballée, car c’est véritablement un poète quand il décrit l’ambiance de l’époque et surtout la faune et la flore de l’époque.

L’histoire en elle-même n’a rien d’extraordinaire puisqu’un trio de jeunes hommes part à la recherche du feu qui est l’élément précieux et indispensable pour la survie des hommes de son clan. On suit leur quête avec des confrontations avec d’autres races, des animaux, enfin je devrais plutôt dire des fauves au vu de l’époque.

Une lecture sympathique, mais qui me conforte cependant dans le fait que cette période ne sera jamais ma préférée en ce qui concerne mes lectures.



Challenge A travers l’histoire

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La Guerre du feu

La tribu des Oulhamr connaît l'usage du feu et sait le conserver mais ne sait pas le produire. Les membres de la tribu des Wagabou envahissent le territoire des Oulhamr et une bataille éclate. Les Wagabou sont représentés comme des sauvages proches de l'animalité, couverts de poils, dont rien n'indique qu'ils maîtrisent un outillage avancé ou le feu, et dont la langue est à l'évidence très rudimentaire. Malgré tout, ce sont eux qui gagnent grâce à l'avantage du nombre, leur force brutale et leurs ruses stratégiques. Une poignée d'Oulhamr réussissent à s'enfuir, en laissant en chemin les blessés. Le gardien du foyer s'enfuit lui aussi avec un peu du feu (le reste a été volé par les Wagabou), mais après avoir retrouvé les survivants de la tribu, le peu de braise incandescente finit par s'éteindre. Sans feu, les voilà condamnés à mourir de froid et de faim. Bon roman écrit d'une plume archaïque.
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La Guerre du feu

ROSNY Aîné, le génial auteur de « LA GUERRE DU FEU », écrivait voici cinquante ans : « II y a cinq cent mille ans, peut-être un million d'années que nos antiques précurseurs, à peine au-dessus du niveau des grands singes actuels, allumèrent le brasier des nuits froides, alors que l'épouvantable machaerodus chassait encore dans les mêmes pâtures où vivait le mastodonte, le rhinocéros tertiaire... »

« LA GUERRE DU FEU » se déroule dans le décor fantastique de la préhistoire. L'auteur nous décrit l'effroi et la terreur de la horde des Oulhamr qui, dans le désarroi d'une rencontre désastreuse avec une horde ennemie, perdit les cages ingénieuses où elle entretenait le Feu, source de toute vie. Rosny Aîné dépeint les combats que se livrent entre eux les monstres de ces temps fabuleux : les mammouths et les aurochs, le lion-géant et le tigre. Il nous fait revivre l'alliance entre l'homme et le mammouth. Nos trois héros Naoh, Nam et Gaw reviendront-ils vainqueurs après leur longue expédition ? Echapperont-ils aux embûches des Dévoreurs-d'Hommes et des Nains-Rouges ? Rapporteront-ils enfin le Feu à leur tribu ? Vous le saurez en lisant ce récit bouleversant dont le succès mondial et toujours grandissant a été consacré déjà par la vente de plus de deux millions d'exemplaires. Depuis, l'écriture a un peu vieilli, remplie de mots qu'on ne trouve plus dans le dictionnaire. Chose qui rend parfois la lecture un peu compliquée. L'auteur imagine ici la préhistoire. Je conseille le film de JJ Annaud, belle transcription visuelle.
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La Guerre du feu

Roman très célèbre sur la Préhistoire et je comprends pourquoi. L'auteur a su rendre une ambiance qui semble très réelle.

Naoh, Nam et Gaw partent à la recherche du feu perdu par leur tribu. Sur leur route, ils croiseront de nombreux dangers: ours, luons mais surtout hommes d'autres tribus.

Même si l'auteur part d'un postulat qu'on sait sans doute faux aujourd'hui (l'homme utilise le feu qu'il trouve dans la nature), ce roman pourtant ancien nous entraîne dans une époque encore méconnue. Et je me suis laissée emporter avec beaucoup de plaisir.
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La Guerre du feu

C'est avec le souvenir lointain, et de fait un peu effacé, de l'adaptation cinématographique que j'ai débuté cette lecture. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans, comme on dit. Les descriptions redondantes de la flore, les combats qui s'enchaînent (entre animaux, entre hommes et animaux, entre hommes), les extrapolations sur les sentiments et les natures animales ne m'ont pas plu. Mais petit à petit, je me suis intéressée à l'aventure des trois guerriers. De mon point de vue, il vaut mieux appréhender ce roman comme une épopée imaginaire que comme un roman historique permettant de mieux connaître la préhistoire.
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La Guerre du feu

La guerre du Feu un livre de prime jeunesse qu'il fait bon relire. Parce que survolant une époque révolue qu'il décrit avec une puissance d'évocation très juste et convaincante. Malgré les citations à resituer complétées des avancées de la science .il est Le livre de référence à mon sens de lHistoire de la vie telle qu'elle pouvait être des premiers hommes, les réalités de leurs combats et luttes

Un bel instant de lecture pour relectures passionnées
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La Guerre du feu

"Les Oulhamr fuyaient dans la nuit épouvantable. Fous de souffrance et de fatigue, tout leur semblait vain devant la calamité suprême : le Feu était mort."

