Citations de Jay Crownover (837)
Un souvenir n'était pas dangereux. Il pouvait être douloureux et dur à oublier, mais un souvenir n'avait pas le pouvoir de détruire la vie que je m'étais acherné à rebâtir
Autrefois, nous étions inséparables.
Aujourd'hui, nous n'étions plus que des étrangers.
Il n'était pas le genre de personnage qui apparaît très souvent dans les contes de fées. Il était trop loufoque,et son tempérament imprévisible pouvait être inquiétant. Il réservait généralement sa colère à une seule personne, son frère, mais quand elle se déployait, il devenait une tout autre personne.
Parce que ça a toujours été toi même quand je ne le voulais pas, même quand ça me brisait le cœur encore et encore. Ça a toujours été toi.
- Rule, si ça finit mal, ça finira très, très mal.
Sa voix n'était qu'un murmure rauque contre ma poitrine.
- C'est vrai, mais si ça se passe bien, ça va être vraiment très, très bien.
[... ] je ne vais pas me battre avec mon passé alors que je commence enfin à vouloir investir dans mon avenir.
Il était comme une drogue. Addictif et problématique. Une fois que vous en aviez pris une dose, vous en vouliez plus. Mais une fois que vous l'aviez tout entier, cela semblait impossible de vivre sans qu'il coule dans vos veines.
En y réfléchissant bien, l'amour et la haine ne différaient pas tant que ça. Au fond, c'étaient deux sentiments qui vous rendaient complètement dingue, qui vous faisaient faire des choses que vous n'auriez jamais imaginé faire, et il était trop facile de s'y perdre.
Il y a le genre de blessure que tout le monde peut voir. Le genre qui laisse un tel bazar que personne n'a envie de faire le ménage derrière. Et même en cherchant à faire tout disparaître, il restera toujours un petit morceau bien tranchant quelque part. Puis il y a celles que personne ne peut voir. Celles dont la surface entière est composée de fractures infimes et de fissures étroites. Qui tiennent en un seul morceau par je ne sais quel miracle et une volonté de fer. Il suffirait d'un simple coup, d'un faux mouvement, et c'est terminé. Impossible de nettoyer derrière ça. Il y a trop de morceaux, partout.
La bravour, c'est quand on est seul à savoir qu'on a peur (F.P. JONES)
Être avec des mecs comme nous... C'est comme être amoureuse d'un flingue chargé dont tu es le cran de sécurité.
Faire l'amour avec Race était toujours différent. Chaque fois que nos corps se connectaient, je sentais que chacun laissait des morceaux de soi à l'autre.
Les gens ne devraient pas risquer ce qu'ils n'ont pas les moyens de perdre.
Je veux être heureuse pour une fois dans ma vie, et je veux le penser quand je dis que je le suis.
Le seul secret que j'avais, la seule chose que ses yeux fixes ne pouvaient pas voir, était mon âme éclatant et mon cœur se fracturant. Je ne voulais pas seulement ce moment ...je voulais tous les moments et je les voulais avec lui.
- J'aime Karsen, dit-il. J'ai fait ça pour la protéger. Tu dois le comprendre. (..)
- Non, moi, je l'ai protégée! (...)Toi, tu voulais la contrôler. C'est différent.
J'ignorais ce que nous ferions ensuite.
Mais où qu'elle aille, j'étais bien résolu à ce qu'elle conserve son optimisme et sa capacité à voir la beauté et la valeur du monde.
- C'est elle, la fille qui te conduit jusqu'à chez toi tous les week-ends et dont tu te plains ? Celle qui te fais chouiner parce qu'elle te tombe dessus alors que tu fais le con ? C'est la fille dont tu filtres les appels et que tu évites comme la peste ? Bon Dieu, Rule, je ne savais pas que tu étais gay.
Elle n'avait pas besoin de savoir que les gens qui brillaient si fort au firmament de son monde n'étaient pas des étoiles illuminant le ciel nocturne, mais des étoiles filantes qui mouraient en s'écrasant sur Terre, comme le commun des mortels.
« - Dis-moi ce que tu veux que je fasse, maintenant, Reed. En général, je suis le méchant, dans l'histoire.
Pas le héros. »