La première fois que j'ai lu cette phrase, la toute première de ce chef-d'oeuvre, je devais avoir douze ou treize ans. Pour moi, ce fut un choc et j'ai dévoré "ce roman des âges farouches" avec un émerveillement que je n'ai jamais oublié. Émerveillement, mais aussi crainte, angoisse, stupeur, soulagement .... tant et tant d'émotions qui ont accompagné cette lecture formatrice.

Je l'ai relu à plusieurs reprises et chaque fois la magie a opéré ! la magie d'un récit exaltant qui vous emmène sur tous les chemins du rêve éveillé ...

Peu importe que ce que l'auteur raconte ait pu ou non se produire ! la belle affaire ! Ce qui compte, c'est sa capacité à nous entraîner dans ce fabuleux imaginaire où Naoh, le héros, pour conquérir Gammla, la désirable nièce du chef, va encourir les plus terribles périls pour rendre le feu à sa tribu.

Pour cela, il croisera la route du lion géant et de la tigresse, il apprivoisera le mammouth, il luttera vaillamment contre les mangeurs d'hommes à qui il dérobera le feu et se réfugiera auprès des mammouths, avec qui il réussira à nouer une alliance, la belle alliance de l'homme et de ce magnifique animal, doté de compréhension et de sagesse, la partie la plus exaltante de cette remarquable fresque.

Il rencontrera d'autres tribus, amies ou ennemies et enfin affrontera l'ennemi le plus terrible de l'homme, l'homme lui-même, en l'occurrence les trois frères Oulhamr, partis comme lui à la conquête du feu, et bien décidés à se l'accaparer pour prendre le contrôle de la tribu.

Quel merveilleux voyage que celui-là, où l'auteur invente un monde totalement affabulé, un univers empreint de poésie, qui nous fait sentir les présences animales, humer l'odeur des plantes, entendre le craquement rassurant du feu, suivre le chemin de la horde des mammouths, la trompe du grand mammouth, amicalement posée sur notre épaule .....

Ce voyage, on a envie de le faire, de le refaire, inlassablement !
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La Guerre du feu

Le roman préhistorique ou « le roman des âges farouches » de J.-H Rosny aîné, nous fait basculer à l'aube des temps.



Naoh, fils du Léopard, de la horde des Oulhamr, part reconquérir le feu qui leur a été volé. Il est accompagné de Nam et Gaw, deux jeunes guerriers lestes et rapides. Leur instinct, leur rapidité, leur sagacité et leur ruse les sauveront de leurs ennemis, bêtes ou tribus ennemies. Naoh est le héros de cette aventure. Il ne va pas seulement reconquérir le feu, mais il va aussi aller à l'encontre de l'autre, acquérir de nouveaux savoirs, s'allier avec les mammouths. Il ose s'aventurer au-delà de la horde, permettant ainsi à celle-ci de continuer l'aventure, l'aventure de l'humanité. La première étape étant d'apprendre à faire le feu.



On entre aussi dans les pensées de ces hommes de l'aube. Ils ont peur, froid et faim, mais ils ont l'instinct et la curiosité. Ils n'ont pas encore conscience de la mort, ils la craignent mais l'oublient bien vite. Leurs pensées sont courtes.



Ce roman est une version abrégée de la guerre du feu, pour le rendre plus accessible au jeune lecteur. Cependant le ton de l'ouvrage et le style de l'auteur sont intacts.





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La Guerre du feu

Une histoire assez linéaire d'une quête avec quelques obstacles à surmonter. Rien de spécial mais rien de mal non plus. Je suis pas un grand fan du style des dialogues où aucun personnage n'utilise de pronoms, par exemple. Ca rend les choses moins fluides.
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La Guerre du feu

Mon premier plaisir de lecture. A haute voix. Viens de le redécouvrir en livre audio: le style apparait plus ampoulé, le vocabulaire qui se veut tantôt bucolique, parfois poétique voire sentimentale semble tellement loin de la vie de ces hommes que j'ai bien ri. Drôle de guerre qui n' a pas eu lieu mais toujours fan de Rahan, le fils des âges farouches. Ecce homo
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La Guerre du feu

Le livre de mon enfance avec lequel j' ai pris goût pour le roman et l' imagination.

J'ai lu ce livre sous forme de feuilleton illustré paru quotidiennement dans le journal "l'Union" journal de la Marne.

Mon esprit collectionneur s' est manifesté alors en découpant chaque épisode de "La guerre du feu".

Quel plaisir de suivre cette aventure chaque jour.

Nul n'échappe à la nostalgie ...



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La Guerre du feu

Relu avec délectation même si le style peut paraître un peu désuet et le récit comporter des longueurs. Le roman crée une relation intimiste avec ces hommes d'un autre temps avec lesquels on partage des sentiments d'humanité face à l'adversité du quotidien. Et on en vient à penser qu au-delà du temps nous avons beaucoup de choses en commun...
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